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 Harry Potter et le Masque de l'Ombre

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Dark Nerwan
Elève de Sixième Année



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MessageSujet: Harry Potter et le Masque de l'Ombre   Harry Potter et le Masque de l'Ombre EmptyMar 3 Avr - 1:43

Alors voila !

Nous ( moi et missginny ) avons décider d'écrire une fic à 2 sur comment nous verrons bien le dernier tome de cette merveilleuse saga !!
donc ne vous inquietez pas si des fois c'est missginny qui poste une suite, cela est tout a fait normal !

sur ce : bonne lecture!!!

premier chapitre :

LE DEPART


Tout paraissait calme dans la maison. Elle semblait vide, presque abandonnée. Elle était en piteux état, les peintures écaillées et les volets à moitié décrochés de leur gonds. Le jardin, devant la maison, ressemblait a un marécage, et le portail d’entrée était entre-ouvert, la poignée cassée. Mais à la fenêtre apparue une jeune fille rousse, les yeux verts levés vers le ciel. Un hibou approchait, au loin, dans le rose du soleil levant. Lorsque le hibou arriva devant la fenêtre, la jeune fille l'ouvrit doucement, détacha la lettre accrochée à la patte de l'animal, et le hibou repartit. Elle déplia le morceau de parchemin et lut:


Elia,

Ne sois pas fâché, mais je ne pourrais pas te rendre visite pour la fin des vacances. Mes affaires se compliquent. Je t'en parlerai en temps utile, je ne peux pas l'écrire sur une lettre, les hiboux sont de plus en plus surveillés.
Reste à la maison, je ne veux pas que tu sortes, ou que tu prennes de risques inutiles. Les temps sont dangereux et je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Je viendrais dés que possible. Ne me renvois pas de hiboux, je ne sais pas qui pourrait le réceptionner.
Ne m'en veut pas, mais je dois respecter les instructions de Dumbledore et je ne peux rien te révéler pour le moment. Ne t'inquiète pas pour moi, je ne suis pas en danger.
Surtout ne prends aucun risque.
Je t'enverrai un hibou bientôt.

Papa



De colère, elle chiffonna sa lettre et la lança à travers la pièce qui atterrit aux milieux d'autres lettres déjà jetées. Combien de temps allait-ce encore durée? Elle en avait marre de passer toutes ses journées enfermé dans cette horrible maison. Elle avait besoin de sortir, de se défouler, de voir des gens…de faire marcher sa baguette.





Loin de là, sur son lit, la mine sombre, était endormit un jeune homme amaigri par les épreuves qu’un garçon de son age n’aurait jamais dût endurer. Cette nuit là, comme toutes les nuits, ses rêves étaient peuplés d’un rayon vert jaillissant d’une baguette pour se projeter contre une personne affaibli et ne tenant presque plut debout qui s’envolait dans les airs pour finir 20 mètres plus bas. Sur cette tour, il perdit sa dernière protection et un être cher. Cette nuit là, Albus Dumbledore mourut.

Soudain, son réveil sonna 6h30 du matin et Harry se réveilla en sursaut.
Il promena son regard sur la triste vision de ce qui devrait être une chambre en temps normal. Partout, des vêtements était éparpillés, il y en avait même sur la cage d’un hibou qui n’avait pas dût être faite depuis un certains temps déjà.
Mais il y avait aussi sa male d’école d’où s’échappaient différents accessoires de magie comme un chaudron, une baguette magique, des livres et même un parchemin vierge dont on se demandait a quoi il pouvait bien servir …
Mais il n’y avais pas que cela, une quantité de livres étaient répandu pêle-mêle dans la pièce. De là, on voyait le titre d’un de ces livres « Tout Sur La Magie Noire, Et Comment S’en Défendre ».
Mais on voyait aussi sur la table de chevet, une liasse de parchemin où une écriture fine avait écrit des centaines des sorts, contres-sorts et enchantement.
Harry Potter s’assit dans son lit, ressentant encore quelque peu les effets du sommeil, avec déjà une multitude d’idées lui traversant l’esprit.
Parmi toutes ces idées, il en pris une, celle de prévenir son oncle et sa tante de son prochain départ.

En descendant les escaliers, il entendit la familière rumeur de la télévision que regardait Dudley sans aucun doute mais aussi des bruits que faisais la tante Pétunia en préparant le petit déjeuner.
« Bonjour », dit Harry en regardant le journal qui cachait l’oncle Vernon ( ce qui, en soit, était quelque chose d’assez étrange vu la corpulence de celui-ci ). Il ne lui répondit que par un grognement que Harry interpréta comme un bonjour des plus distingués.
« Il faut que je vous annonce quelque chose, commença Harry
- Quoi ? tu t’en va déjà chez tes amis cinglés ? demanda Vernon les yeux pleins d’espoirs
- Non, mieux, lui répondit Harry sur un ton de défi, je pars définitivement ! »
Sur cette dernière phrase, il prit un toast et monta dans sa chambre. Il eu le temps d’entendre les exclamations de joie des Dursley avant de fermer sa porte et cela lui arracha un maigre sourire.

Ce soir-là, Harry Potter réussit à dormir d’un sommeil sans rêves, ce qui ne lui était pas arriver depuis bien des jours.
Peut être que ce sommeil paisible était dût à la lettre de son meilleur ami que Coquecigrue lui avait amener un peu plus tôt dans la soirée :


Cher Harry,

Je sais que tu ne doit pas aller très bien, mais, avec Hermione, nous nous inquiétons beaucoup pour toi. Je viendrait te chercher avec Hermione vers minuit ce soir. Le mariage de Bill et Fleur aura lieu demain.
Nous pensons tous beaucoup à toi et à toute à l’heure !

Ton ami, Ron



Harry entendit son réveil sonner pour la deuxième fois de la journée. Il était 23h15. Il décida de se lever pour ranger ses affaires, car dans 45 minutes, il allait quitter cette maison pour ne plus jamais y revenir, il allait être libre. Mais même cette pensée, qui était pourtant un grand soulagement, n’arrivait à lui procurer de la joie. Lui qui avait déjà tant souffert, avait l’impression de ne plus ressentir aucun sentiment de joie depuis un mois. Depuis un mois, bouillonnait en lui une haine plus profonde que jamais. Il voulait détruire la vie de Voldemort plus encore que celui-ci n’avait détruit la sienne…et le tâche n’allait pas être facile. Il était toujours aussi lasse, attendant de pouvoir venger ses parents, venger Sirius, venger Cédric, venger Dumbledore, se venger.

Il replia quelques vêtements qui traînait, et voulant les poser dans sa valise, aperçut au fond de celle-ci des cartes de chocogrenouille, l’une d’elle portant le nom de Dumbledore. Il jeta rageusement ses habits dans la valise, et finit de rassembler ses affaires.
A 23h55, Harry ouvrit la porte de sa chambre, prit sa valise d’une main et la cage d’Hedwige ainsi que son éclair de feu de l’autre, puis descendit tant bien que mal les escaliers, le plus silencieusement possible. Les Dursley étaient couchés, jugeant inutile de dire au revoir à Harry – mais Harry préférait que ce soit ainsi.
Il pénétra dans la cuisine, puis passa dans le salon plongé dans l’obscurité. Il posa ses affaires dans le canapé à côté de lui. Il distinguait, grâce aux rayons de la lune qui perçcait à travers la fenêtre, les meubles du salon. Lorsque…
-Harry.
Il sursauta. La tante Pétunia était assise sur un canapé. Il distinguait seulement sa silhouette frêle.
-Harry…j’ai à te parler, dit-elle tout bas, dans un murmure presque inaudible ...


Dernière édition par le Mer 2 Mai - 14:04, édité 1 fois
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Dark Nerwan
Elève de Sixième Année



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MessageSujet: Re: Harry Potter et le Masque de l'Ombre   Harry Potter et le Masque de l'Ombre EmptyMar 3 Avr - 15:58

alors voila la suite et la fin du chapitre 1 !

bonne lecture !!

Suite et fin du Chapitre 1


Harry la regarda, encore étonner de ne pas l’avoir entendue entrer. Il alluma une petite lampe à côté du canapé, et s’assit à côté de sa tante. Il se rendit compte que s’asseoir sur le divan pour parler avec sa tante ne lui était jamais arrivé en 16 ans.
- euh…Harry…je te dois une explication pour avoir complètement échappé à mon rôle de mère auprès de toi. Je t’en voulais . J’en ai honte aujourd’hui, mais je t’en voulais, car, pour moi, tu étais la cause de la mort de ma sœur. Oui, Harry. Malgré ce que tu peux croire, j’aimais énormément ma sœur, nous étions très liée et quasiment inséparable. Enfin, jusqu’à ce qu’elle rentre dans cette maudite école, dit t-elle encore un peu plus bas, de la rancœur dans les yeux. Jusqu’à ses 11 ans, nos parents ne faisaient aucune différence entre nous deux. Puis vient le jour où elle reçu cette même lettre que toi, il y a 6 ans. A partir de ce jour, mes parents ne tarissaient plus d’éloges d’elle et ne prêtaient plus aucune attention à moi. Et, à partir de ce jour, nous nous sommes éloignées. Mais une nuit, il y à 16 ans de cela, tu es arrivé devant notre porte avec cette lettre de ton directeur.
En entendant sa tante mentionner son mentor, Harry eu un pincement au cœur et revis la scène de la tour une fois de plus. Les larmes lui montèrent aux yeux mais il continua à écouter sa tante qui poursuivait.
- Dans cette lettre, Albus Dumbledore -je crois qu’il s’appelle comme cela-, m’expliquait tout de toi, de Voldemort – elle ne tressaillit même pas en prononçant ce nom maudit-, mais aussi de la prophétie qu’il vous lie, toi et le tueur de ma sœur. Bien sur, j’aimais toujours ma sœur, nous ne nous parlions plus beaucoup mais elle me faisait partager son monde dés que nous en avions l’occasion – c’est de là que j’ai connu les Détraqueurs. Quand j’ai su qu’elle s’était sacrifier pour toi, au lieu de trouver que c’était un noble geste, je l’ai pris pour une folle et je t’en ai voulu, je te prenais pour responsable. Maintenant je me rend compte que je mettais totalement trompée à ton sujet. Aujourd’hui, je vois combien tu souffres. Mais est-il trop tard ?
- Non, il n’est jamais trop tard », lui répondit Harry la voie rauque.
Contre toute attente, il se leva et l’a pris dans ses bras où ils restèrent enlacés quelques instants.
- Mais amis ne vont pas tarder à arriver, reprit Harry.
Au moment où il terminait sa phrase, il entendit deux crac sonore et n’eut que le temps de voir une chevelure brune en désordre lui foncer dessus.
- Oh Harry !! Nous étions si inquiet pour toi ! » lui dit-elle.
Harry jeta un regards vers les deux autres arrivants. Ron et Remus Lupin le regardaient avec un sourire quelque peu gêner.
- Bonjour Harry, lui dit Remus.
Celui-ci avait encore maigri. Ses vêtement paraissaient en plus mauvais état que la dernière fois et il avais d’énormes cernes sous les yeux.
Voyant que Harry allait ouvrir la bouche pour lui poser une question, il lui dit :
- Nous en parlerons plus tard Harry, pas ici, dit-il en jetant un regard à Pétunia qui se sentait gênée d’être au milieu d’eux.
- Aller vieux, il faut y aller pour que ma mère déplore encore ton état physique, lui dit Ron avec un clin d’œil.
- Bon, et bien, au revoir Harry, lui dit Pétunia, essayant de lui sourire. Et s’il te plait, ne parle jamais à ton oncle de ce que je viens de te dire, ni que j’avais gardé contact avec Lily. Et si jamais tu as besoin de quelque chose, passe me voir.
Ils s’enlacèrent une dernière fois et Harry vint s’accrocher au bras de Lupin.
- Prêt ? demanda Lupin.
Harry acquiesa. Il ferma les yeux et sentit la désagréable sensation d’avoir un crochet planter dans le nombril et d’être aspiré dans un tuyau. Ils disparurent dans deux crac sonore et Harry eut le temps de voir le visage inquiet de Ron qui s’était accroché à Hermione …


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missginny
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MessageSujet: Re: Harry Potter et le Masque de l'Ombre   Harry Potter et le Masque de l'Ombre EmptyMar 3 Avr - 22:56

chapitre 2 : Le Traitre

-Drago ! Drago attends !
Une femme aux cheveux blonds et au visage d'une pâleur extrême attrapa le bras de son fils.
-Drago, ne sois pas stupide, rentre avec moi, dit-elle des larmes coulants sur son visage.
-Lâche-moi! ordonna Drago, en donnant un coup sec avec son bras pour faire lâcher prise à sa mère. Je reste ici. J'ai assez déçu le Seigneur des Ténèbres. En restant ici, je lui prouve que je lui suis entièrement dévoué, à l'affût de la moindre mission.
-Mais...balbutia Narcissa, mais...et moi? Drago, ton père est à Azkaban parce qu'il était comme toi à l'affût de la moindre mission pour lui, murmura-t-elle en jetant des regards inquiets autour d'eux, vérifiant que personne ne l'entende. S’il avait été un peu plus méfiant, s’il ...continua-t-elle de plus en plus bas.
-Oh arrête, tout ça c'est à cause de Harry Potter, n'accuse pas notre maître! Je suis extrêmement fier de père et de ce qu'il a fait !
-Moi aussi Drago, et tu sais combien je l'aime. Il n'empêche qu'aujourd'hui il n'est plus à mes côtés parce qu'il s'est trop entêté et il ne s'est pas méfié de la mission que...
Narcissa se tut. Des pas approchaient. A l’angle du couloir, Severus Rogue apparût dans un battement de cape.
-Que faites vous ici ? demanda-t-il d'un regard méfiant.
Narcissa se jeta à son cou :
-Oh Severus ! Je ne t’es pas vu depuis que tu à tenu parole en tuant l’autre vieux fou en tenant ton serment ! Tu ne peux pas savoir comme je t’en suis reconnaissante ! dit-elle des sanglots dans la voix.
Pendant que Narcissa continuait de le remercier, Rogue la regardait avec des yeux plein de haine et de mépris, mais elle ne semblait pas s'en rendre compte.
-Quoi ? s'écria Drago. Un serment de quoi ? s'emporta-t-il.
-Chut, moins fort Drago, murmura Narcissa à son fils avec un regard suppliant.
-C’est quoi cette histoire ? demanda-t-il sans baisser le moins du monde le volume de sa voix.
Narcissa ne savait plus où se mettre, mais Rogue resta très calme.
-Ecoute Drago, ne parlons pas de ça ici, viens avec moi au manoir…
-NON ! cria Drago. Tu avais tout prévu n’est-ce pas ? Hein, tu avais tout prévu ?
-Drago, calmez-vous ! ordonna Rogue. De toute manière, vous n’aviez pas le courage d’exécuter votre mission.
-Arrêtons de parler de ça ici, dit Narcissa, la voix tremblante.
Tous les trois restèrent silencieux un moment. Le visage de Drago exprimait la colère et la haine en même temps. Au bout d’un moment, il reprit la parole :
-Dire que je fais tout ça pour sauver père…et toi, tu gâches…pour la professeur Rogue…
Narcissa gifla son fils.
-Comment oses-tu ? s’écria-t-elle. Tu sais très bien que j’aime ton père ! Je t’interdis…
-Taisez-vous, tous les deux, dit Rogue, le visage neutre, le regard indéchiffrable. Narcissa, rentre chez toi, et toi Drago tu suis ta mère sans faire de problème.
On reparlera de tout cela plus tard, dit Rogue d’un ton tranchant, en attendant, allez au manoir et attendez moi là bas, le temps que j’aille voir le seigneur des ténèbres et je vous y rejoint.
Drago allait répliquer, des flammes dans les yeux, lorsque sa mère lui pris le bras.
-Allons y, et arrête de te montrer en spectacle Drago ! » Narcissa passe devant Rogue l’air hautain et Drago lui lança un regard flamboyant de haine.
Severus les regarde partir en appréhendant le moment où il devra à nouveau leur parler et il parti dans un battement de cape vers un escalier qui allait l’emmener vers les profondeurs de la forteresse du mage noir.
Il arriva devant un portail magique gardée par un inféri. Il s’arrêta devant cette monstruosité et souleva la manche de son bras gauche. La créature, voyant la Marque des Ténèbres, se tourna vers le portail et murmura quelques mots d’une voie grave et rocailleuse que Rogue ne compris pas. Entendant cette voix Rogue tressaillit et se dépêcha de passer par le portail qui s’était ouvert devant lui.
Il marcha d’un pas vif et rapide jusqu’à une porte qui s’ouvrit toute seule avant qu’il n’est eu le temps de la toucher.
Derrière cette porte apparut une grande salle voûtée au bout de laquelle se trouvait un trône à haut dossier fait en pierre de granite noire- à l’image de son possesseur, pensa Rogue sombrement.
Sur ce siège se tenait un être qui n’était plus totalement un homme, plutôt un croisement entre un homme et un serpent. Il avait une silhouette fine et était complètement chauve.
Mais le pire de tout était son visage. Des yeux rouges qui vous glaçait du regard et deux fentes à la place du nez.
Rogue s’avança jusqu'à lui et s’agenouilla devant le trône.
-Severus, dit-il d’une voix glaciale. Nous avons beaucoup de choses a nous dire !
Son regard ce fit plus dur, plus perçant et plus menaçant.
-Qui ta permis de tuer le vieillard ? demanda t-il d’une voix sifflante.
Rogue releva la tête et parla en regardant le mage noir dans les yeux, cachant ses pensées derrières de solides barrières mentales.
-Le petit ne l’aurait pas fait ! Il n’en avait pas le courage ! dit-il la voix mal-assurée.
-Mais ce n’était pas ta mission ! Je ne te l’avais pas confiée ! reprit-il avec toujours cette même voix sifflante.
-Je devais faire passer ce test à ce garçon pour savoir s’il allait devenir un bon mangemort mais maintenant je me rend compte qu’il est comme son père !
-Qu’allait vous faire de lui ?
-J’envisage de le tuer mais je n’oublie jamais les services que me donne un mangemort et celui-ci- si jeune soit-il- m’en a donner un grand.
En introduisant mes fidèles mangemort dans l’enceinte de Poudlard, il a montrer au ministère de la magie, mais surtout à la communauté sorcière, que cette école n’était en faite pas ce lieu si sûr dont parlait Dumbledore ! il cracha ce nom avec mépris et hargne et Rogue vit une étincelle briller dans ses yeux.
Si tout se passe bien, Poudlard ne rouvrira pas ses portes et ils ne pourront plus enseigner la magie aux futures générations !, dit-il avec des airs d’illuminés.
A la rentrée, je lancerais une attaque contre ce château et, grâce à mes mangemorts, je ferais de Poudlard mon repère mais aussi une école de magie noire où on instruira cette face de la magie à mes futurs serviteurs.
Bientôt, les seuls vrais sorciers seront ce que j’aurais instruits grâce à cette école avec pour base la magie noire et, à ce moment là, plus rien ne nous résistera plus dans le monde !!!! hahahaha !!!!
Il parti dans un rire hystérique et dément qui dura pendant de longues secondes puis, soudainement, il reprit son sérieux et dit :
-Severus, je veux que tu prenne en charge le jeune Malefoy. Tu va aller habiter au manoir de la famille et les surveiller. Je ne veux quand aucun cas ils n’aient de contact avec Lucius. Tu t’attellera à cette tâche 24 heures sur 24.Maintenant, va ! Et ne me déçoit plus ! dit-il d’une voix menaçante.
Severus se releva et sorti de la pièce d’un pas rapide voulant s’éloigné le plus rapidement possible de son maître.
Il repassa devant l’inféri mais, cette fois, il ne lui adressa pas un seul regard, plongé dans ses pensées. Il sorti de la forteresse et marcha quelques minutes sur un chemin sinueux pour être hors de la limite d’anti-transplanage. Arrivé à cette limite invisible, il se retourna vers l’antre du Seigneur des Ténèbres et la regarda quelques instants d’un regard impassible, puis il se retourna et disparu dans un crac sonore, en direction du manoir des Malefoy …
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Dark Nerwan
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MessageSujet: Re: Harry Potter et le Masque de l'Ombre   Harry Potter et le Masque de l'Ombre EmptySam 7 Avr - 14:25

Chapitre 3 ==> Mariage et Surprise

Ils atterrirent tous les quatre dans la cuisine du Terrier dans des crac sonores qui firent sursauter Molly Weasley qui était en train de somnoler à la table de la cuisine, un magazine de « Sorcière-Hebdo » entre les mains.
Son magazine lui tomba des mains lorsqu’elle se précipita su Harry pour l’enlacer d’une forte étreinte :
« Oh ! Harry mon chéri ! Mais … !, elle poussa un petit couinement de surprise, tu a encore maigri ! Cela ne fait même pas un mois que je t’ai quitter et tu a déjà dut perde trois kilos au moins !!
- Oh maman ! N’ en rajoute pas non plus, lui dit Ron mi-amusé mi-exaspéré.
- Bon, il se fait tard, dit-elle en faisant mine de ne pas avoir entendu son fils. Allez, au lit tout le monde ! Et je ne veux surtout pas vous entendre parler toute la nuit !
Hermione, Ginny est déjà couchée alors fais attention à ne pas la réveiller. »
A ce moment là, Harry se rendit compte de l’absence de Ginny dans la pièce et eu un serrement au cœur en pensant à cette fin d’après midi d’été dans le parc de Poudlard au bord du lac.
« Mais je me tiendrais à ma décision, pensa t-il avec détermination. En faisant cela, je lui sauve la vie et c’est plus important que le reste ! En faisant cela je …
- Harry ! HARRY !
- Quoi ?!? L’élu regarda Ron en battant des paupières
- Sa fait deux minutes que je t’appelle et que tu reste les yeux plongés dans le vide !
- Ah ! Oui ! C’est sûrement la fatigue ! lui mentit-il.
- Tu viens ? Il faut qu’on aille se coucher si tu ne veux pas que maman s’énerve, lui dit-il en rigolant.
Ils montèrent se coucher à la suite d’Hermione mais s’arrêtèrent au milieu de l’escalier en entendant les voix de Mme Weasley et de Lupin :
- Comment se déroule ta mission Remus ? lui demanda Molly, l’air inquiet. Tu a l’air encore plus malade que l’autre fois ! Il faut arrêter d’y aller ! Cela devient de la folie ! Surtout depuis que Greyback ta vu à Poudlard te battre contre son camps !
-Mais je ne peux pas m’arrêter Molly ! Et tu le sais très bien ! Depuis que Greyback s’est montrer à Poudlard, les gens en veulent encore plus aux loups garous ! Il faut que j’essaie encore quelques mois au moins de les ramener vers nous ! Imagine tu les dégâts qu’ils pourraient causer au côté de Tu-Sais-Qui ? Non, il faut encore que j’essaie ! dit-il sans laisser le temps à Molly de répondre. Et puis, je ne m’approche plus du clan de Fenrir j’essaie seulement de ramener à nous des groupes de loups-garous isolés qui n’aiment pas vraiment l’autorité de Greyback.
- Mais …, commença Mme Weasley.
- Non Molly, il est tard et je dois rentrer.
- Ton but est noble, Remus, mais je continue à croire que c’est de la folie …
- Tu passera bien le bonjour à Arthur, et à demain soir-si je puis dire- pour la fête d’anniversaire ! fit-il comme s’il n’avait pas entendu la réponse de Mme Weasley.
- Je n’y manquerait pas et toi à Tonks bien sûr », lui répondis t-elle.
Remus Lupin se leva de sa chaise et sorti par la porte arrière de la cuisine. Il s’arrêta au milieu du potager et se retourna vers Mme Weasley en lui faisant un signe de la main, puis il disparut dans un crac sonore.

Harry suivit Ron à l’étage jusqu’à sa chambre, mais, au lieu de pénétrer dans celle-ci, Ron continua son chemin jusqu’à l’escalier qui menait au grenier.
- Euh, tu va où là au juste Ron ? lui demanda Harry
- Bill et Fleur prennent ma chambre jusqu’au mariage, dit-il avec un air assez mécontent.
Sa veut dire qu’on doit prendre l’ancienne chambre de Fred et George et tous les jours je découvre de nouvelles choses dégoûtantes dans cette pièces » dit-il avec un air de franc dégoût peint sur le visage.
Harry le comprenait parfaitement en repensant à la pastille de gerbe qu’il avais retrouvée collée sous son oreiller l’été dernier. Ou même du coquart qu’Hermione avait eu à l’œil en serrant un petit peu trop fort ce qui ressemblait à un télescope miniature.
Ils arrivèrent dans la chambre est se mirent directement au lit. Harry resta un instant les yeux ouverts en pensant a diverses choses, dont sa rencontre obligatoire avec Ginny demain. Encore une fois ses pensées se mirent à dériver vers elle et il s’endormit bercer par les ronflements sonore de Ron.


Le lendemain, Harry et Ron furent réveillés par le doux murmure de la voix de Mme Weasley :
-DEPECHEZ-VOUS DE VOUS LEVER !!! Non mais vraiment !!!Allez Ron lève-toi !!
Un grognement puissant s’éleva du lit à côté de celui de Harry, ce qui signifiait que Mme Weasley avait dû retirer les couvertures de son fils.
-Vous avez intérêt à être lavé, habillé et prêt à aider aux préparatifs dans un quart d’heure ! » leur lança Mme Weasley avant de sortir de la chambre.
Harry et Ron se levèrent …dix minutes plus tard.
Quand ils entrèrent dans la cuisine, propres et habillés, ils y découvrirent une agitation totale. Ron manqua de se prendre un plat de toast volant dans la figure et un balai passa juste entre les jambes de Harry.
-Tiens, Ron, vas poser ça sur la table dans le jardin, dit Charlie en posant un énorme vase granit, d’où sortait des magnifiques fleurs dans les mains de son frère.
-Mais, je n’ai pas encore eu le temps de manger quelque chose ! répliqua Ron.
-Tu n’avais qu’à te lever plutôt, lui lança Charlie d’un ton cinglant en s’éloignant en direction de sa mère qui portait une énorme pile d’assiettes.
Ron partit en direction du jardin, l’énorme vase dans les mains. Harry s’approcha d’un tableau accroché au mur de la cuisine, qui récapitulait les tâches qui devaient être exécutées pour le soir même. Lorsqu’on se décidait pour une tâche, on devait marquer son nom à côté et on en avait la charge. Ginny passa devant lui, sans un sourire, sans un regard, sans même un mot. Elle prit le stylo à côté du panneau et inscrit son nom à côté de « installation des guirlandes scintillantes (2 personnes)».Puis, tourna le dos à Harry et s’en alla. Hermione, qui avait observé la scène du coin de l’œil, s’approcha de lui et lui lança un regard qui voulait dire « eh bien, vas-y ! tu attends quoi ? ». Voyant que Harry ne réagissait pas, elle lui lança :
-Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? et, sans attendre une réponse, elle sortit sa baguette, et inscrivit le nom de Harry à côté de celui de Ginny.
-Tu sais ce qu’il te reste à faire, dit-elle avant de s’ éloigner l’air satisfait.
Harry prit une bonne respiration. Après tout, il faudrait bien qu’il parle à Ginny. Autant le faire maintenant. Il sortit dans le jardin et chercha Ginny des yeux.
- Ah, Harry !
C’était Mme Wealsey.
- J’ai vu que tu devais installer les guirlandes avec Ginny. Elle est partie les chercher à la cave.
A ce moment, un énorme carton muni de jambe et d’une chevelure rousse apparu.
- Attends Ginny, je vais t’aider, dit Harry. Wingardium Leviosa, dit-il en agitant sa baguette.
Le carton s’éleva dans les airs et Mme Weasley repartit à ses tâches.
- Je pouvais très bien le porter toute seule, je n’avais pas besoin de toi, dit Ginny, sèchement.
- Je…je voulais juste t’aider…essaya de se rattraper Harry.
- Oui, mais j’aurais besoin que tu m’aides autrement qu’en portant de cartons, répliqua Ginny.
Harry ne savait pas trop ce qu’il devait comprendre.
- Mais…enfin Ginny, je ne peux pas – pas je ne veux pas - reprendre avec toi, je te l’ai déjà expliqué, ce serait trop dangereux.
- Oui, bien sûr c’est ça, et bien installer des guirlandes aussi c’est trop dangereux pour moi alors débrouilles-toi tout seul.
Et elle le planta là.
S’ensuivit pour Harry une longue méditation sur la façon de parler aux filles.
Quand il eut fini d’accrocher les guirlandes, il retourna à la cuisine.
- Bon, on va faire une petite pause, déclara Mme Weasley. Ensuite nous finirons les derniers préparatifs, et nous irons nous préparer pour la cérémonie. En attendant, thé à volonté et tarte à la mélasse !
Tout le monde s’installa –du moins essaya de trouver une place dans la cuisine des Weasley surpeuplée et Hermione s’installa à côté de Harry :
- Alors ? demanda-t-elle d’un ton enjoué. Comment ça s’est passé ?
- Désastreux, se lamenta Harry.
- Qu’est-ce qui est désastreux ? interrogea impunément Ron qui arrivait derrière eux.
- Mais pourquoi ? Qu’est-ce qui c’est passé ? demanda Hermione sans faire attention à la remarque de Ron.
-Tu connais Ginny…elle ne se laisse pas faire…un vrai caractère de cochon…répondit Harry.
- Ca, pour sûr c’est une Weasley, ajouta Hermione.
- Qu’est-ce que tu entends part là ? demanda Ron, l’air frustré.
- TOUT LE MONDE SE REMET AU BOULOT !! cria Mme Weasley, et aussitôt tout le monde se leva pour reprendre les différentes tâches.
Une heure avant la cérémonie, tout le monde se prépara, les uns se pressants dans la salle de bains, les autres demandant sans cesse « et ça va comme ça ? Tu es sûr ? ». Enfin, quand tout le monde fût prêt, ils se dirigèrent vers le jardin, magnifiquement décoré et éclairé par le soleil couchant. Tout le monde prit place, puis Ginny et Gabrielle, toutes deux habillées d’une robe couleur argent qui leur allait parfaitement, s’avancèrent jusqu’à l’autel . Soudain, Harry se rendit compte que Ron bavait sur son épaule ; Il avait la bouche ouverte, les yeux rivés sur Fleur, qui arrivait dans une magnifique robe couleur blanc-argent, sa merveilleuse chevelure relevée. Elle avançait lentement, au rythme de la musique, tous les yeux rivés sur elle – tous, sauf ceux de Harry qui restaient résolument fixés sur Ginny, ne pensant a rien d’autre. La cérémonie commença, et l’esprit de Harry commença à vagabonder, loin, très loin de la cérémonie . Car, il y a peu de temps en arrière, ce n’était pas pour un mariage que tous le monde s’étaient rassemblés mais pour un enterrement. Harry sentit quelque chose tirer sur son pantalon. Il baissa les yeux, revenant à la réalité, et découvrit Dobby –habillé de son gilet sans manche jaune, de son nœud papillon vert, avec des chaussettes –qu’il avait dû faire lui-même- et un des chapeaux qu’Hermione avait l’habitude de laisser traîner dans la salle commune des Gryffondor, en cinquième année. Mais Dobby n’était pas seul : à son bras se tenait une Winky pas très rassuré, méfiante, mais qui semblait heureuse d’être dehors.
- Dobby ! Mais qu’est-ce que tu fais là ? demanda Harry tout bas.
- Monsieur, comme Dobby est heureux de vous voir ! Mr Weasley, le grand ami de Harry Potter a invité Dobby et Winky à venir !
Puis il ajouta encore plus bas :
- Winky va mieux, monsieur, la mort de Mr Dumbledore lui a fait un tel choc ! Elle ne boit plus, monsieur !
Harry réussit à faire un maigre sourire à Dobby : la mort de Dumbledore était encore si proche ! Pourtant c’était Dobby qui avait raison : lui était encore en vie, il devait en profiter, et quelle meilleure occasion qu’un mariage pour cela ?
Ginny continua à ignorer Harry toute la soirée. Ron avait l’air de ne pas comprendre ce qu’il se passait, et Hermione se sentait coupable de l’accrochage qu’avaient eu Harry et Ginny dans l’après-midi. Finalement, la soirée ne fût pas très agréable pour tous les trois. Alors qu’ils étaient installés près de la maison, sur un petit banc, à l’écart du banquet, un crac sonore retentit à leurs oreilles et deux personnes apparurent.
C’était le professeur McGonagall et Hagrid.
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Dark Nerwan
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MessageSujet: Re: Harry Potter et le Masque de l'Ombre   Harry Potter et le Masque de l'Ombre EmptySam 7 Avr - 14:26

- Harry ! s’exclama Hagrid, le visage fatigué. Tu vas bien ?
- Oui, ça va Hagrid, merci.
- Et vous, Ron, Hermione ?
- Ca va aussi, répondit Hermione.
Harry se tourna vers le professeur McGonagall , qui semblait plus vieille, plus fragile, plus fatiguée que jamais.
- Professeur…
- Pas ce soir, Potter, le coupa-t-elle, nous sommes seulement venu féliciter les jeunes mariés.
- Mais…
- Pas ce soir, j’ai dis.
Et elle s’éloigna vers la table des convives. Hagrid resta avec Harry, Ron et Hermione une bonne partie de la soirée, puis quand il partit, ils montèrent se coucher en grognant contre les escaliers trop raides …

Le lendemain matin, Harry fut réveiller par la douce et mélodieuse voix de Mme Weasley :
« RON !!! TU A VU L’HEURE QU’IL EST ???? LEVEZ-VOUS TOUS LES DEUX ET TOUI DE SUITE !
- Ah ! Je crois qu’il faut se lever vieux, lui dit Ron avec perspicacité.
- Oui j’en ait bien l’impression », lui répondit Harry, un sourire au lèvres.
Il tâtonna sur la table de nuit à la recherche de ses lunettes et une fois mise, il se leva en prenant bien soin de mettre sa baguette magique- qui ne le quittait plus, désormais- dans sa poche.
Ron, quand à lui, était en train de finir de s’habiller et Harry remarqua un minuscule tas de « cadeaux » au pied de son lit.
Il ne s’y trouvait seulement qu’une lettre d’Hagrid accompagnée de quelques gâteaux plus durs encore que la pierre. Et avec ceci, l’habituel pull-over fait-main par Mme Weasley.
Voyant si peu de cadeaux, Harry eu la sensation qu’on lui mettait un coup de poing au ventre mais resta impassible devant le regard de Ron.
En arrivant dans la cuisine , Harry vit tout de suite une chevelure rousse flamboyante qui regardait obstinément son bol de céréales et alla s’asseoir le plus loin possible d’elle, évitant de croiser son regard pendant toute la durée du petit-déjeuner.
Au moment où Harry allait remonter dans la chambre pour continuer sa lecture sur un livre de magie défensive de haut niveau, Ron vint lui parler :
« Tu vient faire une partie de Quidditch avec nous dans le potager ? Fred et George vienne d’arriver comme sa, cela fera un batteur dans chaque équipe.
- Oui j’arrive dans un instant, lui dit Harry. Je monte chercher mon éclair de feu et j’arrive tout de suite. »
Harry monta les marches quatre a quatre et, en passant à tout vitesse devant la chambre de Ginny, la vit assise sur son lit la tête dans les mains, des larmes coulant sur ses draps.
Harry se dit que c’était peut être le temps de lui parler et commença à rentrer dans la chambre, mais, à ce moment là, Ginny releva la tête et lui lança un regard flamboyant de haine. Devant ce regard, Harry battit en retraite dans la chambre qu’il partageait avec Ron.
Il redescendit quelques instants plus tard, son éclair de feu sous le bras. En arrivant dans le potager, il vit Ginny, le visage à nouveau impassible et qui faisait comme s’il n’était pas là.
« Bah dit donc ! Tu en a mit du temps, lui fit remarquer Ron.
- Euh … Oui … J’ai eu un petit empêchement, dit-il l’air un peu gêner.
- Quoi qu’il en soit, reprit Ron comme s’il n’avais pas entendu Harry, nous avons constitué les équipes en ton absence.
La première équipe sera formée de Hermione, Fred et moi et la deuxième de George Ginny et toi …


A la fin de la journée, c’est un groupe de jeunes adolescents extenués qui se mit en marche pour aller prendre un bon bain chaud au Terrier.
Mais, pour Harry, cet après-midi n’avait pas vraiment été joyeux. D’abord, il n’y avait plus penser depuis le mariage, mais, pour son anniversaire, personne ne lui avait souhaité où offert un cadeau à part un pull de Mme Weasley et de malheureux gâteaux totalement immangeable d’Hagrid. Il éprouvait beaucoup de rancœur à ce sujet mais s’était juré de ne pas laisser voir son mécontentement pour ne pas ressembler à son cousin Dudley qui était malheureux lorsqu’il n’avait seulement que quarante neuf cadeaux où lieu de cinquante.
Mais, le pire de tout, c’était Ginny. Pendant tout le temps que dura le match, elle ne lui avait même pas adresser ni la parole, ni un seul regard. Et, à l’inverse, lui avait fait des coups bas durant la partie et Harry l’avait pris encore plus mal que si Ron ou Hermione lui avait jeter un sort.
Sans s’en rendre compte, il était déjà arriver devant la porte d’entrée du Terrier. Voyant cela, Ron se précipita vers lui :
« Euh … Non Harry ! Maman vient de … euh … laver le sol ! » bredouilla t-il.
Harry le regarda avec suspicion mais le suivit quand même avec un haussement d’épaules.
Harry sorti de la douche frais et les idées un peu plus claire que précédemment et, pendant que Ron prenait la sienne, il sortit de la cire spéciale baguette et commença à nettoyer cette même baguette que celle que possédait Lord Voldemort.
Pensant ce travail répétitif, ses pensées dérivèrent une fois de plus vers Ginny et il senti la colère monter en lui en repensant à cet partie de Quidditch et comment elle l’avait humilier en le faisait tomber de balais.
A ce moment là, il eut un grand sentiment de haine mêlé de tristesse et, soudain, des flammes jaillirent de sa baguette magique ! Elles allèrent mettre le feu aux rideaux et Harry se leva du lit précipitamment :
« Aguamenti ! lança t-il en pointant sa baguette sur les rideaux, encore surpris par cet évènement. Ron sorti en courant de la douche et cria :
- Au feu ! au feu !! »
La porte s’ouvrit précipitamment sur Hermione, baguette magique à la main, qui demanda :
« Où un feu ??
- C’est bon, lui dit Harry, je l’ai éteint.
- Mais, c’est arriver comment ? demanda Hermione en regardant Harry avec des yeux où l’interrogation y était nettement visible.
- Euh … je n’en sais rien … j’était en train de nettoyer lorsque des flammes en sont sorties !
- Hum …, quoi qu’il en soit, il faut descendre, Mme Weasley nous appelle. Et, euh … Ron, euh … tu pourrais peut être aller t’habiller ? … lui proposa Hermione »
- Quoi ??? » l’intéresser pris une teinte rouge pivoine et courut se réfugié dans la salle de bain. Hermione et Harry sortirent en se lançant des regards mi-amusés, mi-gênés et commencèrent à descendre pour aller voir ce que voulait Mme Weasley.
Arrivé sur le palier, Hermione se décala d’un pas pour le laisser voir la scène :
« JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!!! » Presque tous les membres de l’Ordre se trouvait dans la pièce et jetaient des étincelles de couleurs avec leurs baguettes magiques. La pièce était magnifiquement décorée. Des banderoles était accrochée un peu partout et des fées jetaient des poignées de poudre de lumière.
Harry, voyant cela, sans voulu d’avoir douté de ses amis mais fût extrêmement content qu’ils aient pensé à lui.
- Désolé Harry, mais avec tous les préparatifs du mariage, on sais dit qu’il serait mieux de fêter ton anniversaire un peu plus tard », lui dit Ron, l’air inquiet de la réaction qu’aurait Harry.
Le visage de celui-ci s’éclaira d’un grand sourire et il s’empressa d’aller faire la bise à tous les invités.
Une fois cela fait il l’amenèrent devant une montagne de cadeaux. Harry voyant cette immense tas les regarda tous avec de grand yeux étonnés.
« Bah ouais mon gars ! lui dit Maugrey Foleil, c’est pas tous les jours qu’on ait majeur ! »
Tous les autres éclatèrent de rire devant cette remarque et Harry s’empressa d’aller ouvrir ses cadeaux.
Il déchira le papier de son premier cadeaux et y découvrit un vieux grimoire en cuir noir relié où, sur la couverture, était gravé en lettre d’or « La Magie Elémentaire ». Harry n’eut même pas le temps de l’ouvrir que Hermione se jeta dessus et l’emporta avec elle sur un fauteuil où elle commença sa lecture en prenant des notes de temps en temps sur un petit calepin noir.
Mais, accompagné à ce livre, Harry en trouva un autre, plus petit, à la couverture entièrement noir dans l’emballage.
Il lança un regard interrogatif à Maugrey qui lui souffla à l’oreille :
« C’est un livre remplit de sorts sur la magie noire mon ptit gars, j’espère que tu n’aura pas à t’en servir mais il vaut mieux ne pas être ignorant. »
Après cela, Harry déballa tous les autres cadeaux. Il eut beaucoup de livres de sortilèges de défenses ou d’attaques et même certains artifices des jumeaux. Tous ces cadeaux l’emplirent de joie et il pensa qu’ils lui seraient très utile lorsqu’ils vaudraient s’entraîner.
Soudain au beau milieu de la pièce, apparût un oiseau enflammé d’une rare beauté. Harry reconnut tout de suite Fumseck, le phœnix de Dumbledore et il se précipita vers lui. Mais, au moment où il allait le toucher, il disparut dans une gerbe de flamme, laissant derrière lui un rouleau de parchemin où une écriture fine et penchée y avait marquée : « Pour Harry Potter ».
Harry prit le parchemin et le rangea dans sa poche. Tout le monde le regarda avec intérêt mais ils semblèrent comprendre son choix de lire la lettre tout seul. L’incident fut clos et plus personne n’en parla de la soirée.
Pour Harry, cette fête fut inoubliable. Durant toute la soirée, l’ambiance fût chaleureuse et conviviale et tout le monde oublia durant un instant les tracas du quotidien et la menace de Lord Voldemort.
C’est aux environ de deux heures du matin, que Mme Weasley leur dit d’aller tous se coucher car il était déjà très tard.
Alors, tous les invités partirent en remerciant Mme Weasley pour cette très réussite soirée.
Mais un problème s’imposa. Ron avait quelque peu abusé sur la bierreaubeure et ne voulait pas se réveiller et monter les marches jusqu’au grenier. Alors, exaspérée, Mme Weasley régla le problème :
« Mobiliscorpus ! » fit-elle en pointant sa baguette magique sur le corps de Ron qui se s’éleva délicatement dans les airs.
Harry suivit Mme Weasley qui faisait avancer Ron grâce à sa baguette. Arrivée au grenier, elle le déposa doucement sur son lit et, un sourire quelque peu machiavélique au lèvres, s’écria :
« Aguamenti ! Un puissant jet d’eau alla arroser le visage de Ron qui se réveilla en sursaut :
-Hein ?!? quoi ?? A l’eau !! Chui où ?? »
-Cela t’apprendra jeune homme à ne pas abuser sur la boisson ! Et elle parti un sourire goguenard aux lèvres.
Harry éclata de rire devant la mine ahurie de son ami qui se rallongea dans son lit, encore sonné …



voila voila pour le chapitre 3 !! pour tout commentaire ou réclamation allez dans le topic commentaire Wink
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MessageSujet: Re: Harry Potter et le Masque de l'Ombre   Harry Potter et le Masque de l'Ombre EmptyDim 13 Mai - 12:49

bon et bien voila le debut du chapitre 4 !
bonne lecture !!

Chapitre 4 ==> La Magie Continue


Harry se réveilla tôt le lendemain matin, le visage éclairé par un rayon de soleil. Il en profita que personne n’était encore levé pour descendre s’installer sur le perron, une tasse de thé fumante dans les mains.
Il avait pris soin d’emporter avec lui son livre sur la magie du feu- qu’il avait d’ailleurs eu du mal d’arracher au mains d’Hermione- et commença à le lire en prenant des notes.
Il fut tout de suite attiré par un sort qui créait un bouclier de feu autour des personnes qui le lançaient simultanément et les protégeaient de toutes attaques magiques et physiques. Harry pensa que ce sort leur serait bien utile contre les inferis s’ils pouvaient le maîtriser.
Il fut interrompu dans ses réflexions par Ginny qui descendait les escaliers.
Quand leur regard se croisèrent, celle-ci détourna vite le sien et remonta aussitôt les marches pour retourner dans sa chambre.
En voyant Ginny effectuer ce mouvement, il s’avança d’un pas et dit précipitamment :
« Ginny ! Attends ! Il faut qu’on parle ! » Elle s’arrêta au milieu des escaliers et lui lança avec hargne :
« Ah ! Parce que maintenant ce n’est plus dangereux de m’adresser la parole peut-être ? » voyant que Harry allait lui répondre elle poursuivit :
« Et bah ce n’est pas que quand toi tu veux, vois-tu ! Tu a fais ton choix à l’enterrement de Dumbledore, alors respecte au moins ce que TOI tu dis ! » finit-elle, des larmes coulant sur son visage.
Elle finit de monter les quelques marches qui restaient en courant et Harry entendit la porte de sa chambre claquer, encore sous le choc.
Il sortit s’asseoir sous un arbre dans le verger et resta là à réfléchir durant de longues minutes.
Il réfléchit à Ginny, à lui, à ce qui lui était passer par la tête le jour où il avait décidé de rompre avec elle « pour son bien ». En y réfléchissant bien, il trouvait cette décision tout à fait ridicule.
De toute les façons, Rogue -il eut un élan de fureur en pensant à lui- avait sûrement déjà dut prévenir le Lord Noir de sa liaison avec elle alors il ne servait à rien d’y mettre fin.
Son comportement lui avait parut être le plus censé à adopter mais, maintenant, il s’en voulait d’avoir réagit aussi impulsivement.
Il lança un regard à l’horizon et regarda cette boule enflammée qu’était le soleil prendre son envol et étendre ses fins rayons lumineux sur le monde et fut émerveillé par ce spectacle.
Mais deux tâches noire qui grossissaient au fur et a mesure venait occulter ce spectacle.
Harry les regarda, intrigué, et quand elles furent assez proches, il distingua deux silhouettes d’hiboux Grand Duc, tenant chacune une lettre dans leurs serres recourbées.
Harry se dépêcha de rentrer et de leur ouvrir la fenêtre de la cuisine pour qu’elle puisse rentrer sans encombre.
Les hiboux rentrèrent à toute vitesse et se posèrent sur la table. Le premier s’y déposa délicatement, avec grâce, mais l’autre glissa sur un journal qui traînait et partit en dérapage sur tout le long de la table.
Au passage, il percuta la tasse d’Harry qui, elle, finit dans le mur d’en face avec fracas. Le hibou réussit à s’arrêter pile au bord de la table et revint vers son compagnon, l’air penaud.
Soudain, Mme Weasley suivit de Ron Ginny et Hermione descendirent les escaliers en courant en demandant ce qui se passait et quel était ce bruit qui les avaient réveillés en sursaut.
Harry leur répondit :
« Il y a deux hiboux qui viennent d’arriver au nom de Ron et du mien. »
Ils prirent les lettres des pattes que leurs pendaient les animaux et déplièrent leur lettre.
Harry commença à lire la lettre d’aspect officiel qui disait :




Mr Harry James Potter,
Examen de transplanage




Cher Mr Potter, j’ai l’honneur de vous informez que, compte tenu de votre récente majorité, vous êtes attendu au ministère de la magie pour passer l’examen de transplanage qui aura lieu le Jeudi 21 Juillet.






Comptant sur votre présence,
Mr Frankil Duprès,
directeur du service de transplanage




Harry regarda Ron qui venait de finir de lire sa lettre, et qui lui lança un regard emplis d’appréhension au souvenir de son dernier essai pour avoir son permis …

laissez nous des coms pour faire part de vos impressions dans le topic commentaires !!
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