Harry Potter et le médaillon de R.A.B

HARRY POTTER ET LE MEDAILLON DE R.A.B


Introduction :
Harry Potter est un bon sorcier, et Voldemort le plus méchant sorcier de tous les temps, essaie sans cesse de le tuer. Pour s’en débarrasser, Harry doit détruire son âme complète qui est divisé en sept morceaux. Ces six morceaux sont dans six objets historiques que devra trouver Harry. Le septième se trouve dans le corps de Voldemort, et un combat final entre les deux sorciers sera la solution du problème du monde entier.






Depuis qu’ils ont compris à quel point la présence de la proie de Voldemort était fâcheuse
Sous leur toit, les Dursley évitaient Harry comme s’il avait la fièvre jaune mais n’osaient plus l’enfermer. Heureux de sa nouvelle liberté, Harry se consacrait plus que jamais à ses livres de sorcellerie qui ne se trouvaient plus dans le placard sous l’escalier. En effet, les Durseley ne tenaient pas du tout à ce que Harry les transforme en monstres gluants le jour de sa majorité.

-Turbuva ! S’exclama Harry.

Il put alors voir à travers la porte, la tante Pétunia suivie de deux jeunes adultes de l’âge de Harry qui se dirigeaient vers lui,euh pardon !, plutôt vers sa chambre.

- Mon garçon, prépare ta valise ! Tes amis viennent te chercher ! Lança Pétunia d’un ton sec.

Elle était vraiment ravie de se débarrasser de lui et ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. Harry esquissa un sourire à la vue de Ronald Weasley et Hermione Granger, et son sourire devint plus éclatant à la pensée de quitter les Dursley pour toujours.

- Bonjour Harry ! Dit Hermione, un peu gênée. C’est très joli chez toi !

Le « chez toi » ne semblait pas beaucoup plaire à Pétunia qui fronça les sourcils.

- Salut mon vieux ! S’écria Ron, très à l’aise. Alors ça va comme tu veux ? Beau temps, n’est-ce pas ?

Pétunia prit une expression choquée au langage et au ton un peu particulier qu’avait utilisé Ron.

On aurait pu croire que notre groupe d’amis aurait le moral le plus bas qui puisse exister après tout ce qu’ils ont vécu, mais à force de se lamenter de leurs malheurs, de se les répéter des millions de fois, ils ont fini par se fatiguer de ces lourds émotions, et gardent un caractère léger et joyeux, beaucoup moins lourd à porter. Ouf !
Mais la menace de Voldemort plane toujours sur eux… La tristesse ne va-t-elle pas triompher sur la joie ?

Harry jeta tout pêle-mêle dans sa valise, rangea sa chambre avec un geste nonchalant de la main, et sortit. Quand les trois jeunes gens se retrouvèrent dehors, des questions fusèrent de tous les côtés au même moment :
- A quand le mariage de Bill ? Questionna Harry.
- Quand pars-tu pour les horcruxes ? Demanda Hermione.
- Est-ce qu’on rentre à la maison ? S’informa Ron.
- Qui a posé la première question ? Demanda Hermione.
- MOI ! Hurlèrent les deux garçons.

- Taisez-vous ! J’ai entendu un bruit ! Sortez vos baguettes magiques ! Rugit une voix derrière eux.
Une vieille femme, entouré de deux chats et parée d’une robe rappelant celle que Ron avait porté au bal de noël et de ses inséparables pantoufles, était entrée à l’improviste dans leur groupe. Harry sortit sa baguette et inspecta les alentours en quête de personne indésirable.
Ron poussa un cri de surprise et pointa prestement sa baguette vers elle en même temps qu’Hermione.

-Pas moi, idiots ! Ma parole Harry, je pensais que tu choisissais des amis intelligents à Poudlard ! Et Boursiflore qui n’est pas encore là ! Aidez-moi à le chercher !

Etonnés que Harry connaisse cette étrange dame, ses amis lui jetèrent un regard interrogateur.

- Je vous présente Madame Figgs. Déclara Harry. Madame Figgs, voici mes amis Hermione et Ron.
- Quels sont vos noms ? S’enquit Mme Figgs.
- Ca ne vous regarde pas ! Répliqua sèchement Hermione, apparemment frustrée d’avoir été traitée d’idiote.
- Tout doux, Hermione ! Ordonna Figgs.

Tout compte fait, c’était encore plus insuportable d’être appelé Hermione(prénom que seuls prononçaient ses amis) que d’être appelé Granger( nom articulé par ses ennemis).

- Appeler moi Granger ! Vous n’êtes pas assez sympathique pour m’appeler Hermione ! Ou mieux, ne me parlez pas du tout ! Je ne resterais pas une minute de plus avec une femme insultante ! Mes amis, retrouvez-moi au Terrier !

Et Hermione transplana. Ron hésita, puis se résigna
à suivre Harry et la dame qui partaient en direction du bois…
- Où allons-nous ? Questionna Harry.
- Par là. Suivez-moi ! Et pourriez-vous marcher devant moi ? Avec vos baguettes magiques, vous seriez plus à l’aise pour viser.
- Bien sûr ! Répondit Ron à contrecœur.

Et il se plaça à l’avant, talonné de près par Harry.
Tout à coup un éclair surgit vers Ron, et Harry eut juste le temps de bousculer celui-ci.
Des éclairs fusèrent de tous les côtés et Madame Figgs s’était transformée en…Alphard Les trange !

- C’EST UN PIEGE ! Rugit Harry. Transplanons !

Les deux amis disparurent. Lestrange ne décolérait pas :

- Imbéciles ! Vous ne saviez pas viser ! Bande d’incapables ! Il suffisait d’assommer Le grand dadais et d’enlever Potter ! Gredins, bandits ! Bons à rien ! Sacs à puces ! Cervelles de moineaux ! Pirates ! Nigauds ! Filous ! Animaux !...
- Ferme la, Lestrange ! Je te rappelle qu’avec Potter devant Weasley, c’était difficile ! Cria l’un des mangemorts.
- Tu lui diras « ferme la » quand le seigneur des Ténèbres te demandera où est le mioche ? Riposta Lestrange.

Tous se turent, effrayés à la perspective d’un Voldemort en colère.


Ron sonna brusquement chez lui, et comme la porte s’attarda à s’ouvrir, il lui donna de bons coups de pied. La porte s’ouvrit à la volée et Ron se vit changé en lapin.
Pattenrond, le chat de Hermione, bondit à sa poursuite. Ron se précipita dans le salon, sous le regard ahuri de la famille Weasley qui se demandait ce que faisait un quadrupède blanc dans leur maison. Madame Weasley, en voyant Harry, compris tout, et courut à la poursuite de son fils (ou de son lapin).

- Miam ! S’exclama Fred. Un lapin pour ce soir ! Quelle bonne idée ! Attrapons-le George, il va s’échapper !
- NON ! Hurla madame Weasley. Ne touchez pas à Ron !
- RON ? IMPOSSIBLE !
- Stupéfix ! S’écria Harry.

Le chat s’immobilisa, et le lapin sauta dans les bras de Hermione, encore tremblant de terreur.

- Origarni ! Dit monsieur Weasley.

Ron apparut soudain sur les bras de Hermione qui succomba sous son poids.
Harry releva Ron, et Hermione put se remettre debout.

- Bah dis donc ! S’exclama Ron qui s’évanouit aussitôt, le visage pâle.
- Oh mon pauvre chéri ! Gémit sa mère. On avait tellement fait de bruit à l’entrée, que j’ai immédiatement lancé ce sort croyant que c’était les mangemorts qui frappaient. Quand je pense que j’ai failli tuer mon fils !

Elle pleura à cette sombre pensée. Pendant qu’elle se lamentait, Hermione ne resta pas inactive. Elle soigna les tempes de Ron et l’installa sur le canapé . Harry prit des oreillers et les posa sous la tête de Ron. Ginny alla préparer un réconfortant, Les jumeaux cherchèrent des friandises, Monsieur Weasley un journal, et tous s’installèrent dans les fauteuils près du canapé.

- Tout d’abord, j’aimerai savoir ce que vous faisiez quand je suis partie ! Ordonna Hermione.
- Eh bien, nous allons au bois, dans lequel parait-t-il, il y avait quelque chose de suspect. Informa Harry d’un ton amer. Ensuite Madame Figgs s’était transformé en un mangemort d’Azkaban, et des sorts sont partis dans tous les sens : des complices étaient cachés dans plusieurs endroits. Ron et moi avons transplané immédiatement, et lui était tellement terrorisé qu’il a presque défoncé la porte. Vous savez la suite.
- Non, nous ne savons pas la suite. Annonça Ron, qui avait repris connaissance. Mais nous devons nous y préparer.

Un silence régna dans la salle. La porte de l’avenir semblait soudain s’ouvrir, et un chemin rocailleux, peu accueillant apparut alors à la vue de tous.

C’est dans une ambiance quelque peu tendue,
que nos personnages discutèrent du….

- Je pense que notre mariage doit être fait assez discrètement en vue des circonstances ! Personne n’est au courant en dehors de quelques amis intimes, alors autant en profiter ! Pourquoi inviter des tas de gens du ministère ? Laissez de côté vos affaires personnelles !S’indigna Bill.

- Ce ne sont pas des affaires personnelles ! Tempêta madame Weasley. Il s’agit de notre sécurité à tous !
- Bon..Bonjour Bill ! Bonjour madame ! Bredouilla un garçon au visage lunaire.

A voir l’expression de son visage, son plus cher désir était sans doute de se confondre avec les murs. Quand on est invité chez quelqu’un, et d’interrompre par mégarde une conversation un peu vif, on ne se sent jamais bien à l’aise.

- Oh, bonjour Neville ! Comme tu vois, on s’occupait du mariage de Fleur et de Bill ! Je vais te demander de dire à Harry, Ron, et Hermione que le déjeuner est prêt !

Trop heureux d’avoir cette excuse, Neville s’empressa de quitter la pièce. Il trouva la chambre de Ron avec beaucoup de peine, et ouvrit la porte :
Harry sauta de son lit, et Ron sursauta violemment. Hermione courut à lui pour l’étreigner dans ses bras.
- Salut Neville ! C’est vraiment formidable que tu sois ici !
- Oui, quasiment merveilleux ! S’exclama Harry en poussant Hermione pour serrer la main de Neville.
- On t’attendait tous avec impatience ! Maintenant, il nous reste que quelques filles de notre connaissance à recevoir…
- Et Lav-lav sera invitée, j’espère ? Demanda Hermione avec un petit rire moqueur.
- Non, mais il y aura Maclaggen, qui viendra de Hong-Kong exprès pour toi ! Répliqua Ron de la même façon qu’Hermione.
- Arrêtez tous les deux ! S’exaspéra Harry. Pour ton information Neville, Au mariage, seules Luna Lovegood et Susane Bones seront présentes avec des amis des parents de Ron(en réalité l’ordre du phénix) et nous !

- Hello ! What are you doing ?(que faites-vous?) Demanda une voix malicieuse. Prenez garde, la dévoreuse des assiettes est là, et la part d’aucune personne ne sera épargnée!

- Tu n’oseras quand même pas faire ça ! S’exclama Ron, terrorisé.

- Alors dépêche toi d’aller manger ! Répondit Ginny,toujours aussi impitoyable. J’ai une faim de loup !

Les amis sortirent rapidement de la pièce, à part Harry qui resta sur son lit, en pleine méditation. Ginny s’avança vers lui, et dit :

- Mon pauvre ami ! Si tu continue à dédaigner les repas qu’on te propose, tu ressembleras bientôt à un poteau électrique !
- C’est ton père qui sera content alors ! Répondit Harry en riant. A propos d’invention de moldu, tu devrais t’y intéresser toi aussi ! C’est très utile !
- Non, j’ai un autre centre d’intérêt.
- Qu’est-ce donc ?
- Lancez des sorts de chauves-furies à quiconque refuse d’entrer dans la cuisine !
- Me voilà terrifié ! Dit Harry d’un ton narquois.
Et Harry sortit de la pièce devant Ginny qui pointait sa baguette d’un air menaçant sur lui.
Quand ils s’approchèrent de la cuisine, Harry fit volte-face,et en agitant sa baguette, celle de Ginny entra en sa possession.
- Les demoiselles d’abord ! Dit Harry, en agitant sa baguette et s’inclinant d’une façon exagérée.
Ginny et Harry entrèrent et commencèrent à dévorer avec un appétit vorace, tout ce qui était dans leur assiette. Le repas se fit le plus agréablement du monde, où Monsieur Weasley parlait de ses découverts en objets maléfiques, où Fleur parlait encore des décorations et où Harry rêvait et méditait toujours…Mais à quoi pense-t-il Dans cette histoire,mes amis sont très amis entre eux,et Harry et Ginny ne sont pas ensemble, ni Ron et Hermione. Peut-être le seront-ils,peut-être pas, j’improvise au fur et à mesure, et je ne suis pas du tout pressé de faire des couples

Après ce copieux déjeuner, nos convives sortirent de table, pour s’occuper de leur occupation personnel. Dans la chambre du petit Ronnie comme l’appelait madame Weasley depuis qu’il a été nommé préfet en chef, les questions et les sorts fusaient dans tous les sens :
Luna, Harry, Neville et Susan se lançaient des sorts(entraînement) pendant que le deuxième groupe s’exerçait intellectuellement. Hermione avait conseillé à Ron de faire des études de moldu, et lui posait des questions sur ce qu’il a appris :

- Quel est l’unité de l’intensité dans un circuit électrique ?
- Compliqué ton truc ! T’as pas une question plus simple ? Ah oui, je m’en rappelle, c’est le volt ! Et le symbole est V ! Répondit Ron, en prenant un air fier. Facile !
- Non ! S’exclama Hermione avec impatience. Je te l’ai répété plus de cent fois ! C’est l’Ampère ! Le symbole est A ! Ne mélange pas l’unité d’intensité, avec l’unité de tension !
- Bon on reprend, dit Hermione. Avec quoi mesure-t-on l’intensité ?
- Avec un voltmètre ? Demanda timidement Ron. Euh, non, avec un ampèremètre ajouta-t-il brusquement. C’est ça ?
- Oui, c’est bien ça ! Soupira Hermione,soulagée.
- Ce n’est pas pour vous embêter, mais Gabriel, la sœur de Fleur,veut nous rejoindre ! Dit Harry,d’un air exaspéré. On est serré ici ! Neville,Susan, Luna ! Allons dans le jardin, on y sera plus à l’aise…
- Harry ! Coupa Hermione. Tu veux que je te pose des questions et Ron va s’excercer avec les autres ?
- D’accord,comme tu veux ! Dit Harry, en voyant Ron lui faire de grands signes derrière Hermione.
Ron poussa un soupir de soulagement et se hâta de rejoindre les autres. Harry, les yeux fermés, prêt se sacrifier pour son ami, commença son supplice :
- Passons dans une autre matière, les mathématiques ! Veux-tu me réciter la propriété d
- Si on représente graphiquement une situation de proportionnalité, les chiffres alignés sont marqués avec l’origine du repère.
- Non, tu as inversé ! On dit les chiffres marqués sont alignés avec l’origine du repère,et non pas l’inverse !
- Pitié ! Implora Harry. Laisse-moi partir !
- Non, il n’en est pas question ! Tu ne sortiras que lorsque tu sauras les vingt propriétés du chapitre du livre !
- Mais il faut s’entrainer contre Voldemort ! A quoi ça me sert d’apprendre ça ?
- Certaines choses insignifiantes pour toi, peuvent être nécessaires dans bien des situations…

- Je ne saisis pas ce que tu veux dire…
- Il y a des moyens de communications que ne peuvent comprendre les sorciers ! Le langage mathématique par exemple ! Voldemort, je parie, ne sais même pas se servir d’un téléphone ! Imagine ! On peut devenir invicible si personne d’autre chez les sorciers que nous, connaissaient les trucs moldus !
- Mais Voldemort était un élève brillant, et peut-être que…
- Il n’y a pas de peut-être ! Puisque qu’il haïssait les moldus, il serait honteux pour lui, surtout un descendant de Salazar Serpentard ,de faire des études de moldus ! C’est par ce qu’il ne connaît pas qu’on peut le détruire ! Pourquoi Dumbledore pense qu’on peut le détruire par l’amour ? Tout simplement parce qu’il ne la connaît pas ! Tu ne dois rien laisser au hasard Harry !
- Euh, oui…Dit Harry, submergé, par ce flot de paroles. Euh, je crois que c’est au tour de…

J'ai oublié un point d'interrrogation et un "n" dans invincible, mis des virgules là où il ne devrait pas y avoir, vrai, je suis d'une nullité exeptionnel!

Pardonnez moi, chers lecteurs!

Et pour comble de malheur, j'ai mis un r de trop dans interrogation! Bouhouhou! Bon, promis, je recommence plus! Je ne ferai plus de fautes d'orthographes!

Un phénix venait d'apparaître sur la table. Harry se demanda si il n'avait pas bu un verre de whisky, mais non, c'était du jus de raison, donc, il était bien réel...

- FumsecK? dit timidement Hermione.

L'oiseau lui lança un regard interrogateur, et sous les regards ahuris de tous, la créature atterrit sur l'épaule de Harry, et lui donna un coup de bec amical. Harry le caressa et lui demanda doucement:

-D'où viens-tu?

Tout à coup, on entendit des grands coups à la porte. Les genous vacillants sous son émotion, monsieur Weasley ouvrit, et une licorne apparut. Et ce n'est pas tout! Un
perroquet entra dans la pièce en hurlant:

- Où est Harry Potter?
- Ici! S'exclama Harry, en se demandant ce qu'on lui voulait, et ce que ces créatures étranges faisaient chez les weasley.

Le perroquet poussa le phénix qui hulula d'une façon indignée pour se poser sur le dos de la chaise vide de monsieur Weasley.

- Ce que j'ai à dire ne doit parvenir qu'aux oreilles de Harry Potter! Vous M'ENTENDEZ? SEULEMENT AUX OREILLES DE HARRY POTTER!
- Hé la! Il ne faut quand même pas me les abîmer mes oreilles, si tu veux que je t'entende! Grommela Harry. Je vais dans la chambre de Ron, et ses animaux...
- Comment la licorne peut-elle monter? Interrogea Ron. Il vaut mieux que tu ailles dans le jardin, personne ne pourra vous entendre!

Une fois dans le jardin, le perroquet lui dit:
- Tu auras besoin de nous pour détruire ces horcruxes. Nous pouvons t'aider à les trouver! On ira à Poudlard avec toi et ....
- Je vais directement à la recherche des horcruxes et après j'irai combattre Voldemort .
- Et tu crois, grand nigaud, qu'un élève même pas diplomé peut lancer ne serait-ce qu'un Wingardium leviosa à Voldemort?
- Je ne vais tout de même pas lui présenter les papiers de mon diplôme! Ironisa Harry.
- Quelle nouille! Dit l'oiseau en hochant la tête. Il faut que tu deviennes un sorcier expérimenté! Voldemort, pour devenir ce qu'il est, a été un élève brillant dans toutes les matières! Toi, tu es déjà un élève moyen, alors si encore tu arrête tes études, où va-t-on?

La licorne martela le sol avec impatience.

- Attend, Dalila, tu vois bien que Potter est têtu comme une mule! Dit le perroquet.
- Et toi, comme tu t'appelle, Bavard? Demanda brusquement Harry.
- Appelle moi, Bavard, puisque tu y tiens tellement! Répond le perroquet. Ca m'est égal!
- Non, je t'appelerai tête de mule, ça te conviendrait comme un gant!

- Et toi, Blanc bec! Dit le perroquet. Marin d'eau douce!
- Celui là, il a du sang de pirate dans les veines! Maugréa Harry.
- Qu'est-ce que tu dis? Allons, assez perdu de temps, rentre, et on te reverra à Poudlard! On t'avais prévenu pour que tu n'ais pas les yeux d'une soucoupe volante en nous voyant! Et je veux que tu ailles à Poudlard, compris?
- Je n'ai à recevoir d'ordres de personne! Rugit Harry. Encore moins d'un perroquet!
Le phénix se posa devant Harry, et lui lança un regard triste et suppliant. La licorne fit de même.
- Bon d'accord, mais à une seule condition! Dit Harry.
- Laquelle, beau parleur? Demanda le perroquet.
- Que vous n'entrez pas dans le château, que vous n'empêchez pas Hermione et Ron d'aller avec nous car je leur ai tout dit, et que vous ....
- Tu as dit une seule condition! Tu es en train de faire ta troisième! Le coupa Perroquet.
- Mais mes amis....
- Bon, d'accord, tes amis! Mais rien après! Comme quoi je suis un coeur d'or!

- Un coeur de pierre, oui! Dit Harry, à part. Alors, la licorne s'appelle Dalila, et le phénix...
- C'est un sans nom! Dit le perroquet. Moi, je m'appelle Thalès! Donne un nom au phénix!
- Cela te conviendrait, euh...Milan?
Le phénix hocha la tête, en approuvant. Harry prit le phénix dans ses bras, et dit à Ron et Hermione qui arrivaient:
- Voici nos nouveaux amis qui nous accompagneront à Poudlard. Les horcruxes sont à nous!

- Enfin une bonne nouvelle S'exclama Ron. Avec tout ce qui nous arrive, je désespérais pouvoir sourire un jour!
- Au revoir dit le perroquet. A bientôt!
Les animaux disparurent. Harry sentit une joie l'envahir, et une bulle d'espoir enfler dans sa poitrine. Il ne savait pas ce que c'est, mais il sentait une force se répandre dans tout son corps, un courage tel qu'il était prêt à endurer les plus pires souffrances.
Hermione regarda Harry et sourit. Elle pouvait lire dans les pensées des gens, et voir son ami heureux alors qu'il évitait souvent les repas, s'enfermait dans sa chambre et était dans une grande tristesse insurmontable. Ron n'avait pas ses problèmes, il était du genre insouciant, et suivait son ami partout où il allait sans faire de difficultés, sauf s'il y a des araignées au bout du chemin.
- Eh bien mon vieux, t'as l'air rudement joyeux, on dirait! S'exclama gaiment Ron. Si on allait manger?
- Excellente idée! Dit Harry. J'ai une faim de loup!
- Et moi, je suis prêt à manger autant qu'un tyrannausore!
- Les garçons! Dit Hermione, mécontente. Cessez de dire des bêtises, et retournons dans la cuisine.
Ron et Harry ne se le firent pas dire deux fois, et je ne pourrai vous dire qui fut le premier à s'assoir et à se servir. Par contre, je pourrai déclarer que parmi nos convives, quatre sont fortement inquiètes:
- Je n'arrive toujours pas à me décider entre le vert et le rose! Dit Fleur. Gabriel veut avoir la robe rose, et Ginny une verte! J'avoue que c'est embarrassant...
- Je ne mettrais jamais du rose! S'indigna Ginny. Jamais je ne mettrais une telle horreur!
Ron pouffa de rire sous la table, et donnant un coup de coude à Harry, il lui dit:
- Ca ne te rappelle pas quelque chose,cette histoire de robe?
Les deux garçons disparurent sous la table,riant à s'en décrocher la machoire, en se souvenant du bal de noêl, où Ron devait mettre une robe d'une vieille femme.
- Qu'est-ce qui vous fait rire tous les deux? Demanda brusquement Ginny, offensée.
- AHAHAHA! Une robe rose! Chacun son tour on dirait! S'esclaffa bruyamment Ron. T'imaginer dans une robe rose! Tu serais pire que moi quand j'étais...
- Suffit Ron! Cria Madame Weasley, furieuse. Non, finallement Fleur, le rose n'est pas une bonne idée!
- Je ne veux pas mettre de robe verte! S'offusqua Gabriel, courroucée. Je ne veux pas ressembler à une vieille tante!

Hermione, que cette conversation semblait fatiguer, s'excusa, et se dirigea vers la chambre qu'elle occupait avec Ginny.
Ron se leva aussi,et la suivit. Harry laissa ses deux amis, et s'occupa à déguster un beau dessert.
Regardons un peu ce qui se passe dans la chambre...
- Hermione, je vais t'annoncer une grande nouvelle pour toi! Dit Ron, en cachant sa déception. Krum va arriver! Il va venir au mariage!
- Krum! S'exclama Hermione. Mais c'est merveilleux!
Ron sourit au bonheur de son amie. Il pensa que Krum était le roi des crétins, mais si Hermione l'adorait avec ses pattes de canard...
- Oui, et il va dormir dans la chambre de Fred et George. Tu descends,car il arrive bientôt! Dans cinq minutes, je crois!
- Holalala! S'affola Hermione. Il faut tout de suite que je me change,et ma coiffure est une horreur!
- Je te laisse ! Moi, je mange le dessert! Pourvu qu'il en reste!
Ron descendit prestement les escaliers, et se rua vers Harry qui allait s'offrir la dernière part.
- Tu arrive juste à temps! Dit Harry. Un peu plus, et ton gateau disparaît!
- Ouf! Dit Ron.
Il se servit copieusement, et commença à manger avec délices, tout en préparant un plan....
- Harry, tu m'excuse, mais je vais me changer moi aussi!

Krum arriva,et reçu l'accueil le plus chaleureux qu'on puisse faire.
Ron discuta aimablement avec lui, et parla Quidditch...Hermione intriguée par son attitude trop cordiale, lu dans ses pensées, et un cri d'horreur s'échappa de sa poitrine.
- Heeeeerrrmmiiioooonne! Dit Krum. Tu vas bien?
- Euh oui, euh, c'est-à-dire,que...J'ai quelque chose d'important à dire à Ron.
- Ah d'accord! Dit Krum, soulagé.(il pensa que c'était un truc important pour l'organisation du mariage.)

Une fois à l'écart, Hermione explosa:
- Tu es le gars le plus horrible, le plus dégoutant qu'on puisse rencontrer!
- Hein? Qu'est-ce que j'ai fait? Dit Ron en écarquillant les yeux.
- Tu ne l'as pas fait, mais tu te prépare à le faire! Tu es aussi malfaisant que Malfoy! J'ai lu dans tes pensées!
- Mes pensées? Mais QUI TE PERMET DE VOIR MA VIE PRIVEE? Rugit Ron. Tu n'as pas le droit de lire les pensées des gens!
- Sauf, si j'ai des raisons valables pour le faire...Ron, je ne pensais pas avoir un garçon aussi machiavélique pour ami! D'ailleurs,je me demande si tu es vraiment Ron... Tu as changé, tu n'es plus le même depuis quelques minutes...
- Très perspicace, Granger! Mais où est Potter? S'écria une voix derrière eux.
- Stupéfix!
Drago Malfoy tomba sur le sol. Harry sourit et demanda:
- Je suis là Drago!Tu voulais me demander quelque chose?
- Harry!
Hermione le serra dans une longue étreinte. Ron lui avait l'air d'avoir reçu un coup de poing d'un troll.
- Qu'est-ce que je fais là? Et qu'est-ce que ce crétin fait ici? Et Hermione! Et...
Krum arriva vers eux, et en voyant Malfoy, il ligota celui-ci et serra Hermione dans ses bras en l'embrassant sur les lèvres, avant que celle-ci put 'en empêcher.
- Krum! Dit Ron. Krum...
Quelque chose sembla refaire surface, et son visage rougit de fureur.
- Krum, voler Hermione...Krum méchant...Murmura-t-il.
Mais Krum aimer Hermione et moi aussi. Hermione aimer Krum.
Ron quitter maison.
Il transplana.
Harry qui était près de lui, avait tout entendu, et hurla:
-Non! Ron!
Un désir si puissant l'envahit de retrouver son ami, et sans le savoir, il venait d'atterrir aux côtés de Ron. Celui-ci, le visage pâle comme la mort, le releva, et dit:
- Nous seuls....Pas Hermione, pas méchant Krum. Seuls. Si toi rester avec moi, reste. Sinon pars!
Le choc empêchait à Ron de bien parler. Il bégaillait, et parlait en coupant les mots.
- Je reste avec toi, Ron! Tu es mon ami! Dit Harry. Mais nous devons rentrer au Terrier...
- NON PAS RENTRER! Le visage de Ron se fit violence. JAMAIS!
Chercher horcruxes et tuer Vol..voldemort!
Harry écarquilla les yeux, abasourdit. C'était la première fois que Ron avait prononcé le nom du mage noir.
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