Voila un nouveau chapitre, plus long que le premier (vous me direz heureusement lol) L’histoire commence peut-être vraiment ici. Bonne lecture. Et dites-moi ce que vous en pensez !
II-17 ans et libération.
Le mois passa sans grand autre incident. Harry allait toujours boire le thé chez miss Figgs avec qui il gardait un lien assez fort depuis qu’il avait appris qu’elle était une Cracmol. C’était le soir de ses 17 ans, la majorité pour les sorciers. Hedwidge et Fumesec étaient partis chercher ses cadeaux et n’allaient pas tarder à revenir. Comme chaque année il était seul à la fenêtre à contempler l’immensité du ciel étoilé au milieu du mois de Juillet. Cela lui faisait penser à l’autre, Mme Trelaney, celle qui avait eut la prophétie sur lui et Voldemort. En fait c’est à cause de ça que ses parents sont morts, qu’il endure tout ce qu’il vie depuis sa « tendre » enfance… Perdu dans ses pensées ils n’avait pas vu au loin arriver sa chouette et le phénix portant chacun 2 cadeaux. Il sursauta quand cette première se posa sur le rebord de la fenêtre.
Elle portait le cadeau de Ron. C’était un truck bizarre que venait du magasin de ses frères. Apparemment il y avait des nouveautés. La chose ressemblait à une pierre noir brillant mais qui était de matière molle, Il s’aperçut qu’en la malaxant ses pensées s’écrivaient dessus. Ainsi il était écrit « c’est quoi cette chose, je n’ai jamais vu ça ! » Hedwidge portait aussi le cadeau de Hermione. La connaissant et à vue de nez il savait que c’était un livre. Il fut cependant surpris du titre du livre « Désenchanter la magie noire ». En le feuillant rapidement il vit que le livre était assez pratique avec la renaissance de Voldemort et sa mission. Il y avait aussi un petit paragraphe sur les horcruxes. Où avait-elle eut ce livre ? Impressionnant de sa par ; elle avait du jouer de son intelligence à fond la Mione ! Le Phénix avait lui un gros paquet venant de la mère de Ron : Mrs Weasley. Un ENORME gâteau comme il aimait, crème citron citrouille ! Il s’en pris une grosse part et ouvrit son 4ème cadeau.
« Lupin ? »
Qu’avait-il à lui offrir ? Il n’avait jamais eut de cadeau de sa par depuis qu’il le connaissait. Il fut si pressé d’ouvrir le paquet qu’il en fit tomber sa par de tarte sur le parquet.
« Et meeeeerde. Pas grave je nettoierais plus tard. »
Il déchira le journal qu’il y avait autour et tomba sur « Tout pour devenir un Animagus. » « Whaou » se dit-il ! C’est vrai qu’il avait souvent pensé à devenir un animagus. Il était curieux de savoir en quel animal il se transformait. Il paraîtrait même que l’on en apprend beaucoup sur sa personnalité. Il vit un petit bout de parchemin glisser du livre. C’était de Lupin :
Cher Harry,
Tout d’abord je te souhaite un Joyeux anniversaire, et pas n’importe lequel, c’est la majorité, tu peu donc aisément utiliser la magie (comme sur ton oncle, ta tante et ton cousin adoré). Ce livre était à ton père quand il a voulu devenir un animagus pour tu sais quelles raisons. Je ne sais pas s’il aurait apprécié que je te le donne car il retrace un moment assez heureux de nos vies (Siruis, ton père, Peter et moi). Mais je me dis qu’il te pourrait être utile dans ce moment avec le retour de Voldemort.
Amicalement Lupin.
Cette lettre lui fit remonter le souvenir de la nuit où Peter c’est enfuit et à rejoint Voldemort comme l’avait prédit Mrs Trenaley. Encore ses prophéties… Il décida que dès le lendemain il partirait. Il irait au 12, Square Grimmaurd vue que cette maison lui revenait de droit et qu’il voulait à tout prix partir d’ici. Il pris une autre par de gâteau, nettoya avec un sort ce qu’il avait salit et s’endormi en pensant à Sirius.
Malgré une mauvaise nuit, Harry était de bonne humeur. Il descendit rapidement les marches de l’escalier qui menait au salon où Pétunia et Vernon mangeaient leurs œufs et leur bacon du matin.
« Bonjour, dit-il d’un ton joyeux.
-Qu’est qu’y te rends aussi optimiste. Tes parents ne sont pas en vie à ce que je sache ! répondit d’un ton sanglant le Vernon qu’Harry connaissait bien. Mais Pétunia lui mi un petit coup de coude, timide mais assez pour que Harry le remarque.
- Non. Mais je pars ! J’ai 17 ans et je compte m’en aller dès cet après midi.
-Hahahahaha elle est bien bonne celle la ! Tu n’as même pas d’argent ! Où vas tu aller ? Ce n’est pas que j’ai envie que tu restes, au contraire.
- J’ai de l’argent, je suis même riche dans mon monde j’ai coffre bien rempli qui m’attend. Je ne peu pas vous dire où je pars, personne ne doit savoir. Aller bon appétit ! Harry pris sa moitié de pamplemousse et la donna généreusement à Duldey qui descendait les escaliers.
- Bye-bye Duldichounet chéri ! »
Et il remonta dans sa chambre pour faire ses affaires. Vu qu’il avait maintenant 17 ans il utilisa la magie pour faire ces baguages. C’était vraiment plus simple. Il pouvait jouer avec le Phénix qui commençait à devenir vieux et avec sa chouette, tout en mangeant du gâteau (qui diminuait rapidement…). Il se dit qu’il prendrait le Magicobus, ce serait le plus simple pour transporter ses baguages. Le problème était de tout amener dehors sans attirer l’attention des voisins. Il eut l’idée suivante : il entassa ses baguages, lança un sort de mutisme à la chouette et au phénix. Puis il plaça la cape d’invisibilité au dessus de la cage. Pour descendre le tout il lança le sort de lévitation qu’il avait appris en 1ere année. Une fois arrivé sur le palier de la maison il descendit au bord de la route et leva sa baguette en l’air. Le Magicobus arriva dans un brouhaha lourd. Le contrôleur était toujours ce bon vieux Stan, sûrement l’unique personne au monde qui n’a jamais reconnu Harry. Stan avait aussi été pris pour un mangemort l’année dernière, il avait été libéré il y a un mois ou deux. Harry savait qu’il n’avait rien à voir avec eux, sinon il aurait tué Harry il y à 3 ans, ou du moins essayé.
« Bienvenue à bord du Magicobus, transport d’urgence pour sorcières et sorciers en perdition. Faites un signe avec votre baguette magique et montez, montez, nous vous emmènerons où vous voudrez. Je m’appel Stan Rocade et je serais votre contrôleur pour cette après midi.
- Salut Stan
- Ho Salut Neville. Ca fait longtemps que je ne t’ai pas vu. En fait je crois même que l’on en c’est vu que 2 fois non ?
- Peut-être je ne sais plus. Je vais à Londres, Square Grimmaurd.
- Tien c’est la première fois que l’on me demande d’aller las bas. Il n’y a pas de sorciers la bas.
- Si mais la personne que je vais voir est une Cracmol.
- Haaa Ok, Installe toi. Au fait le ticket c’est Onze Mornilles. »
Après avoir payé, Harry s’assoie sur le premier siège libre. Il essayait de cacher sa cicatrice pour que les autres passagers ne remarquent pas qui il était. Il ne voulait surtout pas attirer l’attention sur lui. Le trajet fut ponctué des habituelles secousses et des quelques vomissements des personnes fragiles.
« Square Grimmaurd ! C’est là que tu descends Neville. A une prochaine fois !
- Salut ! »
Harry descendit avec mal toutes ses valises. Un « bam-bam » retenti et le Magicobus avait disparut. Puis, plus rien, silence parfait. Il se rendit sur le palier du n°12, ouvrit la porte et entra. La porte se referma brusquement derrière son dos dans un claquement sourd. Il était seul dans le noir total, tous ces sens étaient aux agets