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| Harry Potter et le secret de la paix | |
| | Auteur | Message |
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momotnz Elève de Première Année
Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 18/11/2006
| Sujet: Harry Potter et le secret de la paix Sam 18 Nov - 23:49 | |
| Bonjour ou bonsoir( ce qui est les cas), voila c'est ma première fiction que je vien de crée. Le chapitr un est finit( je vais le poster tout de suite). J'attend vos commentaires, ce qui me donnera du courrage pour écrire le chapitre deux.
Merci, dans l'attente de vos commentaires. | |
| | | momotnz Elève de Première Année
Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 18/11/2006
| Sujet: Chapitre 1: La lettre Dim 19 Nov - 0:02 | |
| Tous les lumières du 4, Privet Drive, étaient éteintes. Sauf au première étage ou il y avait une bougie allumé qui n’allait pas tarder à s’éteindre. La bougie était posé sur la table de chevet ou il y avait un morceau de parchemin qui était sûrement déchirer de la gazette du sorcier. A coté, il y avait une baguette magique qui était posée sur un grimoire. Cette baguette appartenait au sorcier nommé Harry Potter.
Cela faisait qu’une semaine qu’Harry était rentré de Poudlard avec ses amis. Il pensait toujours a la mort de Dumbledore. Mais pour l’instant, Harry était en train de dormir. La bougie venait de s’éteindre. Hedwige venait de s’envolait pour une chasse aux grenouilles. La fenêtre était encore ouverte. L’air chaud de l’été rentrait par la fenêtre.
Mais ce n’était pas sa qu’il le préoccuper pour l’instant. Il avait d’autre souci même s’il était en train de dormir. Il pensait toujours aux Horcruxs du mage. Il pensait comment cette guerre allait prendre fin. Comment les Mangemorts tuer sans pitié, même les petits enfants, comment arrêter ceci. Mais ces réflexions finissez toujours mal, ceci devenait un rêve. Pas un rêve normal, mais un vrai rêve : il vivait une scène de Détraqueur, d’hippogriffe, plein d’autres animaux inconnus a lui ou des créatures magiques.
La tante de Harry, Pétunia, vint le réveiller tôt, vers sept heures du matin. Il ressentit des picotement sur sa fine cicatrice en forme d’éclair. Il avait mal fermer son esprit ou même, il avait oublier de fermer son esprit.
-Ahh... ! Dit Harry en ressentant des picotement sur sa cicatrice.
- Debout ! Cria t-elle.
- J’arrive ! Répondit harry.
- Tout de suite ! S’exclama t-elle.
Il fit comme si de rien n'était. Il se leva, enfila un t-shirt ou il y avait un lion avec un jean. Avant de sortir, il prit sa baguette magique est la mit dans une poche, sachant qu’il ne devrait pas utiliser la magie. Mais il la prenait ou cas ou. Il descendit les marche ou l’avant dernière marche craqua sous son pas.
Il s’assit sur la chaise ou il y avait déjà l’oncle Vernon et Dudley. Il y avait deux pamplemousses et un couteau poser sur la table. La tante de Harry arriva est posa deux tasses qui étaient remplit de café. Elle coupa les deux pamplemousses en deux et en donna une a Harry, une a Dudley et une pour son oncle et une pour elle. Dudley avait déjà avalé le morceau de pamplemousse alors qu’Harry venait juste de manger un peu de sa part.
Son attention fut tirer par deux « pop » qui venait du coté de la rue. Il posa le morceau de pamplemousse qu’il avait dans sa main et se leva sous le regard des Dursley. Il se penchât sur le rebord de la fenêtre, mais il n’y avait personne.
Le journal téléviser venait d’annoncé que les attaque se multipliaient chaque jours. Il y avait plus de morts même l’Albanie était touchée.
Il revint s’asseoir sur la chaise mais le morceaux de pamplemousse avait disparu. Il regarda les Dursley un par un. Un sourire s’afficha sur les lèvres de Harry. Il éclata de rire avant de monter les marches de l’escalier. Il rentra dans sa chambre ou il y avait des hiboux. Il n’était pas étonner étant donner que chaque matin, il se faisait livrer la gazette du sorcier. Hedwing n’était pas encore rentré, mais il ne s’inquiéta pas, la connaissant parfaitement. Il se pouvait qu’elle soit partit très loin. Son attention fus tiré par le hululement de l’hiboux, qui signifié qu’il ne restera pas la toute la journée. Il sortit de sa poche deux noise, ne se rappelant pas qu’il s’était assit, et il les posa dans la bourse de l’hiboux.
Il prit la gazette du sorcier est commença la lecture.
Ce matin, il y a eu une attaque a Pré Au Lard, tous les magasins de ce village on étaient brûlé. Il y a même eu des gens qui ont été torturé, quelque personne de ceci sont à St Mangouste, l’hôpital pour les blessures magique. Il y a eu une dizaines de blesser et deux morts. Comme par miracle, un magasin de ce village était rester comme il était, il n’a rien subit. Les aurores sont venues sur place pour défendre mais, les Mangemorts se sont enfuis à ce moment, déclare un aurore a la gazette du sorcier. Cette attaque a fait rage aux habitants de ce village…
Harry reposa le journal, tous ses attaques avaient fait embrouiller sont esprit. Les activités des Mangemorts augmentées tous les jours.
Il pensa alors comment il allait vaincre le mage noir, Voldemort, celui-dont-le-nom-ne-doit-pas-être-prononcé. Il pensât aussi a Dumbledore. A cet instant, sa rage augmenta contre Rogue. Il fût tiré de ses réflexions par une sonnerie qui retenti en bas. Il se leva est partit regarder par la fenêtre pour voir celui qui venait de sonner, il se penchât sur le rebord de sa fenêtre et vis que c’était son professeur de métamorphose McGonagall qui est, normalement, la directrice de Poudlard en ce moment.
Sa tante l’appela est lui dit :
- Harry, il y a une vielle cinglée qui veut te parler ! Cria t-elle.
- Ce n’est pas une vielle cinglée, répondit t-il, c’est mon professeur de méta…, je veux dire ma directrice, acheva t-il lorsqu’il arriva devant la porte.
Un sourire venait de s’afficher sur le visage de McGonagall, qui était rare au contraire de son oncle et de sa tante qui était furieux. Voir une sorcière, vers une sorcière de bonne heure, devant leurs portes les rendaient fous furieux.
- Bonjour Potter, dit McGonagall, pouvons nous monter dans votre chambre pour ne pas déranger votre oncle et votre tante et pour être indiscret.
- D’accord professeur, répondit Harry, en montant les marches de l’escalier. Il fut suivit par son professeur, que la tante pétunia suivait de l’œil, car en passant, elle l’avait toucher sa tante en marmonnant un vague « excusez-moi ». Celui-ci fit comme si de rien était et entra dans sa chambre en compagnie de McGonagall.
- Bien Potter, a présent que nous sommes seuls, je voulais vous demander ce que vous êtes partis vous est Albus le soir de sa mort, dit-elle sans avoir prit le temps de respirer.
- Je vous le répète professeur que je ne puis rien vous dire, je suis vraiment désolé.
- Mais cette information pourrait être utile a l’ordre, répliqua t-elle.
- Non, cette information ne vous servira à rien. J’ai juste une chose a vous dire et que vous devrez accepter. J’ai bien peur que vous n’ayez pas le choix.
McGonagall fut étonner par ce que venait de dire Harry, mais sans qu’elle lui réponde, il poursuivit :
- Vous devrez garder le professeur Trelawney, il ne faudrait surtout pas qu’elle ne quitte le château quelle que soit la condition, dit-il d’un ton très sérieux.
Voyant que Harry avait un ton sérieux elle accepta. Elle du réfléchir un moment. Elle pouvait très bien ne pas accepter, Harry n’avait pas sa baguette magique sur lui. Bien sur, il ne pouvait pas utiliser la magie en dehors de l’école jusqu'à la fin du mois.
McGonagall commença à fouiller dans sa poche et en sortit deux lettres qu’elle lui tendis. Il reconnut aussitôt la première lettre qui était de Hagrid et la deuxième, il y a eu comme une détonation dans son cœur. Tous les soucis qu’il avait durant sa première semaine dans ce toit étaient partis plus vite qu’ils n’étaient venus. Mais tout sa reparti sans savoir pourquoi. Les souci lui revinrent juste après. Il comprit pourquoi. Tellement qu’il s’était sentit léger en voyant l’écriture fine et penchée, il avait mal entendu ce que lui avait dit son professeur, elle lui avait expliqué qu’elle l’avait trouvait sur le bureau directorial et qu’elle lui était adressée. Elle lui expliqua qu’elle n’avait pas pus l’ouvrir, sûrement un puissant enchantement d’Albus lui avait-elle dit. Il tendit sa main, prit les deux lettre en tremblant. Il ouvrit la lettre d’Hagrid et commença à la lire.
Harry,
Je voulais te donner quelque chose, mais j’attendrais que tu serais là pour te le donner. Sinon, passe de bonne vacance.
Avec toutes mes salutations distinguées, ton ami, Hagrid Il prit la deuxième enveloppe, et commença à lire.
Cher Harry, J’espère que tu va bien et que tu ne pense pas trop a moi, pour ce qui est de moi, je vais bien. Il ne faudra pas que tu t’inquiète trop pour moi, enlève ce souci s’il te plait.
Revenons au sujet de cette lettre, je l’ai écrit avant ma mort, bien sur si tu as un doute que je savais que j’allai mourir, ce qui révèle être vrai.
Si tout ce que j’avais prévu ce passait bien, normalement avant que je ne meure, je t’ai soumis au sortilège du saucisson. Si ce n’ai pas le cas alors je ne sais ce qui se passerai.
Enfin ce n’es pas l’essentiel. Comme je te l’ai dit au début de la lettre que j’avais prévu cette mort, normalement, ce serais Severus qui me tuerai, étant donner que je le lui ai demander. Il avait fait un serment inviolable avec la mère a Drago pour qu’il accomplisse la mission que lui avait confié Voldemort. Il a dut accepter pour montrer qu’il est de leur coté, qu’il espionne pour leur conte l’Ordre du Phénix étant donner qu’il est de notre côté. Il ne savait pas ce que c’était cette mission jusqu'au jour ou il l’appris. Il est venu me voir est m’a tout raconté. Il voulait mourir a ma place bien que tu le doute, je lui es interdit. Je lui es dit que tu serviras plus que moi, que je suis devenu vieux, même très vieux, et aussi que ma main me faisait beaucoup souffrir.
En ce qui concerne l’Ordre, je voudrai, et je te demande que tu en deviennes le chef, même si Molly Weasley ne le veut pas. Bien sur, je ne t’oblige pas, tu peux très bien refuser, mais je te demande, et je te supplie de devenir toi-même le chef et gérer l’Ordre. J’ai adressé une lettre a Arthur lui expliquant que je te voudrai toi comme chef. Je lui ai adressé une autre lettre a celle la que je t’en parlerai tout à l’heure. S’il y a des autres personnes qui voudrait s’intégrer à l’Ordre, fait-les d’abord passer sous l’effet du veritaserum que tu en demanderas à Severus et après, sous le sortilège de l’imperium.
En ce qui te concerne, il faut que tu prennes des cours de legilimencie et d’occlumencie. Aussi, en pratique bien sur même en théorie(de toute façon tu devras un peu apprendre la théorie pour la pratique de quelque sort, je reparlerai de ceci vers la fin de ma lettre), il faut que tu apprennes des sorts de défense, d’attaque et même, je sais que tu ne vas pas aimer, des sorts de magie noire. Il faut que tu connaisses les deux magies pour en finir dans le combat final, j’en reviendrais à la fin de ma lettre. Il faut que tu prennes au sérieux tous ce que je te dis pour nous débarrasser de ce mage, ne quitte jamais tes amis quoi qu’il arrive, sauf si tu es dans une grave situation. Je te demande de retourner à Poudlard, ne sachant pas quelle décision tu as pris après ma mort. Et aussi avant que je n’oublie, reste surtout chez ton oncle et ta tante jusqu’a que tu deviennes majeur au monde de la sorcellerie. Pour ce qui est de ton permis de transplanage, je voudrais que tu le fasses le plus vite possible. J’ai adresser une lettre a Arthur Weasley lui faisant comprendre qu’il faudrait qu’il t’emmène faire ton permis de tansplannage le plus vite possible. J’ai aussi adresser une lettre a celui qui donne les permis lui expliquant la même chose qu’Arthur.
En ce qui concerne Poudlard, je voudrais qu’il réouvre. Insiste si McGonagall ne veut pas ouvrir ayant peur de ce qui c’est passait en fin d’année scolaire. Fait tout pour que le conseil ne ferme pas l’école. Et aussi il ne faut pas que les professeurs Trelawney et Slughorn ne quitte le château sous aucun prétexte. Revenons à Severus, je t’avais dit qu’il m’a tuer sur mon ordre. Ce sera avec lui que tu auras des cours et aussi avec mon frère Abelforth. Mon frère habite à Pré Au Lard ou il a un commerce. Il te donnera des cours, avec ou sans Severus ici meme. Si tu es déjà rentré dans son bar, et que tu as vu que c’était un viel homme alors que c’est mon frère c’est parce qu’il est un métamorphomage. Je doute que tu sache ce que sa veux dire sinon, je te conseil de demander à ton ami Hermione.
Il faut aussi que tu collabore avec le Mr Rufus Scrimegeour, notre Ministre de la magie. Tu auras besoin des informations sur les Mangemorts, sur les autres chose, j’en serais certain qu’il te les donnera. Il te demandera de lui dire ce que tu faisais avec moi le soir de ma mort, mais ne lui dit rien. Tu es mieux que moi dans les mensonges, rappelle-toi.
Tu ne dois parler à personnes des Horcruxes, de la prophétie, de tous ce que tu connais à part tes amis Hermione Granger et Ronald Weasley. Severus et Abelforth le savent aussi. Abelforth t’en dira plus.
J’ai laissé à Hagrid un œuf de phénix. Il te le donnera quand tu seras à Poudlard. Je te conseil d’avoir cette créature avec toi. Tu comprendras mieux quand tu seras dans des situation comme quand tu étais en cinquième année, quand j’ai transplaner avec Fumsek. Aussi quand tu étais en deuxième année, tu connais les détails mieux que moi étant donner que c’était toi qui étais dans la chambre des secrets.
Pour les Horcruxes, je vais te donner quelque information : tu feras un tour dans la chambre des secrets, dans Poudlard aussi(je sais que tu dispose une carte de Poudlard, j’ai le même mais en mieux, il y a plus d’option. Je te reparlerai de tout sa tous ta l’heure dans mon testament, dans la forêt interdite. Tous sa c’est ce qu’il y a dans Poudlard, sinon pour les autres je ne sais pas. Pour détruire un Horcrux, mon frère te montrera. Voldemort a des partisans dans l’école, je me doute depuis toujours, alors que maintenant je suis plus la, ceci est sur. Surveille les s’il le faut.
Drago Malfoy devrait passer une audience disciplinaire si on le rattrape. Normalement comme je te l’ai déjà dit, c’est Severus qui doit me tuer et non Drago, dont il vont croire que c’est lui. Je voudrais que tu assiste ait son audience et que tu le défendes. Au Ministère de la magie, il on comme une pensine projecteur ; tu y métreras le souvenir de ma mort. En faisant ceci il aura une dette envers toi, fait comme s’il ne te devait rien. Il doit s’allier à nous et être comme espion, bien entendu qu’on en a un.
Derrière mon bureaux, il y a ma chambre. Tu peux y accéder par l’intermédiaire du bureau directorial, et aussi par la salle commune de Gryffondor. Cette porte est invisible ; elle sera visible comme dans la salle sur demande. Tu comprend mieux que moi ces choses la.
Sur ce, je te dis Adieu, et a plus tard. Albus Dumbledore
Il relut la lettre plusieurs fois pour la comprendre. Mais la dixième fois qu’il la relit, un mot le toucha : « et a plus tard ». Que cela voudrait t’il dir ? Oui, pensa t-il, sa pouvait être que … | |
| | | momotnz Elève de Première Année
Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 18/11/2006
| Sujet: Chapitre 2 Dim 8 Juil - 23:28 | |
| Harry prit une plume, deux bouts de parchemin, et un encrier. Il déboucha l'encrier trempa sa plume et écrit dans les deux parchemins. Il les donna ensuite a Hedwige qui était perché sur son épaule et elle lui mordit l'oreille. Il l'a prit jusqu'a la fenêtre et elle s'envola. Il revint vers son lit est s'endormit attendant les réponses de ses amis, et cette fois il n'oublia pas de fermer son esprit.
Harry se réveilla au milieu de l'après midi par un orage qui venait d'exploser. Il commençait à pleuvoir. Son ventre lui faisait mal et il décida d'aller manger. Harry descendit dans la cuisine, pour voir ce qu'il y avait à manger, il ouvrit le frigo, sans se déranger de ce que va lui dire sa tente. Il prit un yaourt qui était caché derrière une salade et un gâteau au chocolat qui servait de dessert pour ce soir. Il prit le tout et remonta dans sa chambre. Il mangea et, en même temps, pensé au rêve qu'il avait fait.
Quand il eût finit, il prit un grimoire et il commença à le lire jusqu'a qu'Hedwige eût retourné, toute trempé, avec une lettre. Il ouvrit la fenêtre et se posa sur le bureau elle tendit la pate pour qu'Harry puisse détacher la lettre.
Il ouvrit la lettre et prit le parchemin, le déplia et sourit en la lisant.
Alors qu'il rangeait ses affaires dans la valise, il entendit du bruit dans la rue. Comme il était curieux, il jeta un coup d'œil par la fenêtre et vit un camion, entrain de décharger des meubles vers la maison, à côté du 4, Privet Drive. Il comprit alors qu'il y avait des nouveaux habitants a côté de leurs maisons.
Le lendemain, Harry se leva de bonheur, s'habilla, prit sa baguette et la mis dans une poche de son jean. Il sortit de la maison et alla se poser sur le banc des voisins qui avait aménagés hier. Il contemplait la maison et tout d'un coup, la porte s'ouvrit laissant apparaître une jeune fille. Cette jeune fille était très belle aux yeux d'Harry. Après un moment qu'il se contemplait eux deux une femme sortit de la maison. Elle portait un tablier et Harry en déduit qu'elle ressemblait beaucoup a Mrs Weasley. Elle invita Harry à prendre un petit déjeuner.
- Bonjour, dit-elle en regardant Harry. - Bonjour, Madame répondit il avec un sourire. - Entre, entre n'ai pas peur, vient prendre le petit déjeuner avec nous, dit elle avec le même sourit qu'Harry - D'accord, répondit il en entrant dans la demeure ou régnait un silence alors que les moldus regardaient les infos du jour. Ils s’assirent dans le salon sur des chaises qui étaient autour de la table alors que la femme, qui ressemblait a Mrs Weasley partit chercher le petit déjeuner. La fille s'assit à côté d'Harry et commencèrent à discuter. - Comment t’appelles-tu ? Lui demanda la jeune fille. - Harry et toi ? Répondit-il, - Yasemine et euh... tu a quelle âge? - J'ai seize, dix-sept ans le 31 juillet. - Moi aussi ! S'empressa t -elle de rajouter.
La mère de Yasemine vint avec un plateau ou il y avait un bon petit déjeuner. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas fait un aussi bon petit déjeuner. Il se rappela de Poudlard. Quand Harry voulut s'en aller, elle lui dit qu'il pourrait repasser à midi pour déjeuner avec eux. Il l'a remercia beaucoup et la jeune fille le raccompagna a la porte avec quelle l'ouvre elle lui donna un baiser sur sa joue et elle ouvrit la porte. Harry toujours inconscient ne comprenait rien du tout jusqu'à que la jeune fille lui tape dans le dos. Elle lui sourit et Harry fit de même. Il sortit de la maison et alla vers le square ou déjà il y avait du monde, il se rendit conte qu'il était resté à peu près trois heures. La bande de Dudley ainsi que Dudley était ici entrai de faire des boulettes de boues et les jetaient sur les petits enfants. Harry s'avança alors vers lui et de sa main gauche l'attrapa par son col et de sa main droite sortit un bout de sa baguette pour que les autres ne la voit pas. Dudley comprit la menace et s'en alla avec ses amis en dehors du square.
Yasemine était la devant lui et elle lui demanda comment il avait fait pour les faires sortir du square. - C'est mon cousin et sa bande je l'ai menacé de... - De quoi? - Que j'allai le frapper et ... - Et c'est quoi que tu lui as montré qui était dans ta poche? - Euh… rien.
Cher Harry, Je t’invite au mariage de Bill et Fleur qui aura lieu le premier août. Sachant que tu ne pourrait pas partir de chez ton oncle et ta tante avant ton anniversaire, Arthur viendra te chercher le 5 aout pour passer la fin des vacances avec nous et Hermione qui arriverait presque en même temps que toi. Mrs Weasley
Harry était en train de lire la lettre. Il y avait une autre lettre du Ministère de la Magie qui lui indiquait qu'il devra passer son permis de transplanage le 15 juillet. Il mangea et remonta dans sa chambre. Il décida alors d'étudier la magie plus profondément. Il prit un grimoire qui devait être ancien. Il trouva quelque sort et il les nota sur un petit bout de parchemin. Il lut quelque page et appris des choses, puis il partit s'endormir en pensant a fermer son esprit. Au matin du quinze Juillet, Harry se leva de bonheur et s'habilla. Il prit son petit déjeuner et sortit dans le jardin, et là il transplana devant la cabine téléphonique du Ministère de la Magie. Il monta dans l'ascenseur et s'arrêta a l'étage où il devait passer son permis. Une dame l'accueilli.
- Vous êtes en avance Mr Potter, dit elle avec un sourire. - Oui madame, je préférer venir en avance. - Puisque vous êtes là et qu'il n'y a personne, autant le passer tout de suite.
L'exercice consisté de passer d'un cercle a un autre, comme il l’avait déjà fait a Poudlard, il devait passer d'une chambre a une autre. Il réussi après quelques essais.
- Voila, c'est très bien, Mr Potter, concentré vous bien sur les trois D et vous réussirez mieux.
Il s'avança vers l'ascenseur et quand elle s'ouvrit, Mrs Rufus Scrimegeour en sortit. - Ah, Harry, bonjour, dit-il. - Bonjour Monsieur le ministre. - J'allais venir chez toi aujourd'hui, mais puisque tu est la, je veux te voir tout de suite. En fait, je veux savoir si tu veux collaborer avec le ministère, je sais bien que je te l'ai déjà demandé mais... - Je vais y réfléchir, dit Harry en s'en allant.
Cette fois, il s'en alla vers le chemin de traverse. Il voulais commençais sa quête aux horcruxes par le chemin de traverse. D'abord, il partit vers Gringot, la banque des sorciers. Il prit un peu d'argent dans son coffre et il en ressortit. A peine qu'il eu sortit, une voix grave qu'il reconnut l'appela, c'était Hagrid, le garde chasse de Poudlard. - Harry ! - Bonjour, Hagrid, vous allez bien ? - Oui et toi ? - Moi aussi. - Tu veux que je te donne ton phénix maintenant ? - Oui. - Alors accroche toi a mon bras.
Il était près de 23h alors qu'Harry discuter avec le phénix que lui avait donner Hagrid. Enfin il communiquer avec lui avec sa pensée. Il voulut le faire apparaitre sur le bureau, puis le remettre sur son épaule. Il aller bien s'amuser avec les Dursley avant de partir définitivement. En pensant a ça, il prit comme décision de faire maintenant sa valise. De toute façon, il n'avait presque rien sortit a pars quelque livres et habilles, ce qui lui facilitera la tâche. Il commença a mettre les livres dans sa valise, une pensée s'opposa a lui. C'était le phénix. Il comprit par la pensée que le phénix pourrait faire ça. Harry ferma les yeux, puis après un instant il les ouvrit, la chambre était vide. Hedwige hulula, sa cage était très sale. Il ne l'avait pas nettoyer depuis qu'il était revenu de Poudlard. Soudain, il prit un bout de parchemin et il écrivit dessus:
Monsieur le Ministre, Je pourrais collaborer avec vous si vous m'accorder d'utiliser la magie en dehors des lieux magique. Si vous refuser, je refuse; si vous acceptez, j'accepterai. Cordialement, Harry Potter.
La réponse a la lettre qu'Harry a écrit au Ministre de la magie, revint après un quart heure. Harry explosa de rire en voyant la réponse.
Cher Harry, J'accepte ta proposition avec joie. Tu pourras utiliser la magie en dehors de Poudlard. Si tu collabore avec le Ministère, tu pourras me demander ce que tu veux et tu l'auras.
P-S: Tu pourras dès aujourd'hui m'appeler par mon prénom. Ton amis, Rufus Scrimegeour.
Il prit sa baguette magique, la pointa vers la cage de sa chouette et murmura : - Récurvité!
La porte de sa chambre s'ouvrit a la volé et Mrs Dursley entrèrent dans sa chambre.
- Quoi, faire de la magie ici ! Hurla Mr Dursley. - J'ai le droit d'en faire autant que je veux ! Répliqua t-il. - Non, commença t'il mais Mrs Dursley entra. - Mais que se passe t-il ? Fit-elle. - Il se passe que monsieur fait de la magie ! - Comment ose tu ? Fit Mrs Dursley. - Tu sera punit pour sa, termina Mr Dursley au même temps que Mrs Dursley hochait la tête, je mettrait des barreau solide a ta fenêtre. Notre usine de perceuse vient de fabrique un nouveau foret qui est très long, je le visserait et même si tes amis viennent te chercher tu ne pourras plus...
Il fut interrompu par une chouette qui s'engouffra par la fenêtre pour venir se poser sur le bras d'Harry. Il détacha la lettre et avant qu'il l'a lise, son oncle la lui arracha des mains.
Mr Potter, Je viens de réfléchir a ta proposition et je refuse complètement. J'en suis vraiment navré. Je me suis dit que peut être tu me mentiras ! Tu ne pourras plus faire de magie dès a présent. Je suis désolé. Mr Scrimegeour, Ministère de la magie.
- Et en plus tu n'a plus le droit de droit d'utiliser la magie, c'est sa ? Dit Mr Dursley avec un sourire. - Oui, répondit Harry. - Très bien, je disais donc que tu sera privée de sortir dehors, tu n'aura plus le droit qu'une fois par jour de manger, tu sera enfermé dans ta chambre, tu sortira une fois pour aller au toilettes et a la salle de bain et tous cela pendant un mois. C'est compris ?
Harry hocha la tête pour dire qu'il avait bien compris. Il n'avait plus de solution, même si ces amis viennent le chercher. Il se rendit conte que les Dursley avait quitter la chambre et l'avait fermé a clef. Il ne pouvait plus rien faire a faire a pars attendre.
Cela faisait dix jours qu’Harry était restait dans sa chambre a ne rien faire a pars lire quelque bouquin, quelques livres sur la défense contre les forces du mal, ou celui que lui avait donner Hagrid qui parlait sur les phénix. Il avait trouvé un sujet intéressant qui parlait sur le transplanage avec les phénix. Il y passa un bout de temps a le lire. Il comprit très vite comment faire. Il voulut essayer, mais il ne réussit pas. Entre temps, les Dursley semblait l’avoir pardonner. Il pouvait manger et sortir dès a présent. Ce matin, lorsque Harry arriva dans la cuisine, les trois Dursley étaient déjà assis autour de la table. Personne ne leva les yeux quand il entra et s’assit a son tour. Le gros visage de l’oncle Vernon était caché par son journal habituelle du matin et la tante Pétunia était occupée à couper un pamplemousse en quatre, les lèvres retroussées sur ses dents de cheval. Dudley avait un air furieux, boudeur, et semblait pendre encore plus de place qu’à l’ordinaire. Ce qui n’était pas peu dire car, en temps normal, il occupait déjà à lui seul tout un côté de la table. Lorsque la tante Pétunia posa un quart de pamplemousse sans sucre sur son assiette en disant : « Tiens, mon Duddy chéri ». Harry éclata de rire et Dudley le frappa sur la tête avec sa canne qu’il ne s’en séparé plus depuis qu’il était au collège en disant « Tais toi » avant que l’Oncle Vernon ne fasse le programme de la journée. - Je viens d’inviter les nouveau voisin. Ils viendront déjeuner à midi. Toi Harry, tu serra dans ta chambre enfermer, comprit !
Harry fit oui d’un signe de tête. L’oncle Vernon avait revêtu son plus beau costume avec sa plus belle cravate. Pendant ce temps, la tante Pétunia préparé le déjeuner et Dudley en train de regardait son émission préférer. Harry était là dans sa chambre a réfléchir. Il regarda l’horloge, il était déjà dix heures, plus que deux heures pour que le nouveaux voisin viennent déjeuner avec les Dursley. La porte d’entrée venait de s’ouvrir, ce qui annoncer la venu des nouveaux voisins. Harry reposa le live qu’il avait prit quand il était monter dans sa chambre et se leva d’un coup, sa main tendue en avant. Il ne savait pas ce qui se passait. Il sentait comme un coup de jus qui partait de sa main et revenait avec une très forte énergie. Sa main ce baissa et a chaque foi qu’il s’approchait de la porte, l’intensité augmenter de plus en plus. Il ouvrit la porte et descendit l’escalier et cette sensation électrique disparus subitement, mais au contraire, il avait sommeil. Il retourna dans sa chambre et se mit sur son lit. Pendant près de deux heures, il apprenait des sortilège alors que les invitée était partis il y a longtemps. Environ cinquante sortilège était noté sur un bout de parchemin et il les apprenait. Le même coup de tout a l’heure se reproduit. Il ressentit la même chose sauf que cette fois-ci il s’endormit.
Des bêtes sauvages était là devant lui en train de le regarder. Une voix glacial s’élva, elle provenait de la bouche de Harry. - Mes chers mangemorts, demain matin, je prépare un coup pour faire diversion. Pour l’instant, les autres seront a Azkaban pou libérer mes autres incapables mangemorts, c’est comprit ! - Oui, maître, nous les libéreront, fit - Parfait ! Apelle moi Severus et Malfoy, ils devraient être au courant ! Ordonna le maître.
Le soleil venait éclairer son visage. Il était allongé sur son lit, les bras derrière la tête, il avait déposé ses lunettes sur sa table de nuit, fermé ses yeux et il réfléchissait. Il réfléchissait au cauchemar qu’il venait de faire, ou plutôt, c’était la réalité. Il réfléchissait toujours quand soudain il entendit la porte s’ouvrir. Même chose que hier, il détecta par la pensée cette fois-ci. Il ne comprenait rien, rien du tout. Il eu un brusque sourire, il venait de pense a Dumbledore, le jour où il étaient allez cherchez le faux horcruxe…
La personne qui venait d’entrer montait l’escalier. Harry saisit sa baguette magique et la pointa vers la porte. La porte s’ouvrit doucement et la il eu un choc. Devant lui se tenait … | |
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