Harry Potter et la Porte du Désespoir

CHAPITRE 1 : 1ère partie

Un réveil très matinal.


- Court !!! hurla Ron.
Ron Weasley disa ses mots à sa soeur, Ginny.
Ginny, à peine qu'elle fût réveillé, vit le mur de sa chambre explosé, un rire narcissique se faisait entendre derrière l'épaisse poussière de l'explosion. Ginny ne savait pas quoi faire, elle était paralysé. Soudain, un éclair rouge frappa de plein fouet la silhouette sombre, elle tomba raide. Ron apparu.
- Ginny ! Court je te dis ! Caches toi !
- Qu'est ce qui se passe ?
Ron s'approcha de Ginny.
- Ecoute Ginny, je te le demande au moins une fois, écoute moi, écoute moi rien qu'une fois, court et caches toi dans le Placard Oublié.
Ron la regardait dans les yeux, comme si c'était la dernière fois qu'il allait la voir.
- Vas te cacher maintenant. Je t'aimes petite soeur.
Ron s'empressa de sortir de ce qui pouvait rester de la chambre, la baguette à la main.
Quand Ginny fût bien réveillé, elle entendait au loin des cris et des explosions. Qu'est ce qu'il se passait ? Elle repensait aux mots que Ron lui avait prononcé "Je t'aimes petite soeur". Il se passait des choses extrêmement grave. Elle quitta la chambre en courant, elle vit l'homme étendu par terre, c'était un Mangemort. Comme se faisait il qu'un Mangemort se trouvait ici ? Elle prit son temps pour bien lui marcher dessus et se remit à courir, elle tourna à l'angle à gauche au fond du couloir et courut tout droit jusqu'à arriver à une petite porte marron, où il fallait s'accroupir absolument pour pouvoir y rentrer. Elle enclencha la poignée, entra et referma derrilère elle, elle n'entendit plus rien, plus aucun son. Que pouvait il se passait à l'extérieur ? Est ce que la famille allait bien ? Elle pensait fortement à eux en ce moment.
Dix minutes interminable s'écoulèrent quand enfin elle entendit des pas venir vers elle. Elle mit sa main sur la poignée pour pouvoir sortir mais quand elle entendit les voix, elle se ravisa.
- ...vrait les tuer.
- Non Fenrir, c'est la fille que le Seigneur des Ténébres veut. Ginny eut un haut le corps, c'était la voix de Severus Rogue, l'ancien maître des potions de Poudlard.
- Pourquoi tant d'histoire pour cette fille ?
- Je ne sais pas mais j'ai ma petite idée derrière la tête.
Ils s'étaient arrêté net devant la petite porte du placard.
- Je sens de la viande fraîche pas loin, elle doit être toute proche.
- Ton sens de l'odorat te joues des tours Fenrir, selon ma baguette il n'y a personne ici et pourtant c'était le dernier endroit à fouiller de la maison. Les Weasley ne valent plus ce qu'ils étaient.
- Alors pourquoi ne pas les tuer ? s'empressa de questionner, Fenrir.
- C'est le Maître des Ténébres qui décide et personne d'autres. Selon lui, le reste de la famille Weasley n'a aucune importance.
- Et la jeune fille blonde alors ? Elle à l'air succulente.
- Non Fenrir, combien de fois faut il te le répéter ? Il faut juste trouver la fille. Il faut commencer à chercher à l'extérieur...
Les pas d'un homme commença à partir, cela devait être Fenrir Greyback car c'était des pas lourd. Pourquoi Rogue restait-il ici ? Soudain, Ginny s'en souvenu.
Il y a un peu plus de quatre ans, Rogue était venu au Terrier un été pour enfin s'expliquer avec les parents Weasley par rapport au comportement des jumeaux. Tout c'était passé correctement, Ginny n'avait jamais vu Rogue de si bonne humeur. Rogue posait des tas de questions par rapport à la sécurité de Ginny, vu ce qu'il s'était passé à sa première année à l'école. Et elle se souvint que son père avait parler du Placard Oublié à Rogue, il expliqua même le pouvoir que le Placard pouvait faire. L'usage de ce placard était utile, il servait donc à se cacher en ces de gros problème, et une fois rentré à l'intérieur, la porte du placard s'efface du mur et la personne qui est à l'intérieur est oublié de monde extérieur, c'est à dire qu'aucun sortilège ne peut fonctionner pour pouvoir retrouver la personne.
Elle se sentit mal à l'aise, Rogue ne bougea toujours pas. Et quand un grand cri se fit entendre, Rogue se mit à courir dans le couloir. Ginny ne bougea toujours pas, de peur qu'un autre Mangemort se trouve dans le couloir à ce moment là. Et elle attendit. Et ainsi environ une demi-heure s'écoula, elle pleurait, de peur que sa famille est été tué, mais elle fût tout de même rassuré par la conversation de Rogue et de Fenrir. Elle pensait tout simplement - du moins elle espérait - que sa famille étaient paralysé ou alors assomé.
De nouveaux pas arrivèrent vers Ginny.
- Ginny ? Ginny ? C'est bon c'est terminé tu peux sortir maintenant.
Ginny s'empressa de sortir, c'était la voix de Georges, un des deux jumeaux.
Elle s'empressa de serrer son frère dans ses bras. Des larmes coulaient sur ses joues.
Ginny recula un peu pour contempler son frère. Son si beau costume du mariage était en lambeau, il tenait fermement son épaule droite avec sa main gauche, du sang coulait.
- Tu es blessé ! cria Ginny.
Avec un petit sourire.
- Je suis le seul à être encore debout.
- Quoi ?
Ginny courut alors vers les escaliers.
- Ginny ! Attend ! s'écria Georges. Il la suivit.
Ginny descendit quatre à quatre les escaliers.

SUITE CE SOIR.

Bravo !!! c'est super bien j'ai vraiment hate a la suite. tu devrais demander a mario ou ben geo de supprimer ton autre -->cahpitre 1 !

Suite du chapitre 1


Ginny n'en croyait pas ses yeux, on aurait dit qu'un ouragan était passait dans la maison.
Il n'y avait plus de mur, tout les meubles et objets étaient en vrac par terre. Elle ne pouvait plus bouger, paralysé par la vue choquante de la scène qu'elle avait devant ses yeux. Sa mère se trouvait dehors, allongé, elle ne bougeait pas. Ron était sur un tas de ruine d'un mur, inconscient. Fred, Bill, Fleur Delacour et Mrs Weasley se trouvaient au milieu de ce qui pouvait rester de la salle à manger, eux aussi inconscient.
- Ginny ! s'écria Georges derrière elle.
- Non, non, non !!! C'est impossible !!! hurla Ginny.
- Ginny, ne t'inquiète pas, ils sont juste paralysé, ils ne peuvent plus du tout bouger.
Ginny se retourna vivement.
- Et toi ? Et toi alors ? Pourquoi tu es encore debout, toi ?
- J'ai été assomé par l'horloge de la maison à cause d'un sortilège que nous ont lancé les Mangemorts. Aïe !
Georges saignait de plus en plus de l'épaule.
Ginny, après s'être calmé.
- Attends laisse moi voir.
- Non, moi c'est pas grave. Vas voir papa, il est dans le potager là-bas.
Il pointa du bras, mais un cri de douleur s'échappa aussi vite de sa bouche.
- Mais...
- Va voir papa, je te dis, il parle encore, il te dira quoi faire, c'est lui qui a dit à Ron que tu devais te cacher.
- Mais...
- Me fais pas répéter s'il te plaît Ginny.
Elle hocha d'un signe de tête.
En étant arrivé en bas, elle voulait aider tout le monde, leur parler, les réconforter mais selon Georges, ce n'était pas si grave.
Ginny avança dans les débris de la maison, des larmes coulèrent sur ses joues. Elle vit tout d'abord sa mère, elle devait porter une si belle robe pour le mariage de Fleur et Bill, mais elle était en lambeaux, elle paraissait apaisé. Puis elle passa devant Fleur et Bill, ils n'étaient pas encore habillé dans leurs habits de mariage, Ginny pensa qu'ils venaient juste de se réveiller, ils ne bougeaient pas non plus. Quand elle passa devant Fred, elle eût un haut-le-corps, sa jambe droite faisait un angle anormale, il devait avoir de multiples fractures, il devait être assomé car ses yeux étaient fermés.
A chaque fois que Ginny passa devant un de ses membre de la famille, elle voulait s'arrêter pour les soigner mais elle devait absolument aller voir son père.
Quand enfin elle arriva dehors, elle voyait du feu partout, la cour ne ressemblant plus à grand chose maintenant.
Elle regardait à droite, à gauche, pour contempler l'horreur du spectacle.
Elle avança encore quand elle vit de loin que le potager était en feu, elle se mit à courir, trébuchant de temps à autre.
Le feu se propageait à une grande vitesse. L'énorme potager que possédait les Weasley était détruit.
Ginny arriva devant le potager, elle ne pouvait approcher des flammes. Elle pensait fort à son père à ce moment. C'était impossible qu'il s'en sorte, impossible.
Bien heureusement, elle portait sa baguette sur elle, vu les temps fâcheux qu'il y avait en ce moment.
- Ventilus ! cria Ginny.
Un petit tourbillon se forma sur sa baguette. Elle avança dans les flammes, à chaque pas qu'elle faisait un pas, le feu s'écarta d'elle.
- Papa ! s'écria Ginny.
Aucune réponse.
- Papa ! cria une nouvelle fois Ginny, après avoir fait quelques pas de plus.
Toujours rien.
Puis Ginny cria une troisième, une quatrième, une cinquième, puis au bout de la sixième fois, elle entendit quelqu'un tousser. Elle s'approcha de ce toux, elle l'entendait de plus en plus. Encore un mètre, un dernier mètre et elle allait enfin retrouver son père.
Enfin, Ginny retrouva son père, allongé par terre, toussant, mal au point.
- Ginny...
- Papa, ne dis plus rien, tu t'affaibliera encore de plus.
Elle s'agenouilla devant lui.
- Attends Ginnny...
Il toussa.
- Prends le petit miroir qu'il y dans ma poche arrière.
- Mais...
- Ginny, ne discute pas.
Elle prit le petir miroir dans la poche arrière.
Et elle pensa tout de suite à une personne, Harry.
Et Harry Potter était loin en ce moment, très loin...

WAiheee Superr !!! J'ai vraiment hate a la suite !!

Plutôt bien mais on a dû mal à situé l'action !!
A quand la suite ??

si tu regardes bien meme la fanfic de salicorne avait un succes modéré au debut, c'est pas parce qu'on post pas qu'on la lit pas

Bref soit patient les lecteurs viendront.

super tu nous met la suite quand

CHAPITRE 2 :


Obéir ou mourir.


Severus Rogue était debout, au milieu d'une pièce extrêmement sombre, il était inquiet, stressé. Il savait ce qui devait lui attendre, il n'a pas réussi à accomplir sa mission et le Seigneur des Ténébres serait fou de rage. Rogue voulait s'enfuir mais à quoi bon, il retrouverait sa trace en un rien de temps.
Fenrir Greyback se trouvait assis sur un divan en patchwork, les ressorts à l'air.
- Ne stresse pas ainsi Severus, on a fait tout ce qu'on a pu pour la trouver.
Rogue, toujours avec son petit sourire narquois.
- Fenrir, je sais que le Seigneur des Ténébres ne m'en voudra pas... mais c'est plutôt pour toi que j'ai peur...
En se levant d'un coup.
- Quoi ? Pourquoi il ne t'en voudrais pas ?
- Fenrir, a tu fais toutes les missions périlleuses que j'ai pu parcourir toutes ces années ?
Greyback ne savait plus quoi dire.
- Le Seigneur Noir ne va pas me tuer, il a encore trop besoin de moi pour l'instant, dit Rogue qui regarda fixement Greyback dans les yeux.
Greyback commença à s'avancer vers Rogue mais il ne recula pas d'un pas pour autant.
- Parce que tu te crois au-dessus de tout le monde Severus ?, Greyback disa cela juste devant la figure de Rogue.
- Tu mourra un jour ou l'autre Severus.
- Alors ce ne sera pas tout de suite.
- On verra ça.
Il se retourna, puis se rassit sur le divan. Rogue était toujours au milieu de la pièce, sans bouger.
Soudain, un homme apparu juste à côté de Rogue. Il était chauve, le nez plat et ses narines étaient comme ceux d'un serpent, il avait le visage extrêmement pâle comme celui d'un mort, mais ce qu'il avait de plus particulier, c'était ses yeux, ils étaient d'un rouge, rouge comme le sang.
- Maître.
Rogue s'agenouilla devant l'homme.
- Lèves toi Severus.
Rogue se releva tout de suite après.
- Alors ? Qu'avez vous à dire ?
Le Seigneur des Ténébres avait une voix comme si c'était un murmure.
Greyback n'avait toujours pas bougé de son divan.
- Et bien, Severus n'a pas réussi à trouver la petite fille.
Le Maître s'avança vers Greyback.
- Et toi alors ? Tu l'as trouvé ? Je croyais que ton flair était infaillible pour retrouver les personnes.
Rogue parla à son tour.
- Maître, ce que dit Greyback est vrai, certes mais vous nous avez aussi demander juste de retrouver sa trace.
- C'est exact Severus et tu sais où elle est en ce moment ?
- J'ai bien sûr ma petite idée derrière la tête et je vous le dévoilerai sans aucun problème mais jamais devant cette créature immonde.
Greyback se releva d'un bond.
- Qu'as tu dis ?
- Oui Greyback, tu es une créature immonde et tu ne penses qu'à tuer si je n'avais pas été là, je crois que tu aurais tuer toute la famille Weasley ce que notre Seigneur ne voulait en aucun cas.
Le Seigneur Noir regarda Greyback.
- Tu allais me désobéir, je crois que Severus a rempli sa mission mais dans ton cas, ce n'est pas fait. Et tu sais ce qu'attend à ceux qui ne réussisse pas ce que je leur demande Greyback ?
- Mais...
- Adieu Greyback. Avada Kedavra !
Un jet de lumière verte éclaira toute la pièce.
Le loup-garou ne vit rien venir et s'effondra, mort.
Les Seigneur des Ténébres se retourna et regarda Rogue fixement dans les yeux.
- Alors Severus, où est la fille ?
Rogue regarda trois secondes le cadavre du loup-garou.
- Severus ?
- Oui, voilà. La jeune fille avait des relations intimes avec Harry Potter et cela ne m'étonnerait pas qu'elle l'est rejoint en ce moment même.
- Harry Potter... Encore et toujours Harry Potter !!! Je ne peux me déplacer personnellement là-bas et tu le sais très bien. Même vous, vous ne serez jamais assez puissant pour pouvoir rentrer dans cette maison.
- Oui je le sais Maître.
- Très bien, réunion ce soir.
- A vos ordre Maître.
Le Seigneur Noir disparu d'un coup sec. Rogue resta encore au milieu de la pièce, maintenant seul vivant. Il regarda une dernière fois la dépouille de Fenrir et s'envola à son tour.

Le Chapitre 2 est le plus court de mon fanfiction donc pas besoin de s'inquièter.

Le chapitre 3 sera mis en ligne ce soir (18/07/06).

super ta Fanfic de tres bonne idée continue comme sa !!!

Chapitre 3 : (1ère partie)


La dernière fois.



Privet Drive, rue paisible. Personne ne savait ce qui pouvait se passait à ce moment précis. Personne, mis à part un individu. Un adolescent. Le 4, Privet Drive était le plus joli pavillon à regarder, des fleurs et des haies taillées à la perfection, et l'herbe était coupé au millimètre près.
L'adolescent était allongé sur son lit, dormant paisiblement, une cicatrice en forme d'éclair tracé sur son front.
- Harry ! cria une voix suraigüe venant des escaliers.
Le jeune homme se réveilla d'un sursaut, c'était la première depuis dix jours qu'il n'avait pas dormi.
La voix suraigue se fit encore entendre.
- Harry, il y a une chouette pour toi !
Harry se leva à une telle vitesse qu'il en tomba de son lit, il se releva, ouvra la porte de sa chambre, coura le long du couloir et descendit les escaliers quatre à quatre. il traversa la véranda, la cuisine, poussa une sorte de cochon aux cheveux blonds qui se trouvait sur le passage. Et arriva enfin dans la salle à manger où il vit un hibou grand duc avec un journal dans le bec.
Harry fouilla dans sa poche de son jean troué et trouva cinq petites noises qu'il déposa dans la petite bourse en cuir du hibou.
L'animal déposa le journal sur la table et s'envola par la fenêtre.
C'est alors qu'un énorme garçon apparu dans la salle à manger, c'était la chose que Harry avait poussé tout à l'heure.
- Hé ! Tu pourrais t'excuser au moins ! dit celui ci.
- J'ai pas le temps Dudley, j'attendais La Gazette des Sorciers.
- Et alors ? Ne te crois pas tout permis ! Même si tu peux utiliser tes pouvoirs sur nous, c'est pas pour autant que tu nous doit encore du respect !
Harry se retourna vers Dudley, les yeux fatigués.
- Ecoute Dudley, ne me cherche pas en ce moment, je n'ai plus dormi depuis dix jours.
Mais Dudley ne se laissa pas démonter pour autant.
- Si tu es encore ici, c'est grâce à maman.
Et c'était vrai, Dumbledore avait dit à Harry de rester ici.
La porte d'entrée de la maison s'ouvrit. Cela devait être les parents de Dudley.
Harry se retourna une nouvelle fois vers la table où il y avait le journal posé sur la table. Qu'allait elle encore lui apprendre ?
Depuis la mort du directeur de son école de sorcellerie, il n'arrivait plus à dormir et chaque jour, des nouvelles de plus en plus violente apparaissait sur le journal.
Lors de ces derniers jours qu'il avait passé dans cette maison, il lisait la Gazette du Sorcier dont il retenait les titres : "La mort d'un grand mage" ; "Attaque au ministère de la magie" ; "De nombreux moldus attaqués" ; "Vous-Savez-Qui a été vu".
Harry prit le journal dans ses mains, le déplia.




SUITE TRES TARD CE SOIR

Bravoo...!

Suite du chapitre 3 :

Harry n’en croyait pas ses yeux, il avait devant lui la chose qu’il désirait le moins au monde. Il reconnut la maison des Weasley sur la photo, enfin ce qu’il pouvait en restait. Elle était en ruine, elle ne ressemblait plus à rien, on aurait qu’une bombe avait fait exploser « Le Terrier », c’était le nom que donnait la famille Weasley à leur demeure.
Il voulait tout de suite lire les premières lignes pour savoir ce qui s’était passé, mais avant qui puisse le faire, un souffle rauque vint souffler derrière sa nuque.
- Que se passe-t-il mon garçon ?
C’était Vernon Dursley, l’oncle à Harry.
- Laisse moi tranquille, répondit Harry.
- Je ne t’ai jamais vu aussi inquiet que ça, que se passe-t-il ?
Depuis que Harry pouvait maintenant se servir de ses pouvoirs, la famille Dursley était beaucoup plus gentil avec lui.
- Rien, laisse moi .
Harry donna un petit coup de coude dans le ventre de son oncle sans que celui ne réagisse.
Un garçon énorme pénétra à son tour dans la salle à manger, c’était la chose qu’avait poussé Harry tout à l’heure.
- Papa ! Il m’a bousculé en le faisant exprès.
- Mais non, mais non… Harry n’a pas du faire attention c’est tout.
Harry n’arrivait pas à se concentrer pour lire.
- Taisez vous un peu !
Cette fois-ci c’était une femme qui pénétra dans la salle à manger. Elle était coiffé avec un chapeau de paille, un tablier vert et portait une cisaille dans la main droite.
- Ne parle pas comme ça à ton oncle Harry, dit celle-ci.
- Pétunia, ma chérie, dit l’oncle Vernon.
- Qu’est ce qu’il se passe ? questionna Pétunia.
- Vous n’avez qu’à lire et vous le saurez.
Toute la famille Dursley s’approcha du journal et lu par dessus l’épaule d’Harry.


De la violence mais aucun mort.

Hier matin, vers neuf heures, les mangemorts ont attaqués violement la famille Weasley.
Toute la famille se trouve actuellement à l’Hôpital Saint Mangouste. C’est le père, Arthur Weasley, qui a été le plus touché, selon les guérisseurs, l’homme a déjà eu beaucoup de chance s’en sortir. Le guérisseur en chef a bien dit officiellement que Mr. Weasley était en état de paralysie importante.
Le reste de la famille a eu beaucoup plus de chance que lui, ses fils n’ont été que paralysé ou assomé ; Seul la fille, Ginny Weasley s’en est sorti indemne.
D’après les aurors du ministère, les mangemorts cherchaient quelque chose d’extrêmement important pour qu’il soient si violent. Mais, il ne faut pas oublié qu’Arthur Weasley travaille aussi dans le ministère de la magie. Savait il des choses que Vous Savez Qui ignorait ? Personne ne pourra répondre à cette question jusqu'à ce que Mr. Weasley se réveille.
Selon notre envoyé spécial, sa fille tiendrait dans ses bras un miroir. Mais à quoi cela pourrait bien lui servir ? Que peut f…


Harry ne prit pas la peine de lire la suite de l’article, il poussa tout le monde qui était sur son passage, il mit même Dudley par terre.
Vernon Dursley se mit à crier.
- Ah non ! Trop c’est trop ! Personne n’a le droit de mettre mon fils par terre !
Harry n’entendit même pas ce que son oncle lui avait dit. Il se mit à courir vers la cuisine et se dirigea vers la véranda.
- Reviens ici ! beuglait l’oncle Vernon
Il partit à sa poursuite.
Harry monta les escaliers très vite et se dirigea vers sa chambre, il entendait les énormes pas de l’oncle Vernon derrière lui. Harry ouvrit la porte et la referma tout de suite derrière lui. Il prononça une formule pour pouvoir bloquer la porte.
Il se jeta à terre et regarda en-dessous de son lit, il y trouva toutes sortes de choses, des plumes, des bouteille d’encres, ds vieux grimoirs, des vieux journaux de la gazette du sorcier et il y avait même des bonbons de Berty Crochus fondu sur le parquet. Mais Harry prit un grand sac noir et l’ouvra. Il jeta ses robes de sorciers à travers la pièce et rouva enfin ce qu’il voulait, un vieux tas de chiffons. Il enleva ces chiffons et en sortit un miroir.
La poignée de la porte de la chambre s’enclencha mais elle ne s’ouvrit pas comme si elle était collé.
- Ouvre moi cette porte ! Ouvre la moi ! Tu n’as pas le droit ! Tu entends ? Tu n’as pas le droit de mettre mon fils à terre de cette manière !
C’était l’oncle Vernon. Il essaya d’enfoncer la porte de la chambre d’Harry.
Mais Harry ne se démonta pas pour si peu. C’est alors qu’il parla à son miroir.
- Ginny ?
Aucune réponse.
- Ginny tu m’entends ?
Une petite voix s’éleva alors du miroir.
- Harry ?
- Ginny ! Ginny, tu vas bien ?
- Oh Harry, je savais que tu allais enfin me répondre.
- Oui Ginny, c’est fini maintenant, je suis là ne t’inquiète plus. Est ce que le reste de ta famille va mieux ?
Ginny en avait les larmes aux yeux quand elle parla.
- Tout le monde va beaucoup mieux mais papa est encore mal au point, on dirait qu’il dort… Les guérisseurs font tout ce qu’ils peuvent pour le guérir mais il y a rien qui y fait…
De grosses larmes coula le long de sa joue.
- Ginny je viens vous voir. Je viendrai le plus rapidement possible mais je viendrai c’est promis.
Harry dis cela d’un ton décidé.
- Harry ?
Harry reconnu la voix qui venait de parler, c’était Ron Weasley, son meilleur ami.
- Ron ! Tu vas bien ?
Ron apparu dans le miroir juste à côte de Ginny.
- Moi ça va mais mon père est mal au point.
- Oui je suis au courant. Il faut qu’il s’en remette vite. Il ne méritait pas cela !
Ron avait l’air fatigué, il était pâle.
- Personne ne mérite ça Harry, tu sais.
- Oui c’est vrai mais bon… je viens vous voir dès que c’est possible.
- Non Harry !
Une nouvelle voix se fit entendre du miroir, Harry la reconnu également, c’était Hermione Granger, sa meilleure amie.
- Hermione ? Que fais tu là-bas ?
Et à son tour, Hermione apparu dans le miroir.
- Harry, ne sors surtout pas, tu sais très bien que c’est trop dangereux !
- Mais…
- Non, Harry !
- Mais…
- Harry. Promets moi que tu ne sortiras pas de chez toi.
- Non Hermione ! Je ne peux pas te promettre ça ! J’ai envie de vous voir, même si je dois y laisser ma vie, je viendrais vous voir ! Vous êtes mes amis, non ?
Harry avait de petites larmes qui coula le long de son visage. Mais Hermione reprit de plus belle ?
- Harry… Arrête s’il te plaît, arrête.
- Non ! Vous êtes mes amis, je ne veux pas vous perdre ! Vous êtes trop précieux pour moi !
Ginny s’en alla du miroir, de chauses larmes qui coulaient sur ses joues.
- Harry…
Hermione essaya de parler mais aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Ses yeux brillaient. Elle s’en alla aussi du miroir.
Cette fois-ci, ce fût Ron qui reprit la parole.
- Ecoute Harry. Nous on est là pour te conseiller, nous somme que tes amis, on te dis juste ce qui serais le mieux pour toi. Tu sais très bien que se serai dangereux de venir nous voir.
Mais Harry s’entêta.
- Vous ne m’empêcherai pas de venir vous voir. Et comme tu dis, vous êtes mes amis et j’ai encore besoin de vous pour les conseils que vous pouvez me donner.
- De toutes façons, même si la situation était pire, tu serais venu quand même.
Ron dit cela avec un petit sourire.
- Oui c’est vrai. Je viendrai quand même.
Ginny apparu de nouveau dans le miroir.
- Harry, j’ai un message pour toi venant de mon père. Il me l’as dit avant qu’il sombre dans un profond sommeil. Il m’a dit de te dire que tu allais avoir maintenant une garde rapproché pour te protéger, il m’a dit aussi que c’était les meilleurs Aurors au monde.
Puis elle disparu à nouveau avant que Harry ne puisse dire un seul mot.
- T’as entendu Harry ? Maintenant, tu possèdes ta garde personnelle ! Tu vas pouvoir venir nous voir sans encombre alors.
Harry n’en cru pas ses oreilles. Le ministère de la magie aurait donné une garde personnelle spécialement pour lui ?
L’oncle Vernon essaya toujours d’enfoncer la porte sans qu’il n’y eu de réussite.
- Harry ?
C’était Ron qui lui parlait, il était perdu dans ses pensées.
- Je…
Mais avant qu’il n’eut pu dire quoi que se soit à Ron, il entendit des claquements secs sortir de nul part. il se retourna et vit quatre personnes qu’il reconnu tout de suite.
Il y avait Minerva Mc Gonagall, la sous-directrice de son école ; il y avait également Lupin, un des anciens professeurs de Défense contre les forces du mal ; Tonks, une proche amie de Lupin et il y avait aussi Maugrey Fol-Oeil.
Harry bondit de joie de voir toutes ces personnes à la fois. C’était donc ces personnes là sa garde rapproché ? Ils faisaient tous parti du célébre Ordre du Phénix, enfin faisait parti.
Lupin parla en premier.
- Harry ! Comme ça fait…
Ils entendirent un gros « boom » à la porte.
- Qu’est ce qu’il se passe de l’autre côté ? questionna Mc Gonagall.
Harry venait d’oublier que son oncle était toujours derrière la porte pour pouvoir rentrer.
- Ah non, c’est rien, c’est mon oncle qui essaie d’enfoncer ma porte, rien de grave.
Pour Harry, c’était très banal mais pour Tonks, c’était autre chose.
- Pas grave dis tu ?
Elle pointa de sa baguette magique la porte et s’ouvra.
L’oncle Vernon, la tante et Dudley pénétra dans la chambre, Mr. Dursley à l’affût.
- Alors toi, tu vas me le pa…
L’oncle Vernon tomba à terre, stupéfait de voir autant de monde dans la chambre. Dudley fit demi tour. La tante Pétunia à l’arrêt.
Puis soudain Tonks s’écria.
- Bonjour !
Dudley se mit à courir dans le couloir.
L’oncle Vernon reprit la parole.
- Qui… Qui êtes vous ? Que vous ne voulez vous ? Si c’est Harry que vous voulez, prenez le mais ne faites pas de mal à ma famille.
Maugrey se mit à parler.
- Je le savais. Je savais que c’était comme ça que vous traîtiez Harry. Vous n’avez pas honte, sale vermine.
- Maugrey ! Ce n’est pas une façon de parler à l’oncle d’Harry !
C’était Mc Gonnagall qui répondait à Fol Œil.
- Et puis de toutes façon, c’est sûr, on vous prend Harry, rajouta Mc Gonagall.
Harry regardait la scène se pasait sous ses yeux sans qu’il dise un seul mot.
- Aller vient Harry, on y va, dit Lupin.
Harry s’approcha de Lupin.
- Vous ne lui dites pas au revoir ? questionna Lupin. C’est la dernière fois que vous le verrez vous savez ?
L’oncle Vernon bégayait.
- Qu… qu… qu… Quoi ? Et pourquoi cela ?
Harry ne disait plus rien, c’est vrai, pourquoi c’est la dernière fois qu’il le verrait ?
- Voilà qui est fait Harry, adieu.
C’était la tante Pétunia qui répondit à la question de son mari.
- Quoi ? Comment ça ? répondit Harry.
L’oncle Vernon était abasourdi, il ne disait plus rien.
- Ne t’inquiète pas Harry, on t’expliquera tout à mon avis. Vas maintenant, adieu.
Des larmes coulèrent le long de son visage.
- Accroche toi fort à mon bras Harry, on s’en va.
Harry s’agrippa fortement au bras de Lupin.
Il regardait sa tante, avant qu’il ne s’envole, c’était la dernière fois qu’il la verrait.

Le chapitre 4 sera mis en ligne ce soir (enfin j'essaierai du moins). Pour les chapitre 5 et 6, il va falloir attendre la semaine prochaine car là où je vais; je n'ai pas encore internet (que c'est triste )

Chapitre 4 :


Des retrouvailles.


Harry détestait ce qu'allait faire Lupin, le transplanage.
Il sentit ses pieds décoller du sol de la chambre. Lors du voyage, il crut tout d'abord que son nombril allait être arraché de son ventre mais lorsqu'il posa à nouveau ses pieds à terre, il se sentit rassuré.
Harry était encore accroché au bras de Lupin.
- Harry ? Tu peux me lâcher maintenant.
Avec un peu de gêne, Harry lâcha son bras.
- Oui pardon, excusez moi.
Lupin eût un petit sourire. Il était encore devenu plus vieux depuis que la dernière fois quand Harry l'avait rencontré. Ses cheveux blancs était comme poivre et ses vêtements étaient en lambeaux.
- Je crois que du monde t'attends Harry, dit Minerva Mc Gonagall.
Harry remarqua que le professeur Mc Gonagall le tutoyait maintenant. La nouvelle directrice de Poudlard - et oui car le collège de Poudlard réouvrira ses portes ! - était toujours habillé de la même façon, chapeau pointu et cape verte émeraude.
- Ah bon ? Et qui...
Harry entendu un cri arriver derrière lui. C'était Hermione. Il se retourna.
- Harry !!!
Elle le prit dans ses bras. C'est la première fois qu'elle avait besoin autant de réconfort.
- Hermione. Ca va ?
- Tu as quand même réussir à venir ?
Elle regarda derrière Harry.
- Oui grâce à mon escorte personnelle.
Il eû un peit sourire. Harry se sentait mieux maintenant. Il retrouvait tout le monde d'un coup et cela lui réchauffait le coeur.
- Je vois ça. Aller viens Harry, je vais te faire venir dans la chambre de Ron et Ginny.
Elle le prit par le bras, il n'eût pas le temps de dire "ouf" qu'il fût emmener de force.
Tonks cria derrière.
- Harry ! On t'attendra ici même vers 18h00 !
- Ok !
Harry se fit emmener de force. Il remarqua qu'il y avait beaucoup plus de patient depuis sa dernière visite et les guérisseurs couraient le long des couloirs. Ils traversèrent une double porte et pouvait voir des portraits de nombreux guérisseurs célébres. L'endroit était éclairé par des globes de cristal remplis de chandelles, semblables à des bulles de savons géantes. Les sorciers vêtus de vert - les guérisseurs - allaient et venaient en tout sens. Après dix mètres, ils montèrent une volée de marches et arrivèrent dans le couloir "Pathologie des sortilèges". Hermione emmena Harry à la deuxième porte situé à gauche et lu le nom qui était gravé sur la porte "Jin Frihall" et juste en dessous on pouvait lire "Guérisseur-en-chef : Zell Shepard. Guérisseur stagiaire : Bill Ouney".
Hermione ouvrit la porte et entra. Harry la suivit.


SUITE DU CHAPITRE, DEMAIN SOIR.

Pour ceux qui veulent savoir, j'en suis pour l'instant au 32ème chapitre d'écrit sur mes papiers et ke n'ai pas encore fini ! Je suis encore en train d'écrire les deux derniers voir les trois derniers chapitres, ce qui veut dire qu'il y en aura à peu près 35, enfin je crois.

trop cool ta fanfic je viens de tout lire et j'attend avec la plus grande impatience la suite escuse pour le retard de lecture mais la fanfic de cavaliersolitair ma fait oublier toutes les autres lol mdr

Suite du chapitre 4

Lorsqu' Harry entra dans la chambre, il sentit une horrible odeur de cramé. La chambre n'était pourtant pas en feu, elle était plutôt belle et agréable à regarder, pas comme les chambres d'hôpital des moldus pensa-t-il. Elle était extrêmement grande, les murs étaient blancs et il n'y avait aucune tâche. Il y avait seulement une armoire et un lit... Un lit où était assis Ron et Ginny !
- Harry ! s'exclamèrent ils.
Harry était vraiment heureux, il pouvait enfin revoir ses amis. Ils avaient l'air d'être en bonne santé. Il remarqua aussi que Ron avait encore grandi d'au moins 10 centimètres depuis la dernière fois, ses cheveux avaient encore poussé.
Ginny était toujours pareil, une belle jeune fille.
- Ginny, Ron !
Ginny courut vers Harry et sauta dans ses bras.
- Ouh là, doucement Ginny, tu vas me briser la nuque aussi non.
Ginny, un peu géné, relâcha son étreinte.
- Oups, excuse moi.
Ginny lui fit un bisou sur sa joue gauche. Harry sentit son coeur bondir. Ses joues étaient en feu.
Pour ne pas faire voir que ses joues étaient rouge, il se précipita vers Ron qui était toujours assis sur son lit.
Ron lui murmura. "Pourquoi t'es tout rouge ? T'aimes encore ma soeur ?".
- Je le crois pas, à peine qu'Harry soit arrivé, vous vous faites déja des secrets. C'est dingue les garçons !
Hermione les surprit en train de se parler dans l'oreille l'un à l'autre.
- Mais non Hermione, ce n'est pas ce que tu crois.
- Oui et bien ce que je disais, c'est bien un truc de mecs.
Harry se retourna et lui sourit.
- Pourquoi tu fais cette tête là Harry ?
Le sourire qu'Harry s'élargit encore de plus, cela faisait si longtemps qu'il n'avait rit.
- Euh... Ben en fait, ça me fait plaisir que vous vous chamailler, je vous retrouve, ça fait plaisir.
Ron et Hermione se regardèrent, ils avaient l'air honteux.
- Mais ne réagissait pas comme ça ! C'est dans votre habitude, ne changeait pas.
Harry reprit de nouveau la parole et parla à Ron.
- T'as eu des nouvelles de ton père ?
Ron le regarda, l'air triste.
- Non, toujours pas. Justement, le guérisseur en chef doit arriver.
Harry comprit que c'était vraiment grave. Il n'avait jamais vu Ron dans cet état. Et Harry lui posa une nouvelle question.
- Mais qu'est ce qui s'est passé, pourquoi on vous a attaqué ?
Personne ne répondit, Ron ne savait pas quoi dire, Hermione regardait autre part mais Ginny cassa le silence.
- C'est à cause de moi.
Harry regarda vers Ginny, il ouvra la bouche pour pouvoir parler mais ce fût Ron qui parla en premier.
- Arrête de dire n'importe quoi Ginny, pourquoi les mangemorts t'en voudraient ils ?
- Mais tu n'étais pas là quand Rogue disait qu'il cherchait une jeune fille !
Harry regarda Ron et Ginny chacun son tour, comme dans un match de tennis.
- Mais on ne sait toujours pas si c'était vraiment toi qu'il cherchait puisqu'il n'a jamais prononcé ton nom. C'est bien ce que tu m'as dit tout à l'heure ?
Ginny se sentit comme seul au monde. Elle chercha Hermione du regard pour la défendre mais rien ne lui vint à l'esprit.
- Alors pourquoi papa m'as dit de me cacher dans le Placard Oublié ?
Ron ne savait plus quoi répondre. Oui ceci était vrai, pourquoi Mr. Weasley avait dit à Ron de dire à Ginny de se cacher dans ce placard ?
- Hein ? Alors pourquoi il a dit à ça ? Il doit bien y avoir une raison !
Une femme apparu tout un coup dans la chambre, venant de nul part.
- Vous voulez bien baisser le ton je vous prie ? Il y a des patients !
- Pardon excusez nous, répondit Harry. Ca ne se reproduira plus.
- Je l'espère.
Et elle s'envola aussi tôt. Ginny était encore en état de colère. Hermione ne disait plus rien et Ron avait la bouche grande ouverte.
- Hum... hum... Euh... Si on parlait d'autres choses ? suggéra Harry. On en rediscutera plus tard. On en reparlera quand vous serez sorti de cette chambre.
Mais Ron ne l'entendait pas de cette oreille.
- Et en quoi tu serais importante au Seigneur des Ténébres ?
Ginny qui commençait à retrouver sa peau normale, revira au rouge.
- Tu... Tu... Tu m'énerves Ron ! Tu ne me crois jamais !
Ginny dit ça avec un ton qui pouvait blessé n'importe qui.
- Je te déteste !
Ginny s'en alla en courant vers le couloir.
- Ginny !
Hermione regarda Ron d'un regard glacial.
- Quoi ? Qu'est ce que j'ai encore fait ?
Ron avait cru qu'il n'avait rien dit de bien méchant à sa soeur.
- Tu es vraiment nul Ron.
Hermione sortit à son tour de la chambre.
Harry regardait la scène sans pouvoir dire un seul mot. Après que la tension se soit détendu, Harry reprit la parole.
- Pourquoi tu ne crois pas ta soeur Ron ?
Ron le regarda avec un oeil sur le côté.
- Pourquoi ? Tu la crois toi ?
Harry savait quand Ginny ne disait pas vrai, ils avaient passé de bon moment ensemble à l'école.
- Ben... Cela paraît probable quand même. Il n'y avait que deux filles dans la maison, non ? Et d'après ce que j'ai entendu de Ginny, Rogue...
Harry sentit la haine montait en lui, Rogue... Cet homme abject avait tué Dumbledore onze jours auparavant, et ça Harry ne lui pardonnerait jamais. Jamais...
- Harry ? Ca va ?
Harry était perdu dans ses pensées quand il prononça le nom de Rogue.
- Oui pardon. Je crois Ginny car d'après Rogue...
Harry avait encore du mal à prononcer son nom.
- Rogue cherchait une jeune fille pour Voldemort.
Ron réfléchit quelques instants.
- Ca se trouve c'était Fleur qu'il voulait mais c'est impossible, elle était paralysé.
- Voilà, pourquoi Fleur n'a pas été enlevé alors ?
Ron ne savait plus quoi dire.
- Ron, tu sais que tu peux être stupide quelques fois.
Ron regarda de nouveau Harry.
- Tu m'enlèves les mots de la bouche, répondit il.
Harry fit une tape dans le dos de Ron.
- Aller, viens, on va aller voir Ginny.
Ron lui répondit avec un petit sourire.



SUITE DU CHAPITRE LA SEMAINE PROCHAINE.

Vous allez rire, je n'arrive pas à retrouver la suite du chapitre 4.

Euh... Bon et bien, je crois que je vais devoir la réécrire

Ca va me faire encore quelques heures de travaille en plus pour réécrire cette suite.

Enfin je veux dire que je n'ai pas tout paumé de cette suite. J'ai juste que deux pages qui ont disapru.

Hum hum dsl si je coupe ton histoire mais pourquoi Ron appele t'il Voldemort par le seigneur des ténèbres!!
Si sa a un détail important dans ton histoire je m'en excuses d'avances!
C'était juste pour savoir si tu t'étais pa trompé !!!!

Ron, qui avait un bandage à son bras droit se leva de son lit aidé par Harry. Ils se dirigèrent ensuite vers la porte pour aller voir Ginny pour que Ron s'excuse.
Arrivé dans le couloir, Ginny pleurait dans les bras d'Hermione, qui celle-ci essayait de la consoler.
- Si c'est pour lui dire encore quelque chose de...
- Non, non.
Ron s'approcha de Ginny, assise par terre. Il s'accroupit devant elle.
- Ginny... Euh... Excuse moi pour tout à l'heure. Je... je ne savais pas ce que je disais. Excuse moi.
Ginny regarda fixement Ron dans ses yeux.
- C'est la première fois que tu t'excuses devant moi Ron. Tu ne l'avais jamais fait auparavant.
Ron toussa, on aurait qu'il allait pas bien du tout.
- Stupéfix !
C'était Harry qui avait crié ce sort. Ron tomba net, paralysé.
- Harry !!! Qu'est ce que tu as fais ?
Harry lança un regard froid à Ron. Hermione dégaina sa baguette magique.
- Qu'est ce qu'il te prends Harry ?
Ginny faisait bouclier avec son corps pour protéger Ron. Harry baissa sa baguete, regardant toujours Ron.
Soudain, un guérisseur apparu net devant Harry.
- Qu'est ce qu'il se passe ici ?
Harry reprit enfin la parole.
- Emmenez cet imposteur là où il mérite d'être.
Ginny leva la tête vers Harry, elle était en larme. Hermione était bouche bée. Le guérisseur leva sa baguette vers le corps inerte de Ronet lança un sort vers lui.
C'est alors que le faux Ron commençait à fondre, sa peau se décomposait.
Ginny cria de peur. Hermione mit sa main devant sa bouvhe.
C'est alors que le faux Ron se transforma en un personne que tout le monde connaissait, Drago Malefoy. Des cheveux blonds, une robe noir impeccable et des chaussures noires en cuir.
- Co... Comment est ce possible ?
Hermione était pâle, extrêmement pâle.
- Comment as tu su Harry ?
- Ron n'est pas comme ça d'habitude, il ne réagit pas de cette manière, je le connais depuis plus de six ans.
Ginny était assise par terre, regardant Drago Malefoy.
Le guérisseur se mit alors à parler.
- Je préviens tout de suite les Aurors, j'emmène ce garçon avec moi. Elle lança un nouveau sort sur Drago et il se mit à flotter dans les airs. Le guérisseur se mit à marcher jusqu'au bout du couloir, le corps de Malefoy le suivant. Ils disparurent à l'angle du couloir.
Ginny et Hermione était absourdi.
- Où est le vrai Ron ? questionna Harry.
- Je... je... je ne sais pas, balbutia Hermione.
Une silhouette apparu alors à l'autre extrimité du couloir.
- Harry ?
La silhouette courut alors vers le groupe d'amis, il se rapprocha de plus en plus et reconnu Ron, le vrai Ron.
- Ron ! Où étais tu passé ? s'écria Hermione.
- Quoi ?
Ron regarda tout le monde, il fût extrêmement surpris de voir ces têtes là.
- Qu'est ce qu'il se passe ? J'ai encore fais quelque chose de mal ?
Hermione se précipita vers Ron et lui mit une énorme claque sur la joue gauche.
- Hé ! Mais t'es folle ! Pourquoi t'as fais ça espèce de cinglé !
Hermione, Ginny et Harry avaient tout les trois un sourire.
- C'est bien toi, reconnu Hermione. J'ai remarqué facilement.
Ron avait un air ahuri, il devait se posait des tonnes de questions.
- Vous allez m'expliquer à la fin ?
Harry raconta ce qu'il venait juste de se passer il y avait à peine trois minutes. Ron écouta attentivement et ne posa aucune question jusqu'à ce qu'il entendit le nom de Drago Malefoy.
- Quoi ? Drago ? Drago avait prit ma forme ? Il était là ?
- Oui et sache que j'ai reconnu que c'était lui car il avait prononcé le nom "Seigneur des Ténébres", ce que le tu ne dis jamais d'ailleurs, sans ça je n'aurais pas encore trouvé. Quoique, j'ai vu comment il réagissait, je parle bien sûr du faux Ron. Et donc je savais que tu ne réagissait jamais comme ça avec ta soeur.
Ron se sentit honteux, il devenait un peu rouge. Il regarda alors Ginny.
- Je suis si dur que ça avec toi Ginny ?
Elle fit un signe de tête positive.
- Bon, alors je te promets qu'à partir d'aujourd'hui, je change. Je serais digne d'être ton grand frère.
Il s'approcha de Ginny et la serra fort dans son seul bras qui était intacte.
- On vas vous laisser tranquille, dit Hermione.
- Oui t'as raison, vous devez vous dire pleins de choses à mon avis.
Ron les regarda et leur fit un clin d'oeil pour les remercier.
Harry et Hermione se retournèrent et alla dans les autres chambres des Weasley, laissant Ron et Ginny percer leur abscés longtemps caché.
Les deux amis entra dans une nouvelle chambre où ils retrouvèrent Fred et Georges, tout deux allongé dans leurs lits.
- Harry !!! s'exclamèrent les jumeaux ensemble.
Fred essaya de se lever de son lit mais il fût rapidement par terre ce qui fit explosait de rire Georges.
- Attends Fred, on va t'aider à te relever.
Harry et Hermione, prit chacun un bras du jumeau et le remit sur son lit, après un effort insurmontable.
- Tu pèses lourd mine de rien, dit Harry. Ca va aller quand même ?.
- Oh tu sais j'en ai vu d'autres.
- Oui, comme la fois où tu t'étais casser les deux jambes parce que selon toi, tu avais trouver un sort qui puisse nous faire voler.
Fred regarda Georges qui était mort de rire juste après avoir dit cela. Fred s'empara de son oreiller et le lança en pleine figure de Georges. Ce qui le fit taire.
- Ha ha, très drôle Georges mais tu n'étais pas mieux non plus puisque tu as essayé juste après moi. Et toi tu t'étais cassé les deux bras car tu avais plongé tête la première du haut du grenier.
- Oui, bon ca va, ronchonna Georges. Si on ne peux plus rigolé...
Harry et Hermione avait le sourire jusqu'aux oreilles. Harry se demanda comment il pouvait rire dans une situation comme celle-ci.
- Au fait Harry, c'était quoi le cri qu'il y avait dans le couloir ?
- Rien. Rien de bien méchant.
Fred et Georges se regardèrent. Ils avaient cru Harry.
- Vous avez des nouvelle de votre père, demanda Hermione.
- Non toujours pas. Ca ne devrait plus tarder.
- On va aller voir Mrs. Weasley, dit Harry.
- D'accord, répondirent les deux frères. A tout à l'heure ! Si vous avez des nouvelles de papa, vous venez nous voir, ok ?
- Ok ! répondit Harry.
Les deux amis sortirent dans le couloir et commença à marcher le long du couloir. Harry se posait quelques questions tout de même. Comment Drago avait réussi à infiltrer l'hôpital sans se faire remarquer par les Aurors ? Et comment se faisait il qu'il se trouvait dans la chambre de Ron sans qu'Hermione et Ginny s'en aperçoive que c'était un faux.
- Hermione ?
- Oui, répondit celle ci.
- Comment se fait il que le faux Ron ai réussi à infiltrer la chambre sans que vous ne vous aperceviez ?
- Ah oui, excuse moi Harry, je te l'ai pas dit. En fait, c'est simple, le vrai Ron nous avait dir à moi et à Ginny qu'il allait aux toilettes, au bout de trois minutes, il était revenu. C'est vrai que cela nous semblait bizarre, puisqu'il disait qu'il devait faire le grosse commission, si tu vois ce que je veux dire. Et puis c'est là donc qu'il apparu pour prendre la place au vrai Ron. Quand il est revenu, on lui avait dit "Déjà ?", il nous avait répondu que c'était occupé. Donc, forcément on l'as cru.
Ils marchèrent encore dans le couloir, Harry suivait Hermione car elle seule savait où se trouvait les chambres des Weasley.
- D'accord, répondit Harry mais c'est quand même dangereux, pourquoi Drago a fait ça alors qu'il savait que le vrai Ron reviendrait dans sa chambre ?
- Ca aussi c'est simple. Il aurait pu faire croire à tout le monde que c'était lui le vrai Ron et pas l'autre. Il ne faut pas oublier que c'est Voldemort qu'il l'a envoyé à mon avis et donc il ne l'aurait pas fais comme ça, el le laissant à son propre sort. Drago avait quelque chose derrière la tête pour qu'il fasse croire que c'était lui le vrai Ron.
- Oui cela peut être probable, répondit Harry, pensif.
Arrivé devant la chambre de Mrs. Weasley, Hermione dit à Harry une chose incroyable.
- Au fait Harry, ne parle pas de Fleur Delacourà Mrs. Weasley, elle ne fait plus parti de ce monde à présent.
Harry n'en croyait pas ses oreilles, si on lui avait donné une claque à ce moment, il ne l'aurait pas sentit.



SUITE DU CHAPITRE CE SOIR.