"Ensorcelé"

voilà une tite fanfic très ORIGINALE, completement co-écrite avec Marie-Emilie une amie de l'unif, nous esperons que cela vous plaira autant que nous on prend du plaisir à l'écrire...

la totalité des dialogues sont en réalité en anglais, sauf si précisé. les mots entre "" sont les mots français perçut par nos anglophones.

Merci de nous laissez vos commentaires ici:

http://hp7-leforum.heavenforum.org/viewtopic.forum?t=1055

merci et bisous

Fred :

« Emma ! »

« Oui ? »

La jeune fille avait déboulé sur le palier de sa chambre, sa démarche était vive et son regard pétillant. Elle avait les yeux bleus, les cheveux châtains jusqu’aux épaules, un nez pointu et de jolies formes.

« Tu n’oublies pas Fred ? »

« Aucun risque Maman ! Tu n’aurais pas vu mon top rose ? »

10 min plus tard, elle descendait les escaliers 4 à 4, enfourchait son vélo et fonçait vers la gare ! Quelle idée de la part de Fred de venir à Liège sans magie aucune !! Une fois arrivée au Guillemins, elle repéra tout de suite son grand échalas rouquin. Celui-ci fût heureux de reconnaître enfin un visage familier au milieu de toute cette cohue.

Les baisers de retrouvailles échangés, Fred lui raconta son voyage en omettant quelques détails : comme le petit moldu aux yeux gourmant qui se souviendra toujours de sa dragée surprise au goût endive à ce qu’il a cru comprendre. Ni les chocogrenouilles qui voyagèrent partout dans le wagon.

Fred n’avait jamais vu de vélo de sa vie, il n’hésita pas à s’asseoir sur le « porttpakais » trop content de retrouver sa petite sorcière moldue préférée.

Emma était issue d’une famille moldue, elle avait 2frères et une sœur. Son père était né dans ce même quartier, il était bien enrobé, avait les cheveux noirs, et des yeux aussi bleus que ceux d’Emma. Il avait rencontré sa mère lors d’une régate en Angleterre. Celle-ci avait la même taille qu’Emma, les yeux bleus également et un nez aquilin. Elle avait quitté son Angleterre natale pour suivre son Belge. Mais avait éduqué ses enfants dans les coutumes anglaises et leurs avait toujours parlé en Anglais.

Lorsque Fred entra chez Emma, il ne fût pas surprit de tant de monde, lui qui était habitué aux familles nombreuses. Il aperçut tout de suite, leur marque de fabrique, tous avaient les yeux bleus, un peu comme chez les Weasley où ils sont tous roux.

« Hey ! Bienvenue ! » Dit Julien, le frère aîné qui venait d’ouvrir la porte. Il était exactement comme l’avait décrit Emma : grand, brun et avec un sens de l’humour particulièrement piquant.

« Salut Fred ! » Elodie, la sœur d’Emma s’était avancée. La ressemblance entre les deux jeunes femmes était frappante. Elodie c’est exactement Emma, en plus jeune et en plus grande. Elle traînait derrière elle son « Jojo d’amour », il se présenta dans un anglais très basique, Fred l’encouragea de la tête.

« Salut Fred, moi c’est Geoffrey mais tout le monde m’appelle Jeff. » le « Jojo d’amour » était un moldu aux traits fort sympathiques. Il laissa place à un petit blondinet, le petit frère d’Emma : Luke âgé de 11 ans.

Les parents l’invitèrent à entrer, lui servant à boire, une « qrick », quelque chose de complètement différent mais tout aussi agréable que la bière-au-beurre de madame Rosmerta se dit Fred.

Emma lui fit visiter sa maison, c’était une maison mitoyenne à étages dont le jardin se trouvait au -1 par rapport à la rue. Le hall chaleureux menait aux escaliers et au salon- bibliothèque. Au sous-sol la cuisine- cave avait été agrandie et transformée en une belle cuisine rose, très lumineuse dont les portes fenêtres donnaient sur le jardin. Au 1er étage abritait les chambres des garçons et celles des parents, au second celle des filles.

Fred adorait déjà la chambre d’Emma, fushia et orange dont la fenêtre offrait une vue imprenable sur le jardin, et sur la vallée où s’entassait des centaines de maisons moldues et leurs jardins verdoyants, dessinant de petites rues sinueuses qui se rejoignaient ici et là. A droite on pouvait voir un petit bois, en face se trouvait le boulevard et à gauche la nouvelle gare en construction.

Une fois installé, ils entendirent la cloche appelant leur estomac vide à table.

Le repas fût digne de Mrs Weasley, la maman d’Emma avait vraiment mis les petits plats dans les grands. Ce fût une belle soirée d’été où Fred fit la connaissance de sa « future belle-famille » Il n’aurait jamais cru pouvoir s’entendre si bien avec des moldus de presque son âge.

Georges :

Fleur Delacour, était revenue en Angleterre pour parfaire son anglais, elle avait trouvé un petit job de stagiaire chez Gringotts, petit à petit elle devenait de plus en plus proche avec Bill. Toute la famille, semblait apprécier moyennement Fleur et sa famille.

Le jour du départ de Fred, fût un tournant dans la vie de Georges, Bill était avec Fleur main dans la main sur le chemin de traverse, ils hésitaient à entrer dans la boutique de farces et attrapes. Georges se tendit. Fleur s’avança, rejetant ses longs cheveux d’un blond si particulier, en arrière. Elle lui expliqua qu’elle ne s’attendait pas à une promotion chez Gringotts, mais que ses cours particuliers avec Bill portait tant ses fruits qu’elle était acceptée à temps plein. Sa famille devait lui rendre visite et elle avait promis de s’occuper de la petite dernière de la famille. Zoé.

Bill lui demanda s’il pouvait contacter Molly Weasley en se servant de la cheminée de l’arrière boutique. Il lui demanda si elle pouvait s’occuper de Zoé quelques jours. Le temps que Fleur et lui s’organisent.

Madame Weasley n’était pas emballée, mais accepta tout de même, que la petite sœur de Fleur, Zoé passe les grandes vacances au Terrier.

Ginny avait de bon contact avec Gabrielle, elle espérait qu’avec Zoé tout se passera bien, ça lui faisait du bien un peu de présence féminine dans ce monde d’hommes qu’était la famille Weasley.

Peu après l’arrivée de Zoé, Ginny fut invité chez Hermione pour l’été. Elle avait déjà refusé l’été dernier d’y aller à cause d’une visite chez sa tante Muriel l’année précédente. Alors pour cette fois-ci, Molly Weasley accepta.

Puis elle reçut elle aussi une lettre concernant une amie de la « ligue des femmes sorcières », qui avait des ennui avec son mari qu’elle soupçonnait d’être un Mangemort. Molly partit en toute urgence, laissant Zoé à Georges.

Comme Fred était partit, Georges devait s’occuper de Zoé. Mais cette petite était totalement intenable et hyperactive. Une véritable petite peste de 9ans, cachée sous un visage d’ange. Sa nature Vélane la faisait passer pour la parfaite petite fille bien élevée et sage en public, mais Georges savait à quel point la demoiselle cachait bien son jeu.

Elle lui en faisait voir de toutes les couleurs, tantôt calme, tantôt intenable. Georges devenait fou, la barrière des langues posait un énorme problème, lui ne parlait pas un mot de Français et elle faisait semblant de ne pas le comprendre.

Il ne savait plus où donner de la tête avec cette petite, la première journée fût une catastrophe, elle l’avait éreinté, il avait heureusement prit sa journée de congé mettant Lee Jordan, leur meilleur ami, à la boutique pour le remplacer.

Fred :

Le lendemain, Fred se familiarisait de plus en plus avec les lumières, les appareils moldus, leurs habitudes…

« Fred ! Viens ! Il faut que je te fasse visiter la ville » lança Emma en entrant dans le salon.

A ces mots, sa sœur se leva d’un bon, le sourire aux lèvres.

« Oh non ! » gémit Jeff

« Quoi ? » s’inquiète celui-ci

« C’est le mot de passe pour faire du shopping ! » fit Jeff d’une mine sombre. « Te ne les connais pas encore quand elles sont elles deux ! Ça va être l’enfer ! »

Curieux, il suivit Emma, sa sœur et l’ami Jojo à travers les rues pour arriver 20 minutes plus tard au centre ville regorgeant de magasins, boutiques, échoppes en tout genres. Jeff n’avait pas menti, Fred ne contait plus le nombre de magasins où les deux sœur, entraient, essayaient, achetaient… sous un soleil de plomb. Il passait cependant un très agréable après-midi à voir Emma se déshabillé, s’habiller encore et encore. 3heures 47 min plus tard d’après Jeff, chargés de paquets de toutes tailles, formes et couleurs, ils reprirent le bus, bondés. Fred, cru qu’il n’y survivrait pas, il y avait des gens à chaque cm² du véhicule, sur le trajet il observait des moldus de toutes sortes : des gros en marcel tachés, dégoulinant de sueur, des ados dont les jambes du training étaient rentrées à l’intérieur des chaussettes, la casquettes « posée » sur la tête. Des gosses se laissant aller à chaque virage en écrasant toutes les jambes autours d’eux…

Le chauffeur semblait aussi fou qu’Hernie du Magicobus, il en arriva presque à le regretter !

Georges

Zoé faisait des siennes, voilà 2jours que Georges dut prendre congé à cause de cette petite peste blonde. Il passa à la boutique rapidement pour s’assurer que Lee s’en sortait bien. Tout heureusement allait pour le mieux. Ils étaient très satisfaits de l’avoir engagé et lui de se trouver un peu d’argent pour offrir un cadeau d’anniversaire convenable à Angélina.

Zoé trouvait le magasin merveilleux à contempler. Toutes ses couleurs, ses animaux étranges et tous ces bonbons à l’air appétissants. Mais elle fît encore trop de bêtises, renversa les rayons, cognant les clients. Au moment de se faire réprimander par Georges, elle jouait de ses grands yeux angéliques, d’où elle faisait perler quelques larmes et lui fondaient sous un regard si triste.

Fleur et Bill passèrent ce soir là. Mais pas de bonnes nouvelles à l’horizon, Zoé allait encore rester une semaine complète au terrier avec Georges.

Complètement désespéré ce soir-là, il envoya un hibou en Belgique, là où Fred passait ses vacances en compagnie de sa copine Emma, pour leurs demander conseil. Il savait qu’Emma avait une sœur plus âgée que Zoé, il espérait qu’elle pourrait lui indiquer quelques activités, qu’il pourrait faire avec elle.

La réponse tarda un peu, mais il vit Errol accompagné par le hibou d’Emma. Il lui amenait 2 places VIP pour un concert Moldu Français à Paris.

Une certaine chanteuse moldue apparemment célèbre. « Lorie », non jamais entendu parler, oui pourquoi pas si ça fait fureur en France, ça doit certainement être meilleure que « Célestine Moldubec et son chaudron plein de passion. »

Chapitre 3 :

Fred :

On aurait dit que Fred avait été moldu toute sa vie… il faisait du café, utilisait le micro-ondes comme personne. Il avait même insisté pour passer l’aspirateur. Emma l’avait même surprit à regarder les dessins animés avec son petit frère. « Bob l’éponge », Fred en riait aux éclats. Elle était ravie de voir son amoureux découvrir le monde moldu, le cinéma où ils avaient été voir le Da Vinci Code, il avait adoré les « Pope Khorn », ils faisaient des folies dans le Carré surtout au « Pot au Lait » dont la décoration l’amusait à chaque fois.

Avec Elodie, Jeff et Luke, ils faisaient de nombreux match de tennis, Fred était un fervent supporter du petit Luke, il explosait de joie lorsque celui-ci faisait le break et se faisait malicieux, quand comme par enchantements, la balle retombait pile sur la ligne blanche, où alors qu’Emma se retrouvait dans l’impossibilité de bouger sa raquette. Elle n’était pas dupe, à plusieurs reprises elle a cru voir un « accio » sur les lèvres de Fred ! Celui-ci l’air taquin ne perdrait rien pour attendre.

Un jour matin, les parents d’Emma les emmenèrent dans un immense magasin de meubles moldu, un truc suédois en kit mais Fred n’avait pas bien comprit. Quoi qu’il en soit, au beau milieu du magasin, il attrapa un vieil hibou éreinté, tous les regards braqués sur lui.

Errol ! Il détacha avec peine le parchemin des pattes du vieil hibou. Fred le posa sur son épaule, et parcouru le parchemin, des nouvelles de Georges apparemment hilarantes. Emma le sourire aux lèvres ne tarda pas elle aussi à pleurer de rire avant même d’arriver à la fin de la lettre.

Ils entendirent un concours passer dans les publicités du magasin, ils envoyèrent un sms, et ils gagnèrent très magiquement le concours.

De retour à la maison, ils lui renvoyèrent Errol (après l’avoir gavé de miam hibou) accompagné de Woop la chouette d’Emma.

Puis ils partirent à Belle-île, la galerie commerciale moldue pour acheter des cadeaux pour la famille Weasley.

« Pour ton père, je vois bien un grille pain ou quelque chose du genre ! » lui dit-elle

« Oui parfait, et pour maman ? Tu crois que des chocolats moldus lui plairaient ? »

« J’en suis persuadée ! Et pour Ginny ? Tu as une idée ? »

« Ta sœur à l’air d’apprécier beaucoup son « aime pé troie » je crois que je vais lui en prendre un aussi, je demanderai à Elodie de mettre de la musique moldue dessus mais pas de rap ! »

« Il ne manque de Ron et Georges… »

« Ron je vais lui prendre ce livre : « Les filles pour les nuls » ça devrait l’intéresser non ? Emma ?»

« Pauvre Ron, il s’en prend toujours plein la figure avec toi. »

« Georges pour terminer… et bien quelque chose me dit « qu’apprendre le Français avec Mickey » devrait lui plaire énormément.

« Fred, t’es vraiment infernal, mais bon si tu le dis, tu le connais plus que moi ! »

« Bon viens, on rentre »

Fred changea de couleur, Emma avait conduit à l’aller et il ne savait pas ce qui était le pire : le bus moldu, le Magicobus, ou Emma au volant.

Georges :

Arrivés, en transplanant à quelques mètres de l’hôtel, ils prirent leur réservation.

« Mr Georges Weasley et Miss Zoé Delacour »

“ Vous êtes les gagnants du concours NRJ Belgique, elle vous attendra une heure après le concert. »

« Qui nous attendra ? »

« Ben, Lorie »

« Lorie ?? »

« Oui, la chanteuse, elle reçoit les VIP dans sa loge après le concert »

« Ok, très bien. Zoé tu viens ? »

Ils montèrent leurs affaires dans leur chambre. Zoé sauta sur lit et alluma la télévision, la chaîne des dessins animés : « Bob l’éponge » Georges ne comprenait pas tout le dialogue mais il rit ouvertement devant le sens du dessin animé. Son père aurait sûrement apprécié l’ingéniosité des Moldus.

Ils allèrent s’installer, parés de leurs plus beaux habits moldus, ils passèrent inaperçus dans toute cette foule. Des milliers d’enfants étaient venus admirer la jeune femme.

Soudain la musique retentit, les cris des fans s’élevèrent, partout des casquettes lumineuses brillaient du nom de la chanteuse.

Elle arriva enfin, suspendue à une échelle à plus de 4 mètres de haut. Elle descendait comme un ange, toute vêtue de blanc.

Georges écarquilla les yeux, « Woaw » fût le seul mot qui lui vient à la bouche. A peine décrochée, la jeune femme se mit directement à danser et chanter pendant près de 2h !!!!

Beaucoup de papas semblaient plus emballés de l’avoir vu que de l’avoir entendu…

Les VIP étaient les derniers à partir, un RDV avec Lorie tant de gamines ne l’auraient même pas rêvé. Georges était stressé, son français plus que basique n’allait pas l’aider à discuter avec cette jeune femme fabuleuse qu’il venait d’admirer pendant 2h.

Ils passèrent en dernier.

(Dialogue en français)

G : « Bonjooour »

L : « Bonsoir »

Z : « Bonsoir »

G : « The show was fantastic! »

Z: “ Il trouve que vos seins sont fantastiques”

Lorie souri intérieurement

G : “you are fabulous, I cannot imagine me to dance and sing for 2 hours”

Z: “ Il dit qu’il aurait pu vous mater pendant bien plus de 2heures.”

Lorie avait du mal à ne laisser paraître son rire, sa relation avec un anglophone pendant près de 4ans, lui avait permis d’avoir un anglais plus que convenable. Elle saisissait fort bien le ridicule de la situation.

G : « I will like a lot to see your next show”

Z: “Il dit qu’il aimerait beaucoup vous revoir en d’autres circonstances, mais il ne dit pas pourquoi.”

L : « Peux-tu lui demander pourquoi ? stp »

Z : “She is said me that you are not her style”

G: “What?”

L: “Don’t worry; I never said that, I find you gorgeous Georges”

Georges rougit mais pas autant que Zoé qui, si elle avait pu se serai volontiers changer en souris.

(Dialogue en anglais)

L : « Vous avez une petite sœur très originale »

G : « Ce n’est pas ma sœur, c’est la frangine de la copine de mon frère Bill »

L : « famille nombreuse ? »

G : « 7 enfants »

L : « 7 enfants ? Moi qui ai toujours rêvé d’une famille nombreuse »

G : « Vous pourriez la rencontrer si vous veniez en Angleterre. »

L : « C’est une invitation ? »

G : gêné : « Non, enfin si, si vous voulez bien sûr »

L : « J’y penserai »

Zoé ne savait plus où se mettre tant la complicité entre eux était évidente. Le pire, était que c’était son petit manège qui avait provoqué ça.

Elle qui avait voulu faire payer à Georges le fait de rester chez les Weasley pendant ses vacances.

G : « Pourquoi riez-vous tout à l’heure ? »

L : « la traduction tout à fait précise de la jeune demoiselle, me faisait rire. »

Elle avait lancé un petit clin d’œil discret à Zoé qui avait encore rougit, elle savait que Lorie ne la dénoncerait pas mais elle ne pu s’empêcher d’être gênée de son propre comportement.

Voilà près de 2 heures, que Georges et Lorie ne cessait de parler, elle leur dédicaça quelques posters. (Qui au grand désespoir de Georges, ne bougeaient pas)

Elle lui donna son adresse privée, il lui laissa le numéro de téléphone de l’hôtel.

Ils se jurèrent de se donner des nouvelles.

Ils se séparèrent non sans un grand désespoir. Georges ramena Zoé à l’hôtel. Celle-ci se montra particulièrement sage et calme.

Les vacances seront peut-être meilleurs que celle des autres années.

Chapitre 4 :

Georges :

A la fin de la semaine, Georges et Zoé avaient noué plein de liens, elle l’avait fait visiter Paris, la tour Eiffel, le musée Grévin où il avait été enchanté de voir la statue de cire de Lorie. Il a fait une photo avec la statue pour la montrer à Fred. Elle avait été enchantée de finalement passer ses vacances avec lui, elle s’avait que Fleur n’aurait pas pu lui faire passer d’aussi bonnes vacances.

Ils étaient entrain de rentrer à l’hôtel quand une main toucha son épaule.

« Georges » dit une voix tout bas.

Il se retourna et la vit, elle était là juste devant lui

« J’ai essayé de t’appeler à l’hôtel »

« Je n’ai pas eu tes messages, on était beaucoup dehors Zoé et moi »

« Vous partez quand ? »

« Demain. »

« Ah »

« Zoé tu veux bien m’attendre dans le hall de l’hôtel, voilà quelques pièces pour jouer aux jeux vidéo. »

La petite couru presque vers l’entrée.

« Bon ben je vais y aller » dit-elle

« Ben. Au revoir, et bonne chance pour ta tournée »

Et il se retourna vers l’entrée,

« Georges, si tu sais te libérer ce soir, je serai ravie de manger avec toi. »

Son cœur rata un battement, elle l’invitait à souper, qui l’aurai cru.

« Je vais m’arranger » dit-il

« Bien on dit 20 heures, devant l’entrée, je passe te prendre. »

« C’est pas aux hommes de venir chercher les dames en général » lui dit-il avec une pointe d’amusement dans la voix.

« Ah toi, tu es un vrai gentleman. » elle lui fit un baiser léger sur la joue et reparti en direction de sa voiture qui l’attendait.

Georges était rouge pivoine, il entra dans le hall, un sourire jusqu’aux oreilles.

Mais Zoé n’était pas là, la panique le prit soudain, où est la petite fille ? Que va dire Mme Weasley quand elle va savoir qu’il a perdu la sœur de fleur ? Et Fleur ?

Il courut vers la standardiste, « Vous avez vu ma petite sœur ? Elle est blonde grande comme ça »

« Mademoiselle Zoé, m’a dit de vous dire qu’elle était montée dans sa chambre afin de préparer ses affaires, pour que vous puissiez la ramener chez vous ce soir, et que vous puissiez profiter de votre soirée. »

« Merci »

« Si je peux me permettre, Monsieur, vous avez une petite sœur particulièrement intelligente. »

« Je sais »

Il transplana presque jusque dans la chambre et la prit dans ses bras.

« Tu m’a fait peur tu sais ? »

La petite fille émue, laissa couler une larme sur ses jolies joues roses.

Fred :

La dernière semaine de vacances, Emma reçu sa traditionnelle lettre de Poudlard : liste de livres, de matériel… Fred eu un pincement au cœur en pensant à sa chère école, il n’y retournerait pas cette année, content de ne pas subir Rogue et ses sarcasmes, Rusard et compagnie. Mais la nostalgie l’emporta, le château, les 400 coups qu’il avait pu faire avec Georges…

Quand soudain, il fût tiré de ses rêveries par un second hibou grand-duc qui s’était engouffré dans le salon se posant sur les genoux de Luke.

Il prit la lettre, tremblant de tout son petit être.

« Maman ! Maman ! Poudlard ! Poudlard, je vais à Poudlard ! »

Tout le monde avait déboulé dans le salon. Ainsi il n’y aurait pas qu’Emma qui prendra le Poudlard Express cette année.

« 2 sorciers sur 4, c’est pas mal ! » plaisanta le papa.

« Oh mon petit sorcier ! » Elodie avait attrapé son petit frère, lui coinçant la tête sous son bras et frottait énergiquement son crâne avec le dos de sa main.

« Fred et Emma, vous pourriez aller sur le chemin de traverse avec lui, pour aller chercher son matériel, et ses robes de sorciers ? »

« Sans problème »

Chapitre 5 : dernière rentrée…

comme maintenant nous sommes revenu presque 1 an en arrière, les histoires de nos héros sont presque co-écrites. Note pour Marie-Emilie: j'ai du modifié certains de tes dialogues pour mieux faire coller l'image que j'ai de Georges. Mais tu fais du super boulot!!!! j'espère que ça te plaira A vous aussi n'oubliez pas les commentaires. Merci

Depuis que le choipeau magique avait envoyé Emma à Serdaigle, elle portait fièrement son uniforme bleu et argent.

« Faislamalle » lança Emma avec une pointe d’empressement dans la voix. Elle n’était pas encore en retard mais se trouvait comme toujours, limite dans le temps.

Ses robes sorcières, ses plumes, ses chaussettes, ses bouquins… s’envolèrent de partout dans la maison pour venir se ranger dans sa valise.

Après avoir embrassé toute sa petite famille une dernière fois, elle posa sa main sur le portoloin envoyé par son directeur de maison pour se retrouver quelques minutes plus tard à la gare de King Cross quai 9 ¾, sa grosse valise derrière elle, elle essaya de repérer ses amies sur le quai. En escaladant les marches du Poudlard Express, sa malle se coinça sur le marche pied, ne prétendant plus bouger.

« Merlin non ! Et Mer** »

« Un coup de main peut-être ? »

Fred s’était avancé tel un preux chevalier euh… enfin non il était sur le quai…

« Euh oui merci »

Il décoinça sa malle, le cœur d’Emma avait raté un bond en croisant son regard espiègle.

Georges devant cette scène très inhabituelle se chargea de sa malle et de celle de son frère, bien trop perturbé pour s’en préoccuper lui-même. Il grimpa dans le train et chercha le compartiment où se trouvait Lee Jordan. Fred n’aurait que quelque pas à faire pour les retrouver quand il aura fini.

D’ailleurs pourquoi est-ce que ça tarde tant ?

Emma et Fred étaient comme figés sur place. Elle les connaissait de vues les jumeaux Weasley, les plus terribles de tout Poudlard. Non, les plus incroyables, géniaux, imaginatifs, craquants ?

Georges était en pleine discussion sur les incroyables futures frasques qu’il préparait en secret. Il lui raconta comment sa mère l’avait surprit en train de créer des bons de commandes pour leurs « magasin de farces et attrapes », comment ils étaient arrivés à obtenir des Doxys tout en omettant le petit passage par le QG de l’Ordre.

« Emma ? »

Elle fût tirée de son rêve par sa meilleure amie qui venait d’arriver.

« Tes vacances ça été ? »

Les voilà parties dans des discussions féminines interminables, Fred préféra retrouver son frère et Lee. Il lui jeta un petit regard en coin. Et sorti du compartiment, complètement bizarre. Un sourire niais sur le visage, il avait surtout fondu devant ses yeux si bleus et son sourire enjoué.

Il retrouva rapidement George qui ne se gêna pas d’un petit commentaire piquant :

« Te voilà ENFIN ! C’était si lourd que ça ? Bon maintenant que tu es là on peut entamer notre réunion. »

« C’est parti ! Et pas de quartier pour la tranquillité »

« A l’ordre du jour, nous avons 3 grands projets pour semer le chaos dans les couloirs de Poudlard en ce début d’année : l’élaboration de nos fusées explosives, nous trouver des cobayes rapidement pour les boites à flemmes, et bien sûr la fête spéciale Weasley- Jordan- Weasley de début d’année…

« Les fusées Fusboom ? » marmonna Fred « J’ai pensé à ça cette nuit »

« Oui ça sonne bien, c’est même très bien. On adopte ? »

« On adopte »

« On adopte »

« Et de un ! Pour ce qui est des cobayes, Lee me disait justement… »

La porte du compartiment s’ouvrit. Hermione et Ron faisaient leur ronde de préfets.

« Salut vous trois ! » dit Hermione (Ron essayant de se cacher derrière elle au maximum)

La préfète de Gryffondor avait déjà pris son air suspicieux devant les mines anormalement « angéliques » des jumeaux.

« Rien d’illégal, ni de dangereux dans ce wagon ? »

« Pas à notre connaissance Hermione ! » s’écria Fred debout la main sur la poitrine.

« Bon, je vous au à l’œil »

« Oui Hermione chérie ! » s’exclamèrent les 3 en cœur.

Après cette brève interruption, et après avoir insonorisé leur compartiment ils reprirent leur assemblée, rivalisant d’idées aux conséquences catastrophiques.

Bientôt les tours imposantes de Poudlard pointèrent à l’horizon, les 3 compères enfilèrent leurs uniformes. Le train s’arrêta et dans une cohue incroyable d’élèves, ils se ruèrent vers une diligence.

« Fred ? Et Hagrid ? »

« Ben… »

Ils parcoururent la foule du regard, en temps normal, l’imposante silhouette de leurs prof se détachait nettement de la foule, mais là… rien !

Comme à chaque fois, l’année commençait par un banquet, avec la chanson du choipeau. Mais cette fois-ci il déborda un peu du sujet et prônait l’unification des maisons.

Après les rappels des différents règlements de l’école (Fred et Georges s’étant soigneusement bouché les oreilles) Dumbledore commença son traditionnel discours quand le nouveau professeur de défense contre les forces du mal l’interrompit en prenant la parole. Cette chose en pull rose entama un discours sucré sur e ministère et à mots couvert sur la gestion qu’il aurait sur Poudlard.

Hermione semblait scandalisée. Fred et Georges eux, profitèrent des centaines de plats succulents arrivés dans la vaisselle d’argent.

Un petit coup d’œil discret de la part de Fred vers la table des Serdaigle, il croisa alors des yeux bleus qui le regardaient. Son cœur s’arrêta un instant avant de reprendre ses battements dans un rythme plus que soutenu.

Le banquet terminé, Fred, Georges et Lee se dirigèrent vers la tour Gryffondor, donnèrent le mot de passe à la grosse dame : « Mimbulus Mimbletonia » et gagnèrent leur dortoir en passant d’abord par le tableau d’affichage de leur salle commune.

George ne parvenait pas à s’endormir, bientôt ils organiseraient la plus belle fête clandestine que Poudlard ait jamais vu, ils allaient devoir redoubler de patience pour que les préfets ne le sachent pas parce que Ron, il n’y avait aucun danger mais Hermione, là il faudrait se méfier.

Chapitre 6 :

Le lendemain, ils reçurent leurs horaires, particulièrement léger d’après la remarque d’Hermione, ils se rendirent au cours de métamorphose. Fred repéra tout de suite, ce regard bleu qui le dévisageait. Elle ne semblait pas avoir de petit ami, Fred était très attentif aux potins des Serdaigle depuis la rentrée, le moindre détail concernant Emma, lui semblait aussi important que le cours de sortilèges qui était de loin son préféré. Il adorait la regarder. Il choisi donc une place bien en retrait qui lui permettait de pouvoir la regarder sans se faire repérer.

Georges lui jeta un regard complice, puis se replongea dans ses idées concernant la soirée. Depuis la remarque d’Hermione au début de la semaine qui les menaçait de prévenir Mme Weasley en cas d’exagération, il s’était tenu tranquille, enfin il avait trouvé quelques premières années pour tester ses inventions, mais il avait fait ça dans la discrétion. Il faudrait qu’il en parle avec Fred et Lee très rapidement.

Ce soir-là, ils testaient encore leurs produits sur deux nouveaux cobayes quand ils entendirent un bruit.

- « Si Hermione nous tombe dessus maintenant… » Lançât Fred en regardant vers les premières années. « Avec les premières années aux alentours, elle va se douter de quelque chose »

- « Et si elle fait le rapprochement entre nous et eux… » continua Georges

- « Vous êtes morts » termina Lee

- « On a pas été très malins d’afficher ça au nez de notre chère préfète.. »

- « Tout de même, elle y va fort avec ses menaces ! »

- « Il nous faudrait un moyen de négocier, je pense que j’ai une idée » conclut Georges

Et ils décidèrent de regagner la salle commune séparément.

Sur le chemin, Georges repéra la crinière brune si reconnaissable de leur Préfète préférée.

- « Hermione ? »

- « Georges ? Un problème avec ta conscience peut-être ? Il y a-t-il quelque chose que je devrais savoir ? »

- « Ben, tu n’es pas sans savoir que enfin Fred et Moi… »

- « Tu veux parler de la fête de la rentrée ? Je suis au courant, et je te dirais pas comment. J’ai un marché à te proposer. Tu arrêtes les tests sur les premières années et je ne dirais rien. Si je te surprends à continuer, tu connais le risque. »

Un sourire se marqua sur les Lèvres de Georges, elle avait été tout droit dans le piège qu’il voulait lui lancer. Bon deuxième partie du plan, la faire venir…

- « Très bien Hermione, ça marche. Au fait Hermione tu viendras ? »

- « Où ça ? »

- « A la fête ! On pensait que se serait bien que tu viennes, en temps que préfète tu pourrais contrôler les abus, et te rendre compte que Fred et Moi, on n’est pas de si mauvais garçons. »

- « D’accord »

- « D’accord ? »

- « Je serai là, mais si ça tourne mal, je ne tiens pas à en être responsable, je veux bien vous aider parce que c’est mon rôle de le faire »

- « Merci, Hermione ! »

- « Georges ? Pourquoi tu tiens tant à ce que je vienne ? »

- « ça ne serait pas la même chose sans toi, voyons… »

- « C’est ça oui »

Elle s’éloigna. Lui était aux anges. Elle avait dit qu’elle viendrait. Il faudrait alors mettre la fin du plan en place. Surtout ne pas oublier de demander à Harry de prendre un appareil photo.

Au même instant au 7ème étage :

Fred tombait nez à nez avec une Serdaigle échevelée, essoufflée et complètement hilare.

- « Qu’est ce que… ? » Commença Fred.

- « Vite, vite. Rusard… Boubabousses… » Haleta Emma

- « Viens… »

Fred avait attrapé sa main et l’entraînait dans un des couloirs du 7ème étage. Arrivés devant la tapisserie de Barnabas Le Follet battu par les trolls, il chercha ce petit placard à balais qui les avait abrité, Georges et lui, bien des années auparavant, des foudres de Rusard.

Il le trouva enfin (après quelques allers-retours désespérés) et ils s’y engouffrèrent tout les deux…

Dans ses souvenirs, le placard paraissait plus grand, mais le souffle court d’Emma dans son cou, le battement de son cœur contre sa poitrine et l’odeur de son parfait ne lui fît rien regretter de cette promiscuité.

Après quelques minutes, ils entendirent passer Rusard, maugréant contre les élèves et sur Dumbledore qui lui interdisait les punitions corporelles.

Ils arrêtèrent de respirer au passage du concierge et se détendirent une fois celui-ci passé. Ils réalisèrent soudain leur position, leurs regards se détournèrent, un sourire léger aux lèvres…

- « Qu’as-tu fait avec ces Boubabousses pour avoir Rusard sur le dos ? »

- « Rien qui ne vaille tes exploits » lui dit-elle avec un regard angélique et malicieux.

Ils bavardèrent ainsi dans le placard à balais pendant près d’une heure quand Peeves passa la tête aux dessus d’eux.

- « Ha ha ha !!! Oh les Amoureux !!! » commença t-il dans un caquètement.

- « Vile Filou, sinon je dit à Rusard l’endroit où tu as caché sa chatte » dit-il tout en maudissant le fantôme pour avoir interrompu une conversation des plus agréable.

Ils se séparèrent enfin, le regret au ventre.

Back to the present: Jour du restaurant avec Georges.

Lorie s’était levée très tôt, cela faisait une semaine qu’elle avait commencé sa tournée et son manager lui avait donné rdv. Il ne lui avait pas donné de raison, et le stress commençait à monter. Ses concerts s’étaient pourtant très bien passés, les salles étaient noires de monde.

- « Installe toi je t’en prie » « je voudrais que tu retournes en studio le plus vite possible, je pense qu’il manque une ou deux chansons dans ton spectacle »

- « Mais je suis en tournée, je n’ai pas le temps, j’ai les répét, les concerts, les déménagement. Je n’ai pas le temps pour enregistrer ou encore tourner un nouveau clip. Si ? »

- « Nous nous sommes arrangés, tu enregistreras 2 chansons de ton choix parmi cette liste (il lui indiqua la feuille de papier à sa droite) et on tournera la clip lors du concert aux Antilles.

Elle écouta toutes les bandes sons des chansons, tout en fredonnant les paroles, elle s’arrêta sur une en particulier. Une qui retraçait ses sentiments de ces derniers jours. Elle partit directement au studio d’enregistrement, situé un étage plus bas.

Elle y passa la matinée, le résultat fut vite concluant.

Elle demanda une copie de la maquette sur cd. Et sortit du studio.

C’est là qu’elle l’avait aperçut devant l’hôtel et qu’elle l’avait invité au restaurant.

Elle espérait que cette soirée resterait mémorable, elle se changea avec soin et sortit en trombe de chez elle. Elle avait 10 min de retard.

Chapitre 7 : Spéciale dédicace à Marie-Emilie pour son anniversaire…

Chapitre uniquement basé sur Lorie et Georges… afin de préserver la co-écriture complète des chapitres flash-back.

Georges avait raccompagné Zoé chez les Weasley en fin d’après-midi, non sans un pincement au cœur. Il avait l’impression de l’abandonner, uniquement pour quoi ? Une fille… En valait-elle la peine ? Il n’en savait encore rien. Que connaissait-il d’elle de toute façon ?

Rien de très personnel, uniquement ce qu’on peut lire dans la presse à ragôts française.

Il allait quitter le Terrier le cœur serré par la culpabilité et l’appréhension quand Zoé se jeta dans ses bras.

« Ne te tracasse pas Georges. Tout ira bien… Si tu mets ta chemise noire et ta veste en Dragon. Elle va craquer c’est sûr. »

Il eu un léger sourire.

« Allez Fonce, tu vas être en retard… »

« Zoé ? »

« Oui ? »

« Tu restes encore longtemps chez nous ? »

« Pourquoi tu veux déjà te débarrasser de moi ? » (note de l’auteur : j’adore cette gamine)

« Non, juste savoir si je peux te voir en fin de semaine ou si tu seras déjà rentrée. »

« Je serai là Georges, tu crois quand même pas que je partirais sans te dire au revoir… »

Il la serra contre lui. Il s’était malgré lui trop attaché à la fillette.

« De toute façon, on se revoit l’été prochain… » lui dit-il

« C’est vrai ? Tu veux ? » lui répondit-elle avec un regard de chien battu

« Bien sûr que je veux. Espèce de petite peste. » lui dit-il en ébouriffant ses cheveux.

« Bon tu t’en vas, c’est pas très poli de faire attendre une dame. »

« Ok, ok je m’en vais. A samedi. »

« A samedi. »

Mme Weasley assise un peu plus loin, les regardait avec affection. Georges serait génial dans un rôle de père. Mais c’était encore un peu tôt, puis il lui faudrait une relation sérieuse dans sa vie. Elle se dirigea vers la cuisine avec Zoé afin de préparer une tarte à la mélasse pour le goûter.

Georges transplana directement dans sa chambre d’hôtel. Prit une douche rapide, enfila un jean foncé qu’il avait acheté avec Zoé sur les Champs-Elyssés

Au moment de passer sa chemise noire, il eut un énorme sourire en rependant à Zoé.

Il regarda sa montre, il avait encore 10 min d’avance. Il passa chez le fleuriste du coin de la rue, acheta une rose rouge et attendit devant l’hôtel.

POV Lorie :

Je suis en retard, mon dieu, j’ai oublié ma maquette. Je monte comme une furie les deux étages qui me séparent de mon appartement, j’attrape le cd qui était posé à côté de mon sac à main. Pourquoi suis-je tant stressée ? C’est juste un petit restaurant. J’aurais peut-être du choisir un truc plus classe.

Je retire mes escarpins afin d’accélérer ma course dans les escaliers. Je n’ai pas le temps d’attendre l’ascenseur. J’arrive enfin dans la voiture, je remet vite mes chaussures, jette un œil sur mes cheveux, HOP une petite goutte de parfum. Direction l’hôtel de Georges, j’ai 25 minutes de retard.

Il est là ! Woaw si j’avais su je me serai habillée autrement il est canon.

Retour en POV général :

Quand Georges la vit sortir de la voiture, son cœur rata un battement. Elle était sublime. Une jupe mi-longue à volants, des escarpins à talons hauts, et un magnifique débardeur, qui la mettait très en valeur.

Il s’approcha doucement, lui tendit la fleur.

« Je suis très en retard. Pardon » Lui dit-elle.

« Je l’étais aussi, disons que tu es dans le quart d’heure académique. » lui sourit-il.

« Je suis sûre que t’étais là en avance en plus. J’ai eu une journée très chargée. » Elle prit la rose et continua « Merci mais il ne fallait pas »

« On ne va pas à un rdv avec une dame sans fleurs » lui répondit-il espiègle

« Ah vous les Anglais, vous ne faîtes rien comme tout le monde. Je ne sais pas pourquoi on dit que les français sont les plus romantiques. Vos traditions sont bien plus galantes que les nôtres »

Pour toute réponse, il eut un sourire, qui décrocha complètement le cœur de la jeune femme.

Elle l’invita à monter dans la voiture mais il insista pour qu’elle passe en premier, galanterie oblige.

Ils arrivèrent quelques minutes plus tard dans un petit restaurant, très chic. Mais une horde de journalistes à sensations les attendaient déjà devant.

Quand elle les vus à travers la vitre, elle gémit de protestation.

Lui ordonna au chauffeur de continuer sa route, il suivit les instructions de Georges.

« Je suis désolée Georges, je crois qu’on va devoir remettre ça »

« Pourquoi ça, on va se trouver un autre coin tranquille. »

« On est à Paris, Georges, il faut réserver. »

« Pas grave. J’ai une idée, certainement pas aussi romantique que la tienne mais comme on n’a pas le choix. Pouvez vous nous déposer ici ? »

Le chauffeur s’exécuta. Ils descendirent de voiture. Et s’arrêtèrent devant un fast-food. Il y avait aussi un vendeur de pizza.

« Vas-y, choisit »

« Je préfère les pizzas » lui dit-elle amusée.

Ils entrèrent, attendirent qu’on leur désigne une table. Et s’installèrent enfin.

Une fois leur pizza arrivée, Lorie lui dit gentiment à l’oreille.

« Ce n’est pas comme ça que j’imaginais notre premier rdv. »

« Pourquoi cela ne te plait pas ? » lui dit-il ironiquement.

« Je me voyais plutôt dans un restaurant français à commander des cuisses de grenouilles » lui répondit-elle

« Des cuisses de grenouilles, mais comment pouvez-vous manger ça ? »

« Mais c’est très bon je t’assure. Je te ferai goûter une fois. »

« Ca veut dire que tu vas être obligée de me revoir. »

« Pourquoi ça te pose un problème ? » Lui répondit-elle un peu vexée.

« Bien sûr que non. »

Ils passèrent la soirée, à discuter de tout et de rien, comme s’ils s’étaient toujours connus. Elle le raccompagna à l’hôtel à pied. Puis appela sa voiture. Au moment de monter dedans, elle posa délicatement ses lèvres sur celle de Georges, en un petit baiser timide. Et lui donna sa maquette.

« Qu’est-ce que c’est ? »

« Tu verras bien, mais écoute le quand je serais partie. Mon numéro de portable est dedans. A bientôt j’espère. »

La voiture démarra. Il prononça alors pour lui-même : « je l’espère aussi. »

Chapitre 8 : La soirée :

7ème année Poudlard :

Toc Toc, un hibou s’abattit sur Fred et Georges en plein cours d’histoire de la magie. Le professeur Binns ne remarqua même pas son arrivée, tellement il était passionné par la révolution des Gobelin à l’époque moyenâgeuse.

Lee regarda les jumeaux pendant qu’ils lisaient leur parchemin, et leur demanda de quoi il s’agissait.

Ils lui répondirent :

Fred : - « Rosmerta vient de nous prévenir. »

Georges : - « Que notre commande vient d’arrivée »

Fred : - « Donc nous allons cet après-midi »

Georges : - « La chercher pendant que tu seras en SACM » (soins aux créatures magiques)

Pendant le repas, ils prirent Harry à part :

Georges : - « Harry, pourrais-tu nous prêter ‘tu sais quoi’ ? »

Fred : - « Pour pouvoir nous permettre de préparer l’Evènement »

Harry : - « Pas de problème les gars ! Au fait j’ai le ‘truc’ de Collin. »

Georges : - « Parfait, parfait »

Hermione : - « Qu’est-ce qui est parfait ? Et le ‘tu sais quoi’ et le truc qu’est-ce que c’est ? »

Georges : - « Rien qui ne pourrait te causer des ennuis Hermione chérie »

Hermione : - « Pourquoi je ne crois pas un mot de ce que tu me racontes Georges ? »

Fred : « Peut-être parce que tu ne t’ai pas encore rendue compte à quel point on est des génies. »

Hermione : - « Je doute que ta mère ait penser la même chose en voyant les résultats de vos buses »

Ils prirent tous deux un air faussement outré.

Ron : - « Hermione, lâche les un peu, t’es tout le temps sur leur dos. »

Hermione : - « Oh Ronald tais toi c’est pas parce que tu as peur d’eux que moi je devrais leur permettre de faire n’importe quoi. »

Georges continua de faire la causette avec Ron et Hermione qui se disputaient comme d’habitude pendant que Fred était parti avec Harry récupérer la cape et la carte des Maraudeurs. Lorsqu’il revint dans la grande salle, il fit un léger signe de la tête à son frère qui comprit qu’il était temps de lancer les opérations.

Ils parcouraient les couloirs qui menaient à la sorcière borgne. Ils croisèrent Miss teigne sur le chemin, ils se jetèrent à corps perdu dessus et arrivèrent sans trop de blessures à l’enfermer dans une des armures du couloirs, qui leur fit d’ailleurs un énorme sourire. Une fois arrivé, ils se couvrirent de la cape au moment où Dumbledore passait par là.

Il regarda en direction des jumeaux invisibles et dit : « N’oubliez pas les bonbons au citron, ça fait toujours un grand effet en société. » en leur faisant un clin d’œil.

Une fois qu’il fut partit, ils ouvrirent le passage et éclatèrent de rire.

L’arrivée au « Trois-Balais » ne fut pas évidente sans trahir leurs présences. Rosmerta sembla contente de les voir arriver. Assis ensemble à une tablée, il discutait affaire, Rosmerta leur fit part de la difficulté qu’elle avait eu à fournir un si grand nombre d’alcool sorcier mais aussi moldu, comme la vodka et le rhum.

Elle réduisit à l’aide d’un sort magique, la quantité invraisemblable de boissons. Elle fut affublée de sourire émanant de nos jumeaux roux afin qu’elle diminue sa commission mais ils parvinrent à un accord.

Au moment de partir, Georges glissa doucement à Rosmerta :

- « Vous n’oubliez pas d’envoyer notre cocktail spécial à Argus Rusard. »

- « Ne te tracasse pas, il est prêt. »

- « Voilà qui nous enlève une sacrée épine du pied. Un grand merci, c’est toujours un plaisir de faire affaire avec vous. »

C’était effectivement l’anniversaire du concierge préféré de Poudlard, chaque année il recevait un délicieux hydromel de Mme Rosmerta, qui lui faisait toujours passer une merveilleuse soirée au pays des rêves. Comme on dit une fois le chat partit les souris dansent. Parlant de chat, Georges se demanda si Miss Teigne était parvenue à sortir de son armure.

Une fois arrivé au 7ème étage du couloir Sud (NDA : parce que c’est plus chaud lol) ils commencèrent la décoration hawaïenne de la soirée avec l’aide des elfes de maison. Une fois les bars installés, ils créèrent quelques podiums, mirent des tonnes de coussins en forme de noix de coco. Tout était absolument génial, les fleurs, le fond en image des îles. Ils attendirent que Lee aie terminé son cours afin d’installer avec lui sa sono.

A 19heures tout était fin prêt, plus que deux heures avant le début de la fête. Ils se dépêchèrent de manger afin de se glisser plus rapidement à la table des Serdaigle sous le regard soupçonneux d’Ombrage. Ils demandèrent aux Batteurs de l’autre équipe s’ils voulaient jouer les videurs à la soirée, ce qu’ils acceptèrent avec joie.

Fred n’écoutait même plus la conversation avec leurs « collègues de battes », son regard s’était perdu au loin vers une petite brune assise près de l’équipe de Pom-pom bleue et argent.

Leur capitaine Méline était en grande conversation avec Emma et Déborah (sa meilleure amie). Fred en profita affichant un regard de tombeur et s’adressa directement au groupe :

- « Dites, Mesdemoiselles, on vous voit bien ce soir ? » ‘Pitoyable’ pensa t’il

Emma était d’une belle couleur pivoine, Méline comprit sa gêne et répondit à Fred qu’elle se ferait une joie d’amener toute l’équipe à sa fiesta.

Il retourna hagard vers les Gryffondor.

Emma croisa le regard de Déborah et ne put s’empêcher d’éclater de rire quand celle-ci lui dit avec un air malicieux : - « Tu as intérêt à être sublime ce soir. »

Pendant que les garçons peaufinaient les derniers détails, les filles avait déjà commencé à se préparer : coiffure, robes ou tenues, maquillage, chaussures…

Elles étaient contentes d’avoir profité d’une sortie à Pré-au-lard pour tout acheter.

Un quart d’heure avant le début Fred et Georges n’étaient pas encore prêt, ils eurent juste le temps de sauter dans un jean et une chemise à fleurs, qu’ils laissèrent au trois quart ouverte.

Les premiers élèves commençaient à arriver, une fois l’entrée payée, ils se retrouvaient avec un magnifique collier de fleurs multicolores que Fred et Georges portaient avec grâce et élégance.

L’équipe de soutient en jupette de Quidditch de Serdaigle fit une entrée plus que remarquée, elle se lancèrent à la suite de leur capitaine dans une petite chorégraphie aussi bien coordonnée que leurs uniformes.

Leur exhibition se termina par un porté plus qu’audacieux qui envoya Méline littéralement au 7ème ciel. Elle retomba avec grâce et replaça juste la fleur qu’elle avait dans les cheveux sous le regard ébahi des élèves présents.

(Notes des Auteurs : Mélune ! On t’aime ne nous tue pas lol)

Vers 21h30, Fred commençait à stresser, Georges le rassura :

- « Tracasse pas, elle viendra ! Oh ! Voilà Hermione et Ginny » et le planta là.

Emma et Déborah était depuis près de 20 min à l’intersection de l’Aile Sud, mais Emma hésitait à entrer. Son amie, elle commençait à s’impatienter

- « Allez, Courage Emma ! On a payé des fortunes pour nos tenues ! Alors on ne va pas rester dans le couloir. »

- « Oh ça va Déboh, toi t’es sublime avec ta robe turquoise, moi je ne ressemble à rien avec mon bustier à la con. »

- « Arrête un peu Emma, t’es très bien aussi. Bon ben reste ici si tu veux moi je vais aller faire profiter Fred de ce petit bijou de haute couture. » lui dit-elle en se pavanant.

- « Pas touche, si tu t’approches de trop, je te tue. »

- « Ben alors, viens à la fête comme ça tu pourras empêcher les autres filles de tenter leur chance. »

- « Ok Ok, on y va. Tu sais que je t’aime toi ? »

- « je sais, je sais, tu ne pourrais pas vivre sans moi »

- « Ah Ah »

Emma parcouru la salle du regard et repéra Fred écroulé dans les bras de son ancien capitaine Olivier Dubois, venu exprès pour l’occasion.

(NDA : le sublime Olivier !!!!!!!!!!!)

Lee lança les premiers slows de la soirée sur une chanson de Célestine (NDA : clin d’œil à notre Célestine à nous)

Emma prit son courage à deux mains, avala cul sec un verre de vodka, avant d’attraper Fred par son collier de fleurs pour le traîner sur la piste.

Olivier lui fit un signe de la tête à Déborah en lui désignant la place libre à côté de lui.

Clack : Harry venait d’immortaliser la tête rouge tomate d’Emma et Fred sur la piste de danse. Harry s’amusait comme un fou à servir comme photographe officiel de la soirée la plus branchée de Poudlard. Il avait l’art de toujours prendre des photos des gens en position compromettante.

La soirée continuait son cours, aussi chaude que si elle se déroulait sur les plages d’Hawaï. Fred et Emma ne quittaient pas la piste, Déborah s’était lancée dans un concours de boissons avec la star nationale de Quidditch, j’ai nommé le merveilleux Olivier et Hermione dansait d’une façon fort débridée sur l’un des podium central sous le regard amusé d’un Georges légèrement soul qui lui fournissait les boissons en abondance.

Un cri retenti soudain :

- « Ha ! Qui est responsable de cette Orgie ??? » cria une femme dont la posture rappelait vaguement la tortue et portait malgré son âge relativement jeune des habits que même la grand-mère Weasley aurait trouvé vieillots.

- « Excusez moi vous êtes ? »

- « Claire Remacle, je suis la nouvelle assistante du professeur Chourave »

Georges rassembla, le peu d’esprit qui lui restait pour lui dire d’un ton pompeux et imbibé d’alcool :

- «Je suis navré de vous demander de partir, vous n’avez malheureusement pas de parchemin d’invitation. »

Hermione sembla reprendre peu à peu ses esprit devant sa nouvelle ‘prof’ elle sortit sa baguette de son jean, voulu lui lancer un sortilège d’oubliette mais il n’eu ni le bon effet, ni la bonne victime, et Georges se retrouva avec les cheveux…

- « Mauve, aussi Mauve que le pull annuel de Ronald. (dit Fred) Ma chère madame, Veuillez me permettre de vous offrir un verre et ne vous tracassez pas les autorités compétente sont parfaitement au courant de cette merveilleuse soirée. »

Claire Remacle se laissa tirer vers le bar, Fred fit un sourire à Dobby qui comprit qu’il fallait non seulement corsé les cocktails mais aussi l’empêcher d’arrêter de boire.

- « Demandez à Dobby tout ce qui vous feras plaisir, n’oubliez pas les bonbons au citron ils sont délicieux. »

Il se retourna vers Emma, persuadé que cette ‘prof’ ne se souviendrait pas de rien à son réveil.

Pendant ce temps, les menaces de mort tournaient autours d’Hermione et Georges.

Harry se régalait en prenant des tonnes photos. Quand soudain, Hermione trébucha et chuta du podium et tomba droit dans les bras de Georges.

- « Tu ne t’en tireras pas comme ça, je ne te lâcherais pas tant que tu n’auras pas réglé mon problème. »

- « Quel proooooblèmeeeee »

- « Mes cheveux Hermione !!!! »

- « Quoi tes cheeeeveux, ils sont coooolllll tes cheveux ! »

Elle profita de l’étonnement de Georges, pour quitter ses bras et pour s’enfuir en courant.

La soirée battait son plein, beaucoup de petits couples s’étaient formés sur les coussins, dont Ron et une petite blonde de Poufsouffle, Alicia avec Roger Davies le capitaine des Serdaigle, et Katie Bell avec Summerby l’attrapeur des Poufsouffles.

Alors que Lee était toujours en tentative d’approche avec Angelina.

Du côté d’Olivier et de Déborah, le concours de boissons aidant, Olivier, entre 2 vodka, se pencha vers elle et l’embrassa.

Euphorique, elle lui dit : - « Tu m’attend 1 min »

Elle tituba jusqu’Emma, qui était fort proche de Fred, pour lui annoncer la bonne nouvelle.

- « Emma il m’a embrassé !!!!! Et toi ça avance ? »

- « Ben euh ! »

Son visage s’empourpra, Fred regretta sur le coup d’avoir hésité un instant avant de l’embrasser.

- « T’imagines Emma, c’était trop… » en effet c’en était trop, elle ne put se retenir un haut le cœur et soulagea son estomac sur les tongs de Fred.

- « Fred, je suis désolée mais je crois qu’il est vraiment temps que je la ramène au dortoir. »

Elle lui lança 2 récurvite, l’embrassa sur la joue avant de récupérer une Déborah plus pâle que jamais.

Fred lui se dirigea vers Olivier.

- « Tu embrasses si mal que ça, pour qu’elle me vomisse dessus ? »

- « Je ne saaaais paaaasss, moi je trouvaaiss ça plutooot réussit. Jamais vu une fille capable de me suivre à la boissoooon et Jooolie en pluuuussss. Ooooohhhh »

- « Bon avant que toi aussi, tu ne me vomisses dessus, je te ramène à la tour, tu n’es pas capable de transplaner ce soir. »

Fred le prit par les épaules, en arrivant au pied du grand escalier, Olivier tourna de l’œil. Fred se mit à la recherche d’un saut. Il ouvrit la réserve de Rusard et tomba nez à nez, entre les balais et les sauts, sur une chemise hawaïenne, en tout point identique à la sienne.

Intrigué, il scruta le fond de la pièce pour découvrir dans une position compromettante Georges et Hermione dont le tee-shirt avait magiquement disparu…

Chapitre 10 : le lendemain de la veille… + la pré-rentrée de Luke.

Coincée entre 2 planches à balais et plusieurs serpillières, Hermione émergea difficilement de son sommeil. Elle se retourna délicatement et se sentit attirée vers un torse musclé qui appartenait à :

- « Georges ! MAIS QU’EST-CE QU’ON FOUT LA ????? QU’EST-CE QU’ON A FAIT ????OÙ SONT TES VETEMENTS ????? (Elle jeta un œil sur sa propre tenue) OÙ SONT MES HABITS ????????

- « Mmm »

Il lui tendit sa chemise hawaïenne qui traînait sur le sol.

- « Retourne toi. »

- « Hermi, chérie, enfin pas besoin de te cacher après tout se qui s’est passé entre nous. »

- « IL NE S’EST RIEN PASSE ENTRE NOUS DU TOUT !!!!!! »

- « Tu veux que je te rafraîchisse la mémoire » dit-il en approchant ses lèvres de celle de la préfète, qui attrapa le premier saut venu pour soulager encore le surplus d’alcool de son estomac.

- « Chérie ! C’est moi qui te dégoûte ou t’as un peu trop forcé sur la bouteille hier ? Ben elle est belle la préfète ! »

Hermione se retourna vexée jeta un œil au placard de Rusard, frustrée de ne retrouver aucun de ses vêtements.

- « Georges, rends moi mes affaires ! La plaisanterie a assez duré. »

- « Mais Hermione, je l’ai ai pas tes affaires, tu vois pas que les miennes ont disparues aussi ! Toi et moi on est sur le même hippogriffe ! Et d’ailleurs rend moi ma chemise»

- « Non ! »

- « Fais pas ta gamine chérie ! Allez rend la moi. »

- « Non ! »

- « T’avais qu’à faire attention, quand on sait pas boire on s’abstient. »

Hermione écumante et bouillonnante de rage, sortit du placard sans que Georges ne puisse ni la rattraper ni récupérer la fameuse chemise. Le laissant à l’oualpé au milieu des placards à balais et autres nécessaire de nettoyage.

Hermione courrait vers son dortoir, tirant un maximum sur la chemise pour essayer de cacher le plus de surface possible, tout en essayant de croiser le moins de monde. Bénissant les Maraudeurs (une fois n’est pas coutume) de lui avoir montré la plupart des passages secrets de Poudlard.

Au moment où elle allait passer la tête pour vérifier les aller venue du couloir. Fred se pointa derrière elle, au milieu du passage.

- « Jolie chemise Hermione. A voir ta tête je dirais que le réveil fut délicat. »

- « … »

Fred la laissa en plan dans le passage et se dirigea vers le « fameux » placard où il retrouva son frère entièrement nu.

- « Besoin d’un calbar Forges ? » lui dit-il en lui en lançant un

- « Tu es mon héros »

- « La soirée a été fructueuse ? T’aurais pu choisir un endroit plus agréable… »

- « Je suis où là ? »

- « Placard de Rusard, premier étage, sous l’escalier. Quoi tu ne te rappelles de rien ? »

- « Non absolument rien »

- « Tu ne sais pas ce que tu as fait ? »

- « Ou ne pas fait ! Rien je ne me souvient de rien et apparemment elle non plus. Au fait comment as-tu su que j’étais là ? Tu sais quelque chose toi !? »

- « Ben, euh, je suis passé hier, pour Olivier. T’es un chaud lapin mon Forge (regard de fierté) et je n’aurais jamais cru Hermione si entreprenante. »

Georges rougit violemment.

Du côté des Serdaigle, le réveil très matinal fut assez difficile. Déborah encore saoule de la veille, s’amusait à balancer toutes sortes d’objets sur ses collègues de chambre.

- « Emma, allez lève toi »

- « Déb, c’est Samedi laisse moi dormir »

- « Déborah, fiche nous la paix, si tu ne veux pas dormir ben sort du dortoir » dit une voix au fond de la pièce.

Déborah lança une peluche sur la demoiselle concernée et hurla :

- « Tiens Cho, un nounours, comme ça tu pleurnicheras auprès de lui et tu deviendras peut-être aimable envers les gens ! Bon Emma tu te lèves, j’ai besoin de toi pour demander à Fred s’il est toujours là… »

- « Qui ? »

- « Ben Olivier Dubois bien sûr » et elle se lança dans un long monologue vantant TOUTES les qualités de son gardien favori.

Devant tant d’enthousiasme, Emma fila sous la douche puis parti avec son amie à la recherche de Fred.

Dans les serres de Poudlard, qu’elle ne fut pas la surprise des deux professeurs féminins les plus respectés de l’école, de trouver l’assistante de botanique, couché au milieu du champ de mandragore. Le Professeur McGonagall se tourna vers sa collègue en lui disant :

- « Tu aurais pu la prévenir qu’elle était particulièrement bonne ! »

- « Je ne pouvais pas savoir qu’elle commencerait à en fumer dès le premier jour, faudra d’ailleurs qu’on en parle toute les deux, je ne veux pas que mon assistante vole mes réserves personnelles. »

Pendant que sa directrice de maison prenait du bon temps avec celle des Poufsouffle, Hermione tentait toujours de rentrer discrètement dans la salle commune. Enfin soulagée de n’avoir rencontrer personne sur le chemin, et allait poser son pied sur les escaliers montant au dortoir quand Harry l’interpella :

- « Hermione ! La soirée fut bonne ? » il remarqua alors la tenue de la jeune femme tout juste vêtue de la chemise de Georges, et son visage perdit toute couleur.

- « Harry ! Ce n’est pas ce que tu crois ! Mais si j’apprends que tu en as parlé à la MOINDRE personne, je te jure mais je te jure vraiment de t’envoyer en retenue avec Rogue pour le restant de tes études. Et crois moi il en sera ravi ! »

Elle le planta là et fila dans sa chambre.

Se moquant de sa tenue, au vu de son corps parfaitement musclé, Georges (en slip) aidait Fred à effacer les derniers signes de leur petite soirée quand Emma et Déborah les aperçurent.

- « Joli Boxer Georges, très assorti avec tes cheveux. »

Georges baissa les yeux vers son caleçon puis fonça vers le miroir le plus proche pour finir par hurler :

- « AH NON TOUT MAIS PAS MAUVE !!!!!!!!!! »

- « Tu aurais préféré Vert » lui dit son frère

Georges se mit à genoux devant Emma :

- « Dis moi que tu as une solution ? Tu es à Serdaigle t’es sensée être intelligente ! »

- « Merci pour le ‘sensée’ et j’y gagne quoi moi ? »

- « Une soirée avec Fred »

- « Et je ne suis pas une monnaie d’échange » lança le concerné

- (l’air de rien Georges continua) Un corps parfait doublé d’un esprit vif, d’un regard brillant et d’une intelligence peu commune, un talent pour le Quidditch renommé… »

- « Existe aussi en mauve » dit Fred derrière lui

- « Arrête avec ça, je suis en train de négocier… »

- « Tu pourrais me demander mon avis ! Tu vendrais ton propre frère pour … »

- « Pour retrouver mon charme ? Oui ! Viens dire que ça te dérange » dit-il à son frère en lançant un clin d’œil discret à Emma.

BOUM, Déborah venait de se ramasser et éclata de rire.

- « elle est toujours saoule ? Je pensais qu’avec tout ce qu’elle a éliminé hier, elle aura cuvé un peu plus que ça. Olivier était salement amoché mais… » dit Fred à Emma

- « Olivier ? Il est tellement beau ! »

Emma, Gred et Forges se regardèrent en soupirant qu’il faudrait sérieusement s’occuper d’eux plus tard.

Back to the present.

Enfin arrivé à Londres, Emma, Luke et Fred se dirigèrent vers le chemin de Traverse, afin de déposer leurs valises dans l’appart de Fred et Georges, situé au dessus du magasin de Farces et Attrapes.

En entrant dans la boutique, il vit Lee entrelacé avec Angélina.

- « C’est une manière devant les clients ! »

- « Ah Fred, c’est toi ! Tu ne devais pas rentrer demain ? »

- « Quoi t’as fait ça pendant toutes les vacances ? (puis avec un regard compréhensif) J’espère que t’as au moins attendu que les clients soient sortis »

- « Ben en tant que nouvelle poursuiveuse pour les ‘Tornades’, il est plus que temps que je commence à afficher ma vie privée à tout le monde n’est-ce pas ? » dit Angélina

- « Les Tornades de Tutshill ??? Woaw Félicitation (dit Fred en serrant dans ses bras son ancienne coéquipière) On peut négocier un contrat de pub ? »

- « Je ne négocierais avec personne d’autre que toi » lui répondit-elle avec un clin d’œil à Emma qui entra directement dans son jeu.

- « Angie, chérie à quoi tu joues ? Emma t’acceptes ça toi ? » dit Lee

Devant le visage jaloux de Lee et incompréhensif de Fred, Emma ajouta :

- « Oh, tu sais moi, je suis ouverte à toute proposition pouvant servir à briser la routine. N’est-ce pas Lee ? »

La situation venait de s’inverser c’est maintenant Fred qui la dévisageait avec jalousie et Lee avec incompréhension. Angélina éclata de rire en même temps qu’elle. ?

- « C’est bon, on arrête ! Pas devant de jeunes oreilles ! (dit Fred en désignant Luke) Viens Luke je vais te montrer l’appart.

Une fois à l’étage, Fred fut gêné du capharnaüm qu’était devenu l’appart depuis son départ.

- « Euh d’habitude ce n’est pas comme ça, Georges a du oublier de ranger. »

- « Tu sais Fred, moi aussi je dis que c’est Emma quand j’oublie de ranger ! Aie ! » dit-il en se recevant une tape sur le tête par sa sœur.

Ils récupèrent le matériel scolaire nécessaire à la rentrée, profitèrent de quelques jours dans le Londres Sorcier avant les adieux déchirants sur le quai 9 3/4

Mon dieu j'ai honte on a écrit ce chapitre depuis super lgt, mais j'avais la flemme de le taper.... je mettrais prochainement un micro chapitre sur Georges et Lorie

bisous

Chapitre 11 : Chantage et Saint Valentin….

Hermione, une fois dans son dortoir, prit la baguette de lavande encore endormie, et lança un accio sur sa propre baguette. Celle-ci quitta la poche du pantalon de Fred pour venir atterrir dans les mains de sa propriétaire légitime.

Georges comprit qu’il était temps de lancer le chantage avant qu’elle ne récupère toutes ses affaires.

Toujours en caleçon, il se dirigea vers la tour Gryffondor et attendit qu’Hermione descende dans la salle commune pour l’attraper dans un coin.

- « Hermione chérie ! T’es partie drôlement vite ce matin ! On n’a pas eu le temps de régler les détails. »

- « Quels Détails ?! Il ne s’est rien passé, donc rien à raconter ! »

- « Et tu vas me laisser dans cet état ? »

- « Quel état ? Georges tout le monde nous regarde, et je te signale que tu es en slip ! »

- « Toi et moi on doit discuter, j’ai quelque chose que tu ne voudrais pas que Poudlard découvre. »

- « De quoi tu parles ? »

- « De ceci ! » dit-il en faisant apparaître un petit bout de dentelle blanche presque transparente.

- « Où as-tu trouvé ça ? »

- « C’est ton petit souvenir d’hier ma puce, comme tu l’as laissé dans le placard de ce cher Rusard, j’ai pensé qu’il serait mieux pour toi d’éviter que tout le monde découvre que tu caches sous tes uniformes de la lingerie aussi sexy. »

- « Qu’est-ce que tu veux ? »

- « Mais enfin mon cœur, je ne suis pas comme ça voyons. Mais j’avoue que si mes cheveux retrouvaient leur éclat, j’éviterai d’exposer tes sous-vêtements, cela dit absolument adorables, à toute l’école. »

Hermione fulminait de rage, elle sortit sa baguette d’un geste brusque et devant le regard inquiet de Georges, lança le contre sort de façon informulée. Elle attrapa son bout de tissus compromettant et lui lança un regard noir, digne du professeur Rogue.

- « Georges, plus de chantage n’est-ce pas ? »

- « Hermione, mon ange, JE jure que JE ne te ferais plus chanter. »

- « Georges une dernière chose, arrête les mots tendre ! »

- « Pourquoi mon chaton ? » (NDA pas pu m’en empêcher)

- « Arrête encore un mot et je te jure que… »

Hermione ne sut pas finir sa phrase, Georges voyant que la salle commune était à présent vide, en profita pour poser ses lèvres sur les siennes, avant de la planter là, pour enfin aller s’habiller.

Déborah avait laissé Fred et Emma dans le couloir, pour aller se glisser discrètement dans la pièce où dormait son merveilleux Olivier.

Fred et Emma, enfin seul, n’arrivaient pas à entamer une conversation.

En regardant attentivement la fenêtre, Emma brisa le lourd silence en disant :

- « Il fait plutôt beau pour la saison » puis pensa ‘Crétine t’avais rien de plus intelligent à dire tu ne pouvais pas tomber plus bas’ (NDA : si si j’aime les canards est pire mdr)

Fred s’approcha en lui souriant…

- « Tu sais Emma… »

- « Oui ? » répondit-elle pleine d’espoir

« Emma, où est cette Garce de Déborah, je dois lui faire payer mon réveil de ce matin ! »

Emma s’éloigna à regret de Fred

- « Cho, t’as pas quelqu’un d’autre à aller soûler ? Genre ta cruche de Marietta ! »

Cho partit vexée. Emma se tourna vers Fred qui la regardait avec fierté, il l’attira vers lui et lui dit :

- « On en était où ? »

Mais apparemment, le destin n’était vraiment pas avec eux.

« Fred ! J’ai les photos !! » Hurla Harry qui se dirigeait droit sur eux

- « Pit*** Harry, VOUS VOUS ETES DONNE LE MOT OU QUOI ? JE NE PEUX PAS FAIRE MA DECLARATION À EMMA TRANQUILLE ? Non faut toujours que quelqu’un vienne m’interrompre à 3 malheureux cm de sa magnifique bouche. »

Harry piqua un fard monstrueux très en écho avec celui d’Emma derrière lui.

« Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, je vais essayer de trouver Georges. »

- « C’est bon Harry, laisse les photos et on en reparle plus tard. »

Une fois parti, Emma lui glissa à l’oreille :

- « T’étais pas très gentil avec Harry… »

- « Parce que tu l’étais avec Cho ? »

- « Ne me dit pas que tu reprends pour Cho ? Et si on mettait un terme à cette conversation stupide et que tu profitais des 3 min de calme pour m’embrasser… »

- « Excellente idée. »

Les mois suivant, la vie du château avait reprit son cours, Emma et Fred filaient le parfait amour, Déborah et Olivier s’échangeaient des lettres passionnées, et Georges et Hermione avaient continué leur petite aventure secrète une fois que celle-ci avait définitivement laissé tomber l’idée de surveiller les jumeaux, de peur que les photos d’elle à la soirée ne soient affichées dans tout Poudlard.

Février arrivait doucement, et plus la neige tombait, plus le moral de Déborah chutait, elle n’avait pas pu voir Olivier à Noël parce qu’il avait un match au Danemark et que ses lettres devenaient de plus en plus rares.

Elle n’égalait pas encore Cho au niveau des pleurnicheries mais elle n’en était pas loin. Ces notes restaient convenables grâce à Emma qui relisait attentivement ses travaux, mais sa pratique était des plus mauvaises. Harry l’avait même empêché de combattre Neville pour l’AD connaissant la maladresse des deux.

La veille de la Saint Valentin, elle était complètement déprimée. Elle n’avait eu aucune nouvelles d’Olivier depuis au moins 15 jours.

Emma ne supportait plus de voir son amie dans cet état.

Fred lui avait demandé de ne pas s’inquiéter. Emma avait prévu de ne pas passer la Saint Valentin à Poudlard et qu’elle et Fred prendrait Déborah à Pré-au-Lard avec eux.

Seulement notre Miss Déprime ne fut pas facile à convaincre, voir tous les petits cœurs et les fleurs voler partout dans la grande salle lui donnait la nausée.

Au bout de plusieurs heures de supplication, elle accepta enfin de se vêtir chaudement afin de les suivre au village.

A l’intérieur du restaurant, elle soupira devant la décoration, on les installa dans une table à l’écart.

Déborah râlait sur tout, surtout sur Cho qui elle avait eu un rdv… Pauvre Harry !!!

Elle avait sa tête dans sa carte, quand une fois derrière elle demanda à Fred :

- « Monsieur, puis-je vous emprunter une des ces charmantes demoiselles ? »

Elle se retourna violemment prête à crier sur l’inconnu et se figea de surprise quand elle reconnu son gardien préféré, un sourire radieux marqua son visage.

Elle regarda Emma qui lui fit un geste de la tête pour l’inciter à suivre Olivier.

Chapitre 12 : Retrouvailles :

J’ai besoin de me sortir des math : donc voilà, un tit chapitre, only by me… M-E à charge de revanche…

Bisous

Epoque actuelle, petit résumé de cette époque : Lorie à donner sa maquette de sa chanson à Georges avec son numéro. Emma et Luke sont de retour à Poudlard. Ginny, Harry et toute la clique aussi… Zoé est toujours chez Madame Weasley jusque la fin de la semaine.

C’est le cœur léger que Georges retrouva sa famille et son Angleterre natale. Cette boite mystérieuse toujours en poche, il fût bien entendu submerger de question dès qu’il posa un pied au Terrier. Assez curieusement, seule Zoé ne lui demandait pas comment c’était passé cet étrange rdv, mais à voir le sourire qui barrait le visage du rouquin, elle avait vite comprit que ça avait été une excellente soirée.

Elle attendit qu’ils soient seuls, pour entamer son interrogatoire. Pire que tu véritaserum cette petite. A force de caractère, de regards suppliants, et de sourires rayonnants, Georges fini par tout lui confier : la pizzeria, le baiser, combien elle était magnifique avec cette jupe à volant. Et puis il lui montra la boite.

Zoé sautillait sur place comme un enfant à qui ont aurait annoncé Noël avant l’heure. Elle ouvrit la boite sorti le cd et demanda à Georges où était sa chaîne hi fi. Evidemment celui-ci n’en possédait pas. « Les trucs moldus uniquement pour papa » répondit-il à Zoé.

Puis il réfléchi un long moment, puis proposa à Zoé de venir sur le chemin de Traverse avec lui, pour demander à une amie à lui de lui prêter son nécessaire à cd.

Kathleen était en effet une grande amie de Fred et Georges, elle travaillait comme serveuse au chaudron Baveur pour aider Tom le week-end. Ainsi elle pouvait continuer à se payer ses études de médicomage. Elle avait été une des premières à se faire une joie de voir le magasin de Farces et Attrapes débarquer sur l’avenue marchande, et entretenait avec les jumeaux une relation d’amitié très forte, avec Georges, elle parlait affaires et boulot ou encore Quidditch, avec Fred, elle discutait potin, amour et surtout comment faire plaisir à Emma.

C’est donc avec une joie non dissimulée qu’elle se jeta dans les bras de Georges pour acclamer son retour. Le tout sous le regard noir de Zoé.

Ils restèrent tout 3 devant un verre, pendant pas mal de temps. Comme l’auberge était vide, Tom avait permit à Kathleen de rester assise avec son ami.

Zoé commença à se dérider face à Kathleen quand celle-ci présenta à Georges, les photos de son nouveau petit ami.

- « Kath, à quelle heure, tu finis ton service ? »

- « 20h pourquoi ? »

- « En fait voilà, j’ai un service à te demander…. As-tu une chaîne hi fi moldue ? »

- « En voilà un service étrange venant de toi !! Je peux savoir pourquoi ? »

- « En fit c’est très simple, Georges à rencontré une chanteuse Moldue Française, donc il a besoin de ta chaîne hi fi pour écouter son cd et de moi pour la traduction »

Georges prit alors une jolie couleur cramoisie.

- « C’est ok, viens ici à 20h je vous transplanerai chez moi, et on s’occupera de tout ça. Vous restez souper à la maison au moins ? »

- « On ne veut pas déranger… » dit alors Zoé qui la trouvait de plus en plus sympathique.

- « Si je vous invite, c’est qu’il n’y a pas de problème, au moins Georges tu rencontrera mon chéri, et je ne lui parlerai pas de toi dans le vague… »

- « C’est d’accord, on amène quelque chose ? »

- « Non Zoé, ne te tracasse pas. J’ai tout se qu’il faut, essaye juste de m’amener cette tête de mule à l’heure. »

Zoé lui fit un sourire. Georges tira gentiment la langue. Et ils se séparèrent.

Georges et Zoé passèrent l’après-midi à flâner sur le chemin de Traverse, achetèrent sur ordre de la Miss des fleurs pour Kathleen, et du vin pour son fiancé. Puis elle l’emmena dans toutes les boutiques de mode pour enfant, et d’après Georges il y en a un paquet… Elle se trouva une magnifique robe rose pâle, qu’il s’empressa de lui offrir. Puis ils prirent le chemin de Gringotts pour aller voir Fleur et Bill au bureau. Fleur qui ne s’attendait pas à une telle surprise fût absolument ravie.

Cependant l’horloge tournant toujours trop vite quand on s’amuse, indiqua à Georges et Zoé qu’il était largement temps d’aller chercher Kathleen.

La maison de Kathleen était légèrement particulière, complètement mixte, on y trouvait une cuisine sorcière tout autant qu’un ordinateur moldu avec connection internet. Une fois arrivé, elle mit les fleurs dans l’eau remerciant au passage Zoé qui était aux anges, et plaça le cd de Georges dans l’appareil adéquat.

La musique s’échappa alors des haut-parleurs :

Dès que nos regards se sont croisés,
Je me suis sentie électrisée, foudroyée
Tu t'es emparé de mes envies
Comme si j'étais la femme de ta vie, de ta vie, oh
Et quoi que je dise, quoi que je fasse
Mes yeux ne pouvaient pas rester de glace
Nos corps ne pouvaient s'empêcher de danser, de vibrer, de bouger
À l'idée de caresser ton corps
J'aimerais pouvoir te le dire encore
Combien je t'aime, à jamais

{Refrain:}
Tu m'as ensorcelée
Je ne sais pas ce qui se passe
Je suis ensorcelée
Si c'est ça aimer
Comme si jamais rien ne pouvait me délivrer

Il faudrait un jour que tu m'expliques
D'où viennent tes pouvoirs fantastiques, si mystiques
Devant ta beauté surnaturelle
Ton philtre d'amour semble éternel, irréel, immortel
Je t'inventerai de nouveaux rêves
Pour que jamais cette nuit ne s¹achève
J'ai tellement peur que tu t'en ailles
que tu t'en ailles
Peux-tu arrêter le cours du temps
Pour ne jamais oublier ces moments
Qui nous unissent pour l'éternité

{au Refrain}

Ensorcelée
Ensorcelée
Ensorcelée
Comme si jamais rien ne pouvait nous séparer

{au Refrain}

Ensorcelée
Ensorcelée
Ensorcelée
Comme si jamais rien ne pouvait nous séparer.

(Lorie : Ensorcelée.)

Zoé était en pleine traduction, tout en se dandinant sur le rythme plus qu’entraînant de la chanson. Kathleen et Georges restèrent abasourdis devant une telle déclaration. Kath empoigna son portable et indiqua Lorie sur Google.Uk, c’est ainsi que nos trois amis apprirent le départ de la chanteuse pour les îles. Et que Georges prit la grande résolution de prolonger ses vacances, prétextant un besoin de soleil.

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