[Fanfiction]Harry Potter et la victoire de l'Amour[terminé]

Voilà ma première fanfic, dites moi ce que vous en pensez

et soyez francs

edit: Désolée pour l'orthographe, j'attend que mon correcteur se mette au travail

merci et bonne lecture

ps: j'ai créer une autre partie pour les commentaires mais je ne vous en voudrais pas trop si vous répondez ici

pour les commentaires: http://hp7-leforum.heavenforum.org/viewtopic.forum?t=848.

Chapitre 1 : La souffrance est une étape à franchir.

En reprenant le Poudlard Express, Harry Potter n’avait rien de ce héros que la communauté des sorciers attendait.

Il était assis là en face de celle qui l’aime et à qui il a dû dire adieu et mettre un terme à cette relation auquel il tenait tant. En lui jetant des regards en coin, Harry aurait bien voulu savoir à quoi Ginny pensait tout en regardant les décors qui défilaient à la même vitesse que le train.

Ce que pensait Ginny était à la fois vague et précis : elle avait demandé à Dobby de glisser une lettre dans les bagages de Harry. Cette lettre avait deux buts, en premier de remercier Harry pour ce merveilleux mois qu’ils ont passés ensemble dans l’insouciance du drame qui allait arriver avec la mort de Dumbledore, la seconde de lui prouver à quel point elle l’aime et lui dire qu’elle respectera ses choix tout en essayant de le faire changer d’avis, Afin de l’aider dans sa tache, si ardue pour un garçon n’ayant pas encore la majorité, pour qu’elle puisse être là pour lui dire au revoir si les choses tournaient mal. Harry ne voulait pas qu’elle l’aide de peur qu’il lui arrive quelque chose, mais se rendait-il compte qu'en agissant ainsi qu’il la privait de vivre… Voilà ce qu’elle avait voulu lui dire en écrivant cette lettre qui lui a prit toute la nuit entre L’enterrement de Dumbledore et le départ de Poudlard ce matin-même. Pourquoi une lettre ? C’était plus simple se disait-elle il ne l’ouvrira que lorsqu’il sera prêt, ainsi elle ne provoquera pas de disputes inutiles qui rongent petit à petit les sentiments que deux personnes se portent.

Les seuls semblant trouver du plaisir à se disputer sont bien Hermione et Ron les meilleurs amis de Harry. Ils étaient devenus vraiment proches depuis l’enterrement, seuls dans le compartiment des préfets, leur complicité devenait, de plus en plus, quelque chose de beaucoup plus fort, qui sait peut-être même de l’amour.

Harry, Ginny, Luna et Neuville se doutaient bien qu’il se passait quelque chose entre eux, Luna et Neuville semblaient perdus, le regard pointé vers l’horizon qui défilait à toute vitesse depuis que le Poudlard express avait craché ses premiers nuages de vapeur.

Le voyage continua silencieusement sans bruit, comme si les paroles avaient constitué un manque de respect envers un mort, seuls les regards se croisaient et laissaient apercevoir une grande détresse dans chacun des élèves de Poudlard le train entra finalement en gare et Harry commença à redouter le moment où il devrait dire « au revoir » à Ginny. Bien sûr, ils allaient se revoir très vite pour le mariage, mais en cet instant, Harry ne savait comment il fallait agir avec celle qu’il aimait plus que tout.

Ce fût elle qui fît le premier pas, elle retint Harry dans le compartiment du train après le départ des autres, et l’embrassa. Puis s’éloignât de lui les yeux tout humides en lui disant :« à bientôt Harry ».

Lorsqu’il descendît à son tour du train, il la chercha des yeux mais elle entrait déjà dans la voiture familiale, alors que Mrs Weasley l’attendait sur le quai pour pouvoir le saluer.

Mrs Weasley comme à son habitude se rua sur Harry en déplorant encore sa maigreur, mais cette fois-ci, il y avait quelque chose de différent chez Harry comme s’il était troublé et même distant, complètement perdu. Dans la tête de Harry, tout était chamboulé par ce baiser d’adieu de Ginny. Il était persuadé d’avoir pris la bonne décision mais l’intensité du baiser, la force qu’avait mise Ginny pour lui prouver qu’elle l’aime en cet instant précis, le fît prendre conscience à quel point ce qu’il ressentait pour elle était fort mais surtout à quel point il avait besoin d’elle pour vivre.

Une fois après avoir saluer tout le monde Harry se tourna vers Ron et Hermione qui se tenait main dans la main, Prévisible se dit Harry en tournant les talons afin de rejoindre sa famille qui l’attendait sur le quai un peu plus loin de cette agitation qui tournait autours de Harry.

Arrivé à Privet Drive, Harry s’empressa de monter ses affaires dans sa chambre. L’oncle Vernon lui ayant bien précisé qu’aucun des ses « machins » ne devaient être vu par le voisinage.

Harry s’exécuta donc à dissimuler ses grimoires, son balai magique, seul la cage d’Hedwige aurait pu trahir le monde auquel appartient Harry.

Sa tante Pétunia fût rapidement à l’étage pour lui demander son linge sale moldu bien sûr. Il lui donna et elle partit. Après seulement quelques minutes, elle revint avec 2lettres en main, une de Ginny bien sûr, l’autre portait son nom écrit avec de l’encre verte.

Harry surprit, resta fixé sur place en regardant les lettres que sa tante venait de lui donner. Il ne savait pas par laquelle commencer, deux des personnes qui comptaient la plus pour lui, étaient quelque part un peu avec lui en ce moment.

Il ouvrit une des lettres, et Harry fût surprit de voir qu’elle provenait de Dumbledore :

Harry,
Si tu reçois cette lettre, c’est que je ne suis plus là, c’est que Severus a enfin décidé de suivre mes instructions.
Harry ne lui en veux pas, si je l’ai convaincu d’accomplir cette horrible tache c’est pour pouvoir t’aider plus tard lors de ta poursuite contre les Horcruxes. Harry le professeur Rogue s’est engagé auprès de moi pour te fournir le serpent de Voldemort, une fois que tu auras détruit les autres Horcruxes. Mais pour ça il devait jouer son rôle d’espion jusqu’au bout. Je sais que pour toi, il est difficile de comprendre, mais je n’avais pas le choix. Severus avait fait le serment Inviolable avec la mère de Drago, et il était très important de le conserver en vie afin qu’il puisse t’aider à détruire le Serpent.
Harry, je sais que la relation qu’on avait tout les deux était bien plus forte que celle d’un élève avec son directeur. C’est pourquoi je voudrais m’excuser de partir, pour toi ça doit être un choc de perdre encore une personne chère à ton cœur. Tu as beaucoup souffert Harry, c’est pourquoi je te prie de ne pas rejeter l’amour que certaines personnes te portent et surtout une en particulier. L’amour, Harry elle la plus grande aventure et la plus belle histoire qu’il te sera permis de vivre.
Le temps qu’il te reste je te supplie de ne pas gâcher ces moments. Avoir peur de perdre son plus grand Amour doit être douloureux mais c’est cela qui te rend si humain et si différent de Lord Voldemort.

Harry, bientôt Fumseck terminera son voyage vers le repos éternel des Phénix, avant cela il lui faudra désigner le propriétaire de son descendant. Et on t’a choisi toi Harry, il viendra te déposer l’œuf bientôt, prend en soin et j’espère que lorsque tu le regardera un peu de l’amour que j’éprouve pour toi Harry t’apparaîtra et alors tu sauras que je serai toujours avec toi tant que tu auras besoin de moi.

Encore merci pour tous les moments passés ensemble Harry, je voulais te dire à quel point je suis fier de toi, toi le fils que j’aurais voulu avoir.

A bientôt

Dumbledore.
Harry sera fort cette lettre qui lui faisait à la fois tant de bien et tant de mal. En regardant de plus près il s’aperçut que la fin était parsemée de larmes qui n’étaient pas les siennes. Il sut alors tout le sens du sacrifice de Dumbledore, pas celui d’un ami mais plutôt comme celui d’un grand-père.

Harry se mis alors à pleurer, il se sentait si mal. Soudain il sentit qu’on le serait fort.
La tante Pétunia était entrée dans sa chambre et le pris dans ses bras. Lui, le petit garçon pour lequel elle avait mis tant de force pour le haïr, venait de la toucher au plus profond d’elle-même dans son cœur de mère. Harry souffrait, mais elle aussi de le voir dans cet état. Elle le borda comme on fait avec un nouveau né jusqu'à ce que Harry se sente mieux. Il la regarda avec ce regard qui appartenait tellement à sa sœur, un regard de remerciement plein de larmes certes mais dans ce regard il y avait de la reconnaissance et Pétunia sût alors à se moment qu’elle était enfin à la hauteur de la tache qu’on lui avait laissé presque 17ans plus tôt.

Elle resta là près de lui pendant plusieurs heures puis alla lui chercher à manger, l’oncle Vernon furieux ne comprenait pas l’attention soudaine de sa femme pour son neveu. Elle lui répondit que Harry était malade et qu’il ne fallait pas le déranger.
Harry ne mangeait pas. Harry ne voulait rien. Il se souvenu soudain de la seconde lettre, une lettre pleine d’amour envoyé par Ginny, une lettre qu’il lui fit le plus grand bien, une lettre d’espoir. Ginny n’espérait qu’une chose rester avec lui et après la lettre de Dumbledore comment lui dire non.

Lorsque la tante Pétunia monta pour se coucher et jeta un rapide coup d’œil sur la lettre que tenait son « petit » contre son cœur au moment où il trouva le sommeil celle de Ginny. Et là, agissant enfin comme un mère elle pris son plus beau papier à correspondance et commença une lettre pour Mrs Weasley afin de la rencontrer pour pouvoir lui parler de Harry, elle nota les dates et les heures où l’oncle Vernon et Dudley étaient absent. Et demanda ensuite à Hedwige de porter cette lettre le plus rapidement possible à cette dame qui avait donner à Harry ce qu’elle n’avait jamais sût avant aujourd’hui : L’AMOUR.

Chapitre 2 : Rdv Inattendu.

22h Molly Weasley faisait un peu de ménage lorsque la chouette de Harry Potter fît son entrée dans sa cuisine.
Molly prit la lettre en remerciant vivement Hedwige et constata quelque chose d’étrange, ce n’était pas du parchemin mais plutôt une sorte de papier bizarre, elle ne reconnu pas l’écriture de ce garçon qu’elle considérait comme son fils, c’était l’écriture d’une femme.
Elle ouvrit avec précaution ce parchemin étrange bien plus fragile que de l’ordinaire.
C’est alors qu’elle comprit que la tante d’Harry désirait la rencontrer parce qu’il n’allait pas bien pour le moment et qu’elle voudrait comprendre pourquoi car lui ne voulais pas lui expliquer. Elle lui proposait un rdv le plus vite possible chez elle, Pétunia avait insister pour que madame Weasley lui indique son moyen de transport si elle venait par la cheminée ou alors en transplanant. Qu’elle se réjouissait de pouvoir parler de Harry à quelqu’un.

Mrs Weasley ne mis pas 2 secondes à répondre, si Pétunia s’adressait à elle c’est que Harry était au plus bas. Elle lui indiqua qu’elle viendrait par la cheminée le lendemain plus discret pour les voisins… assez tôt dans la matinée vers 8h30.

Hedwige partie, Mrs Weasley eu du mal à s’endormir, elle se leva tôt prépara le petit-déjeuner. Demanda à Fred et Georges de venir veiller sur la maison lors de son absence.
Elle se parât de ses plus beaux habits Moldu et se prépara à partir lorsque Ginny arriva dans le salon, l’air maussade. Ginny n’allait pas bien non plus depuis son retour de Poudlard, elle guettait le courrier comme si elle attendait une réponse de quelqu’un. Mais la réponse de qui ? Mrs Weasley prit sa fille dans ses bras lui expliqua qu’elle devait s’absenter quelque heures puis prit la poudre de cheminette sur le buffet et partit en direction de chez Harry.

La tante Pétunia, ce matin là, avait commencé sa journée en allant voir Harry, celui-ci ne semblait pas aller mieux que la veille, elle lui apporta son petit déjeuner au cas où il aurait faim dès son réveil sachant qu’il n’avait rien avalé la veille. Puis elle descendit, une fois Vernon et Dudley partis, elle recouvra ses divans et ses meubles pour éviter la poussière et recula le feu électrique du trou de la cheminée. Puis partit en bonne Anglaise préparer du thé.

Mrs Weasley arriva pile à l’heure et crut voir dans les yeux de Pétunia, une si grande inquiétude et un si grand besoin de parler que celle-ci à peine sortie du feu la prit dans ses bras.
Pétunia recula sous la surprise puis remercia Molly et l’invita à s’asseoir.

Pétunia commença :
-« J’aimerais vous parler de Harry «
- « Votre lettre me l’a fait comprendre » répondit Mrs Weasley « qu’es ce qu’il a ? »
- « Je ne sais pas, depuis qu’il est rentré je le sens absent, le jour de son arrivée j’ai trouver deux lettres dans son courrier et depuis il n’arrête pas de pleurer ou de dormir, il refuse de manger, j’ai bien essayer de le comprendre mais c’est difficile pour lui de me faire confiance alors que je ne me suis jamais occupée de lui »
En disant ça la tante Pétunia eu comme un sanglot, comme si elle avait eu une boule dans sa gorge qui l’empêchait de continuer à parler.
- « Ecoutez je pense comprendre une partie du problème » Répondit Molly « Harry vient de subir un nouveau choc affectif, après la mort de son parrain l’année dernière, il a été témoin de l’assassinat de Dumbledore en Juin, je pense qu’une des lettre devait venir de lui, c’est une tradition chez les sorciers d’écrire des lettres avant de mourir lorsqu’on se sent en danger »
- « Dumbledore est Mort !!! » « Mon dieu quel horreur » s’écria Pétunia
- « Cela peut expliquer une partie du problème, Harry à l’impression que tout les gens qu’il aime meurt »
- « C’est ce que disait cette fille qui lui a écrit, qu’elle comprenait ses sentiments mais qu’elle ne voulais pas rester en arrière et le regarder lutter de loin, qu’elle voulait être avec lui, pour le soutenir, l’aimer et lui dire au revoir si ça tournait mal »
- « Je ne savais pas que Harry voyait quelqu’un, connaissez-vous son nom ? »
- « Elle à signé Ginny, c’est quelqu’un que vous connaissez ? » dit Pétunia en voyant l’expression déconfite de Mrs Weasley
- « euh oui c’est ma Fille » répondit-elle. Elle comprit alors le comportement étrange de Ginny.
- « je comprend que vous soyez sous le choc, mais avez-vous de quelle lutte votre fille parle à Harry ? » demanda timidement Pétunia
- « Dumbledore à été témoin d’une prophétie dans laquelle Harry serait le seul a pouvoir anéantir Vous-savez-qui, bien entendu ne parler de ça à personne nous sommes très peu à être au courant. Je pense qu’avec la mort du Professeur la tâche doit sembler très dure pour Harry »
Mrs Weasley sembla hésiter avant de confier cela à la tante Pétunia mais devant le regard de celle-ci elle ne put se résoudre qu’à lui dire la vérité.
« Puis-je le voir ? » continua Molly.

Pétunia se leva et emmena Molly Weasley avec elle vers l’étage en franchissant la porte de Harry elle entendu celui-ci avoir un sanglot elle se tournât vers Mrs Weasley et lui dit tout doucement « demandez lui s’il veux bien vous recevoir »

Mrs Weasley franchit le pas de la porte et regarda Harry. Elle comprit alors pourquoi sa tante était soudain si angoissée par son état.
Harry était couché là sur son lit, les yeux rouges sang d’avoir trop pleuré, le teint pâle comme un mort. S’il elle n’avait pas si peur pour Harry elle aurait sans doute refermer cette porte et effacer cette vision de lui ainsi. Elle lui demanda si elle pouvait s’asseoir près de lui, il ne répondit pas même pas un hochement de tête, elle s’assit quand même et le prit dans ses bras. En lui disant qu’elle était là pour lui s’il voulait le Terrier lui serait toujours ouvert. Harry plongeât ses yeux tellement tristes dans ceux de Molly Weasley puis il détournât le regard et aperçu Pétunia restée près de la porte il eu un léger sourire de remerciement puis plongeât de nouveau dans un profond sommeil.

Mrs Weasley resta là un instant puis rejoint Pétunia et ensemble et redescendirent vers le salon. Il y eu un moment de lourd silence puis Mrs Weasley se leva e dit à la tante Pétunia : « attendez moi je reviens avec la solution »
Puis elle plongeât sa main, en sorti de la poudre de cheminette et prononça distinctement : « le Terrier ».

Une fois rentrée chez elle, elle montât à l’étage et couru vers la chambre de Ginny, ouvrit la porte telle une tornade, prit sa fille dans ses bras et lui dit « Harry ne va pas bien, je pense qu’il a besoin de toi ». Ginny la regardât et secoua la tête et la suivit jusque dans le salon où le feu vert continuait à briller. Elle suivit alors sa mère.

Du côté de chez les Dursley, voilà 15 minutes que Mrs Weasley avait laissé la tante Pétunia dans le salon. Ce fut un soulagement pour elle de la voir revenir puis elle aperçut derrière elle une magnifique jeune fille rousse l’air tracassé.

« Mrs Dursley voici ma fille Ginny » Pétunia semblât alors comprendre le plan de Molly. Elle ajouta un « tu peux attendre une seconde » et monta voir Harry elle prit un gant de toilette qu’elle lui passa sur le visage. Rangeât un peu sa chambre puis appela les femmes Weasley à venir à l’étage. Ginny monta les escaliers en un temps record elle ouvrit la porte devant laquelle était Pétunia et ouvrit sans s’annoncer.

Elle fût alors saisie de voir Harry dans cet état là et puis qu’importe elle l’aimait aussi dans ses moments de doutes, elle se précipita sur lui en le serrant fort contre elle et lui murmura à l’oreille : « c’est fini mon amour, je suis là » en cet instant précis Harry ouvrit les yeux, se crut dans un rêve et se rendormi plus serein déjà.

Devant une déclaration de tant d’amour la tante Pétunia et Molly Weasley s’écartèrent de la porte et laissèrent leurs enfants à leurs retrouvailles.

Quelques instant plus tard, Ginny retrouvât les deux mères à la cuisine et leur demanda si elle pouvait rester avec Harry jusqu’il se sente mieux

Pétunia accepta en sachant la dispute même les disputes qu’il l’attendait le soir même pour le retour de l’Oncle Vernon. Mrs Weasley regarda la tante Pétunia d’un regard qui signifiait qu’elle savait se qu’elle ressentait et qu’elle la remerciait. Puis elle partit rechercher quelques affaires pour Ginny en prévoyant pour quelques jours.

Voilà donnez moi vous avis

si il y a des truc non comprehensible dites le....

sinon si ça vous plaît je mettrai la suite rapidement

Merci Adélaïde c'est gentil

je tiens à vous prévenir que le chapitre 3 est un peu osé
mais que celui qui voit un couple de 17 et 16 ans dormir ensemble sans rien faire, me jete la première pierre...

Enfin comprenons nous seules les insinuations sont postés dans ce chapitre....

enfin dernière chose:
Le sida est partout alors protegez vous!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Chapitre 3 : le retour de Harry.

16h Voilà maintenant presque six heures que Ginny s’était couchée près de Harry le serrant fort contre elle. Ça avait l’air de lui faire du bien, il dormait, il avait l’air beaucoup plus calme que ce matin. Elle savait que l’oncle Vernon n’allait pas tarder à rentrer, elle quitta alors Harry puis descendit rejoindre Pétunia afin de lui demander ce qu’elle devait dire pour justifier sa présence.

Pétunia touchée par cette attention lui dit qu’elle parlerait à Vernon et Dudley qu’elle ne devait juste pas mentionner les mots : sorciers, magie, Poudlard…

Ginny répondit d’un mouvement de la tête au moment même où elle fut surprise par le bruit de la voiture de Vernon dans l’entrée. Celui-ci entra dans un bruit étourdissant, s’approchât de Pétunia en demandant quand serait prêt le dîner. C’est alors que Dudley aperçu Ginny, soudain surpris de voir une telle beauté chez lui.
Ginny s’est vrai avait vraiment bien évolué ces dernières années elle était passée de petite enfant mignonne et jeune fille vraiment jolie. Une aura de gentillesse se dégageait d’elle, même si son visage fermé indiquait qu’elle était vraiment tracassée.

Pétunia engageât la conversation avant que Vernon ne pose des questions embarrassantes à cette jeune fille.
« Voici Ginny, Vernon, c’est une amie de Harry elle est venue passer quelque jours enfin jusqu'à ce qu’il aille mieux. »

L’oncle Vernon devient tout rouge et cria « IL A OSE INVITE DES TORDUS COMME LUI CHEZ MOI, IL VA ME LE PAYER »

Et là la tante Pétunia dit d’un ton très calme : « c’est moi qui l’ai invitée Vernon et si ça ne te plait pas tu peux aller chez Marge »

L’oncle Vernon ne s’était pas attendu à un tel comportement chez sa femme et décida que se taire était certainement plus sage.

Dudley intervenait à cet instant en s’adressant à Ginny : « tu peux dormir dans ma chambre si tu veux »
Celle-ci surprise répondît très poliment que ça irait qu’on lui avait déjà préparé un lit dans la chambre de Harry.
Mais Dudley insista : « ben, prenez tous les deux ma chambre, elle est beaucoup plus grande »
Toute la famille se tourna vers Dudley, une gentillesse envers Harry sonnait étrangement faux.
Ginny le remercia mais pensa que ce n’était pas bon de déplacer Harry dans son état.
Dudley se senti légèrement déçu.

Plus tard, à table, il demanda à Ginny de décrire sa famille, il fut déçu de savoir que c’était les Weasley, il ne s’était jamais vraiment remis de son incident avec les bonbons de Fred et Georges. Mais bon, contrairement à l’habitude il ne fît aucun commentaire.
Ginny quitta la table rapidement après le repas et monta à Harry quelque chose à grignoter. Lorsqu’elle franchit la porte, il était assis sur son lit le regard étrangement soulagé de la voir arriver.
Elle déposa le plateau puis s’approcha de lui, d’un coup Harry la pris dans ses bras et lui dit : « j’ai eu tellement peur que tu ne sois qu’un de mes rêves » puis regarda à la fois le plateau, son réveil et le matelas au sol.
Et lui dit « tu es là depuis longtemps ? »
Sur ce, elle lui répondit qu’elle était arrivée en fin de matinée. Elle tourna la tête vers le matelas et lui dit d’un ton angélique : « ta tante m’a autorisée à rester jusqu’à ce que tu ailles mieux »
Et Harry lui répondit qu’alors il n’irait jamais mieux. Et ils se mirent tous les deux à rire.
Ensuite Ginny força Harry à manger et à aller se laver mais Harry eut du mal à arriver jusque la douche.
Après la douche, elle remis au lit puis alla prévenir la tante Pétunia que l’état de Harry s’améliorait. Puis remonta à son tour dans la chambre de Harry.

Elle attendit que toute la petite famille Dursley se soit mise au lit pour rejoindre Harry dans le sien. Elle sentait qu’il aurait encore plus besoin d’elle la nuit là où il est le plus vulnérable. Elle se blotti contre lui et ils s’endormirent tous deux l’un contre l’autre.

2 jours se déroulèrent comme ça, on pouvait observer des améliorations dans le comportement de Harry. Il mangeait mieux, arrivait à descendre les escaliers…

Au matin du 3ème jour, elle fut surprise en se réveillant de constater qu’Harry n’était plus là.
Elle constata au bord de la table de nuit un mot, elle l’ouvrit il était indiqué : « je suis en bas vient me rejoindre une fois réveillée. »

Elle enfila un pantalon et un tee-shirt propre et descendit. Harry était là assis sur une chaise à prendre son petit-déjeuner. Son visage encore marqué de ces derniers jours s’illumina lorsqu’il la vit entrer dans la cuisine.

Profitant de l’absence des Dursley il l’a pris dans ses bras l’embrassa longuement et lui servit le petit déjeuner. Ginny retrouva peu à peu celui qu’elle aime sous un meilleur jour.
Le temps était radieux et ils décidèrent de faire un tour pour qu’Harry puisse prendre un peu l’air. Mais après seulement 10 minutes de marche Harry commença à fatiguer et ils rentrèrent. Ginny le mis au lit pour qu’il puisse se reposer au moment où elle s’apprêtait de quitter la chambre Harry la rattrapa et lui dit amoureusement
« J’ai pas vraiment envie de rester au lit seul » le regard de Ginny se fixa sur celui de Harry, son regard était brillant. Elle lui répondît très calmement « tu dois te reposer, demain peut-être » et c’est ainsi que Harry le regard pétillant se recoucha et pour la première fois depuis des jours dormit enfin d’un sommeil réparateur.

Ginny profita de la sieste de Harry pour envoyer plusieurs lettres :
Une à Mrs Weasley pour lui apprendre l’amélioration de l’état de Harry,
L’autre à Hermione pour lui demander conseil sur la requête de Harry, Ginny savait qu’elle n’avait pas attendu longtemps avant de céder aux avances de Ron.

Elle demanda à Hedwige de les porter toute les deux au terrier car elle savait qu’Hermione passait une partie de ses vacances à aider Mrs Weasley pour les préparatifs du mariage.
Ginny regrettait un peu de ne pas pouvoir aider Bill et Fleur mais sa « mission » pour Harry était beaucoup plus importante à ses yeux.

La réponse d’Hermione ne se fit pas attendre : « si tu sens prête alors FONCE !
Bisou et embrasse Harry pour moi, j’espère que sa famille ne te pose pas trop de problèmes et que tout se passera bien. A très vite Hermione. » Elle avait joint à son courrier 2préservatifs.

Ginny les pris légèrement gênée et monta rejoindre Harry qui à sa grande surprise ne dormait plus. Elle se jeta littéralement sur lui, agréablement surpris Harry l’embrassa fougueusement soudain il remarqua que sa main contenait quelque chose, il l’ouvrit et son regard se fixa sur Ginny, elle lui répondit très vite :
« Hermione me les a envoyés » devant le regard interrogatif de Harry
« Depuis quand est-ce qu’elle en a besoin ? » demanda Harry curieux
« Depuis qu’elle et Ron sont ensemble » elle le regarda, Harry sourit et lui dit j’espère que comme ça il auront d’autres sujets de disputes parce que Lavande et Krum…

Puis ils recommencèrent à s’embrasser soudain Harry s’arrêta et lui dit : « je veux pas t’obliger, on peut attendre si tu veux »
« Oh tais-toi » répondit-elle le regard plein d’un pétillement nouveau.
Et ce qui devait arrivé arriva c’est donc dans un instant gorgé d’amour que Ginny et Harry se laissèrent aller à vivre pleinement leur bonheur.

« Je t’aime » lui dit-elle après qu’ils aient « fini »
« Je t’aime aussi »
Et c’est blottis l’un contre l’autre que nos tourtereaux virent Hedwige apporter un paquet. Dans celui-ci se trouvait un œuf.
Ginny lui prépara un coin douillet et plaçât l’œuf dans ce nid de couvertures.
Il ne fallut pas longtemps pour que la coquille se rompe, et comme Harry l’avait deviné c’était un bébé phoenix. Une impression étrange parcourut Ginny et Harry, comme si c’était le moment intense de bonheur qu’ils venaient de partager qui avait engendré la naissance d’un être aussi merveilleux qu’un phoenix.

Chapitre 4 : le mariage.

Chapitre 4 : le mariage.

Harry se sentait beaucoup mieux.

Ce matin-là, Harry reçut du courrier, Mrs Weasley venait prendre de ses nouvelles ainsi que des nouvelles de Ginny, les prévenant aussi que pour des mesures de sécurité, le mariage serait avancé à après-demain.

Harry avait complètement oublié le mariage. Ginny se réveilla le vit tracassé et lui dit : « Quelque chose ne va pas ? »

Harry la regarda d’un air tendre et lui expliqua que le mariage etait avancé et qu’il serait peut-être mieux qu’elle rentre chez elle.

« Tu as envie que je rentre ? » lui demanda-t-elle

« Non bien sur que non mais c’est très égoïste de ma part de te garder ici pour moi tout seul alors que toute ta famille compte sur toi »

« Alors rentre avec moi »

Ce n’était pas une mauvaise idée, Harry avait bien récupéré bien sûr il n’était pas au maximum mais il s’en rapprochait, il savait aussi que la nourriture et la compagnie des Weasley lui ferait le plus grand bien.

Ils descendirent demander la permission de la tante Pétunia qui accepta imédiatement (au grand étonnement de Harry). Ils remercièrent Pétunia, rassemblèrent leurs affaires et partirent grâce à la poudre de cheminette laissée par Molly à Ginny.

Faire passer son nouveau phoenix par la cheminée ne fût pas facile, Harry dut le serrer fort contre lui pour que la bête accepte enfin.

Une fois chez les Weasley, ils ne reconnurent pas l’endroit, tout était métamorphosé!

La famille au complet ainsi que de nombreux membre de l’Ordre s’affairaient à rendre la maison digne des contes de fées moldus.

Lorsque Mrs Weasley s’aperçut enfin de leur arrivée, elle était si contente de voir Harry en bonne santé et Ginny de rentrer à la maison, elle les accueilli les bras ouverts. Ils montèrent leurs affaires à l’étage. C’est dans le vacarme du Terrier qu’Harry et Ginny entendirent leur bébé Phoenix lancer son premier chant.

C’est à cet instant que Ron et Hermione les aperçurent, heureux comme jamais, Harry et Ginny présentèrent leur nouvel ami. Il fut appelé Oracle.

Hermione leur proposa de venir avec eux sur le Chemin de Traverse, afin de se trouver des tenues adéquates pour le mariage, les robes de soirée de Ron et Harry étant désormais beaucoup trop courtes. Ron avait en effet encore grandi d’une dizaine de centimètres, ce qui faisait la fierté de Mrs Weasley qui ne cessait de le montrer, tel un phénomène de foire, à ses amies, lors des réunions de sorcières ménagères libérées.

Une fois la permission accordée par Mrs Weasley, c’est accompagné de Charlie Weasley rentré de Roumanie pour le mariage, que Harry, Ginny, Ron et Hermione se dirigèrent dans une boutique très branchée pour les tenues de cérémonie sorcière.

Pour une fois, le shopping avec des filles ne sembla pas déplaire aux garçons, Ron et Harry donnant à essayer à leur petites copines des tenues de plus en plus sexy tout en les regardant se changer par le dessus de la cabine. Harry lui fit essayer une robe vert émeraude assortie à son costume, léger décolleté devant et presque dos nu à l’arrière. Harry trouva la robe parfaite pour Ginny, lorsqu’il regarda le prix, il compris que la famille Weasley ne pourrait jamais s’offrir une robe de ce prix-là. Il alla donc parler avec Charlie :

« Charlie, dis j’ai un service à te demander, j’aimerais vraiment que Ginny porte cette robe pour le mariage, elle a complètement flashé dessus. Je me doute bien que vous n’avez pas le budget, alors je voudrais mettre la différence pour qu’elle puisse l’avoir. Mais je voudrais que cela reste entre nous »

« Harry c’est trop gentil de ta part, mais je ne suis pas sûr que mes parents apprécieraient, mais euh bon si Ginny la veut vraiment, je ne dirais rien »

« Merci c’est gentil » rétorqua Harry

Harry retourna vers Ginny après avoir glissé discrètement une petite bourse à Charlie.

Soudain il s’aperçut que Ron avait disparu, il demanda aux filles, Hermione lui répondit avec les joues toutes roses qu’il devait aller à la pharmacie. Harry pensa qu’il devrait peut-être y aller aussi il suivit Ron et découvrit alors une pharmacie Sorcier. Certains produits étaient en commun avec ceux des Moldus. Sinon toutes les préparations ressemblaient plutôt à des Potions qu’à des médicaments. Leurs « petits achats » terminés ils se dirigèrent vers le magasin des jumeaux afin de profiter de leur cheminée pour rentrer chez eux. Mais au moment de prendre la poudre Harry vit une ombre passer devant le magasin, il fut apparemment le seul à l’avoir vue et ne se tracassa pas davantage, mais commença à croire que très bientôt l’osmose de bonheur dans lequel il vivait serait vite remplacée par un univers de doute.

A la maison tout le monde était en pleine extase à l’idée du mariage grandissant, tous sauf Mrs Weasley qui ne sortait pas la tête des différentes tâhes qu’ils lui restaient à terminer. Harry proposa son aide et au bout de 3 heures de travail et après avoir rapatrier Kreattur pour l’aider, Harry et Mrs Weasley eurent tout préparé pour le surlendemain.

Harry se réveilla plusieurs fois cette nuit-là. Dormir avec Ron, n’était pas vraiment comparable à la semaine précédente où il avait pu dormir avec Ginny. Il décida de lui envoyer Oracle qui avait grossi considérablement et qui avait pris son premier envol cet après-midi, il lui donna ce mot : « tu me manques, j’ai du mal à dormir sans toi »

Oracle eut vite compris à qui ce message était destiné et partit très rapidement. La réponse fut rédigée en un temps record : « viens me rejoindre dans le jardin »

Harry enfila un jean et partit sans faire de bruit. Une fois dans le jardin, il vit Ginny au loin et il s’empressa d’aller la rejoindre, ils se couchèrent dans l’herbe et s’endormirent à la belle étoile.

La journée passa très vite et Mrs Weasley visiblement très stressée mis tout le monde au lit tôt, mais ce soir plus question pour Ginny et Harry de ne pas dormir, il fallait avoir une tête convenable au mariage qui avait lieu très tôt…

Vers 6h30 Harry se leva et voulut aller prendre une douche, mais la salle de bain était déjà occupée par les filles qui voulaient absolument réussir leurs cheveux.

Harry descendit et demanda à Mr Weasley où il pourrait se laver. A ce moment là Mr Delacour arrivait dans le salon, il dit à Harry qu’il pouvait utiliser la salle de bain que les Weasley avait mis a leur disposition sachant que lui était prêt et que ses femmes était en haut en train de préparer la Mariée.

Il le remercia et partit se préparer, après 10 minutes d’acharnement sur son épi rebelle il redescendit et tomba sur Ginny dans l’escalier, elle était merveilleuse. Il l’embrassa dans le cou, puis partit rapidement à la recherche de Ron qui avait complètement disparu.

Quand tout le monde fut installé, on commença la cérémonie, Harry prit Oracle sur son épaule pour qu’il puisse participer aussi. Bill attendait Fleur devant l’autel, les cicatrices encore visibles laissées par Greyback affectaient toujours le visage du futur époux, mais ce ne sont pas les nombreuses stygmates du jeune homme qui attirèrent Harry, mais plutôt son regard empreint de passion et d’envie lorsqu’il vit Fleur arrivé.

Elle était magnifique, une robe blanche avec des reflets blanc argenté comme l’aura de Vélane qu’elle dégageait. Mais Harry fut captivé une fois que Ginny apparut derrière la mariée. Il s’imaginait très bien à la place de Fleur et Bill mais c’était encore un peu trop tôt. Harry regarda d’un œil distrait la cérémonie, il ne pensait qu’à Ginny et à tous les moments de bonheur qu’elle lui avait permis de partager, bientôt des heures sombres viendraient prendre la place de ces instants.

Au moment même où le prêtre eut fini de prononcer le « je vous déclare unis par les liens sacrés du Mariage » Oracle se mit à émettre une mélodie si douce qui traduisait l’ambiance merveilleuse de ce mariage et laissa ainsi des souvenirs ineffaçables dans la mémoire de Harry et de tous les invités. Harry ne put pourtant éviter un pincement au cœur lorsque le jeune oiseau de feu entonna la chanson, mélancoliquement, cela lui rappela l’épisode de la tombe blanche et du dernier requiem qu’entonna Fumseck pour le plus grand, Albus Dumbledore.

Voilà la suite j'espère que cela vous plaira

Si oui ou non (j'espère plus oui que non) vous pouvez laissez vos commentaires

bonne lecture

Chapitre 5 : les choses sérieuses commencent.

Au lendemain du mariage, Harry reçut la visite de Scrimgeour, le 1er ministre sorcier, il venait soi-disant féliciter les jeunes mariés mais lorsqu’il aperçu Harry, son visage vira à un teint blanchâtre, teint rappelant à Harry les nombreux malades de l’hôpital Sainte-Mangouste. Harry l’invita à aller faire un tour dans le jardin des Weasley.

« Je vous écoute » lui dit Harry sur le ton du défit.

« Harry, je voulais vous faire part de certains efforts du ministère à votre sujet, pour votre information Stan Rocade a été libéré »

Harry réfléchit ; c’est vrai qu’avoir le ministre sur le dos était loin d’être plaisant cependant Scrimgeour pouvait peut-être aider Harry.

« Si j’accepte d’être l’ ELU que vous espérez c’est uniquement à certaines conditions : Ginny Weasley et moi aurions besoin de passer notre examen de transplanage et d’avoir droit d’utiliser la magie comme des personnes majeures. Je voudrais ne pas être suivi par vos Aurors, ni aucun membre du ministère, je n’ai aucun compte à vous rendre. Si cela vous convient je me rendrais au ministère disons une à deux fois par semaine »

Scrimgeour resta sans voix, c’est vrai que la proposition de Harry était osée et pour Ginny Weasley, il serait obligé de faire influencer les lois pour que ça devienne légal mais d’un autre côté la communauté sorcier était au plus bas. Même si Voldemort n’avait rien tenté ces 15 derniers jours, les sorciers se terrent chez eux. Poudlard ne réouvrira sans doute pas ses portes au vu du manque d’élèves. Alors de ce point de vue là, la proposition d’Harry n’est peut-être pas à négliger.

«Je vais voir ce que je peux faire, ne quittez pas le Terrier, je vous envoie la réponse par Hibou Postal » et il s’en alla.

Hermione s’approcha de Harry :

« Qu’est-ce qu’il voulait ? » demanda-t-elle

« Que je devienne l’ELU »

« Encore, je pensais que tu avais été assez clair »

« J’ai accepté Hermione »

« Harry t’es sûr que ça va, je pensais que tu avais dit que tu ne travaillerais jamais pour le Ministère »

« Je sais mais le Ministre est prêt à nous émanciper Ginny et Moi afin que l’on puisse passer nos examens de transplanage et ainsi rechercher les Horcruxes au plus vite »

« Harry, tu ne vas pas prendre Ginny avec nous ? »

« ET pourquoi pas ? » Répondit Harry sur le ton du défit « Hermione j’ai pris conscience de beaucoup de chose cet été et je sais que si elle n’est pas près de moi, je n’y arriverai pas, alors on en a parlé hier et nous sommes prêts à prendre le risque. »

Hermione hésita puis ajouta :

« J’imagine que je vais devoir l’aider pour le transplanage, elle n’a pas eu les cours »

« Je sais que tu es capable d’enseigner à n’importe qui Hermione .>>

Harry mit rapidement un terme à cette conversation, il se précipita vers Ginny pour lui dire que le Ministre allait certainement accepter leur proposition.

A cet instant, il aperçut justement un hibou qui fonçait droit sur eux, il lâcha la lettre et repartit vers l’horizon.

Harry ouvrit la lettre avec précaution et lut :

Cher Mr Potter,

J’ai donc la joie de vous annoncer que votre requête prend effet directement sur vous et Miss Weasley. Vous voilà donc tous deux majeurs.

Pour ce qui est de l’examen j’ai pris la liberté de vous inscrire dans 3 jours, j’ai aussi inscrit Mr Ronald Weasley en même temps que vous.

Je vous autorise également à utiliser le jardin afin de vous entraîner

Ayez l’obligeance, cher Mr Potter de recevoir tous mes sentiments distingués.

Rufus Scrimgeour.

Ministre de la Magie,

Ordre de Merlin 2ème classe

« Ginny Weasley » hurla sa mère « qu’est-ce que c’est que cette histoire ? » « Emancipation, qu’es-ce que c’est ? »

Harry s’intercala entre les deux femmes et tenta de calmer Mrs Weasley :

« Mrs Weasley, c’est de ma faute, j’ai vraiment besoin de Ginny dans la 1ère partie de ma mission, mais je ne pouvais pas l’emmener illégalement, alors le ministre a décidé de lui accorder ainsi qu’à moi la majorité légale »

Mrs Weasley dût s’asseoir, elle s’était bien doutée qu’elle n’aurait pas pu retenir Ron d’aider Harry mais c’était un coup dur pour elle de considérer sa cadette comme une adulte.

Mr Weasley attiré par les cris de sa femme, arriva quelques instants plus tard, lorsqu’il comprit la situation, il ne réagit pas il demanda juste à Harry de venir faire un tour dans le jardin avec lui.

Après quelques instants plongés dans un silence trop lourd, Harry dit à Mr Weasley : « Mr Weasley, nous ne voulions pas vous blesser, mais nous avions besoin de cette autorisation pour commencer le plus vite possible à rechercher les Hor. » Harry s’arrêta soudain conscient qu’il en avait dit peut-être un peu trop.

« Alors c’est ça les Horcruxes. Et tu voudrais que je laisse ma fille venir avec toi ? »

« Euh oui, j’aurai besoin d’elle pour les détruire, Hermione a lu que pour en détruire un il fallait un grand sortilège d’amour, ou mieux un sortilège d’amour de deux personnes »

« De deux personnes qui s’aiment ensemble, je sais tout ça Harry. Alors je voudrais que tu me promettes que tu ne lanceras pas ma fille dans des risques inutiles que si tu vois que ça tourne trop mal, elle devra se charger elle-même de me prévenir afin que je réunisse l’ordre et qu’on puisse vous aider. C’est d’accord Harry ? »

Harry savait qu’il n’avait pas le choix et accepta.

« Mr Weasley, ne parlez pas des Horcruxes à tout le monde, Dumbledore voulait que ça reste secret. »

« Ne te tracasse pas Harry, je devrai juste mettre Molly au courant »

« Bien entendu »

« Et vous passez l’examen de transplanage quand ? »

« Dans 3jours »

« Alors au boulot, Harry »

Ginny, Ron et Harry se mirent aussitôt au boulot avec Hermione.

Ils réussirent tous à atteindre les cerceaux disposés dans le jardin après plusieurs heures, Harry pensa qu’Hermione était un bien meilleur prof que Tycross et ses « trois D : Destination, Détermination, Décision ! »

Lorsque soudain, 3 ombres monstrueuses se dirigèrent vers la maison, ils se mirent tous les 4 en position. Prêts à attaquer.

A la vie à la mort, ils décidèrent de commencer par le plus gros et lancèrent ensemble 4 Stupéfix, le grand géant tituba au moment où ils allaient lancé leur second sort, ils entendirent une voix familière : « Stop, c’est comme ça qu’on accueille ses amis maintenant ???!!! » C’était Hagrid entouré de Graup et d’une dame Géante qu’ils avaient mis légèrement KO.

Harry se précipita pour aider la dame à se lever puis Hagrid annonça à tout le monde, que la dame géante se prénommait Mamounika et qu’elle et Graup allaient se marier !

« Bonjour pour lui trouver une robe »glissa Ginny à l’oreille d’Hermione

Celle-ci acquiesça d’un sourire.

Mrs Weasley ne fût pas vraiment emballée à l’idée d’inviter toute cette famille hors norme à souper, il lui fallut une quantité époustouflante de nourriture pour arriver à les rassasier tous.

La veille de leur examen, Ron et Ginny arrivaient presque à la vitesse de transplanage d’Harry. Curieusement, Ginny transplanait plus vite et était beaucoup plus précise lorsqu’elle devait rejoindre Harry. Celui-ci promis que s’il passait en premier il l’attendrait au dernier lieu d’arrivée.

Le matin de l’examen, le ministère envoya une voiture pour venir les chercher.

A peine arrivé, le ministre prit Harry à part dans son bureau et lui demanda de se présenter à une interview pour la Gazette, Harry n’avait pas le choix, il le remercia et prit congé du ministre. Il se dirigea vers le centre d’examen.

La salle d’examen était énorme, Harry observa le nombre impressionnant de petites croix de couleur à la fois sur le sol et sur les poutres qui étaient dispersées à différentes hauteurs dans la salle.

Harry eut les croix rouges, Ginny les jaunes et Ron les vertes, l’examen consistait à un jeu de piste, une fois arrivé à la croix suivante on t’indique la prochaine ect…

Harry passa en premier car il devait réalisé son interview avec Rita de la Gazette.

Lorsqu’il arriva, elle n’avait plus cet air miteux de l’année précédente, elle était même plutôt bien arrangée. Son interview dura environ 25 minutes, Rita eut l’air d’insister sur sa quête mais Harry ne laissa rien deviner, il se contenta de raconter à quel point le ministère avançait enfin sur le droit chemin et qu’il serait heureux de l’aider…

Lorsqu’il sortit de là, il eut l’impression qu’on avait fixé le temps, tout le monde s’arrêta net pour le laisser passer. C’est alors qu’il vît Ginny et Ron, elle lui sauta au cou et lui dit « tu vois j’ai réussi sans que tu m’attendes »

Leur nom inscrit sur la liste officielle, Ron insista pour rentrer au Terrier en transplanant voulant ainsi impressionner Hermione.

Harry et Ginny arrivèrent en tête voulant absolument ne pas rater l’entrée triomphale de Ron, celui-ci arriva quelques seconde après il leva la tête tout fier voulu faire un pas mais se prit le pied sur la marche du perron et se retrouva vite par terre. Hilarité complète chez toute la famille. Ron se releva rouge pivoine.

Cette nuit encore il y eut chez la famille Weasley des changements clandestins de lit Hermione fît signe à Harry de rejoindre celle de Ginny pendant qu’elle reprenait sa place dans celle de Ron.

Harry se dit qu’il était temps de quitter le Terrier afin de pouvoir partir à la recherche des Horcruxes. Une fois dans la chambre de Ginny, il lui demanda la permission et appela Kreattur et Dobby, il leur demanda de retourner au Square Grimmaurd et de préparer la maison à l’arrivée de 4 personnes, il négocia aussi le salaire de Dobby et lui proposa de faire travailler Winky aussi, maintenant que Poudlard avait fermé ses portes.

Les elfes acceptèrent, enfin Kreattur n’eut pas vraiment le choix mais fût assez emballé par l’idée de retrouver sa maison.

Chapitre 6 : De l’autre Côté

Ce matin-là, comme tous les matins depuis le meurtre de Dumbledore dans la tour, Rogue se réveilla d’un sommeil, fort agité.

Il dormait mal depuis déjà pas mal de temps, depuis le Serment Inviolable.

Il aurait préféré mourir mais Dumbledore avait été clair, il fallait épargner Drago.

Depuis son retour, le Seigneur des Ténèbres, lui avait apporté la gloire. Il lui fallut bien des ruses pour éviter la mort de Drago, prétextant son utilité pour introduire les Mangemorts à l’école, pour tendre un piège à Dumbledore.

La culpabilité de Rogue était croissante, chaque seconde en compagnie de son « maître » n’était que torture d’esprit. L’occlumencie, heureusement qu’il maîtrisait cet art avec un talent rare, sinon cela ferait longtemps qu’il aurait été tué.

Drago aussi semblait fort mal gérer la situation, il n’était pas le héros attendu, mais il était en vie. Il avait une dette envers son professeur. Mais ce que Drago supportait encore moins bien, c’est la cruauté avec laquelle le Seigneur des Ténèbres se faisait respecter des ses fidèles serviteurs. Jamais encore, son esprit n’aurait imaginé pareille cruauté. Il eut même de la compassion pour son ennemi juré Harry Potter.

Harry et lui s’étaient haï depuis leur entrée à Poudlard. Mais en cet instant précis, Drago se rendit compte qu’Harry n’avait peut-être pas menti et qu’il n’était peut-être pas aussi vantard que ça. Si les rumeurs sont justes, il a échappé 4 fois au Seigneur des Ténèbres. Un exploit plutôt difficile après avoir eu un aperçu de la cruauté de Lord Voldemort !

Lord Voldemort organisa un banquet en l’honneur de Drago et Severus, Bellatrix devait se charger de tout préparer. Sa jalousie envers son neveu et Rogue était palpable, ils avaient les honneurs, elle était reléguée au second plan. Elle qui avait passé de nombreuses années en prison pour son maître, n’était plus qu’un serviteur comme un autre. L’ambiance était tendue, les elfes de maison étaient traités avec un tel mépris que Drago se surprit à éprouver de la peine pour eux. Rien n’allait plus dans sa tête, voilà que maintenant il partage l’avis de Granger, cette sang-de-bourbe.

Un moment Rogue intervint dans sa tête par légilimencie.

« Ferme ton esprit Drago sinon le maître va penser que tu es faible, et va te supprimer »

« Un problème Severus ? » demanda le Seigneur Sombre lui-même.

« Non, Drago me faisait juste partager l’idée qu’il était navrant de ne pas voir son père avec nous »

« En effet, cela est désolant, ne te tracasse pas ton père sera bien vite de retour avec nous »

Bellatrix sembla s’étouffer et lui dit : « Mais maître, c’est sa faute si on n’a pas récupérer la prophétie »

« Tes crises de jalousie, n’ont pas leur place ici, Bellatrix tu es aussi coupable que lui, sauf que tu as eu plus de chance c’est tout »

Bellatrix fût stupéfaite et repris sa place, le menton bas, le regard brûlant de haine envers Rogue.

« Severus, j’ai un travail pour toi, il faudra que tu fasses le guet, c’est une mission qui peut sembler barbante mais qui a une grande importance, et je trouve normal que ce soit celui en qui j’ai le plus confiance, qui aie cet honneur »

« Merci, Maître »

Et là dans le regard sombre de sa tante, Drago comprit qu’elle les ferait payer lui et Rogue, pour l’humiliation qu’elle était en train de subir…

Voldemort envoya donc Rogue monter la garde dans un village perdu, soudain Severus aperçut une silhouette familière : Mondingus Fletcher. Il semblait plus miteux qu’à l’ordinaire. Quelque chose avait l’air de le ronger de l’intérieur.

Rogue s’approcha par derrière et surprit le vagabond. Il avait le visage grave et lui dit : « Rogue, alors c’est vrai je suis maudit »

« Pourquoi ça ? » lui demanda Severus

« Je suis poursuivi par des ombres, depuis que Sirius Black est mort, je suis poursuivi »

« Qu’as-tu donc encore volé pour être poursuivi ? » répondit Rogue avec un certain amusement dans la voix.

Et contre toute attente Mondingus sortit de sa poche un médaillon, finement taillé où on pouvait clairement apprécier la finesse de gravure qui représentait un serpent. Le médaillon de Serpentard lui-même.

« Je l’ai pris chez Sirius, Dumbledore m’a bloqué l’accès de la maison, je te jure, je voulais le reposer mais je ne peux pas. Je t’en supplie Severus, aide moi à me débarrasser de ça »

« Très bien » répondit Rogue « je vais m’en occuper »

« Oh merci, merci Severus »

Un instant, Mondingus pensa que Rogue le laisserait en paix mais Rogue insista :

« As-tu volé d’autres objets portant le sceau des fondateurs de Poudlard ? »

Mondingus hésita. Trop peut-être au goût de Rogue

« Ne m’oblige pas à te faire parler, vermine » Il pointa sa baguette sous le nez de Mondingus.

Mondingus craignant la colère de celui dont on disait qu’il était maintenant le bras droit du mage noir, hocha légèrement la tête, des larmes de peur roulaient sur son visage.

« Où sont-ils ? » hurla Severus Rogue en dominant Mondingus de tout son être.

« Cachés » hurla celui-ci comme une délivrance

« Où ? »

Mondingus dessina rapidement un plan. Au moment où il le donna à Rogue il lui demanda « Que vas-tu en faire »

« Je vais faire mon devoir » Répondit-il « Maintenant pars te cacher et ne parle à personne de cette conversation, sinon je te tue ! Est-ce que c’est clair Fletcher ? »

« OUI, Severus »

Et Mondingus transplana.

Rogue fît apparaître un hibou, lui donna, le paquet contenant le médaillon, le plan et une légère explication écrite de sa main. Et envoya le tout au 12 square Grimmaurd.

Chapitre 7 : un Allié à ne pas négliger.

Au petit matin, Harry reçu la visite de Dobby.

« Harry Potter, monsieur » mais Harry était fortement endormi.

Ginny elle était déjà levée, lavée et commençait à préparer ses affaires.

« Je peux t’aider, Dobby ? » lui dit-elle

« Je venais dire à Harry Potter, que la maison est prête Miss »

« Bien Dobby je le préviendrai de ta visite, dès son réveil. Nous arriverons à mon avis juste après le déjeuner »

« Bien Miss » et Dobby repartit au square Grimmaurd en transplanant.

Ginny retrouva Hermione dans le couloir qui menait à la chambre de Ron, à l’aide d’un sort qui ressemblait beaucoup à « Locomotor barda » elles réussirent à replacer Harry dans la chambre de Ron sans que celui-ci ne se réveille.

Comme Ginny l’avait prévu Mrs Weasley ne les laissa pas partir avant le déjeuner et insista pour qu’ils mangent tous les 4 avec elle. Elle avait même pensé à faire de la tarte à la mélasse, le dessert favori de Harry.

Au moment de partir, Mrs Weasley fondit en larmes et les fît jurer de lui écrire.

Ils envoyèrent Hedwige, Coq et Oracle qui s’occupait du Boursouflet de Ginny par la voie des airs et eux décidèrent de partir par la cheminée.

Une fois, au square Grimmaurd, le changement était radical, les elfes avaient fait du très bon travail. La maison était vraiment habitable, même accueillante. Enfin si on faisait abstraction de Mrs Black qui s’était remise à hurler.

Harry décida de prendre le taureau par les cornes et se dirigea vers Mrs Black en lui disant qu’il était désolé de venir rompre sa solitude mais que cette maison c’est Sirius qui lui avait léguée en tant que filleul et qu’il était sûr qu’elle préférerait l’avoir lui dans sa maison, que la femme qui avait tué son propre fils. Et sur ce il ferma le rideau.

Ils montèrent leurs affaires, arrivé à l’étage, Harry soudain comprit que les elfes avaient préparé 4 chambres alors que 2 étaient largement suffisantes. Il proposa à Dobby et Winky d’occuper une des chambres et de garder l’autre au cas où ils auraient de la visite.

A ce moment là, Kreattur arriva avec un paquet : « Le Maître a du courrier, Kreattur se demande bien qui voudrait lui écrire »

Harry ouvrit sans écouter les commentaires de son elfe. Il y découvrit une lettre :

Potter,

Il semblerait que cet objet, ait quitté votre domicile, bien que je ne sache pas pourquoi il s’y trouvait.

Mais votre « brillant esprit » va sans doute élucider les mystères, il paraîtrait que vous êtes plutôt doué pour ça.

Ci-joint vous trouverez la liste d’autres objets ayant disparu de chez vous également ainsi que les endroits où ils se trouvent si vous voulez les récupérez et faire avec ce que vous avez à faire.

Pour la suite des interventions, je passerai lors d’un rdv fixé.

Bien entendu je ne peux signer cette lettre au cas où elle serait interceptée

Mais j’espère que ceci vous mettra sur la voie :

« Ça nous fera un nouveau zéro Potter. »

Severus Rogue, Harry en était persuadé.

Il prit alors l’objet correctement emballé, et il découvrit le médaillon de Serpentard ainsi qu’une liste :

Coupe d’Helga Poufsouffle, Chez Ollivender 3ème rangée de baguettes, petite boite grise clair, derrière le comptoir.

Bouclier de Godric Gryffondor, 2ème étage chambre 27 Chaudron Baveur dans la cheminée.

Qui aurait eu l’idée de cacher des objets à ces endroits-là. Puis soudain il comprit, il se souvint d’avoir croisé Mondingus à pré-au-lard avec des objets portant les armoiries des Black.

R.A.B devait être un membre de la famille, il avait réuni les Horcruxes chez lui afin de les détruire tous, mais n’en n’avait pas eu le temps.

Harry se précipita dans la salle de séjour. Il remarqua alors Regulus Black mais ce qui l’intriqua c’est cette tache au centre des deux noms.

Il se souvint alors de cette conversation avec Sirius : « Mon oncle Alphard m’avait laissé une assez belle quantité d’or, lui aussi, on l’a enlevé de l’arbre, sans doute à cause de ça. »

Oui Regulus Alphard Black tué selon les rumeurs par Voldemort en personne. Cela expliquerait bien des choses et surtout comment le médaillon se soit retrouvé entre les mains de Mondigus Fletcher.

Chapitre 8 : le début des choses sérieuses.

Mondingus Fletcher avait trouvé refuge non loin de l’endroit où il avait croisé Rogue. Que faisait-il là ? A qui avait-il envoyé le plan ? Mondingus se posait beaucoup de questions et toutes restaient sans réponses.

Soudain le sol de la maison se mit à trembler, comme lors d’un tremblement de terre. Il tenta de maintenir tout en place mais les vibrations s’intensifièrent. Il décida d’aller voir prudemment à la fenêtre et c’est là qu’il aperçut la rue noire de monde.

Mais surtout cette horde de géants…

Rogue aussi avait l’air impressionné, voici donc sa mission être l’intermédiaire entre le Maître et son « armée ». Il comprit que ça ne lui laissait pas beaucoup de repos pour parvenir à aider Harry qu’il lui faudrait de l’aide, et son choix fût très vite porté vers un jeune garçon blond qui avait justement une dette immense envers lui.

Malefoy hésita longuement mais il y avait un avantage. Harry avait des relations avec l’ordre du Phoenix et Dumbledore lui avait promis de pouvoir le protéger lui et sa famille. Il pourrait peut-être même voir son père qui sait. Mais bon, il faudrait pouvoir s’entendre avec Potter, Granger et les Weasley traîtres à leur sang. Il lui fallut beaucoup de sang froid pour finir par avouer le soulagement qui aurait à jouer un rôle important pour l’autre camp.

Loin de là, le square Grimmaurd s’endort après un repas très copieux préparé par les elfes d’Harry. Une fois dans sa chambre, Harry ne parvint pas à s’endormir, il était pressé de réunir les Horcruxes et de commencer à les détruire mais il y avait quelque chose de trop simple dans sa mission, tout lui était livré sur un plateau d’argent : les Horcruxes, un espion directement chez Voldemort, l’accord des Weasley pour qu’il vive avec Ginny. Oui quelque chose n’allait pas c’était trop facile. Pour Harry la facilité était rare. Après la perte de ses parents, il a dû supporter sa tante et sa famille de moldus, combattre plusieurs fois Voldemort sans aide, assister à l’assassinat d’un de ses compagnons d’école, de Sirius et de Dumbledore. La facilité n’est pas dans les Habitudes d’Harry et il commençait même à redouter sa journée de demain au Chemin de Traverse. Il se blottit tout contre Ginny et finit par trouver le sommeil.

4h du matin, Drago Malefoy ne dormait plus, il devait arriver avant Harry Potter au Chaudron Baveur chambre 27, sans se faire remarquer. Il savait que le ministère continuait à le rechercher pour le meurtre du directeur. Le maître des potions lui avait donné un flacon de polynectar au cas où il se ferait repérer.

« Mais qu’est-ce qu’il y a de si important dans cette chambre miteuse ? » se dit Malefoy

Il réfléchit beaucoup cette nuit-là, sur la façon dont il devrait se comporter avec les chouchous de Dumbledore. Le CHANTAGE. Oui, si facile avec des gens manipulables, Harry possède aussi ce qui a causé la perte de Dumbledore, la confiance en l’être humain. Drago resta éveillé encore longtemps puis finalement partit très tôt pour le chemin de traverse.

Il fallait qu’il découvre ce que Potter était venu chercher et avec lequel il pourrait exercer sur Harry une pression telle qu’il n’aurait pas d’autres choix que de l’aider.

Petit déjeuner tendu au 12 square Grimmaurd, il avait fallu à Harry une sacrée dose de câlins pour sortir du lit. Harry redoutait quelque chose et visiblement Ginny n’était pas à l’aise non plus. Seul Ron était d’une humeur joyeuse, selon lui le fait que R.A.B ait rassemblé les Horcruxes était une aubaine pour eux, cela leur éviterait de périlleuse aventure. Mais Harry pensa lui que les périlleuses aventures ne faisaient justement que de commencer, et s’inquiétait de la multitude de complications qui les attendaient plus loin.

Dobby avait pris le soin de préparer des sandwichs pour ses Maîtres, juste avant son départ il osa une question :

« Est-ce que le Maître compte rentrer ce soir ? »

« Kreattur espère que non, le Maître ne fait que lui donner des ordres, ce pauvre Kreattur obliger de servir ce Maître, il parait qu’il essaye de tuer celui-dont-on ne doit pas prononcer le nom. »

A ce moment là Dobby se rua sur Kreattur, Hermione dût intervenir et les menaça avant de finalement ranger sa baguette.

« Dobby, je t’enverrai Oracle pour te dire quand on revient »

Harry siffla et son phoenix alla se poser droit sur l’épaule de Ginny. Harry eut un moment de tendresse envers ce ravissant tableau puis ravala une réflexion et précipita le départ.

voilà j'espère que ça vous plaît.

merci de laissez vos commentaires ici: http://hp7-leforum.heavenforum.org/viewtopic.forum?t=848

Chapitre 9 : de surprises en surprises.

Rogue les avaient vu arriver de loin, ces géants. Un léger frisson parcourut sa colonne vertébrale. Tout autour de lui semblait soudain fragile comme un univers de cartes que l’on peut renverser à sa guise, le village tremblait sous les pas coordonnés de cette armée monstrueuse, pas loin de 80 géants se trouvaient là, à quelques centaines de mètres de lui. Le chef des géants, le Gurg des géants, Golgomath paradait en tête, il approcha son immense tête tout près de celle de Rogue.

Stoïque, il prit cet air fier qu’il abordait toujours en criant sur Harry lors de cours de potions, et l’illusion fût remarquable. Le Gurg ne s’aperçut pas que Rogue tremblait comme une feuille à l’idée qu’un coup de main pourrait l’anéantir en moins de temps qu’il fallait pour le dire.

Harry Potter était le genre de garçon trop facilement repérable pour entrer dans une boutique dont la rumeur disait que le gérant avait été emprisonné de force par Vous-savez-qui. Il décida d’un plan simple il ira au Chaudron Baveur avec Ron et les 2 filles iront chez Ollivender sous la cape.

« Au moins elles, on ne voit pas leurs pieds » dit Harry à Ron devant le regard suspect de son ami.

Ils partirent ensuite vers le Chaudron Baveur, en parlant surtout des relations qu’ils entretenaient avec leur copine. Harry n’entrait jamais dans les détails, ne voulant pas mettre Ron mal à l’aise vis-à-vis de sa sœur. Ron lui semblait reconnaissant de cette attention.

Sur le chemin menant au Chaudron Baveur, beaucoup de sorciers se tournèrent vers Harry en le remerciant de travailler pour le Ministère. L’article était complètement sorti de la tête d’Harry, il ne savait pas ce qu’on avait pu raconter sur lui, c’est alors que sa tête lui apparut comme un mirage en plein désert. Au milieu des recommandations du ministère postée depuis maintenant presque 1 an et demi, en grand et multicolore « Harry Potter remet le Ministère dans le droit chemin »

La photo avait été prise au moment où Ginny venait de réussir son permis de transplanage et qu’Harry la regardait avec un regard à la fois plein de passion et de fierté.

« Ginny va être jalouse Harry, que toute les sorcières puissent t’admirer en train de sourire comme ça, la prochaine fois laisse-lui ce privilège» lui dit Ron avec un ton semi-amusé. C’était la première fois que Ron parlait ouvertement de la relation qu’entretenait sa sœur et son meilleur ami. Ils continuèrent leur chemin vers la chambre 27 du Chaudron Baveur.

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