Gildas Rogue : Harry Potter et l'oublié

Je vous poste la 1ère fic que j'ai faite. N'ésitez pas à la critiquer MDR !
Celle là est "chapitré"

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Cela se passe au milieu la 5ème année scolaire de Harry, après avoir sauvé Mr Weasley du serpent. Harry se sent coupable de cet accident. La veille il a embrassé Cho Chang. Il va se réfugier chez Sirius et quelques jours plus tard Hermione les rejoints.

La suite suit le livre, mais sans certains éléments et d’autres en plus.

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I L’arrivée imprévue.

C’était en décembre. Juste après avoir étés voir Mr Weasley à Ste Mangouste, l’hôpital pour les maladies et blessures magiques.
La bonne nouvelle, c’est que Mr Weasley aller bien, grâce à Harry. Lui ne pensait pas que c’était grâce à lui, mais à cause. Il était pressé de revoir Sirius pour continuer de lui conter ses doutes, ce qui pouvait prendre plusieurs heures.
Toujours sous bonne escorte, il rentra chez son parain. Fol Œil dans le métro lui aurait bien arraché quelques éclats de rires si les circonstances avaient été différentes. Il avait pris une vielle femme pour un des Mangemort les plus recherché du temps où les aurores avaient le plus de travail ! La situation dégénérée, Fol Œil croyant à une ruse adverse, le vielle femme se sentant agressée par un fou. Les autres utilisateurs commençaient à intervenir ( tous du coté de la femme, naturellement ! ), mais Harry réussit à convaincre Maugrey que le risque de se faire repérait était plus important que celui de laisser s’échapper une vielle femme, même si c’était un Mangemort.
A son arrivée au 12, Square Grimmaurd, ils eurent une surprise : une superbe Ford T, magnifiquement conservée, était stationnée tout prés de la maison voisine.
_ Papa serait là, il serait fou ! Dis sans réfléchir Ron.
Ginny laissa échapper un sanglot étouffé. Fred lançât un regard noir à Ron, qui visiblement avait pris la manie de parler avant penser à ce qu’il allait dire.
Mrs Weasley ouvrit la porte. A ce moment, des crient venaient de l’intérieur. Encore ce tableau ! pensa Harry, vivement qu’ils réussissent à le décrocher !
_ ESPECE DE TRAITRE A TON SANG ! PARASITE ! IMPURE ! CRACMOL !
_ TAIS-TOI VIELLE FOLLE. SINON JE T’EXPLOSE !
A la surprise générale, le portrait se tue. Qui pouvait bien avoir autant d’autorité ? C’était la première fois que quelqu’un réussissait à avoir le dernier mot sur la mère de Sirius. L’homme se tenait de dos. Il était mince, voire maigre. Ses cheveux courts étaient d’un noir de geais. Tout d’abord, Harris ne remarquât rien de plus dans les caractéristiques dorsales de cet homme. Mais lorsque celui-ci se retourna, il remarqua autre chose : il était habillé comme un moldu, et sans que cela paraisse étrange sur lui. Il portait un costume d’un gris bleuté, et le portait bien ( a sa taille, pas comme celui de Lupin qui semblait avoir trois tailles au-dessus ! ). Lorsqu’il eu finit de se retourné, Harris eu un haut le cœur, Ron poussât un soupir et Hermione semblait sur le point de s’évanouir. Et Fred lâcha :
_ Rogue ! Chez Sirius !
Mais cette certitude s’évanouie rapidement. Bien qu’il lui ressemblait en tout points, de la taille à la forme du nez, il paraissait plus jeune, plus beau et moins triste.
_ Gildas ! Que fais-tu ici ? C’était Mr Lupin qui venait de parler. De toute évidence, cette visite était imprévue.
_ Une visite entre voisins, quoi de plus courtois ?
_ Une visite entre… Quoi ? VOISINS !
_ Et oui ! Vous avez devant vous l’heureux propriétaire du 14, Square Grimmaurd. Je vous ais vus partir tout à l’heure, enfin, surtout Lupin, et j’en ai déduit que Sirius avais dû ré habiter la maison de sa chère mère.
_ Mais elle est incartable ! Comment tu l’as trouvée ?
_ C’est ce que j’expliquais à Sirius. ( Harris le regarda : il était écarlate de colère ). Je connais cette maison depuis bien longtemps ! Depuis l’époque où nos parents se connaissaient. Sale époque d’ailleurs ( à ce souvenir, Sirius se frottât l’épaule, sans doute un mauvais souvenir lui revenait ). Alors, en mémoire de ce bon vieux temps, j’ai décidé, après pas mal de réflexion, de venir passer un petit bonjour.
Comme s’il sortait d’un rêve, il regardât rapidement autour de lui, et pris conscience du nombre important de personnes qui le dévisageait, visiblement sans rien comprendre.
_ Oups, j’ai oublié pour ceux que je ne connais pas. Je m’appel Gildas Rogue, et…
_ CRAC !
Une autre personne venait d’arriver dans le hall d’entrée de la maison de Sirius. Severus Rogue venait de transplaner.
_ Quoi ! Toi, ici !
_ Je t’inquiète pas, je suis tout aussi ravis que toi de te voir !
Les deux frères se regardaient, et s’étudiaient. Ils laissaient l’impression à Harris qu’ils allaient se sauter à la gorge. Severus avait sortit sa baguette, et à la surprise de tous ceux qui ne le connaissaient pas, Gildas ne fit pas pareil.
_ Tu sais bien que je ne peux rien te faire ! Alors range ça s’il te plaît, tu m’agace. Et si j’ai bien compris ce qu’il se passe, maintenant je suis avec toi !
_ Les enfants, allez dans vos chambre. C’était Mrs Weasley qui venait de parler.
_ Oh ! Non maman ! Tu peux pas nous faire ça !
_ Allez ! Et sans discuter !

pas mal le truc du frere mis une seul critique tu dis que jamais personne n'avait eu d'autorite sur la mere de sirius pourtant dans le 5 sirius lui dit JE T'AI DIT DE TAIRE! et elle se tait

Possible, je sais plus...
(puis ma fic je l'ai écrite il y a 2 dans donc je m'en rapel plus trop)
Mais maintenant, cette fic devient "dépassé", surtout depuis que le 6 est sortit !

alors qu'est tu veux faire tu continues celle la ou t'en fait une nouvelle

Je continue celle là.
J'arret de faire des fics, parce que... voila quoi !

si tu la continue a quand la suite elle a l'air bien mais on peut pas encore jugé

Je peux continuer : elle est déjà écrite

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II : Dans Londres

Harry rentra dans sa chambre avec Ron. Dans un premier temps, ils ne se dirent rien, tous les deux plongés dans une profonde réflexion personnelle.
_ CRAC !
Cette fois, c’était Fred et Georges qui venaient d’arriver.
_ Il est bizarre ce type, vous trouvez pas ?
_ Heu… Oui.
_ Non mais franchement un Rogue c’était beaucoup, et maintenant il y en a deux. S’ils pouvaient se débarrasser des deux, ce serait une telle joie pour nous tous !
_ Quoique, ils n’ont pas l’air tout à fait pareil ! Il y en a un qui n’arrête pas de parler, et l’autre pour lui arracher un mot c’est pas possible, en dehors de « Potter, faites des efforts ! Potter, si vous continuez ainsi vous aurez zéro. »
_ Ho ! Harry ! Comment tu fais bien Rogue !
C’était Ginny qui venait d’entrer. Elle était entrée sans bruit avec Hermione.
_ On est venu pour voir ce que vous pensiez de ce nouvel arrivant.
_ Et bien moi, c’est la première fois que j’entends parler de lui ! D’ailleurs, je ne pensai pas que Rogue avait un frère, il n’en a jamais parlé !
_ De toute façon, il ne parle presque pas ! Tu pensais qu’il allait NOUS faire une confidence ?
_ Le plus étrange, c’est qu’on dirait un Moldu. Pourtant, si c’est vraiment le frère de Rogue, c’est un SangPure, et TOUS les SangPure détestation les Moldus ! C’est encore pire que les chiens et les chats. Et si on est à peut prés sûr que Rogue ai été un Mangemort, on est encore plus sûr que Gildas n’en ai pas un.
_ A oui, et qu’est ce qui te rend si certaine ?
_ Attends Fred, j’y arrive ! C’est tout simplement parce que ta mère et ceux qui le connaissent, on eut l’air simplement surprit, mais pas furieux ou en danger.
_ Hermione ! Tu es encore plus géniale que ce que je pensais !
_ Tu le reconnais enfin !
Peut à peut, la discussion alla de la génialisime intelligence d’Hermione à la supériorité féminine, mais les garçons ne semblaient pas très convaincus par ce discourt.
Lorsque l’heure du repas approcha, tout le monde se demandait ce qu’allait bien faire l’arrivant inattendu. Au fond de lui, Harry espérait qu’il resterait pour le connaître plus. Quelque chose dans cet homme lui créé une impression étrange et il voulait savoir ce que c’était.
_ Les enfants ! Descendez immédiatement, on va manger.
_ Et si dans 30 secondes on est pas en bas, maman nous jette un sort ! Elle me l’a dit ce matin.
_ Ginny, ne soit pas ridicule. Elle ne ferait jamais ça !
Mais pas acquis de conscience, tout le monde se dépêcha.

Harry fut le premier à arriver dans la cuisine. A sa grande déception, Gildas Rogue n’était pas là. Il ne restait plus que Sirius et Mrs Weasley.
_ Ha ! Les enfants ! Il s’est passé tellement de choses pendant que vous étiez partis qu’on vous aurait presque oubliés !
A en voir la table mise, ils en conclurent que le « presque » était en trop.
_ Et oui ! Il s’est passé bien des choses ! D’abord Gildas, sa nouvelle vie… Et une nouvelle apportée par Fumsec qui va vous rendre fous de joie. Le Professeur Ombrage est mystérieusement tombée malade. Elle sera remplacée au poste d’enseignante, mais pas en tant que Grande Inquisitrice. Apparemment, le ministère à des difficultés à trouver un remplaçant. C’est compressible avec ce qu’elle a eu… Ho ! Quelle horreur !
_ Maman, qu’est ce qu’il lui est arrivé ?
_ Rien, c’est un secret du ministère. Ho, mais tout de même, elle est à St Mangouste ! Bon, on parlera de tout ça à table.
Comme d’habitude, tous les plats paraissaient succulents.
_ Alors, il y a eu quoi ?
_ Vas-y Sirius, je suis encore trop bouleversée pour redire ce qu’il s’est passé.
_ On a eu la visite de ce cher bon vieux Gildas. C’est le frère de Rogue. Ils se ressemblent en tous points sauf que Gildas est moins con.
_ Sirius !
_ Qu’est ce que tu voulais que je dise d’autre ? Bon, je continu. Gildas est cracmol, et il a une vie normale chez les moldus. Il est inspecteur, je ne sais pas ce que c’est au juste mais ça a l’air d’être un bon travail. Il nous racontait sa vie, ce qu’il peut faire pour nous dans l’Ordre… Mais Fumsec est arrivé pour nous porter un message. Ombrage doit être remplacée comme vous le savez déjà. Et c’est Rogue qui la remplacera.
En disant cela, il émit une grimace.
_ Mais qui vas faire les cours de potions ?
_ Son frère.
_ Il est Cracmol, tu viens de le dire !
_ Oui, mais a part pour nettoyer son chaudron, un grand préparateur doit savoir tout faire sans magie. Et c’est l’un des meilleurs, il a eu la mention « géni » à son ASPIC. Et Rogue a admis lui-même que son frère était meilleur que lui. Il se débrouillera très bien.
_ Et il est où là ?
_ Chez lui. Il se prépare pour aller à Pouddlard demain pour emménager son bureau. Il revient pour le dessert.
Chouette, c’est bientôt, pensa Harry car ils en étaient au fromage. Il ne savait pas pourquoi, mais il était de plus en plus pressé de le connaître.
_ BING !!
_ Ce doit être lui qui arrive. T’y vas Molly ?
Quand elle partie, Sirius dit à l’oreille de Harry :
_ Fais tout de même attention à lui, c’est un Rogue, il ne faut pas l’oublier.

Bon, vous n'avez pas l'air de vouloir la suite !
Tant pis.

Tu sais beaucoup sont en vacances, donc faut pas trop leur en vouloir ... (je vois ca dans les stats qui baissent )

moi ze veux la suite
vite vite

Il y a quelqu'un

Bravo @Cavaliersolitaire

Moi aussi j'attends la suite avec impatience !

Voila la suite

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_ QUI OSE ENCORE TROUBLER CETTE DEMEURE ?
_ JE T’AURAIS PREVENU !
_ C’est bon, je ne dis plus rien.
Gildas venait une nouvelle fois de gagner sur le portrait. Et sans qu’il lui dise de se taire. Harry se demandait comment il pouvait faire pour arriver à ça.
_ Comment c’est possible ?
_ Ho, c’est rien. Je suis Cracmol, mais pas entièrement. J’arrive à jeter des sorts, mais généralement quoi que je fasse ce sont des boules de feu qui sortent. Et si on est sûr que les sorts ne peuvent rien contre les antisortilèges qui sont ici, personne ne sait si un sort involontairement raté peut faire quelque chose. Pour simplifier, c’est parce que la moitié de ma vie est ratée que je réussis à avoir un semblant d’autorités.
Avec lui toute discutions devenaient simple. Harry parlait avec lui comme s’ils se connaissaient depuis toujours.
_ CRAC ! CRAC !
Fumsec venait d’arriver et de repartir en laissant une plume et un message.
« Je ne sais comment c’est possible. Le ministère connaît cette maison. Partez vites. »
C’était signé : Dumbledore.
_ Vite ! Gildas, voulez vous emmener les enfants en sécurité ? Sirius, sauve-toi. Moi je reste ici pour les accueillir. On se retrouve demain au chemin de Traverse.
Tout le monde fut debout et sorti en un rien de temps. Sirius se transforma en chien sous les yeux de tous, et disparut dans le jardin voisin. Gildas prit la tête du groupe des enfants.
Ils marchèrent dans Londres, au hasard de leurs pas. Ils avaient fais plusieurs kilomètres dans le froid de la nuit. Ils arrivèrent prés du stade de foot. Ils en approchèrent espérant trouver un abri en attendant de savoir quoi faire exactement : personne n’avait d’argent Moldus et le Chaudron baveur était fermé pour le week-end.
Ils approchèrent des portes du stade, lorsqu’une foule en folie sortie : les supporters acclamaient leur équipe qui venait de gagnée.
_ Faites attention, ne vous perdez pas ! Harry, ne t’éloigne pas.
Gildas n’avait pas finit sa phrase que le groupe se dissolu en deux parties, coupée par une marée humaine. D’un coté les Weasley, de l’autre les non-Weasley.
Harry, Hermione et Gildas furent entraîné par un courant d’êtres vivants, et ils voyaient au loin les autres disparaîtrent.
Lorsque le mouvement cessa, ils avaient parcouru prés d’un kilomètre et ne voyaient aucune trace de leurs amis.
_ Comment on va les retrouver ? On ne peut rien faire d’ici. Et leur mère qui me les a confiés ! Comment je vais faire ?
_ Ce n’est rien ! Je suis sûre que Fred et Georges vont très bien s’occuper de leurs petits frères !
_ Et Ron n’a pas besoin d’aide. Il peut se débrouiller tout seul. Je parierais que demain ce seront eux qui vont être les premiers arrivés, et en nous attendant ils vont aller au magasin de farces et attrapes.
_ Oui, sans doute. Mais leur mère va me tuer ! C’est de ma faute, je savais qu’il y avait un match ce soir. Je connais du monde qui y est allé, ils m’en parlent depuis des semaines.
_ Vous avez subit beaucoup de choses depuis cet après-midi. Mrs Weasley comprendra certainement.
_ Tient, voilà un collègue de travail. Je me demande ce qu’il fait là. SALUT MICHAEL !
_ Bonsoir.
_ T’as vu le match ?
_ Oui, on a gagné 2-0. Deux buts de Beckham.
_ Ca vas chez toi ? Tes enfants ?
_ J’ai pas d’enfants… Ha, si. Ils vont bien, merci. Nicoletta vient de fêter ses cinq ans. Et toi, tu fais quoi ?
_ Pour l’instant, rien. J’arrête le travail ce soir, je pars. Est-ce que tu sais où on peut louer des chambre en ville ? En sachant que je n’ai pas d’argent Mol… , enfin, j’ai rien, même pas mes papiers.
_ Si ça t’arrange, je peux t’avancer, tu n’auras qu’à me rembourser plus tard.
_ C’est vrai ? Merci beaucoup.
Michael lui tendit plusieurs billets. A en voir les yeux d’Hermione, la somme était élevée. Harry ne voyait pas, il faisait trop sombre pour lui.




(fin du chapitre 2)

(je sais pas pourquoi cette fic à du mal à passer... tant pis !)

Si vous voulez des suites, je risque de ne pas répondre, car je part en week end, lundi c'est mon anniversaire (donc je risque d'etre occupée ); mardi j'aide une amie à déménager, et mercredi je pars en vacances une semaine et demi.
Donc il n'y a plus qu'aujourd'hui où j'ai le temps !

Mais si c'est bien

Hum, longtemps que je n'ai pas mis de suites...
Je veux de ce passage vous prévenir que dans 2 semaines, je me viendrais plus (ou si peu !) donc si vous voullez les suites, qui sont écrites, dites le moi ! Si personne n'en veut, tant pis !
Mon BTS passera avant tout cette année, il faut absolument que je le réussisse, pour faire une licence aprèe et mon vrai but : entrer à l'IUFM !
La fic est écrite, je peux donc vous la poster !

S'il te plaît, fais nous lire la suite.
Tu as beaucoup d'imagination. Je t'admire.

Moi je la trouve excellante! J'adore ton style d'écriture!
Alors: la suite!!!

OK !
Vous l'aurez donc !

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III : Perdu dans ses pensées.

Ils trouvèrent un hôtel non loin, et prirent trois chambres. La chambre était luxueuse, aux couleurs pastel. Harry s’allongea sur son lit. Il fixait le mur, sans trop savoir pourquoi.
Il réfléchissait. Il repensait à la journée passée, à Mr Weasley qui était à l’hôpital non loin de là. Puis ses pensées se perdirent. Il se voyait petit, chez les Dursley, dans le placard sous l’escalier. Puis plus vieux, au zoo où la vitre avait disparue et son cousin avait était enfermé à la place d’un serpent. La première visite de Hagrid. Son départ pour Poudlard. Tous les exploits qu’il avait réalisé depuis. La coupe de feu. Le retour de Voldemort. L’arrivée d’Ombrage. Et le baisé avec Cho.
Lorsque Harry se réveilla le lendemain matin, il avait une curieuse impression. Ce n’était pas un rêve, mais plutôt l’impression d’avoir revécu son passé. Cela lui laissait plus la même impression que celle qu’il avait eue en voyant par l’œil du serpent.
Harry, Hermione et Gildas partirent de bonne heure rejoindre les autres au Chemin de Traverse. Ils y allèrent à pied, ce qui laissait le temps à Hermione de lire les gros titres des journaux.
_ Tu as vu Harry, on a eu de la chance hier soir. Il y a eu une agression prés de l’endroit où on était. Un homme a été dépouillé de tout ce qu’il avait, et le choc de l’agression l’a rendu fou, les policiers n’ont rien pu tirer de lui.
_ Oui, répondit machinalement Harry. Mais à ce moment là il pensait à Ron, et ils allaient sans doute aller ensemble voir les derniers modèles de balais exposés.

_ Enfin, vous estes là !
_ Ron ! Fred, Georges, Ginny ! Je suis content de vous voir tous sain et sauf. Si quelque chose vous était arrivé, j’aurais était responsable.
Peux de temps ensuite, Mrs Weasley arriva. Personne ne lui dit que le groupe avait était divisé en deux, pour Gildas qui était très affecté par sa négligence.
_ Tous le monde est là, on peut y aller
_ Mais maman, on vient juste d’arriver. On peut aller faire un tour dans les magasins ?
_ On a pas le temps, il faut passer par l’hôpital avant de prendre le magicobus pour rentrer à l’école. Gildas, merci de votre aide, je vous suis très reconnaissante qu’il ne soit rien arrivé aux enfants.
_ Et vous, ça s’est bien passé ?
_ Oui, très bien. Les gens du ministère qui sont venus sont repartis très vite. Ils ont vu ce qu’ils voulaient : rien. Je pense que vous ferez mieux de partir maintenant pour votre nouveau travail.


(fin du chapitre 3)

pas mal mais je le trouve un peu court c est domage

Merci de lire !

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IV : Ombrage à l’hombre.

_ Nous désirons voir Mr Weasley, il a toujours la même chambre ?
_ Oui. Vous êtes sa femme je présume ?
_ Oui.
_ Dans ce cas, vous serez heureuse d ‘apprendre qu’il pourra bientôt sortir.
_ Merci, c’est une très bonne nouvelle..
La nouvelle redonna le sourire à Mrs Weasley. Il avait disparu depuis l’accident.
_ Bonjour Mr Weasley.
_ Harry ! Dumbledore me fait dire un message pour toi. A cause de tes « rêves », tu devras pratiquer l’occlumancie. Ce sera le professeur Rogue qui te donnera ces cours, le soir. Tu commence demain matin. Bien entendu, très peu de monde devra être au courant. Voilà qui est dit. Sinon, chérie…
Mais Harry n’écoutait plus. Des cours particuliers avec Rogue ! L’horreur ! Il ne pourrait pas le supporter.
_ On va faire un tour ? proposa-t-il à Ron et Hermione.
_ D’accord !
Ils sortirent de la chambre, sans trop savoir où aller.
_ Il y a un salon de thé au cinquième étage. On y va ?
Ils se dirigèrent vers un ascenseur. Puis Ron appuya sur la flèche du haut. A la surprise de tous, ils descendirent. Lorsque les portes furent ouvertes, ils voulurent remonter, mais la machine refusait absolument d’obéir.
_ On fait quoi ?
_ On a pas le choix ! On sort et on cherche l’escalier.
Ils ouvrirent les portent et s’aperçurent qu’ils ne connaissaient pas cet endroit. Ils étaient dans les sous-sols de l’hôpital. Les couloirs étaient étroits, froids et sombre. Aucune fenêtre apparaissait. Ils laissaient l’impression de ne pas avoir étaient parcourus depuis des siècles.
_ On se dépêche de trouver l’escalier et on sort vite de là !
_ Je suis d’accord avec toi. C’est encore pire que chez Sirius !
Ils empruntèrent un couloir au hasard, à la recherche de quoi que ce soit que puisse les faire quitter rapidement cet endroit. Tout était désert, il n’y avait aucune raison de croire que la vie en cet endroit existait.
Le couloirs qu’ils avaient choisit se terminait en cul de sas. Ils durent faire demi-tour. Ron commençait à paniquer, il était sûr qu’à cet endroit il devait y avoir des araignées géantes.
Et puis… Un cri déchira les ténèbres. Un cri plus animal qu’humain, mais un cri de douleur, très aigu.
_ Il faut aller voir ce que c’est. Il y a peut être quelqu’un ou quelque chose en danger ici.
_ Harry, pourquoi tu veux toujours sauver le monde ?
_ On doit être les seuls ici ! Si quelqu’un à besoin d’aide, c’est à nous de le faire !
_ Je vous attends là ! Je ne tiens pas à me faire dévorer !
_ Reste Ron si tu veux, mais moi je vais avec Harry. Si tu as besoin d’aide, tu seras seul.
_ Hé ! Attendez-moi !
Ils cherchèrent d’où venait le bruit, aidé par d’autres cris qui les dirigeaient. Le son venait d’une pièce proche de l’assesseur.
_ Qu’est ce qu’on fait ?
Plutôt que de répondre, Harry tendit la main vers la poignée. Il tourna, et commença à ouvrir la porte. Un nouveau cri déchira l’espace étroit, et le son se répercuta dans les couloirs.
Harry risqua un œil dans la pièce. Le spectacle qu’il vit le fit rester cloué sur place.
Le professeur Ombrage était étendu sur un lit, retenue par une camisole de force. Elle se débattait avec force, et criait des tous ses poumons. Tous les trois entrèrent dans la pièce, prudemment. Le Professeur Ombrage ne semblait pas les voir, elle continuait de gesticuler.
_ Harry, j’ai l’impression qu’on ne devrait pas être là. Si elle est séparée des autres, c’est sans doute qu’il y a une raison.
_ Tu as raison Hermione. On devrait sortir tout de suite.
_ Heu… Non, on a un autre problème…
Des pas venants du couloir se rapprochaient. Le propriétaire de ce bruit n’allait sûrement pas tarder à venir dans la pièce.
_ Tous sous le lit ! J’ai l’impression qu’on doit pas se montrer.
Ils se cachèrent juste à temps. Une sorcière entra.
_ Mrs Ombrage, vous me reconnaissez ? C’est moi qui m’occupe de vous.
_ HAAAA !
_ Oui, je crois que vous me reconnaissez. Vous allez bien aujourd’hui ? Rassurez-vous, on étudie pour vous guérir. Ne vous débattez pas s’il vous plait, je vais vous donner un calmant, et le guérisseur va arriver.
Elle ne mentait pas : un homme venait de rentrer.
_ Comment allez-vous Mrs Ombrage ? Tatiana, comment évolue-t-elle ?
_ Pour l’instant on n’a aucune amélioration. On a était obligeait de la mettre dans le sous sol, elle aurait étranglée ses voisins si elle avait pu se dégager. Alors l’équipe à choisit de ne pas prendre de risque et de l’isoler ici.
_ C’est très bien, vous avez su réagir rapidement. Que sait-on au sujet de son état ?
_ Elle a reçut un choc, mais il n’a pas était infligeait par de la magie. Nous ne savons rien de la personne qui a fait ça.
_ C’est quelqu’un qui lui a fait ça ! Quelle horreur !
_ Oui, surtout qu’il ne lui a laissait aucune chance. Vous savez, je commence de plus en plus à croire au retour de Vous-Savez-Qui, on a plusieurs cas inexpliqués, et le ministère refuse de répondre à nos questions…
_ Elle s’en sortira ?
_ J’espère, mais tant qu’on ne sait pas ce qu’il lui ai arrivé, on ne peut rien faire.
L’homme l’observa, vérifia plusieurs choses et partit. La femme ne tarda pas à faire de même.
_ On pourrait les suivre pour trouver la sortie ? Proposa Harry.

MERCI


Comme je suis une lectrice inssaciable(?): la suite (enfin...dès que tu peux!!!)

Mais en tout cas, c'est très bien, continu!

Merci !
Voila une suite pour toi !

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V : DU ROUGE ET DU BLEU


Depuis le début de l’année, le lundi était la journée que détestait le plus Harry, à cause du cour de potions avec Rogue et celui de défense contre les forces du mal d’Ombrage. Mais ce jour là, Harry était beaucoup plus détendu que d’habitude.
La nouvelle du remplacement d’Ombrage avait été très rapide. Toutes sortes de rumeurs circulèrent, de la plus proche de la vérité ( elle était tombée folle ) à la plus extravagante ( un de ses ex petit ami était venu et l’avait enlevée ). Harry, Ron et Hermione en savaient plus que les autres mais ils ne voulaient rien dire, et ils n’avaient pas la force d’en reparler entre eux. Pour eux Mrs Ombrage était quelqu’un d’invulnérable, et ils éprouvaient un malaise à l’idée que quelqu’un ait pu faire ça volontairement.
Pour se donner du courage, Ron dit que ce qui était arrivé à leur professeur n’était pas grave, mais que ça lui faisait un peu de peine de l’avoir vu dans cet état. Les autres n’éprouvèrent pas l’envie de réagir, même s’ils le pensaient un peu.
Le premier cours de Gildas approcha très vite.
_ Bonjour. Je m’appelle Gildas Rogue. Je remplacerai mon frère tant qu’il sera au poste de professeur de défense contre les forces du mal. Dans ma classe, vous ne vous servirez jamais de vos baguettes, elles peuvent nuirent à la préparation des potions. Je vous conseille donc de les ranger.
La classe émit un grognement de protestation, cette première approche leur rappelait le premier cour d’une certaine Ombrage. Mais Harry savait pourquoi il disait cela, et rangea sa baguette, puis la classe l’imita. Harry voulait l’aider pour que son premier cours se passe le mieux possible.
_ Voilà qui est mieux ! Vous allez me préparer une potion surprise, je vous dirai à la fin du mon cours à quoi elle sert.
_ Mais, on n’a jamais fait ça ! On doit toujours savoir ce qu’on fait !
_ Ca, c’est ce que vous croyez ! Vous avez les instructions sur votre bureau.
_ Vous êtes sûre que vous êtes vraiment prof ?
_ Quoi, mademoiselle, vous osez discuter mes qualifications ?
_ Moi, non, monsieur.
_ Et vous êtes ?
_ Neville Londubat, Monsieur. Et je sais que vous avez obtenu la mention « géni ». D’après ce que je sais, vous n’êtes que deux dans le monde de la sorcellerie à l’avoir obtenu.
_ Oui, c’est vrai. Je l’ai obtenu parce que la potion qu’on devait faire était d’un goût horrible. J’avais fait quelques modifications pour la rendre « buvable ».
_ Cette note pour rajouter deux pincées de goût, c’est plutôt bien payé.
_ Mr Malefoy, c’est bien cela ? Je crois que vous n’avez rien compris à l’art de la potion ! Un ingrédient en plus change toute la stabilité. Si vous ajoutez dans une potion de Veritaserum deux gouttes de rose prises à la rosée d’un matin de printemps sans prendre gare, vous obtiendrez l’un des poisons les plus mortels, mais d’apparence inoffensive et de goût très agréable.
Tous les élèves ne contestèrent plus par la suite, et se concentrèrent sur la potion à préparer.
_ C’est étrange Harry ! Personne n’obtient la même couleur. Regarde, la mienne est rouge sombre, comme la tienne, et là-bas, celle de Goyle est bleu. Qu’est ce que c’est ?
_ Hermione, tu te rends compte ! Ce doit être vraiment l’un des meilleurs professeurs, il réussit à trouver quelque chose que tu ne connais pas !
Harry disait cela pour plaisanter, mais Hermione ne prenait pas cela à la rigolade, elle était vexée qu’Harry lui dise cela, vexée que tout le monde l’appelait derrière son dos Mademoiselle-Je-Sais-Tout. Elle ne lui parla plus le reste de la journée.
Il se retourna vers Ron. Sa potion était rouge, mais beaucoup plus pâle. Il ne lui parla pas. Gildas avait finit la sienne, qu’il s’empressa de vider. Elle était écarlate.
_ Voilà, c’est fini. Comme vous devez sans-doute le remarquer, toutes les potions ont une couleur différente. Cette potion est une Mesuredenvie. La couleur obtenue est en fonction de votre envie de réussir. Quelqu’un qui aura une potion bleue foncé n’a aucune envie, par contre le pourpre est la couleur de l’envie la plus chère. Peu de personne ont assez de volonté pour l’obtenir. C’est pourquoi je ne vous ai pas dit ce que c’était, sinon tous les résultats auraient étaient faussés. Maintenant, donnez-moi un échantillon de votre résultat.
_ Mais, monsieur, ce n’est pas juste !
_ Je sais ! C’est le principe de cette expérience. Pour le prochain cour, vous me rédigerez trente centimètres sur l’interprétation de vos résultats. Vous pouvez partir.
Harry ne se dépêchait pas, il ne voulait pas être avec Hermione, qui lui en voulait toujours.
_ Harry, tu viens ?
_ Part sans moi, je n’ai pas envie d’aller déjeuner.
Il alla au bureau pour déposer son échantillon, et se prépara à partir.
_ Potter, c’est très bien ! Je ne m’attendais pas à moins de vous. Vous devez être un adversaire redoutable !
_ Je ne suis pas certain. Je pensais à la coupe de Quidditch en préparant ma potion. J’espère être réintégré dans l’équipe.
_ Oui, oui, je vous comprends.
Sans savoir pourquoi, il réfléchit à quoi il pensait auparavant : Les examens de fin d’année qu’il ne devait absolument pas rater s’il voulait devenir Auror.
Il s’arrêta brusquement lorsque Neville fit tomber son chaudron. Il se rappela alors qu’il était dans une salle de cour.
_ Ca va, Harry, vous n’avez pas l’air d’aller trop bien.
_ Je vais très bien, professeur.

Le cours préparait par Rogue n’était pas si différent de ceux d’Ombrage : ils avaient étudiés le livre, mais leur travail pour préparer le prochain cours était de trouver toutes les formules utiles à cette partie du programme et s’entraîner à les jeter.
Le cours était passé vite. Lorsqu’il sortit, Rogue lui dit, bas :
_ N’oublie pas, Potter, ce soir, huit heure, dans mon bureau.

Qqn veut la suite ou non ?
( ça faisait longtemps que j'étais pas venue)