Gildas Rogue : Harry Potter et l'oublié

Oui oui moi je voudrais bien stp

Voila

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VI : OCCLUMANCIE ET BAISER A L’ENNEMI.


Harry quitta la salle commune peu de temps avant son rendez-vous, après avoir griffonné son devoir pour Gildas.
En chemin, il vit quelque chose que le troubla et le bouleversa : Cho Chang était au bras de Malefoy, dans une position très… rapprochée. Harry se rappela soudain qu’il ne lui avait rien envoyé pour Noël, pas même une carte, elle devait sans doute penser qu’il l’avait oublié, ce qui n’était pas le cas. Il voulait lui parler, mais il était déjà en retard.
_ Potter, vous êtes comme votre père, on ne peut pas vous faire confiance.
_ Excusez-moi.
_ Ici, comme en classe, c’est monsieur ou professeur. Ce ne sont pas des plates excuses qui vont changer quelque chose. Dumbledore veut que je fasse quelque chose, alors je le ferais.
_ Bien, monsieur.
_ Vous devez vider toutes vos pensées pour me bloquer. Je vais entrer dans votre souvenir par la legilimancie. Allons-y, je commence.
Harry ne pouvait pas se détendre, ce qu’il venait de voir l’obsédait et occupait pleinement son esprit.
Harry… Sa tante, ses chiens dans l’arbre… Harry au zoo… Harry dans son placard sous l’escalier…
_ POTTER ! Vous ne faites aucun effort !
_ Si, monsieur.
_ NON ! C’est VOUS qui me montrez cela ! On recommence !
Harry… Dans le Poudlard Express… Son cousin Dudley… Les détraqueurs… Et puis Cho… Elle est belle… Dans la salle sur demande… Elle se rapproche d’Harry… Elle est très proche…
_ NON ! Pas ça…
Il se sentit comme projeté en avant.
Deux enfants se battent. Le grand utilise sa baguette, l’autre ses points... Une fille est devant un adolescent, elle rigole… Les deux enfants qui se battaient ont grandit, ils regardent leurs parents. La mère est faible, le père cris… Dans la Grande Salle, le garçon est seul, toujours seul…
_ Potter ! Arrêtez ça tout de suite !
Il se retrouve dans le cachot-bureau de Rogue. Tout ce qu’il venait de voir fait partie de la vie de Severus.
_ Sortez ! Je ne vous ai pas autorisé à utiliser le charme du bouclier !
Il obéit, heureux de ne pas être resté plus longtemps, mais inquiet par la réaction de Dumbledore. De toute façon, il ne lui a pas adressé la parole, alors que faire de la réaction d’un homme qui vous ignore les trois quarts du temps ?
Il fit un détour par de nombreux couloirs, se laissant conduire par ses pas. Il continua à errer jusqu’à ce que la lune éclaire la forêt interdite. Il y avait beaucoup d’agitation là-bas, les oiseaux s’envolaient et les sombrals semblaient fuir. Il regarda plus attentivement : de la lumière apparaissait à intervalles réguliers.
_ Sans doute un incendie, pensa-t-il.
Il n’y fit plus attention et rentra dans la tour de Griffondor.
_ Harry ! Enfin ! Tu étais où ?
Dans la salle commune, il ne restait plus que Ron et Hermione qui l’attendaient.
_ On se demandait où tu étais ! Cela fait au moins une heure que tout le monde doit être dans cette salle !
_ Ho, c’est rien ! J’étais avec Rogue.
_ C’est vrai, c’est aujourd’hui ! J’avais totalement oublié.
_ Moi malheureusement pas !
_ Tu m’en veux toujours ? Excuse-moi ! J’ai très mal réagit, je sais. On était tellement inquiet pour toi que je ne t’en veux plus tu sais, tu ne voulais pas me blesser…
_ C’est bon, arrête ! Je ne t’en veux pas, j’étais trop énervé à l’idée d’être seul avec Rogue que j’ai mal agit.
_ Et c’était comment ?
_ Si ça continu, on va devenir copains… Non, ça n’aurait pas pu être pire.
Il raconta ses deux dernières heures, en oubliant de dire la raison de son trouble : Cho.
_ Je pensais aussi à autre chose. Maintenant qu’on a un vrai professeur de défenses contre les forces du mal, il n’y a plus de raison pour qu’on continu l’A.D.
_ Harry ! Tu ne ferrais pas ça ! C’est l’un des seuls moments où tu peux voir Cho…
_ Ron, ne prononce plus jamais ce nom devant moi !
Harry ne voulait plus jamais voir Cho, ni que quelqu’un lui rappel son existence. Il aurait préférait qu’elle n’ait jamais existé…

très très bien....

Pas de topic commentaires??????

Alors bravo

Non, j'ai pas de topic de commentaire... J'ai commencée cette fic avant qu'il n'y ai de topic que pour les commentaires. Donc je continue comme ça, mais si qqn preffaire un topic commentaire, il n'y a aucun problème pour qu'il le fasse !

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VII : GRAUP.

Le lendemain, une mauvaise nouvelle attendais le peu d’élèves qui appréciaient Hagrid : il avait ( encore ! ) été dans la forêt interdite et il en était ressortit blessé grièvement. Il avait refusait d’expliquer quoi que soit qui permettait d’expliquer son état. Il devait être remplacé par Gobe-Planche .
Le soir Harry décida d’aller le voir, seul.
_ Ha ! C’est toi ! Je croyais que c’était Pompom qui venait pour tenter une nouvelle fois de savoir ce qu’il m’est arrivé.
_ Mais que vous ai-t-il arrivé ?
_ C’est entièrement ma faute. Si je te le dis, tu me promets de ne pas en parler ?
_ Vous savez bien que je ne dirais rien !
Il lui expliqua ce qu’il avait longtemps caché : l’existence de Graup, son demi-frère mais complètement géant. La veille, il avait pris peur à cause d’un incendie sans doute déclenché par les centaures et il était devenu fou. Il s’était attaqué à Hagrid.
_ Mais il n’est pas méchant ! Juste un peu… nerveux. Sans ce feu, tout ce serai bien passé.
Harry était sûre de deux choses : Hagrid n’abandonnerait pas son frère, et il fallait absolument faire quelque chose.
Il rentra au château, en essayant de trouver une solution.
_ Hermione, j’ai une question pour toi : comment fait-on pour qu’un géant soit moins agressif… euh, non, nerveux ?
_ De quoi !? Tu ne vas pas me dire que… Hagrid !
Harry n’avait pas trahit le secret d’Hagrid, mais l’intelligence d’Hermione allait plus vite que l’imprudence d’Harry.
_ Attends, je reviens !
Elle partie une heure, puis deux. Quand elle revint, Harry aurais parié qu’elle était allée à la bibliothèque, mais il se trompait.
_ Je viens du bureau de Rogue.
_ Quoi ? Qu’est ce que tu es allé faire là-bas ?
_ Mais non ! Pas Severus, Gildas !
Harry se sentit d’un coup plus léger. Il comprenait ce qu’avait fait Hermione. Elle était allée voir Gildas pour qu’il prépare un calmant pour Graup.
_ J’ai du le mettre au courant, mais pas de tout. J’ai son calmant, il faudra réussir à lui faire avaler, et après Gildas m’a assuré qu’il sera aussi doux qu’un mouton.
Ils se précipitèrent ensemble chez Hagrid, qui paru surpris, mais content de revoir Harry lui proposer une solution pour son jeune frère.

Ok très sympa comme les chapitres précédents mais un peu court quand même....

Pour ce qui est du topic commentaire moi c'est pareil, mais faut t'arranger avec Mario...

en fait... pour le topic "commentaires", rien ne vous empêche de le créer vous même...

cependant, je dois expliquer pourquoi certaines fan-fics ont ce topic, et pourquoi d'autre ne l'ont pas...

on a eu l'idée de separer les comm's de la fan-fic que recemment...
alors on a demandé au foforumeurs "publiant" leurs fan-fics depuis de bien vouloir appliquer la nouvelle formule...
la fan-fic de CavalierSolitaire etant anterieure à ce dispositif, elle a un passe-droit dans le sens où il n'est pas spécifié aux auteurs de s'y conforter...
mais comme je l'ai dit au début...

VIII : LE GRAND MATCH DE QUIDDITCH.


Le temps passait vite à l’école des sorciers, la routine s’était réinstallée. Gildas faisait ses cours magnifiquement. Harry réussissait presque toutes ses potions, sans doute grâce à l’absence de Rogue. Severus donnait à ses élèves un travail énorme, mais au moins ils apprenaient bien.
La potion de Gildas pour Graup marchait extrêmement bien. Selon Hagrid, il avait fait d’immenses progrès et réussissait à dire quelques mots en anglais. Et ils buvaient du thé tous les soirs…
Harry continuait de s’entraîner à l’Occlumantie avec Rogue, qui lui s’en serait bien passé. Il avait même avoué à Harry que c’était bien parce que Dumbledore l’obligeait qu’il le faisait. Mais cela ne changeait rien, il continuait à avoir ses rêves où il voyait cette porte, inaccessible et proche, qui refusait de s’ouvrir.
Harry avait arrêté les réunions de l’A.D. en prétextant que ce n’était plus nécessaire, mais c’était à cause de Cho qu’il ne pouvait plus regarder sans éprouver du dégoût.
Le seul point positif d’Harry était qu’il avait repris les entraînements de Quidditch. L’absence d’Ombrage le lui permettait. Le jour du match contre Serdaigle arrivait très vite, trop vite.
La nuit précédente, il ne dormait pas, trop excité de pouvoir enfin refaire un vrai match.
Il se leva de bonne heure, mais à sa surprise Hermione était en train de travailler dans la salle commune.
_ Salut Harry ! Je suis en train de traduire des runes, et toi, pourquoi es-tu levé à cette heure… Ha, c’est vrai ! Tu as un match. Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer.
_ Je te remercie. Tu viens, on va manger ?
_ Non, je n’ai pas encore finit.
Elle le regarda et se rendit compte de son erreur.
_ J’arrive tout de suite !
Ils se dirigèrent ensemble vers le portrait de la grosse dame, en passant devant le tableau d’affichage.
_ Regarde Hermione, il y a une nouvelle note. Ca fait longtemps qu’il n’y en a pas eu. La dernière, c’était un des décrets d’Ombrage.
_ J’ai vu tout à l’heure quelqu’un le mettre, mais je n’y ai pas pris garde.
Le papier portait ces termes :

NOTE D’INFORMATION POUR TOUS LE PERSONNEL DE POUDLARD :

Le poste de Grande Inquisitrice est vacant, toutefois, les décisions prise pour Mrs Ombrage qui occupaient ce poste reste entièrement valable.
Ci-joint la liste complète des décrets, interdictions, obligations et contres-décrets en vigueurs.
Signé : Cornelius Fudge, ministre de la magie.

Il y avait un rappel de tous les décrets actifs depuis le début de l’année, puis une liste d’obligations. Cela finissait par les interdictions.
_ C’est n’importe quoi ! Commenta Hermione. Il n’y aura personne pour vérifier, à part sa Brigade Inquisitorial, il suffit juste de les faire taire.
Harry n’avait jamais vu Hermione comme cela. L’affiche avait réveillé sa rancœur qu’elle avait après ce quelle disait être la femme la plus horrible du monde.
Il regarda la liste des élèves ayant des interdictions ou des obligations. Il n’y avait aucun Serpantard, et la majorité était des élèves de Griffondor. Il laissa son regard errer sur les noms, puis sursauta : il y avait le sien. Il se pencha pour regarder plus attentivement et il vit son interdiction : « En raison de ses penchants pour la bagarre, formellement interdit de pratiquer le Quidditch. »
Harry n’en revenait pas. Il ne pourrait pas être sur le terrain pour le match qui allait bientôt commencer. Hermione, elle, n’avait rien vu et commencer à faire des plans pour éviter les contrôles de la brigade des chiens-chiens d’Ombrage, qui devaient être beaucoup moins nombreux depuis qu’elle était devenue folle, et surtout absente de l’école, donc étant dans l’impossibilité de leur donner des privilèges. Elle s’arrêta brusquement.
_ Harry, qu’est ce que tu as ? Tu es tout bizarre. Tu ne te sens pas bien à cause de ton match, c’est ça ?
Harry était trop abasourdit pour répondre. Il fit un effort pour montrer du doit ce qu’il l’avait mis dans cet état.
_ Non mais c’est pas vrai ! Ils ne peuvent pas te faire ça ! Et…
Elle continua de parler longtemps, très longtemps, Harry ne l’écoutait pas. Il sentait l’énervement et la frustration lui monter peu à peu. Et surtout, il fallait qu’il parte, qu’il quitte ce maudit panneau d’affichage.
Il décida d’aller dans la grande salle, faire semblant de manger. Hermione le suivit, toujours en parlant.
Lorsqu’il entra dans la salle, il n’y avait personne à part une fille de troisième année de Serdaigle qu’il ne connaissait pas. Il s’installa devant son bol mais il n’avalait rien. Hermione, quant à elle, ne disait plus rien et mangeait.
L’autre fille s’approcha au bout de quelques minutes.
_ Salut Harry. Je suis Kimaï Arzel, je ne pense pas que tu me connaisses. Je peux te parler ?
Harry n’eu pas le temps ni l’envie de lui répondre. En plus, son accent gallois était tellement prononcé qu’il l’aurait fait rire ou au moins sourire en d'autres circonstances.
_ Il fallait que je te mette en garde. J’ai eu ces informations par mon père. D’après ce qu’il m’a dit, tu es souvent avec Gildas Rogue ces temps-ci. Il faut que tu fasses attention à lui, il est bizarre. Lorsqu’il était à Poudlard, il était toujours seul et refusait que qui que se soit vienne le voir. Un vrai sauvage. D’après ce qu’il se dit, il s’entraînait pour faire de la magie noire sans que personne ne le sache. D’après mon père, il avait rejoint tu-sais-qui et il serait toujours un de ses fidèle serviteurs.
Il en avait assez que cette fille lui parle, et qu’elle accuse Gildas sans preuve, alors que tout devait être faut parce qu’il ne pouvait pas faire de magie, donc il ne pouvait pas s’y entraîner en cachette. En plus, il s’entendait très avec lui.
_ Et tu sais cela comment ?
_ C’est mon père qui me l’a dit.
_ Et il le sait comment ?
_ Ils étaient dans la même classe et dans la même chambre.
_ Il était à Serpantard ?
_ Oui.
_ Et tu veux que je crois une descendante d’une personne qui était à Serpantard qui se retrouve à Serdaigle ?
Ce que venait de dire Harry n’avait aucun sens, il le savait bien, mais sa déception était trop grande pour qu’il puisse écouter ce que lui disait Kimaï.
Elle était déçue, et lui lança avant de partir :
_ Franchement, je ne pensais pas ça de toi. Demande-toi tout de même pourquoi tout le monde semble l’avoir oublié.
Un long moment de silence suivit, jusqu’à ce que tous les membres de l’équipe de Griffondor furent arrivés.
_ Alors, Harry, t’es prêt ?
_ Je vais pas jouer.
_ Quoi ? Mais qu’est ce qu’il t’arrive ? T’es malade ? T’as peur ? C’était Fred qui venait de parler.
_ Et vous non plus, Fred et Georges.
_ Ha oui, et pourquoi ?
_ Vous n’avez pas vu la note ?
_ Quelle note, un T ?
Hermione les mis au courant. Ils paraissaient scandalisés, et eux non plus ne dirent plus rien.
Le match approchait, il fallait trouver une solution. Celle qui fut prise est que l’équipe reprendrait la même configuration que pour le match précédent. Ginny ne voulait pas jouer non plus : elle ne s’était pas entraînée depuis longtemps et elle estimait que c’était la place d’Harry.
Lorsqu’il croisa Malefoy, celui ci lui dit :
_ Alors, Potter, t’as peur de tomber de ton balais ? Tu préfères rester au sol regarder perdre ton équipe ? Comme ça, tu es sure qu’ils ne vont pas perdre à cause de toi.
Mais Harry partit sans rien répliquer, il était trop démoralisé pour dire un mot.

La veille, tout le monde était convaincu de la victoire de Griffondor. Ce matin là, tout le monde était sûr qu’ils allaient perdre.

bravo j'aime bcp cette version revisitée....

Merci

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XIV : Les deux frères

Les heures précédant le match, Harry resta introuvable dans le château. Il vagabondait, ne cessant de se répéter :
_ Qui les a mis au courant ? Ce ne peut pas être une coïncidence que le matin du match je sois de nouveau interdit de jouer. Quelqu’un les a mis au courant. Sans doute Malefoy, si je le trouve celui là, il va se le rappeler !
Il n’alla même pas voir le match, il était trop déprimé et certain de la défaite de son équipe. Il ne voulait pas voir ça !
Depuis qu’il avait arrêté l’AD, le Quidditch était la seule chose qui le forçait à rester. Maintenant, il pouvait partir, mais pour aller où ? Chez Sirius, enfermé dans une maison sordide ? Retourner chez les Dursley ? Non, pas ça ! Si, il lui restait encore quelques chose qui le retenait ici : ses amis, l’examen en fin d’année grâce à quoi il pourrait savoir s’il devait encore espérer devenir Auror.
Dehors, le match avait commencé. Il entendait des cris, des applaudissements, des « Ho ! » et toutes sortes de sons. Il n’en pouvait plus de ne pas pouvoir être sur le terrain, il s’enfonça encore plus loin dans le château, à l’opposé du match.
Harry continuait de marcher dans le château, lorsque son attention fut portée sur une voix forte. Cette voix semblait parler seule, et la curiosité d’Harry était bien trop puissante pour qu’il se contente de l’entendre de loin. Il mis quelques minutes pour trouver le point d’émission, qui se trouvée prés de la salle de cours de potions. La résonance à cet endroit était très élevée, ce qui lui permettait d’écouter sans être vu.
La voix qui l’avait conduite jusque là appartenait à Gildas Rogue. Il semblait se disputer avec son frère qui comme à son habitude répondait dans un murmure.
_ ET TU ES VENU JUSQUE LA POUR ME DIRE CA ?
_ Que crois-tu, entre frères on peut se permettre des marques d’amour... Sache aussi qu’ici, c’est MON bureau.
_ C'ETAIT TON BUREAU. TU N’AS PAS A TE MELER DE MA VIE.
_ Tu crois que ta vie est tellement pleine qu’elle pourrait me faire déplacer jusqu'ici ? Pendant les années où tu as disparu tout le monde ne s’en portait pas plus mal. Tu avais réussit à te faire oublier, je ne vois pas pourquoi tu es revenu.
_ Poudlard me manquait.
_ Tu veux me faire croire ça ? Tu crois que je n’ai pas compris ton jeu ?
_ QU’EST CE QUE TU SAIS DE MON JEU ?
_ Tu veux te servir de lui.
_ ET DANS QUEL BUT JE FERRAIS UNE CHOSE PAREILLE ?
_ Pour qu’enfin le petit Cracmol que tu es puisse avoir son heure de gloire. Pour prouver que tu vaux mieux qu’une baguette cassée. Pour sortir de l’oubli où tout le monde t’a mis.
_ Tu me prouves encore que pour toi tout le monde recherche les mêmes choses. Il existe d’autres choses que la gloire, la célébrité et l’argent. Dans ton vocabulaire tu pourrais ajouter l'amitié, la complicité, l’amour. Si je suis partie tant d’années, c’est pour chercher ces choses là, les vraies valeurs de la vie. Et contrairement à toi, je les ai trouvées.
_ Harry, tu n’es pas au match ?
Une voix avec un fort accent gallois empêcha Harry d’entendre la fin de cet conversation. C’était Kimaï Arzel.
_ Et alors, qu’est ce que ça peut bien te faire ?
Sans savoir pourquoi, cette fille l’énervait. Il pensait avoir était suffisamment clair avec elle à sa dernière rencontre, le matin même.
_ Je croyais juste que tu aimes le quidditch par dessus tout, et que tu serais ravi d’apprendre que ton équipe viens de gagner, grâce à Ron qui a évité plein de buts, et a Ginny qui a très vite repéré le vif d’or..
_ Et puis ?
_ Je t’ai cherché pour te dire cette nouvelle, c’est bien, non ?
_ T’aurais pu t’en abstenir. Au revoir.
Sans laisser le temps à Kimaï d’assimiler tous ce qu’il venait de lui dire, il partit.

j'attend le suite avec impatience

Alors la voila

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XV : Le rêve

Un mois, puis un autre passèrent. Harry se sentait seul, bien qu’il soit toujours avec ses amis. Les examens de fin d’années approchaient rapidement, et les élèves passaient la plus grande partie de leur temps à réviser soit entre eux soit avec Gildas Rogue qui voulait bien aider ceux qui avaient du mal en potion à rattraper leur retard. Ce qui était le cas d'Harry comme beaucoup d'autres, qui n'avaient jamais réussit à faire la moindre potion avec Severus Rogue.
La semaine précédente les examens était une des pires que Harry vécu à Poudlard. La surcharge de travail, le manque de sommeil et sa tristesse étaient en cause. Il y avait aussi ces rêves, où il voyait cette porte désespérément close. Il savait qu’elle existait quelque part dans le sous-sol du ministère, mais il ignorait ce qu’il y avait derrière. Aussi, les cours d’occlumantie de Rogue lui prenait beaucoup de temps.
Deux jours avant les premières épreuves, une autre nouvelle l’accabla. La potion faite par Gildas pour Graup était défectueuse. Hagrid avait était blessé et il devait aller à St Mangouste jusqu’au début des vacances. Selon Gildas, le problème ne venait pas de lui, mais d’Hagrid qui avait du trop attendre pour donner la potion. Elle avait du se réchauffer et devenir inutile. La stabilité d'une potion aussi complexe était précaire.
Les jours suivant les examens et les révisions l’occupait pleinement. Harry, Ron et Hermione pensaient avoir réussit la plupart des épreuves. La défense contre les forces du mal avait paru à Harry beaucoup trop facile, sans doute parce qu’il s’était « entraîné » grandeur nature avec Voldemort en personne. En quelque sorte, Voldemort était son professeur bien malgré lui.
Lorsque arriva le vendredi midi, Harry ne pensait qu’à une chose : dans quelques heures, ils auraient finit l’année et seraient libres pour les quelques jours à venir.
Mais tout n’est pas forcement aussi facile qu’on le croit au début…
En entrant dans le salle où se déroulerait son épreuve, Harry eu une drôle d’impression. L’impression que quelque chose allait se passer. Quelque chose de grave. Dès qu’il eu touché sa plume, il chassa tout de sa tête, pour se concentrer sur son devoir… qui ne l’inspirait pas beaucoup ! Il savait les quelques premières questions, mais le reste lui laissait qu’un vague souvenir.
Il laissa son regard se perdre quelques instants : des professeurs qui les surveillaient à Hermione, d’Hermione à Ron, de Ron à Falbala qui était devant lui. Il fixait Falbala, quand il fut soudain entraîné ailleurs. Il se trouvait dans la pièce du ministère de la magie. La porte devant lui était ouverte. A travers cette porte, il voyait Sirius, qui était en très mauvaise posture. Un homme, sans doute Voldemort, voulais le torturer… puis le tuer.
_ NON ! NE TE LAISSE PAS FAIRE, NE M’ABANDONNE PAS ! DEFEND TOI !
Sans le vouloir, Harry avait crié dans la salle. Tous les regards étaient posés sur lui. Le plus vieux des professeur s’approcha de lui :
_ Quelque chose ne va pas, monsieur Potter ?
_ Ce doit être la chaleur. Je ne me sens pas bien.
Il était terrorisé. Il venait de voir Sirius se faire tuer. Il fallait absolument qu'il aille voir ce qu'il en était.
_ Avez-vous finit ? Voulez-vous aller à l’infirmerie ?
_ Oui, monsieur.
Sans plus attendre, Harry se précipita hors de la salle. Il n’avait nullement l’intention d’aller à l’infirmerie. Tous ce qu’il voulait, c’était aller à Londres aider Sirius. Il ne savait pas quoi faire, jusqu’à ce qu’il eu une idée en voyant apparaître Gildas dans un autre couloir. Lui savait plein de choses sur Londres, il y connaissait plein de gens, il pourrait l’aider.
_ Venez vite ! Sirius est en danger ! Il va le tuer !
Sans lui donner plus d’explications, il l’entraîna vers le bureau de Dumbledore.
_ C’est inutile, Harry. Le directeur est parti pour un congrée à Lublin. Il ne rentrera que demain.
_ Mais c’est tout de suite que Sirius à besoin d’aide ! En le prenant par surprise, on l’aura, j’en suis sure !
_ Que nous deux ?
_ On n’a pas le temps d’attendre ! Le temps qu’on parle, il sera peut être déjà mort !
Cette fois ci, Harry l’entraîna vers la sortie.
_ Monsieur, comment y va t on ?
_ Même si je n’ai pas pu le vérifier, il parait que tu joue très bien au Quidditch. On peut y aller par les airs.
_ Accio éclair de feu !
A la surprise de Harry, se fut deux éclairs de feu qui arrivèrent.
_ Il doit y avoir un problème, je ne comprends pas comment c’est possible. Pourquoi il y a deux ballais ?
_ Moi, si ! Revenir à Poudlard m’a fait revivre plein de souvenir. C’est pourquoi je me suis acheté un ballais, sans rien dire à personne, surtout à mon frère : il se serait moqué de moi pour les cinq prochains siècles à venir ! Il n’a jamais servi.
Mais Harry n’écoutais pas. Il avait déjà enfourché son balai et se préparait à décoller. Il partit quand Gildas fut en place. Son premier réflexe était d’aller vers Prés-au-lard pour suivre la voie de chemin de fer.
_ Non, Harry, suis moi c’est plus court par ici.
_ Au moins, vous êtes venu pour quelque chose.
En disant cela, Harry eu comme un choc. En demandant de l’aide à Gildas, Harry avait oublié une chose : il était Cracmol, donc en cas de bataille, il serait inutile et vulnérable.
Ils passèrent au-dessus de la forêt interdite, puis ils longèrent des champs, en prenant garde d’éviter les maisons et les routes, ce qui rendait les choses encore plus difficiles. Gildas semblait savoir où il allait. Au bout de deux heures, il se posa devant une maison immense. Il y avait deux étages, de nombreuses fenêtres. Le tout donnait une impression de malaise. Curieusement, Harry ne savait pas où il était, mais il avait l’impression de connaître cet endroit. Il l’avait déjà vu, mais il ne pouvait pas dire où.
_ Tu viens, Harry ?
_ Oui. On est où ?
_ Chez moi. Il faut que je prenne quelque chose. T’en profitera pour te reposer et boire quelque chose.
La nuit était déjà arrivée lorsque Harry rentra dans l’immense demeure, elle semblait encore plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur. La pièce dans laquelle il se trouvait était vide. Il ne tarda pas à se rendre compte rapidement que presque toute la maison était vide, à l’exception d’une table avec des chaise dans la cuisine et un chaudron.
Gildas fonça à l’étage chercher ce pourquoi ils étaient là.
Le temps qu’il passa la haut, Harry explora le rai de chaussé. Il ne tarda pas à se rendre compte que c’était la maison familiale des Rogue. Il reconnu même la salle qu’il avait vu dans les souvenirs de Severus Rogue, celle là où les deux enfants se battaient.
_ Harry, boit ça. Cela te donnera de la force.
Harry mis aussitôt ses lèvres sur le verre. Au même instant, il se sentit comme paralysé. Il ne savait pas ce qu’il avait, mais Gildas, lui, le savait. Il avait un large sourire, signe que quelque chose qu’il désirai depuis longtemps venait enfin de se réaliser.

impressionnant le changement de situation j'aime bcp

ben dit donc il manque pas d'argent, un éclair de feu....

j'adore

la suite c'est possible???

aie aie aie!!
je savais qu'on ne pouvait pas faire confiance a ce gildas

continue c'est super.... on attend la suite avec impatience

mcgonagal a écrit:

aie aie aie!!
je savais qu'on ne pouvait pas faire confiance a ce gildas

Si, c'est "logique", il y a pas mal d'indice pendant tout le récit, que je me suis amusée à laisser !

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XVI : La danse des marionnettes.

_ Ca y est ! Je t’ai ! Des mois que j’attendais ça ! Même Voldemort n’a jamais réussit à t’avoir !
Harry tressaillit. Normalement, personne ne prononçait ce nom. Les partisans de Voldemort l’appelaient le Maître des Ténèbres, et les autres sorciers n’osaient pas dire ce nom. Qui était-il réellement ?
_ Ha ! Je comprends ta surprise. Mais ne t’inquiète pas, mon plan était si parfait que Dumbledore n’y a vu que du feu. Seulement mon imbécile de frère c’est douté de quelque chose.
_ C’est… C’est pour ça que vous vous estes disputés le jour du match ?
_ Oui, et c’est pour ça que je t’ai « forcé » à venir.
_ Mais non, je passais par hasard.
_ Tu as une belle insouciance ! Et tu ne doutes de rien ! Pourquoi te baladait-tu ? Parce que tu n’allais pas au match ! Et pourquoi tu n’allais pas au match ? J’ai un peu arrangé ça…
Harry ne comprenait pas ce que voulais Gildas. Il l’avait pris pour un ami, mais c’était finalement l’ennemi le plus dangereux, celui auquel on a confiance. Il essayait de se débattre, mais aucun de ses muscles des jambes et des bras ne lui répondait.
_ Vas-y ! Dépense le peu d’énergie qu’il te reste ! Mais ça ne te servirais à rien ! Tu ne peux rien contre moi ! Je t’ai donné non pas une potion de force, mais une paralysie totale, que j’ai un peu modifié. Je veux que tu parles, que t’exprimes ta faute ! Que tu cris, que tu pleure !
De toute évidence, Harry avait un fou furieux prés à tout devant lui. Il ne voyait pas comment s’en sortir, personne ne pouvait l’aider : personne ne savait qu’il avait quitté le collège. Et Sirius qu'il devait sauver. Il perdait un temps précieux ici.
_ Ne t'inquiètes pas pour ton chère parrain, il va très bien dans sa belle maison moisie. Il faudra juste qu'il fasse attention demain, lorsque les détraqueurs viendront lui donner le baiser de la mort. En accusation de ton meurtre. Il aura fini son travail commencé des années plus tôt.
Il éclata de rire. Un rire cynique et sadique.
_ Je vous aurai, Rogue !
_ Tu te crois en position de force ? A mon avis, tu te trompes complètement ! Que veux-tu, je peux faire tout ce que je veux de toi !
_ Ah oui ? J’aimerai bien voir ça !
Gildas ne répondit pas, il semblait se concentrer. Harry sentit alors sa main aller chercher dans sa veste sa baguette, la retirer, puis la donner à Gildas. Il était stupéfait. Son geste était le dernier qu’il aurait fait s’il avait eu le choix.
_ Harry, je te présente la « danse des marionnettes ». Tu la connais déjà, c'est elle qui t'as influencé pour que tu viennes me voir pour venir "t'aider". C’est un noble art de la chine antique, que seul Rènn Shigyo arrivait à contrôler. Mais maintenant, j’y arrive, et je vais te faire t’autodétruire ! J’ai tout mon temps, je veux te connaître mieux avant, savoir de quoi tu as peur…
Sans savoir pourquoi, Harry réfléchi à ce qui lui faisait le plus peur : les détraqueurs, Voldemort tuant ses parents… Tous ces souvenirs étaient déclenchés par Gildas. Il avait caché à tout le monde que c’était le meilleur pratiquant de la legilimsncie vivant actuellement. Ses membres étaient dépourvus de tous pouvoirs magiques, mais il avait réussit à tout concentrer dans son esprit. Il pouvait contrôler les personnes, partager avec eux ses souvenirs ou bien prendre les leurs. Il pouvait aussi les forcer à faire toutes sortes de choses.
_ Potter, ta vie est d’un ennui terrible ! Je n’aurais jamais imaginé ça de toi. Tu me déçois beaucoup. La mienne est beaucoup plus excitante ! Je vais te la raconter. Tout petit, j’ai appris à vivre avec mon imbécile de frère. C’est sur lui que j’ai découvert la legilimancie. Au début, il n’y voyait rien, parce que je faisais ça quand il rêvait. J’y ai appris des choses très intéressantes, comme par exemple faire certaines potions interdites. Mais ça n’a duré qu’un temps. Il s’en ait aperçu, et c’est pour ça que maintenant il est l’un des meilleur occlument. Mais il est toujours plus faible que moi !
Lorsque je suis entré à Poudlard, mes tendres parents se sont rendu compte que je ne savais rien faire. Pour eux, j’étais la tache de la famille, l’objet à cacher. C’est pour eux que j’ai fait appel à la danse des marionnettes pour que tout le monde m’oublie. Ca a très bien marché ! J’ai réussit à avoir tous mes diplômes. Et oui, la legilimencie aide aussi à tricher les jours des examens.
J’ai vécu tranquillement pendant des années. J’attendais de ressortir, que tout le monde me voit. Mon plan est très simple : je me débarrasse de toi. Voldemort vient me féliciter. Je m’en débarrasse aussi. Là, c’est le ministère qui vient me rencontrer, et j’en prends possession. Et je contrôle tout le monde des sorciers ! Encore en plus, ils ne peuvent rien dire parce que je suis venu légalement.
_ Vous m’écœurez !
_ Attends ! Tu ne sais pas tout ! Cette vielle Ombrage, c’est moi qui l’ai envoyé à St Mangouste. C’était trop facile, je n’ai pas pris le temps de me faire plaisir. Enfin, je vais me rattraper avec toi ! J’ai aussi envoyé ce pauvre petit « Michael » à l’asile après l’avoir fait vider ses poches. Tu croyais vraiment que j’avais des amis prêts à me donner de l’argent ?
Harry sentait une fureur incontrôlable l’envahir.
_ Tu as raison, énerve-toi ! Ce sera encore plus aisé pour moi de te détruire. Tous tes sentiments vont se retourner contre toi. Si tu es assez furieux, je ne sais pas si tu auras la chance d’aller à St Mangouste ou si tu vas aller rejoindre tes parents. Je continu mon histoire, tu n’y vois pas d’inconvénients ? Mais si tu en avais ce serait pareil ! Tu as toujours voulu me connaître ? C’est la « danse des marionnettes » ! Avec elle, j’agis sur les âmes. Comme j’ai agit sur celles de ta bien aimé Cho Chang pour qu’elle se retrouve au bras de ce Malefoy. Quoi d’autre pourrait t’atteindre plus ? Ne pas participer au match ? Je l’ai fait aussi. J’ai déjà commencé à te détruire, dans peu de temps, tu seras pourris de l’intérieur et personne ne pourra rien pour toi !
Gildas avait raison : déjà les sentiments d’Harry se mélangeaient. Il ne savait plus ce qu’il voulait, ce qu’il aimait, et de nouvelles pensaient entraient en lui, comme une profonde haine. Il sentait aussi le désespoir l’envahir.
_ Je crois que tu es prêt, Potter ! Dans quelques minutes, tu ne sauras plus qui tu es ni ce qu’il vient de se passer.
Pour appuyer ce qu’il venait de dire, il prit la baguette d’Harry dans ses deux mains, et s’apprêta à la détruire. Il la tordit et la baguette émit une curieuse couleur dorée.
C’est à ce moment qu’arriva Kimaï Arzel, essoufflée. Elle était différente, plus belle et elle paraissait plus vielle.

Kimaï vint se placer entre Harry et Gildas. Son visage exprimait à la fois de l'inquiétude et l'arrivée de quelque chose qu'elle attendait.
Elle fit quelques gestes avec précision, et récita ceci :
_ Moi, grande prêtresse de Susaku, implore les quatre Dieux du Ciel et de la Terre au mon de tous les antiques préceptes sacrés de briser les pouvoirs sacrés de cet homme. Grand Susaku écoute la prière de ta prêtresse et protège les innocents de cette dimension. Délivres-nous du mal, exauce nos souhaits de paix éternelle.
Des lumières jaillirent de nul part, entourant Gildas, se resserrant contre lui. Il rétrécissait peu à peu, puis disparu. Il y eu alors une explosion qui projeta Harry et Kimaï en arrière.
_ Harry, tu vas bien ?
_ Je crois. Qu’est qu’il s’est passé ?
_ Il est parti dans le monde des ténèbres. Mais il en ressortira un jour, il s’est déjà enfui de là-bas.
_ C’était qui ?
_ La réincarnation de Rènn Shigyo, un humain qui se croyait un dieu. Il sème le mal à toutes les époques où il va.
_ Et toi, tu es qui ?
_ Je suis la prêtresse de Susaku, le Dieu protecteur du ciel du Sud, en Chine. Ma mission était de le combattre pour retarder son retour. Mais il reviendra, lorsqu’il se sera échappé à nouveau du monde des ténèbres et qu’il se sera réincarné en humain… Mais rassures toi, ton monde est tranquille pour quelques millénaires. Tout est fini maintenant. Viens.
Ils sortirent de la maison, fatiguaient de cette journée.

ouf, on a eu chaud!!!

a part ca, continue c'est vraiment prenant
la suite quand tu voudra merci

Et pour finir :

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XVII : Epilogue

_ On rentre en balais ? proposa Harry.
_ Oui. Où est le balai de cet homme ?
_ Celui de Gildas ? Ici… Mais comment es-tu venu ?
_ Susaku, mon maître, se métamorphose en phénix géant. C’est lui qui m’a emmené.
Ils enfourchèrent leurs balais, puis décollèrent. La discussion durant le voyage fut très riche.
Harry apprit que Kimaï le suivait, pour éviter qu’il se trouve seul avec Gildas. C’est pour cela qu’elle était intervenue lorsque Harry écoutait les deux frères, parce que une fois Severus partit, il aurait été voir Gildas. Elle avait deviné ses plans et faisait en sorte qu’ils échouent, et elle avait réussit.
_ Je suis venu te mettre en garde de la confiance aveugle que tu lui donnais. Mais comme je le craignais, il avait commencé à prendre possession de toi.
_ C’est pour cela que…
Il hésita à finir.
_ Que quoi ?
_ Que je t’ai envoyé balader ?
_ Il n’y a aucune honte à cela. J’aurai du te prévenir plus tôt. Pour en revenir à cette discussion, mon père n’était pas Serpentard et il a encore moins était son camarade de chambre. J’ai dis cela pour que ce soit plausible. J’aurais voulu t’approcher plus, mais je ne pouvais pas. Tu es beaucoup plus méfiant avec ceux de ton age qu'avec les adultes. Fais y attention.
_ Ca fait longtemps que tu veilles sur moi sans que je le sache ?
_ Ca fait trois ans que je suis ici. Je n’ai jamais veillé sur toi, mais à ce que la réincarnation de Rènn soit détruite. Je savais qu’il s’attaquerait à toi mais j’ignorais quand.
_ Et pourquoi s’est-il attaqué à moi ?
_ Tu as de grand pouvoir. Sans les quatre Dieux, il n’y a que toi qui aurais pu le stopper.
Elle fit une pause, puis continua :
_ Et les quatre Dieux sont moins puissant loin de chez eux. Ca aurai pu ne pas marcher. Pour en revenir à toi, tu accompliras de grandes choses, tu le sais ? C’est écrit dans les étoiles…
Harry crut alors entendre parler les centaures.
Le reste du trajet se passa sans incidents, mis à part un Moldu qui avait faillit les voir. Ils se posèrent près du lac.
_ Harry, c’est ici que nos routes se séparent, je dois retourner d’où je viens. Ce monde n’est pas le mien et mon rôle est fint. Adieu.
_ Mais…
Il n’eut jamais le temps de finir sa phrase. Une lumière semblable à celle qui avait entourait Gildas apparu, entourant Kimaï. Elle disparu elle aussi, mais dans son pays, celui du Ronan, de la Chine Antique…
Déçu de cette séparation, Harry se dirigea vers le château. Le jour arrivait déjà, baignant le ciel d’une belle couleur rosée. Il entra dans le château, mais ce qu’il vit le surprit au plus au point : Malefoy avait les marques de cinq longs doits incrustés sur sa joue gauche. Il continua son chemin jusqu’à la grande salle : Cho était en pleur.
_ Harry, te voilà enfin ! On t’a cherché partout !
_ Ron ! Je suis contant de te voir ! Tu ne devineras jamais ce qu’il m’est arrivé !
Il lui raconta alors toute l’histoire, du rêve jusqu’à Kimaï.
_ Harry, tu devrais aller voir Dumbledor.
_ Il est revenu ?
_ Il n’est jamais partit, Harry. Il t’a cherché partout hier et cette nuit.
_ Mr Potter, je crois que vous devriez vous donner la peine d’aller au bureau du directeur.
Harry se retourna si vite qu’il aurait pu se faire un torticolis. Derrière lui se trouvait le professeur Rogue.
_ Votre nuit dehors coûtera dix points à Griffondor.
_ Mais, monsieur, j’ai était obligé, je…
_ Et vous osez discuter ? J’enlève encore cinq points à Griffondor.

Harry alla aussi tôt au bureau de Dumbledor. Celui-ci l’attendait. Il tenait à la main un parchemin et une plume de phénix.
_ Encore un exploit, Harry !
Harry ne croyait pas ce qu’il entendait : comment Dumbledor pouvait-il savoir ce qu’il s’était passé cette nuit ?
_ Ne me regarde pas comme ça, Harry ! J’ai eu un message d’un certain Susaku qui m’a tout expliqué.
_ Rogue m’a dit que vous vouliez me voir.
_ Je voulais, oui. Mais maintenant, ce n’est plus la peine. Si tu veux me poser des questions, n’hésite pas.
A cet instant, il aurait eu un milliard de questions à poser, mais aucune ne sortit à cause de sa fatigue qui commençait à se faire sentir.
_ Si tu n’as rien à me demander, je te conseille d’aller te coucher. Tu pourras venir me voir plus tard, quand tu seras prêt.
Il sortit, alla dans son dortoir où il n’y avait presque plus personne. La journée promettait d’être superbe, et la plupart des étudiants voulaient en profiter.
Harry s’étendit sur son lit, mais il n’arriva pas à dormir. Au bout d’une heure, il se décida à se lever. Il alla directement dans la grande salle, voir Hermione qu’il n’avait pas vu depuis la fin des examens.
_ Harry ! Regardes ça !
Elle lui tendit aussitôt la Gazette du Sorcier. En gros titre, il y avait :

ELEMENTS MYSTERIEUX DE LA NUIT :

Cette nuit, vers deux heures du matin, plusieurs événements inexplicables se sont produits en même temps. A St Mangouste, Dolores Ombrage, qui était internée pour folie, s’est mystérieusement rétablie. Dans le même temps, d’autres personnes on subit le même miracle, que se soit chez les Moldus que dans le monde des sorciers. C’est le cas d’un Moldu de Londre qui a brusquement retrouver la mémoire. Tout ce que nous savons, c’est que toutes ces personnes ont étaient en contacte avec Gildas Rogue, enseignant à Poudlard. Les autorités compétentes en étaient mises en place pour le retrouver, mais il a mystérieusement disparu.

L’article n’apprenait pas grand chose, sinon qu’Ombrage était sauve et allait sûrement rentrer à Poudlard.
Un hibou arriva vers Harry. Il lui tendit la patte.

Harry, lorsque tu liras ceci, je serai déjà loin. Tout ce qui c’est passé cette nuit est finit. Ce qu’a fait Gildas Rogue est brisé. Tout ce qu’il a fait est parti en même temps que lui. Je te souhaite bonne chanse pour l’avenir. Adieu.
Kimaï Arzel.

Lorsqu’il eu fini, il eu une autre surprise. Rogue était à la table des professeurs, mais il faisait quelque chose que Harry aurait jugé impossible : il riait.

comme d'habitude:

je commence a ma demander si je ne prefere pas ta version du tome5
vite, la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite merci

Bah là, c'est finit... Il faut que tu attende ma 3ème et dernière fanfic. (qui est commencé depuis longtemps, mais que je vais finir rien que pour vous )
Si tu veux, j'ai un one shot sur ce forum que tu peux lire.

je ne voudrais pas paraitre completement stupide mais tant pis:
c'est quoi un "one shot" ?

LOL.

Un one shot, c'est un peu comme une fanfic, en beaucoup plus court. Ca ne fait généralement que 1 chapitre.

Voila !