[Fanfiction] Harry Potter et Le But Ultime(chap.20 en ligne)

WOW, toutes mes ficelles de caleçon !!!

Incroyable !! Tu as l'art d'écrire comme les plus grands !! Je pense que JK Rowling serai fière d'avoir une aussi belle réadaptation de son oeuvre !!
As-tu pensé à une carrière de romancier ?? En tout cas tu devrais !!
J'attend avec impassience le prochain Fanfiction !!

Piouf... ça fait beaucoup quand même
En tout cas merci beaucoup, ça motive pour la suite !
... et

Je te complimente pour t'encourager à écrire la suite ^^
En tout cas c'est super !!!

Franchement, c'est génial, j'ai adoré. J'ai cru un instant que j'étais en train de lire Hp7, Je vais etre déçu quand je verrais que c'est pas la même chose

vite vite a qand la suite c super

C'est clair : C'EST GENIAL!!!!!! Vite vite la suite

Merci beaucoup à tout le monde pour vos encouragement... malheureusement en ce moment je manque de temps. La suite arrivera peut-être demain

T'inquiète pas on attendra le temps qu'il faudra !!
Tant que ta fanfic est toujours aussi bien !!
Bon à la prochaine !!

J'ai fait vite parce que je ne vais pas tarder à partir en vacances... Je vous ramènerais des photos

Voilà la suite...




Harry était satisfait de la tache accomplie, même si Mrs Weasley avait souligné leur irresponsabilité lorsque Lupin lui avait fait part de leur rencontre au Square Grimmaurd. Mais le plus dur consistait à savoir si le médaillon était bel et bien un Horcruxe. Il se pouvait très bien que Regulus l’ait détruit. Harry s’était renseigné dans des livres sur la descendance des Black. Regulus avait un oncle nommé Alphard et un autre membre de sa famille portait le nom d’Arctarus, ce qui pourrait expliquer la présence du A dans l’appellation R.A.B. De plus, comme Hermione lui avait fait remarquer, l’auteur du morceau de parchemin se trouvant dans le faux médaillon parle du Seigneur des Ténèbres, or seul les adeptes de la magie noire et les mangemorts appellent leur maître ainsi.
Harry avait fait une promesse à Ginnie et il se devait de la respecter. Elle devait savoir ce qui l’attendait. Elle devait savoir pourquoi il se battait… Il vint frapper à la porte de sa chambre alors qu’il était encore très tôt. Il fut accueilli par un grognement qui devait signifier entrez et il trouva Ginnie dans son lit, la tête relevée.
− ‘lu, dit-elle d’une voix ensommeillée. Si maman t’a vu, elle va se faire des idées.
− Aucun risque, il n’y a personne dans la maison.
Il vint s’asseoir sur son lit et la regarda dans les yeux. Elle souriait et paraissait très heureuse. Seulement ce qu’il avait à lui annoncer n’avait rien de réjouissant. Mais il devait le faire.
− Ginnie, je dois te parler de quelque chose en rapport avec notre excursion de l’autre jours. Je t’avais promis de tout te raconter, mais tu dois me certifier que tu garderas ça pour toi.
− Je te le promets.
− Alors, reprit-il, tout commence le soir où nous sommes allés au ministère. Il y avait une prophétie qui me liait avec Voldemort.
− Mais elle a été détruite…
− Oui, la boule de verre a été détruite, mais ce qu’elle contenait, Dumbledore le savait. Il me l’a révélé dans sa totalité. Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbre approche… il naîtra de ceux qui l’ont par trois fois défiés… il sera né lorsque mourra le septième mois… et le Seigneur des Ténèbre le marquera comme son égal, mais il aura un pouvoir que le Seigneur des ténèbres ignore… et l’un devra mourir de la main de l’autre car aucun d’eux ne peut vivre tant que l’autre survit… Voilà pourquoi Voldemort voulait me tuer il y a seize ans.
Ginnie paraissait apeurée.
− Mais alors quel est ce pouvoir ? interrogea Ginnie.
− L’amour.
Elle n’avait pas l’air de comprendre et se demandait peut-être s’il ne se moquait pas d’elle. Il reprit :
− Il s’est créé lui-même son pire ennemi. Lorsqu’il a voulu me tuer pour la première fois, l’amour que ma mère a manifesté en voulant me protéger m’a doter d’une protection infaillible et Voldemort l’a appris à ses dépends. C’est aussi l’amour qui m’a poussé à sauver Sirius le soir où il est mort… Et la fin de la prophétie n’a une signification que parce que Voldemort en a donnée une. En agissant de la sorte il m’a pousser a désirer sa mort plus que tout. Et même si je ne me lançais pas sur ses traces, lui me chercherait sans relâche. C’est la différence entre être traîné de force dans l’arène et entrer dans cette même arène la tête haute.
Ginnie se releva et enlaça Harry.
− Mais ça, ce n’est qu’une partie de l’histoire, dit-il en se libérant de son étreinte. La raison pour laquelle Voldemort n’est pas mort il y a seize ans trouve sa réponse dans les meurtres qu’il a commis. Dès son plus jeune age Tom Jedusor cherchait le moyen de devenir immortel et il a créé sept Horcruxes selon Dumbledore. Un Horcruxes est un objet dans lequel le sorcier en question place une partie de son âme afin que si son corps est détruit, l’autre partie reste attachée à la vie terrestre grâce à cet Horcruxe. Le sorcier désireux de recourir à cette magie doit commettre un acte maléfique. Tuer déchire l’âme. Il tourne à son avantage cette destruction et enferme la partie arrachée. Ca pourrait être n’importe quel objet, mais c’était sans compter sur l’orgueil naturel de Voldemort. Le journal de Jedusor était un Horcruxe et il a été détruit. Une bague que possédait Marvolo Gaunt, le grand père de Voldemort a été détruite par Dumbledore et lui a valu une main desséchée. Le médaillon de Serpentard devait se trouver dans la caverne où je me suis rendu avec Dumbledore la nuit de sa mort. Mais le vrai médaillon se trouvait chez Sirius. Et je ne sais toujours pas comment le détruire. Il nous reste donc à trouver la coupe de Poufsouffle sur laquelle il avait jeté son dévolu alors qu’il rendait visite à une vieille dame lorsqu’il travaillait chez Barjow et Beurk… Un objet ayant appartenu à Griffondor ou à Serdaigle qui comme la coupe lui rappelait Poudlard, le seul endroit qu’il considérait comme sa maison… Et enfin son serpent, Nagigni, celui là même qui a attaqué ton père au ministère et à qui Voldemort accorde le plus d’affection. La septième partie de son âme subsiste dans son corps. C’est cette partie qu’il faudra détruire en dernier.
Ginnie le regardait avec des yeux apeurés. Elle semblait perdue.
− Et voilà, tu connais le principal.
− Je me doutais bien que ce serait quelque chose dans ce genre là, dit-elle. Mais alors tout ce qu’il reste à faire et on n’a même pas d’indice ! Le reste des Horcruxes pourrait se trouver n’importe où !
− J’en suis conscient.
Elle se rapprocha de lui et l’embrassa durant un moment qui lui fit oublier toute chose. La présence de ses amis à ses côtés avait plus de valeur à ses yeux qu’il ne saurait l’expliquer.



Au début j'avais fait un seul et gros chapitre mais impossible de lui trouver un titre... alors j'en ai fais deux petits !

Toujours aussi géniale !! dommage que tu parte en vacances mais bon tu peux pas rester scotcher devant l'ordinateur!!

Je te souhaite de bonne vacances !! ^^

Je vais faire l'effort de mettre une suite de dernière minute
Bonnes Vacances tout le monde




Le peu de jours qu’il leur restait des vacances passa extrêmement vite. Entre les parties de Quidditch, les séances d’occlumencies avec Lupin et les longues discutions après les repas, Harry ne trouvait pas le temps de s’ennuyer. Il ne pensait même plus au médaillon.
La veille de la rentrée, ils devaient se rendre sur le Chemin de Traverse pour acheter les fournitures scolaires. Mr et Mrs Weasley avait pris la poudre de cheminette avec Ginnie alors que Harry, Ron et Hermione avait transplané au beau milieu de la ruelle. Autrefois gaie et pleine de magie, le Chemin de traverse ressemblait plus à l’allée des Embrumes désormais. De nombreux magasins étaient fermés depuis des mois pour rénovation ou rupture de stock et seul quelques personnes s’y aventuraient. Des hommes avec des robes pourpres circulaient en long et en large baguette à la main. Harry était persuadé que le ministère avait placé des aurors à tous les coins de rue. Seule une boutique paraissait encore animé et d’après ce qu’Harry pu en juger la majorité des personnes y étaient réfugiée. Il entrèrent donc dans le magasin haut en couleurs des Farces Pour Sorciers Facétieux. Fred et Georges étaient assaillis par les clients qui s’arrachaient les objets de l’arrière boutique croulant sous les piles de boîtes vacillantes. Fred se dirigea vers eux et les salua.
− Alors qu’est-ce qui vous ferait plaisir jeunes gens ?
− En fait je me souviens que tu avais parlé de chapeaux bouclier.
− Oui, mais je te conseille plutôt les capes. Au moins elles ont le mérite de ne pas tomber par terre. Et n’oublis pas pour toi c’est gratuit.
Il laissa passer Ron et Hermione dans l’arrière boutique et mit son bras en barrage au moment où Harry essayait de passer.
− Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas Harry, mais j’ai eu vent de ta relation avec Ginnie notre sœur bien aimée.
Harry ne s’était pas attendu à ce qu’il sache cela. Il le fixa droit dans les yeux et pris son courage à deux mains.
− Oui, et j’aime Ginnie plus que tout.
Une main familière se posa alors sur l’épaule d’Harry. Fred leva les yeux et recula d’un pas. Décidément, elle était toujours là dans les moments difficiles.
− Ca ne te regarde pas, prévint Ginnie.
− Bien, si c’est votre choix, annonça Fred en leur libérant le passage. Je ne m’y oppose pas ajouta-t-il avec un sourire.
Ils achetèrent leurs robes de sorcier chez Mrs Guipure, leurs livres chez Fleury et Bott et le reste des fournitures dans la joie et la bonne humeur. Harry avait ramené des capes bouclier et des trompettes animées qui lorsqu’elles étaient lâchées sur le sol, se précipitaient dans une direction et explosaient pour garantir une bonne diversion. Harry fit sa valise en quelque seconde avec la magie. Il avait confié le médaillon au Professeur McGonagall la veille afin qu’il ne soit pas détecté par les capteurs de dissimulation. Elle ne lui avait pas posé de question et il lui en fut reconnaissant. Il s’endormit et sombra dans un sommeil salvateur. Quelques minutes plus tard où du moins c’est ce qu’il lui sembla, Ron le secoua vigoureusement. Harry regarda sa montre. Il était déjà dix heures et demie. Il sauta de son lit et s’habilla en hâte. Ils se mirent en route après un petit déjeuné copieux.
Ils arrivèrent à King’s cross en compagnie de Maugrey et son habituel chapeau ainsi que Tonks et ses cheveux rose chewing-gum. Harry reçut les avertissements de Mrs Weasley qui lui préconisait comme chaque année de rester sage. Harry, lui, répondait toujours en insistant sur la tranquillité qui régnait dans sa vie. Ils traversèrent le mur et débouchèrent sur la voie 9 3/4 autrefois prometteuse d’une ambiance pleine de fébrilité et d’excitation et désormais rythmée par le bruit seul de la locomotive qui vomissait son panache de fumée. La quarantaine de personnes présente en comptant les accompagnateur semblait emplie de sérénité. Un calme apparent car ils paraissaient plutôt tendus, se demandant peut-être si leurs enfants reviendraient vivants. De nombreux élèves étaient regroupés devant ce qui paraissait être un panneau d’affichage.
− Vous avez vu ? lança Hermione.
− Oui, allons voir, suggéra Harry.
Ils s’approchèrent du rassemblement se frayant un chemin vers le mur sur lequel une grande affiche du ministère imposait son titre.

Le Ministère de la Magie prend des mesures
Suite aux évènements passés, le ministre et ses conseillés ont résolu de mettre en place des mesures visant à assurer le confort et la sécurité de la communauté magique. Des détecteurs de dissimulation on été placés aux portes des wagons ainsi qu’à chaque entrée de l’école de sorcellerie de Poudlard. Des postes d’Aurors sont établis à distances régulières sur la voie empruntée par le Poudlard Express afin de garantir la sécurité des passagers. Il est à noter que les sorties à Pré-au-Lard sont dorénavant interdites. Ces mesures entreront en vigueur à compter de ce jour.

Le Ministère de la magie
Tous services confondus

− Ils craignent sûrement une attaque contre le train, souffla Hermione aux trois autres.
− Et ils n’ont pas tord, ajouta Harry.
C’est donc avec incertitude et crainte qu’ils montèrent dans le train non sans dire au revoir aux autres. Au moment où Harry s’apprêtait à serrer la main de Maugrey celui-ci lui pris le bras avec un sourire et lui répondit de sa voix rauque :
− Non pas maintenant, tu n’es pas près de te débarrasser de moi. Tu vas devoir nous supporter encore un peu.
− Nous allons vous accompagner, Fol Œil et moi, ajouta Tonks avec un sourire ce qui semblait réjouir Ginnie et Hermione.
Alors que le train s’ébranlait, Harry faisait un signe de la main à Mr et Mrs Weasley restés à quai et qui rétrécissait au fur et à mesure que le convoi s’éloignait.
− Au moins cette fois-ci, on n’aura pas de mal à trouver un compartiment vide, dit Ginnie en pénétrant dans l’un d’eux.
Tonks et Fol Œil se dirigèrent vers l’avant du wagon en compagnie de Ron et Hermione. Harry avait presque oublié leur statut de préfet. Il était donc seul avec Ginnie dans le compartiment. Il s’était souvent retrouvé seul en compagnie de Ginnie, mais pour une raison qu’il ignorait, il se sentait presque gêné. Elle le regardait de son regard flamboyant et, lui, se laissait faire. Elle se leva de son siège, vint s’asseoir à côté de lui et posa sa tête sur son épaule. Harry sentait son parfum et ses cheveux sur sa joue. Il était aux anges. Jusqu’à ce que la porte s’ouvre et laisse entrevoir Neuville et Luna. Ginnie se releva vigoureusement et le regard des deux amoureux empêchait les nouveaux arrivants de faire allusion à ce qu’il venait de voir.
− Salut vous deux, lança Luna en s’asseyant et en se plongeant immédiatement dans son chicaneur.
− ‘lu, répondirent Harry et Ginnie d’une même voix.
− Alors vous avez décidé de retourner à Poudlard… dit Neuville. J’ai un peu forcé ma Grand-mère, parce qu’elle ne voulait pas tellement que j’y retourne avec… enfin avec ce qui s’est passé.
− Mon père dit que ne pas retourner à l’école renforcerait le sentiment de peur instauré par Vous-Savez-Qui, annonça Luna sans lever les yeux de son magazine.
C’était sans doute la première chose censée que Harry entendait du père de Luna et il se retint de sourire. Il restèrent à discuter de choses et d’autres jusqu’à l’arrivée de Ron et Hermione environ une heure plus tard. Le grognement qui émanait du ventre de Ron ne passa pas inaperçu et Harry pensa que lui aussi avait très faim. Il sortit sa baguette et interrogea Hermione du regard.
Elle fit de même. Harry se souvenait d’un certain Inanimatus Apparitus lors de sa cinquième année en cours de métamorphose. Il avait eu du mal à le maîtriser mais il pouvait s’avérer utile. Il pensa très fort à de bons Sandwichs, à du jus de citrouille et à son dessert préféré, la tarte à la mélasse. Aussitôt la formule proférée dans sa tête, la nourriture lui tomba sur les genoux. Hermione quant à elle fit apparaître des plats chauds alléchants bien organisés sur un plateau ce qui mit l’eau à la bouche de Ron.
C’est donc dans une atmosphère pleine d’allégresse que le trajet se poursuivit jusqu’à la gare de Pré-au-Lard. En descendant du train, Harry reçut comme un coup de poing à l’estomac en voyant les sombres créatures reptiliennes paisibles au clair de lune. Les sombrals étaient visibles pour toute personne ayant vu la mort de ses propres yeux. Chaque fois que Harry croisait leur regard dénué de toute expression, il se remémorait la mort de Cédric. Mais cette fois ci, c’est son protecteur s’élevant dans les airs comme un pantin désarticulé qu’il revoyait. La gorge nouée, il se dirigea vers les diligences en compagnie de Ron, Hermione, Ginnie, Neuville et Luna.
L’air enivrant s’infiltrait par les ouvertures leur permettant de goûter au vent nocturne. Tout était étrangement silencieux à l’image de l’atmosphère qui régnait dans les diligences. Après un moment, deux montagnes semblaient s’écarter pour laisser entrevoir leur destination. Enfin le vieux château leur offrait son spectacle, sa silhouette se détachant dans la nuit comme une colline aux sommets découpés. Il grandissait à mesure que le maigre convoi progressait. Et comme une promesse qui leur était faite depuis longtemps, l’école leur ouvrait ses grandes portes de chêne. Harry ne ressentait pas l’habituelle excitation qui précédait le festin de début d’année. De sombres évènements en avaient décidé autrement et l’ambiance du château contrastait avec la magie du lieu.

bonnes vacances revient vite avec une longue longue suite

SUPER comme toujours

Changement de programme, les vacances sont repoussées et oui des fois il faut patienter pour se faire plaisir. Donc je serais bien absent une ou deux semaines mais pas pour le moment, donc je reviens avec une petite suite qui est la fin du chapitre. Il ne se passe pas grand chose, mais sa va changer...



Toutes les personnes présentes s’engouffrèrent par les portes de la Grande salle. Harry qui prit place entre Ron et Hermione remarqua en levant la tête que Ginnie s’était assise en face de lui et qu’elle arborait un petit sourire entendu. Les premières années n’avaient pas traversé le lac comme le voulait la tradition peut-être par souci de sécurité ou simplement à cause du manque d’effectif. En effet les nouveaux étaient très peu nombreux et c’était compréhensible. Ils suivaient McGonagall qui marchait d’un pas beaucoup trop rapide pour eux en direction de l’estrade où se trouvaient les professeurs et le choixpeau magique. Parmi les Griffondor, Harry remarqua la présence d’Ernie Macmillan, Dean Thomas et Seamus Finnigan. Ils étaient peu nombreux en arrivant mais répartis sur quatre tables, la différence avec les autres années était frappante. Harry n’avait pas suivit la répartition, il était trop occupé, plongé dans les réflexions que lui inspirait un tel vide. Le professeur McGonagall le sortit de sa torpeur.
− Je souhaite la bienvenue à tous les nouveaux et un bon retour parmi nous pour les plus anciens ! Je tiens à préciser, comme me l’a fait remarquer Mr Rusard, que les objets provenant du magasin Farce pour sorciers facétieux des frères Weasley sont rigoureusement proscrits et que l’usage de la magie dans les couloirs est interdit. Les premières années doivent savoir qu’il est formellement interdit de pénétrer dans la forêt qui entoure l’école. Les sorties prévues chaque années au village de Pré-au-Lard sont désormais annulées pour des raisons de sécurités instaurées par le ministère. Des capteurs de dissimulation ont été installés à chaque entée du château. Des aurors patrouilleront en permanence au-delà des limites de Poudlard dont la sécurité a été renforcée et il serait bien imprudent de tenter une petite excursion nocturne.
Ses yeux se posèrent sur Harry qui sentit son sang refouler vers ses joues.
− Comme d’habitude ceux qui voudraient jouer dans leur équipe de Quidditch devront s’adresser à leur directeur de maison. Et maintenant je suis heureuse d’accueillir un nouvel enseignant, le professeur Hollerton qui assurera cette année les cours de Défense contre les Forces du Mal.
Un sorcier que Harry n’avait pas remarqué se leva. Hollerton avait des cheveux bruns grisonnant. Il se dégageait de lui une impression d’intelligence, de sagacité renforcée par son regard pénétrant qui balayait la salle. Quelques applaudissements polis se manifestèrent. Tout le monde pensait la même chose. Ses prédécesseurs n’étaient restés qu’une année à Poudlard pour diverses raisons qui valurent au poste d’être considérée comme maudit depuis que Voldemort s’était vu refusé le droit d’y enseigner.
− Mais un sujet plus grave doit absolument être abordé, reprit McGonagall. Vous-Savez-Qui continue d’agir et sa capacité à semer la discorde grandit alors que nous nous divisons, annonça-t-elle en désignant de ses bras levés la Grande salle peu remplie.
Le silence devint tendu et l’atmosphère de plus en plus pesante à mesure qu’elle parlait.
− Je vous demande donc à tous de respecter ces consignes afin que tout se déroule au mieux, dit-elle d’un air grave. Mais l’heure est à l’exultation en vue d’une nouvelle année qui débute, reprit-elle avec un sourire. Et comme le disait si souvent notre regretté Directeur : que le festin commence !
Aussitôt, l’atmosphère se détendit et les plats se remplirent de victuailles.
− Avec le peu de monde qu’il y a cette année, on va pouvoir s’entraîner dans la salle commune. Qu’est-ce que vous en pensez ? demanda Ron.
− Je ne crois pas, ce serait trop risqué, dit Hermione. Le mieux serait de retourner dans la salle sur demande avec nos livres et tout ça. On aurait un tas d’équipements nécessaires aux combats en duel.
− C’est une idée, ajouta Ginnie en souriant à Harry.
− C’est d’accord. Demain soir, étant donné que c’est le premier jour de cour, je ne crois pas qu’on aura trop de devoirs.
Hermione reniflant d’un air réprobateur.
− Hermione ! reprit Ron. Tu as dit toi-même qu’il y avait des choses plus importantes que les devoirs. Nous irons dans la salle sur demande demain soir vers huit heures, ajouta Ron décidé ce qui fit sourire les autres.
Le reste du repas fut plutôt silencieux. Harry qui enfournait ses pommes de terre lâcha sa fourchette alors que quelque chose lui effleurait le pied. Il pensa tout d’abord à Pattenrond mais il se trouvait rarement dans la Grande salle. Il leva alors la tête vers Ginnie qui affichait un sourire en coin alors qu’elle fixait résolument son assiette. Le repas terminé, les plats se vidèrent d’eux même et McGonagall reprit la parole.
− Vos emplois du temps vous seront distribués par le professeur Flitwick demain au petit déjeuné. Mais à peine avez-vous fini de savourer ce festin que je vous parle déjà de travail scolaire. Je vous conseille donc de vous reposer dans les lits tièdes qui n’attendent que vous. Bonne nuit !
Dans l’habituel raclement des bancs qu’on repoussait, tout le monde se leva et commença à se diriger vers les grandes portes.
− Les premières années par ici, lança Hermione ce qui incita Ron à lever les yeux au ciel.
Ils montèrent dans la salle commune où ronronnait déjà un feu dans la cheminée, projetant sur les murs des reflets chatoyant. Harry n’avait qu’une envie, aller se coucher au plus vite. Il souhaita bonne nuit à Hermione, puis à Ginnie qui mit un peu plus de temps à lâcher prise. Harry n’eut même pas le temps de vider son esprit déjà déserté de toutes pensés. Morphée l’accueillit dans ses bras bienfaiteurs alors que Ron poussait un ultime ronflement.


Et voilà ce que j'ai pu écrire le temps d'un aller retour au Futuroscope. C'était prévu que je passe par le futuroscope en allant en vacances mais il se trouve qu'on a préféré faire ça en deux fois.

Vu que je vous avait promis des photos de mes vacs et que je ne l'ai est pas encore, je vous mets celles du futuroscope.

ps: je sais pas si c'est l'endroit idéal pour les mettre mais bon...



Vue de la tour :



Voilà je vais pas en mettre plus parce que je m'écarte du sujet.

a quand la suite de ta fanfic j'espère que tu as passé de bonnes vacabnces comme ca ca ta reposée lol vite la suite

Super comme toujours !!
J'espère que tu as passé de bonne vacance !!
Je sais que l'on t'ennuie mais bon:
A quand la suite ??? A quand la suite ???
Stp met la suite !! tu vas nous tuer !! (je rigole)
C'est cruel

Merci... Oui Oui de très très bonnes vacances !!!

Je vous mets la suite dès que possible... demain peut-être qui sait

, je viens de terminer ta fic. pas grand chose a rajouter par rappor aux autres, continues comme ça, c'est tres bien écrit

courage on attend la suite

salut à toi, j'ai découvert avec plaisir ta suite, toutes mes ficelles de caleçon !!!
le seul truc, c'est que c'ets un peu domage que tu reprenne exactement les mots de JKR quand harry explique tout à Ginny. Enfin, je dis ça mais j'en use et en abuse dans ma propre fan fic !!

allez, encore bravo et merci !!

Merci !!!

Et oui les mots de JKR sont toujours les bienvenue...
Voilà pour mon 100ème message et mon passage en seconde année un nouveau chapitre.





− A ton avis il est comment ?
− J’en sais rien, mais il ne semble pas être pire que Roque. Il a plutôt l’air d’être du bon coté si tu vois ce que je veux dire.
C’était le lendemain matin devant la porte du cours de défense contre les forces du mal. Hermione était soucieuse. Les professeurs de cette matière n’étaient pas en général les plus appréciés. Le silence se fit alors que le professeur Hollerton apparaissait dans l’embrasure. Il leur sourit et leur fit signe d’entrer. Harry, Ron et Hermione virent se placer au premier rang, face au bureau. Les atroces représentations des sortilèges impardonnables imposées par Rogue avaient cédé leur place à des images mouvantes de créatures maléfiques, des reproductions d’un geste complexe du poignet ou encore des scènes de duels ou s‘affrontaient des sorciers à l’apparence sage et au regard avisé.
Les élèves semblaient fascinés par son apparence à la fois calme et robuste. Devant ses yeux pétillants de sagacité à la manière de ceux de Dumbledore, la salle était étonnement calme et silencieuse comme si les élèves manifestait au nouveau professeur un certain respect.
− Bien. Bonjours à tous. Je suis nouveau à Poudlard et je serais peut-être obligé de vous demander plusieurs fois votre nom. Comme vous le savez peut-être déjà, je m’appelle Hollerton. En tant qu’ancien Auror, je pense avoir les facultés nécessaires pour vous enseigner la défense contre les forces du mal. J’ai constaté que vous aviez eu un enseignement très divers en la matière de part le nombre de mes prédécesseurs. Mais vous avez des lacunes, enfin peut-être pas pour tout le monde, en technique des sortilèges. La maîtrise du duel est très importante. Vous aurez l’occasion d’en pratiquer en classe au cours de l’année. Lorsque vous avez affaire au Mal en personne, vous vous imaginez peut-être une créature immonde et sans pitié, tout ce qu’il y a d’inhumain. Mais vous devez savoir que rien n’est plus sombre et cruelle que l’homme.
Lorsqu’il parlait, le professeur Hollerton semblait captiver son auditoire. Tous l’écoutaient avec la plus grande attention. Il marqua une pose et reprit :
− Le Mal, vous le croisez chaque jour, à chaque coin de rue, dans chaque magasin. Il n’a jamais le même visage. Vous pouvez passez à côté sans même le remarquer. Pour le combattre, il ne vous suffit pas d’être un élève attentif et d’apprendre dans les livres. Le savoir et la connaissance sont une chose, mais la survie en est une autre. Face à un mage noir, il faut faire preuve de courage, certes, mais aussi de présence d’esprit afin de contrer ses tentatives. Il faut évoluer avec lui.
Il s’interrompit dans un murmure. Le silence qui suivit ses paroles fut des plus pesant. Puis il reprit plus énergiquement :
− C’est pourquoi tout au long de l’année vous serez confronté à une personne dont vous ignorez les intentions. Seulement, il est possible pour certains d’anticiper en devinant le sort que l’adversaire s’apprête à jeter. Est-ce que quelqu’un peut me dire comment ?
Hermione donna un coup de coude à Harry. Après tout elle avait raison… il connaissait la réponse.
− Oui, monsieur Potter ? dit-il en remarquant la main levée de Harry.
− En pratiquant la légilimencie… Le sorcier sait, même lors d’un sortilège informulé, quel type de magie l’adversaire va utiliser.
− Exact. Et connaissez-vous le principe de la légilimencie ?
− Et bien il faut tout d’abord maîtriser l’occlumencie qui a pour but de fermer l’esprit aux intrusions extérieures. Ensuite le sorcier désireux de connaître les intentions de son adversaire va se concentrer sur l’esprit qui tente de pénétrer vos défenses.
− Parfaitement exact. Dix points pour Gryffondor. Ces techniques ne vous seront pas explicitement enseignées mais elles vous seront forts utiles si vous manifester le désir de vous surpasser en faisant preuve de force mentale. Maintenant, vous allez tous vous lever, prendre vos baguettes et vous mettre deux par deux.
Ces mots furent suivit de la rumeur enthousiaste des commentaires et du raclement des chaises sur le sol. Harry se mit avec Ron alors qu’Hermione fit équipe avec Neuville. Hollerton leva sa baguette et d’un mouvement de poignet, les tables et les chaises disparurent de la classe laissant un vaste espace libre avec au centre un cercle de runes tracées sur la pierre du sol.
− Afin de limiter les accidents, vous passerez dans ce cercle par équipe de deux et vous débuterez votre duel. Il est possible de transplaner à l’intérieur de cette limite, mais il serait imprudent de transplaner au delà.
Les élèves reculèrent jusqu’aux bords du cercle. Hermione se pencha sur les inscriptions et dit à haute voix :
− Le courage mène aux étoiles… la peur à la mort. C’est plutôt radicale comme devise.
− Il ne faut pas trop se fier aux vieilles écritures, dit Hollerton dans le dos d’Hermione ce qui la fit sursauter. Au temps du grand Gryffondor, ce point de vue n’aurait pas été contesté, mais la peur est une émotion naturelle… Deux personnes au milieu du cercle s’il vous plait, poursuivit-il. Monsieur Potter par exemple.
Harry prit au dépourvu s’avança vers le cercle et se plaça face à Ron qui ne paraissait pas enchanter de devoir combattre devant toute une classe.
− Levez vos baguettes ! annonça le professeur.
Harry et Ron se saluèrent et Hollerton compta :
− Un… Deux… Trois !
− Pétrificus totalus ! lança Ron sans préambule et sans utiliser les sortilèges informulés.
Harry para le maléfice aussi facilement que si Ron lui avait dit à l’avance quel sort il allait jeter. Il pensa levicorpus et aussitôt Ron se retrouva la tête en bas comme si un filin invisible le retenait par la cheville. Mais connaissant le contre sort, celui-ci se retrouva vite par terre en amortissant sa chute du mieux qu’il pouvait avec ses mains. Il repris vite contenance et lança un Expelliarmus vers Harry qui bloqua le sort alors que Ron se remettait debout. Harry pensa Impedimenta et Ron se jeta de côté alors que convergeait vers lui un rayon bleu éclatant. Les réflexes de Ron en tant que gardien dans l’équipe de Quidditch se révélaient efficaces. Harry se souvint soudain de quelques sorts qu’il avait lus dans le livre qu’Hermione lui avait offert. Mais à peine avait-il en tête la formule qu’un éclair rouge jaillit de la baguette de Ron. Harry l’évita de justesse et s’écria sous le coup de la surprise :
− Manusalvatrix !
Une dizaine de mains bleues électrique, apparurent autour de Ron immobilisant chacun de ses membres. Il se débattit inutilement avant que Harry ne lève à nouveau sa baguette et que Ron ne tombe sur le sol haletant. Harry se concentra sur un point qui se situait derrière Ron. Celui-ci releva la tête au moment où un crac sonore retentit. Harry n’était plus là et la baguette de Ron lui sauta des mains pour se retrouver dans celles de Harry qui se tenait juste derrière.

rhoo, les grands esprits se rencontrent, je voulais faire presque la même chose dans ma propre fanfic !!!
c'est super, continues comme ça !!

au fait, pour ton sondage j'ai pas voté, aucun de quatre ne meurt !!!!!

T'as raison, j'aurais du mettre "autre" mais bon maintenant que 2 ou 3 personne ont voté je peux pas rajouter d'option... tant pis.

Une suite toute riki pour patienter... j'ai vraiment de moins en moins de temps pour écrire !


− Bravo à vous deux annonça Hollerton. Voilà un exemple de duel avec de la diversité et aucun répit entre les différentes attaques, chacun employant les faiblesses de l’autres aux bons moments. Mr Weasley a été très résistant et très rapide. Quant à Mr Potter, il a su changer d’angle de tir lorsque ses tentatives échouaient…
Les duels étaient très différents selon les combattants. Il s’ensuivit quelques désartibulations. Hermione immobilisa Neuville et lui prit la baguette de ses mains. Quant à Dean Thomas, il en avait encore les cheveux fumants. Seamus Finnigan, fidèle à son habitude, avait malencontreusement abusé de sa fascination pour le feu. Alors que tous les élèves sortaient allègrement de la salle de classe, la voix profonde du professeur Hollerton retentit derrière Harry.
− Monsieur Potter ! J’aimerais vous parler.
Harry, quelque peu interloqué, se retourna et s’avança vers le bureau.
− J’ai quelque chose d’extrêmement important à vous annoncer. En fait le message n’est pas de moi, mais du professeur Dumbledore…