[Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres

Bon bah rien n'a dire toujkour aussi bon

je suis en tran de lire tes chapitres ouah ! il sont super ! tu as du talents !on plonge dans tes chapitres si s'etait le livre

c'est super comme d'hab !!

juste cette phrase :

Citation :

Sur le coup, Fred se désintéressa de son Fred et regarda sa mère avec stupéfaction.

j'ai pas bien compris ce que tu voulais dire par là...

fred se desinteressa de son jumeau probablement

mais peu importe une faute de frappe ca arrive a tout le monde
je sais pas pour les autre mais j ai hate de continuer a te lire
continue comme ca

Lord édite tes messages au lieu d'en poster deux à la suite je te corrige ça.

sa i est j'ai fini de lire tes chapitres c'est cvraiment super j'attend la suite avec impatience ! bon courage

ok geo je ferai attention

Voici la suite comme promis. La fin du chapitre vous sera envoyée très prochianement. Le chapitre 21 avance bien je dois être à un tiers +/-. Il se nommera: Sorts Impardonnables


Bonne lecture


A onze heure le lendemain, Harry quitta le Square Grimmaurd avec l’argent que Bill lui avait apporté plus tôt dans la matinée. Il était impatient d’en finir avec Mondingus Fletcher et d’obtenir l’horcruxe qui avait causé la mort de Dumbledore, plusieurs mois auparavant.
Même si ses pensées étaient principalement tournées vers ce qui l’attendait moins d’une heure plus tard, son esprit était encore hanté par la nuit qu’il avait passé avec Ginny. Harry se souvenait du corps chaud de celle-ci contre le sien. Cette sensation merveilleuse lui laissait depuis lors l’ombre d’un sourire en permanence sur les lèvres.
Pendant qu’ils prenaient leur petit déjeuner, Hermione s’était visiblement aperçue du changement de comportement de son meilleur ami. Et lui avait demandé d’un air inquisiteur pourquoi il souriait.
Pris au dépourvu, Harry lui avait vaguement répondu qu’il était heureux d’être de retour chez lui. Il avait ensuite préféré se concentrer sur le contenu de son assiette dans l’espoir qu’Hermione ne lui poserait plus de questions. Ron avait heureusement détourné la conversation.
Harry avait appris par Ginny que Ron et Hermione se retrouvaient souvent la nuit. Autant, il ne lui serait pas venu à l’idée de les interroger sur le sujet, autant il ne souhaitait pas être questionné.
Arrivé au Terrier, Harry trouva Mrs Weasley attablée dans la cuisine, occupée à écrire une lettre.
- Bonjour Harry, mon chéri. Arthur ne va pas tarder, déclara-t-elle d’un air un peu distrait, en gardant les yeux posés sur le parchemin qu’elle avait devant elle.
Harry s’assit et attendit qu’elle ait terminé.
- C’est la lettre pour les parents de Morgane, précisa-t-elle. Ca ira comme ça, je pense. J’irai la leur porter pendant que vous discuterez avec Mondingus.
Harry eut l’impression que Mrs Weasley voulait lui parler de quelque chose d’important mais qu’elle cherchait ses mots.
- Arthur m’a dit que le Ministre croyait Percy corrompu, lâcha-t-elle finalement. Elle fit une courte pose avant de poursuivre. Percy n’a pas agit avec beaucoup... de sagesse, mais je refuse de croire qu’il est devenu un mangemort, termina-t-elle en maîtrisant un sanglot avec peine.
Harry pris au dépourvu, alla rapidement la rejoindre de l’autre côté de la table. Ce n’était pas la première fois qu’il voyait Mrs Weasley pleurer de peur qu’il arrive malheur à un membre de sa famille. Il posa doucement sa main sur l’épaule de celle-ci.
- Je ne crois pas non plus qu’il soit devenu un mangemort, dit-il avec douceur et compassion, s’accroupissant pour être à la même hauteur que Mrs Weasley. Nous ferons tout pour l’aider.
- Il est venu, il y a deux jours, pour demander s’il pouvait venir pour Halloween avec sa petite-amie, s’écria-t-elle en se laissant aller dans les bras de Harry.
Celui-ci lui tapota maladroitement le dos.
- Il n’avait jamais voulu nous la présenter.
- Eh bien, ce sera une belle fête, dit doucement Harry qui faisait de son mieux pour lui remonter le moral. Toute votre famille sera réunie.
- Oui, même Charlie va revenir de Roumanie pour l’occasion, dit-elle avec encore plein de larmes dans les yeux. Elle ne sanglotait plus et se redressa en se séchant les yeux.
Harry lui sourit, il espérait de tout cœur que, Mrs Weasley n’aurait jamais à pleurer la perte d’un membre de sa famille, qui était devenue un peu la sienne.
- Harry, je suis désolée. J’ai eu si peur quand tu as été blessé.
- Ne vous inquiétez pas, je vais bien. Et Percy ira bien aussi. L’Ordre l’aidera, j’en suis sûr. Scrimgeour nous à dit qu’il ne ferait rien qui puisse le mettre en danger.
Mr Weasley arriva quelques instants plus tard. Bien que Harry n’eut pas réellement besoin de lui, il avait tenu à être présent lors de la transaction. A peine fut-il arrivé que Mrs Weasley partait pour le village.
- Je suppose que Molly t’a parlé de Percy, déclara Mr Weasley.
Harry acquiesça. Il savait que, même s’il était en désaccord profond avec son fils, Mr Weasley n’hésiterait pas à donner sa vie pour Percy.
- Elle est très malheureuse de ne plus le voir. Et je devais lui dire la vérité sur lui. Maintenant, elle se sent coupable de lui avoir dit qu’il était le bienvenu à Halloween. J’ai eu beau lui dire que c’était mieux qu’il vienne pour que nous puissions le surveiller, elle a peur quand même qu’il ne soit là pour nous espionner.
Harry savait que, pendant les quinze jours qui restaient avant la fête, ils avaient peu de chances de découvrir ce que faisait Percy mais que Mr Weasley ferait tout son possible pour en savoir plus.
- Que comptes-tu dire dans l’interview que prépare Scrimgeour ?
- Je ne sais pas exactement. J’imagine qu’ils vont me poser des questions sur la prophétie et sur la façon dont le Ministère nous à traités, Dumbledore et moi. Je pense que je vais devoir mentir…
Harry s’interrompit, il venait d’apercevoir Lupin et Mondingus transplaner dans le jardin. Son cœur se sera un instant. Avaient-ils l’horcruxe ? Son impatience redoubla. Allait-il enfin mettre la main sur l’horcruxe qui avait indirectement causé la mort de son plus fidèle défenseur ?
Mr Weasley semblait lui aussi assez nerveux.
Mondingus avait le teint morne et lançait des regards de colère à Remus. Celui-ci paraissait soulagé que sa mission de surveillance touche à sa fin.
Harry ne dit pas un mot, se contentant de poser l’argent sur la table. Mondingus le regarda un instant avant de faire de même avec un médaillon et tendit la main vers le sac de pièces.
- Un instant, je veux d’abord être sûr que c’est celui que je cherche.
Mondingus se renfrogna, une lueur d’envie animait ses yeux, mais il lui donna le médaillon. Harry s’en saisit prestement. Il le parcouru rapidement du regard, et le reconnu. C’était bien l’héritage de Salazar Serpentard. Il éprouva un bonheur sans joie, dur et froid. Il avait entre les mains un morceau de l’âme de son pire ennemi. Il ne savait pas très bien comment le détruire mais le plus important était qu’il l’ait en sa possession. Il se tourna vers Mondingus :
- C’est bien lui, vous pouvez prendre votre récompense, dit-il.
Il remarqua qu’il hésitait à prendre l’argent comme s’il n’en voulait plus mais qu’il se savait en infériorité. Il finit par s’en saisir, salua vaguement Mr Weasley et Remus avant de sortir d’un pas précipité.
Harry le regarda transplaner, il avait du mal à croire qu’il tenait dans sa main ce qu’il avait tant cherché. Tout s’était passé trop vite. Il ne réalisait pas tout à fait qu’il était plus proche de tuer Voldemort que personne avant lui, bien que le chemin menant à défaite de son ennemi serait encore long. Harry constata que Mr Weasley et Remus avaient le regard braqué sur lui et l’horcruxe.
Ils restèrent un long moment silencieux à contempler le médaillon.
- Ce médaillon a apporté bien des malheurs à ses anciens propriétaires. Et bien des gens sont morts à cause de lui, commenta Harry pour lui même.
- Que veux-tu dire, interrogea Remus.
- Il appartenait à la mère de Voldemort, qui l’a vendu à Barjow et Beurk pour une somme dérisoire afin de ne pas mourir de faim. Ensuite, une vieille femme l’a racheté. Voldemort l’a empoisonné pour le lui prendre. Et il y a caché un horcruxe. Regulus l’a découvert et a voulu le détruire mais Voldemort l’a assassiné avant qu’il n’ait le temps de le faire. Et Dumbledore avait été affaibli pour une simple copie, déclara-t-il en sortant de sa poche le faux horcruxe.
- Que vas-tu en faire ?
- Détruire le morceau d’âme et mettre le médaillon en sûreté avec la bague.
- La bague ?
- L’horcruxe qu’avait détruit Dumbledore, il me l’a légué, répondit Harry.
- Il n’en reste plus que trois à trouver et à anéantir., remarqua Mr Weasley.
Harry approuva d’un signe de tête.
- Comment fait-on pour les détruire ? Demanda Remus en asseyant avec Mr Weasley et Harry autour de la table de la cuisine.
- Je ne sais pas trop. Quand j’ai planté le crochet du basilic dans le journal intime, j’ai agit pas réflexe, Ici je ne sais pas trop comment faire.
- Je pense qu’il faut d’abord réussir à l’ouvrir, répondit Mr Weasley.
- C’est justement le problème ; on a déjà essayé mais on n’y est jamais parvenu.
- Peut-être qu’à nous trois on y parviendra, déclara Remus. Il se leva en brandissant sa baguette magique, marmonna une longue suite d’incantations tout en tapotant le médaillon. Mais rien ne se produisit. Découragé, Remus se laissa retomber sur sa chaise.
- Je vais devoir vous quitter car je dois retourner au Ministère, déclara Mr Weasley. Harry, n’oublie pas que Scrimgeour t’attend pour ton interview.
- Je vais d’abord rentrer au Square Grimmaurd, ils doivent être impatients de savoir si nous l’avons et puis ils auraient peut-être une idée pour ouvrir le médaillon.
- Moi, je vais me reposer un peu car notre ami Mondingus à essayé par deux fois de me fausser compagnie, je n’ai donc pas pu le lâcher d’une semelle.
Harry, qui n’avait pas fait attention jusque là, trouva que Remus avait l’air particulièrement épuisé. Il eut l’impression qu’il n’avait jamais vu le meilleur ami de ses parents dans un état pareil. Déjà la veille, il lui avait déjà semblé qu’il avait l’air encore plus maigre qu’avant, mais là il était indéniable que Remus avait besoin de repos.
- J’allais oublier, s’exclama Mr Weasley alors que tout trois s’apprêtaient à transplaner. Le réunion de l’Ordre aura lieu vendredi, soit dans deux jours. D’ici là, si vous réussissez à ouvrir l’horcruxe, prévenez nous.
Harry répondit par un signe de tête avant de transplaner jusque devant chez lui où l’attendaient Ron, Hermione, Ginny et Luna. Cette dernière ne semblant pas comprendre l’agitation qui l’entourait.
Après avoir montré le médaillon à tous et avoir expliqué brièvement son contenu à Luna, Ginny suggéra à Harry d’aller voir Mrs Black.
- Je ne vois pas ce que ça peu lui faire, répondit Ron en haussant les épaules.
- Ron, son fils est mort pour avoir ce médaillon. Il serait normal qu’elle sache que nous l’avons récupéré.
- Hermione, ce n’est qu’un tableau.
Elle ne répondit pas mais le regarda avec froideur en pinçant les lèvres.
- C’est vrai que ce n’est qu’un tableau et en plus elle n’est pas très gentille, lança Luna en regardant Hermione.
- Et encore, maintenant c’est un véritable cadeau par rapport à avant, commenta Ron avec flegme.
Harry croisa le regard de Ginny et vit qu’il n’était pas le seul à craindre que cette dispute ne soit la face visible d’un problème plus profond.
Harry se leva et sortit de la cuisine, il avait lui aussi eut l’idée d’aller trouver Mrs Black. Il n’avait fait que quelques pas lorsqu’il fut rejoint par Ginny. Avant qu’elle ne ferme la porte, il entendit qu’Hermione et Luna poussaient de hauts cris.
- Je crois qu’il est préférable de les laisser régler ça entre eux.
- Oui, je pense que c’est mieux, répondit Harry avec un sourire contraint.
Prenant la main de Ginny, il l’entraîna vers le portrait de la mère de Sirius. Celle-ci leur lança un regard assez sévère.
- Je pensais que je ne vous reverrais plus, déclara-t-elle. Votre amie m’a dit que vous aviez été blessé, mais je vois que vous vous en êtes sorti.
Harry eut la nette impression que cette découverte ne ravissait pas Mrs Black, mais il ne s’en formalisa pas. Sa vie avec les Dursley l’avait habitué à ce genre de choses.
- Je voulais vous prévenir que j’ai retrouvé un médaillon appartenant autrefois à votre fils Regulus.
La vieille femme le fixa un moment en silence.
- Il contient un morceau de l’âme de Voldemort, votre fils le lui avait volé dans l’espoir de hâter sa fin. Malheureusement, il a été tué soit parce que Voldemort s’en est aperçu soit pour une autre raison que j’ignore.
Mrs Black ne répondant toujours pas, Harry allait s’éloigner quand elle dit :
- Et qu’en est-il de l’assassin de mon autre fils ?
- J’ai l’intention de la retrouver et de lui faire payer mais, pour le moment, ils nous faut d’abord tuer Lord Voldemort.
Le vieille femme acquiesça d’un mouvement de tête et recula plus profondément dans le tableau.
Des éclats de voix leur parvenant encore à travers la porte, Harry et Ginny préférèrent monter dans la salle d’entraînement.
Après quelques minutes, Harry constata qu’il était un peu rouillé. Tout deux optèrent pour la révision de pas mal de sortilèges de base.
- Tu ne devais pas aller voir Scrimgeour ?
- Si, mais j’espérais réussir à ouvrir le médaillon avant, ce qui semble compromis. Je ne m’attendais pas à ce qu’une dispute éclate entre Luna et Hermione.
- C’était assez prévisible, commenta Ginny. Pendant que tu étais à l’hôpital, leur entente s’est dégradée. Notamment parce que Hermione a expliqué assez sèchement à Luna qu’elle ne pouvait pas aller te voir pour des raisons de sécurité. Ron a essayé de calmer le jeu mais sans grand résultat, que du contraire. L’ambiance entre elles c’est rapidement changée en hostilité non déclarée.
- Autant que j’aille au Ministère maintenant. De toute façon, je ne devrais pas en avoir pour très longtemps.
Ginny sembla déçue qu’il envisage de partir alors que la cuisine était devenue une zone de guerre.
- Je suis désolé de ne pouvoir t’emmener avec moi…
- Tu sais, d’ici deux mois je serais majeur et alors…
- Je sais, répondit Harry avec un sourire compatissant.
Alors qu’ils sortaient de la salle, ils rencontrèrent Ron qui, visiblement les cherchait. Son attitude laissait deviner que la dispute des filles le mettait assez mal à l’aise.
- Tu as trouvé comment ouvrir l’horcruxe demanda-t-il d’un air dégagé.
- Non, on s’entraînait. Mais je dois aller au Ministère pour cette satané interview.
Ron sembla réfléchir un instant avant de proposer :
- Je pourrais venir avec toi ? J’ai envie de prendre l’air.
Harry n’était pas sûr de vouloir que Ron vienne, surtout qu’il venait de refuser d’emmener Ginny. Mais avant qu’il ait pu envisager une réponse, Ginny déclara :
- Oui, c’est une bonne idée. Ca leur donnera l’occasion de se calmer.
Harry finit par se dire que Ginny avait peut-être raison, c’était peut-être mieux que Ron l’accompagne.
Tous trois descendirent dans le couloir, Ron sembla souhaiter aller embrasser Hermione mais Ginny l’en dissuada.
- Laisse-là, je lui dirais que tu es parti avec Harry. En attendant votre retour, on va essayer de trouver la solution pour le médaillon.
- Harry sentait le poids de ce dernier au fond de sa poche. Il hésita un instant, mais le confia néanmoins à Ginny. Là où il allait, il n’en aurait pas besoin et il serait plus en sécurité au Square Grimmaurd que n’importe où ailleurs.
Harry et Ron transplanèrent sans attendre au Ministère.
- Tu crois que ça s’arrangera entre Luna et Hermione ? Demanda Ron en entrant dans l’ascenseur de l’Atrium.
- Je l’espère, elles sont assez intelligentes pour régler le problème. De plus, je ne vois pas ce qu’on peut y faire.
Ron fit la moue.
- Tu crois que c’est ma faute ? Interrogea-t-il brusquement sur la défensive.
- Non, je ne crois pas…Mais je ne sais pas ce qui s’est passé pendant les trois dernières semaines. Ginny m’a dit qu’Hermione avait été agressive avec Luna.

ralalalala j'adore quand ça part en eaux de boudin, génialissime comme toujours

Super la routine koi .

Je vous promet que la suite sera palpitante. Personnellement je prends bcp de plaisir à l'écrire.

ben c'est déjà ça mdr

Quoi dire? Je suis fan de harry potter et bientot de ta fan fic je viens de commencer le premier chapitre et c'est génial!!!
Tu as du talent! Si tu veut mon avi je tu suggère de te créé un roman a toi et d'essayer de le faire publier!
(bien sur ,après avoir fini ta fic car on est tous très avide pour la suite).


Continu

Je ne sais plus comment te félicité alors Bravo

magnifique !!!

WOw je suis chapitre 9 et wow ta vraiment du talent continue
je suis plus capable d'arreter de te lire!


bref BRAVO!!!






wow bravo!!! c'est vraiment super!!!!Continue!!! Sublime!!!Super!!!

WOW!!!!!!

Merci pour vos commentaires

Voici la suite et fin du chapitre 20

Ron semblait essayer de se souvenir s’il avait fait quelque chose qui ait pu contribuer à dégrader la situation entre Hermione et Luna pendant l’absence de son meilleur ami. Il n’avait toujours pas dit un mot quand l’ascenseur s’ouvrit dans un bruit de ferraille à l’étage où se situait le bureau du Ministre. Ron avait l’ai ébahi par le décor du hall dans lequel siégeait comme la veille le sorcier-vigile. Celui-ci se leva pour accueillir Harry, il avait visiblement reçu des ordres en ce sens. Il ne leur demanda même pas qui ils étaient et encore moins ce qu’ils faisaient là, se contentant de leur dire qu’il allait prévenir le Ministre de leur arrivée.
Scrimgeour fit bientôt son entrée, souriant, visiblement ravi.
Il ne sembla même pas contrarié par la présence de Ron, à qui il sera la main, avant de les inviter à le suivre.
- L’interview aura lieu dans mon bureau pour plus de confort, expliqua-t-il en les précédent.
Comme le jour précédent, Doloresse Ombrage et le vieux sorcier étaient assis à leur bureau.
Harry remarqua que l’ancienne Grande Inquisitrice de Poudlard l’observait d’un air gourmand et pénétrant. Il eut à nouveau l’impression qu’elle préparait un mauvais coup.
En entrant dans le bureau du ministre, Harry eut la surprise de voir que ce serait Rita Skeeters qui mènera l’interrogatoire. Ron lui lança un regard surpris.
Harry se dit que ce n’était peut-être pas une mauvaise chose que ce soit elle. Il avait un ascendant dessus depuis qu’Hermione avait découvert qu’elle était un animagi non déclaré. Il espérait qu’elle s’en souviendrait, elle aussi, et qu’elle veillerait à ne pas lui poser des questions trop dérangeantes. Pendant un instant, il regretta qu’Hermione ne fut pas présente pour l’aider sur ce coup-là. Car, même s’il arrivait à modérer Rita, il se doutait bien qu’elle lui épargnerait pas certains sujets dont il se serait bien passé.
Ils s’installèrent une fois encore dans le salon privé du Ministre.
La plume papote de la journaliste était déjà prête à passer à l’action. Scrimgeour s’installa dans un fauteuil un peu à l’écart.
- Qu’est-ce qui vous à décidé à faire une déclaration ? Interrogea Rita après avoir lancé un bref coup d’œil au Ministre.
- Je tenais à ce que le monde sorcier sache que je partageais l’opinion du Ministère.
- C’est assez surprenant, compte tenu du fait qui vous ont calomnié pendant des mois. Et qu’ils ont pas hésité à enfermer votre parrain pendant des années sans même le juger.
- Le Ministère à commis des erreurs par le passé, c’est certain, mais je pense qu’il est maintenant sur la bonne voie.
Harry n’aimait pas ce qu’il était en train de faire : mentir à Scrimgeour était acceptable mais mentir à toute la population sorcière était plus grave. Mais d’un autre côté, grâce à Scrimgeour, ses amis et lui avait pu récupérer un horcruxe.
- Avez-vous dû attendre que Dumbledore ne soit plus là pour vous joindre au Ministère ?
- Dumbledore n’a jamais été contre le Ministère, il voyait simplement les choses différemment. C’était le plus grand sorcier que j’ai jamais rencontré. Sa mort est une grande perte pour tous et surtout en ces moments de troubles.
- Ne trouvez-vous pas ironique que ce soit un ancien mangemort, professeur de surcroît, qui ait reçu l’ordre de l’assassiner ?
Harry ne savait que répondre. Il ne voulais pas donner l’impression d’en savoir trop sur la mort de Dumbledore.
- Dumbledore avait peut-être un défaut, celui de croire en la parcelle d’humanité qui réside en chacun de nous. Et cela lui à coûté la vie.
Rita Skeeters le scruta un moment avant de poursuivre :
- Que pouvez-nous dire de la prophétie ? Fait-elle de vous l’élu ?
- Elle s’est brisée dans le département des mystères pendant que nous luttions contre les mangemorts. Personne ne l’a alors entendue. Que je sois l’élu ou pas ne change pas grand chose à mes yeux. Je suis déterminé à lutter contre Voldemort et ses partisans.
Harry aurait bien voulu couper court à cet entretien.Il sentait Scrimgeour l’observer tandis que Ron paraissait à moitié endormi. Harry ne pouvait s’empêcher de penser à l’horcruxe qui l’attendait Square Grimmaurd.
- Dumbledore et le Ministère avaient peut-être un même but bien que des façons différentes. Mais vous, quelles sont celles que vous préconisez ?
- Disons que je préfère la méthode de Dumbledore, ce qui ne m’empêche pas de soutenir le Ministère.
- Que faites-vous exactement pour soutenir le Ministère ? Demanda la journaliste d’un air charognard.
Harry eut envie de se tourner vers Scrimgeour pour avoir une idée de ce qu’il devait répondre mais n’en fit rien.
- Je ne peux vous répondre, pour des raisons évidentes de sécurité.
Rita sembla déçue mais changea rapidement son angle d’attaque.
- Maintenant que Poudlard à fermé ses portes, que faites-vous de vos journées ?
- Je m’occupe d’un ravissant Ronflac Cornu qui m’a été offert par une amie, répondit Harry avec un sourire narquois, tout en entendant Ron étouffer un éclat de rire.
- Je pense que cela suffit pour aujourd’hui, intervint Scrimgeour en se levant.
Rita Skeeters avait l’air d’un chien à qui on vient de reprendre son os, mais ne pût qu’acquiescer.
En sortant du bureau, Harry et Ron tombèrent sur Percy et Ombrage occupés à se disputer.
Harry n’avait rien dit à personne au sujet de Percy. Cela faisait un certain temps qu’il ne l’avait plus vu et trouva qu’il avait maigri, ainsi que les traits tirés. Mais ce n’était rien comparé à la surprise qui se peignit sur le visage de Percy en les voyant sortir du bureau de Scrimgeour.
- Harry…, Ron, que faites-vous ici ? S’écria-t-il.
- Percy !, commença Ron
- Nous avions rendez-vous avec le Ministre, l’interrompit Harry.
- Ah ! Je ne savais pas, répondit Percy en lançant un regard mauvais à Ombrage.
- Ca s’est décidé à la dernière minute, déclara cette dernière avec dignité.
Harry fut surpris de son intervention, il ne s’attendait pas à ce qu’elle leur vienne en aide.
- Excuse-nous, Percy, mais nous devons partir, déclara Harry en espérant que son désir de s’éloigner d’eux n’était pas trop visible.
Le frère de Ron sembla déçu :
- Nous nous reverrons pour Halloween, répondit Percy alors que Harry s’éloignait déjà, entraînant Ron dans son sillage.
Percy eut envie de les suivre ; mais fut rappelé par Ombrage qui lui dit :
- Mr Weasley, nous n’en avons pas terminé,…

Sur le chemin qui les menait à la sortie, Harry conclu qu’il se devait de dire la vérité à Ron au sujet de Percy , et le plus tôt serait le mieux. Il décida de l’emmener dans un endroit tranquille pour lui parler. Tous devraient connaître la vérité avant la fête mais il estimait préférable d’en parler d’abord seul à seul avec Ron.
Arrivé dans l’Atrium, Harry expliqua rapidement à celui-ci qu’il voudrait lui parler avant de rejoindre les autres. Intrigué, Ron le regarda un instant avant de hausser les épaules.
- Si tu y tiens,…Où veux-tu aller ?
- J’ai une petite idée, mais on risque de nous suivre. J’ai la vague impression qu’Ombrage prépare quelque chose.
- Tu crois que Percy serait chargé de nous suivre ? Demanda Ron d’un air dégoûté.
- Euh…Non, je ne crois pas, répondit Harry d’un air sombre.
Dés qu’il leur fut possible de transplaner, Harry saisit le bras de son meilleur ami et éprouva les sensations du transplanage, maintenant devenues familières.
Lorsque leurs pieds touchèrent le sol, Harry lâcha Ron et tout deux regardèrent autour deux.
- Où sommes-nous ? Demanda Ron.
- Pas loin de chez les Dursley, dans un parc public.
- Que fait-on ici ? Les autres vont s’inquiéter, il fait presque nuit.
Harry hésita. Il n’avait pas de frère ni de sœur et il était assez délicat d’aborder le sujet de Percy avec Ron. Celui-ci ne lui avait pas pardonné son attitude envers leur famille.
Harry emmena son ami jusqu’aux balançoires.
- Pendant les étés que j’ai passé chez les Dursley, je venais souvent ici, déclara Harry une fois qu’il fut assis.
Ron répondit pas un hochement de tête, avant de s’asseoir lui aussi.
- Pourquoi sommes-nous ici ? Tu disais que tu voulais me parler, ça avait l’important, déclara Ron l’air inquiet.
- Oui, je…Percy a des problèmes. Le Ministre le soupçonne d’informer Voldemort…Volontairement ou non, personne ne le sait.
- Tu plaisantes?! Répondit Ron en se levant d’un bond.
- Non, malheureusement. S’il le fait de son plein gré, il risque d’aller à Azkaban ou de se faire tuer. S’il est soumis à l’imperium, Voldemort n’hésitera pas à s’en débarrasser s’il voit qu’on le sait, ou quand il n’en aura plus besoin.
Ron lui lança un regard mi-furieux mi-paniqué.
- Le Ministère fait tout pour lui éviter le pire, ton père en parlera sûrement à la prochaine réunion de l’ordre pour que tous lui viennent en aide.
Après un instant de silence, Ron demanda :
- Et toi, tu en penses quoi ?
- Je pense et j’espère qu’il a subi un mauvais sort.
Ron paru soulagé de cette réponse.
- Je comprend mieux …
Il fut brusquement interrompu par un bruit de branche cassée. Tous deux sortirent leurs baguettes magiques, prêts à toute éventualité. Le bruit provenait d’un bosquet à une vingtaine de mètres d’eux.
- Partons, mon oncle et ma tante doivent nous attendre, dit calmement Harry après deux minutes de silence.
Ron le regarda tout d’abord avec étonnement puis acquiesça.
Tous deux se dirigèrent à grands pas vers la sortie du parc. Il se pouvait que le craquement qu’ils avaient entendu soit dû au vent, mais il était plus probable qu’il ait été produit par quelqu’un qui les espionnait.
Il pouvait s’agir d’un partisan de Voldemort ou encore d’un agent du Ministère.
- tu crois qu’on est suivis ? Questionna Ron avec une légère inquiétude.
- Je ne sais pas, mais c’est fort possible.
- Tu comptes vraiment aller chez ton oncle et ta tante ?
- Non, mais je connais quelqu’un qui peut nous aider, répondit Harry en accélérant encore l’allure en pénétrant dans l’allée où lui et Dudley s’étaient fait attaquer par les détraqueurs quelque deux ans plus tôt.
- Tu n’aurais pas ta cape d’invisibilité ? Demanda Ron à bout de souffle.
- Je ne pensais pas en avoir besoin pour aller au Ministère, répliqua Harry avec une pointe d’agacement.
Arrivé au bout de l’allée, il plongea derrière une haute haie, et y attira Ron.
Accroupis, ils regardèrent si quelqu’un les suivait mais l’obscurité était telle dans la ruelle qu’il était difficile de distinguer quoi que ce soit.
- Désillusionne toi, conseilla Harry tout en pratiquant le sortilège sur lui-même. A la suite de quoi, il reporta son attention sur l’allée obscure.
Ne voyant toujours rien d’inquiétant, il allait se relever quand il entendit un faible raclement. Il sentit Ron retenir sa respiration, signe que lui aussi avait entendu.
Harry lui fit comprendre de longer la haie en faisant un minimum de bruit et lui emboîta rapidement le pas.
Harry avait envisagé de transplaner mais il craignait que si c’était un membre du Ministère qu’ils avaient sur les talons, celui-ci pourrait facilement les retrouver. La seule solution qu’il envisagea, hormis l’attaque, était de se réfugier chez Mrs Figgs, qui peut-être aurait une meilleure idée. Il guida Ron vers la maison de la veille femme aux chats. Tous deux essayaient d’être le plus discrets possible, tout en se tournant fréquemment pour voir s’ils apercevaient leur poursuivant.
En pénétrant dans l’allée de Mrs Figgs, Harry brandit sa baguette. Il aurait été plus poli de frapper, mais le sorcier qui les suivait n’allait pas tarder à franchir le coin de Wisteria Walk et, plus il lui faudrait de temps pour découvrir dans quelle maison ils se cachaient, plus ils auraient de chances de le semer. Il lança un sort qui ouvrit immédiatement la porte puis ils s’engouffrèrent dans le salon faiblement éclairé de Mrs Figgs, qui bondit de son fauteuil en les voyant entrer. Avant qu’elle n’ait pu dire quoi que ce soit, Ron refermait la porte derrière eux.
- Que faites-vous ici ? S’écria-t-elle avec inquiétude.
- Excusez-nous de pénétrer ainsi chez vous, mais nous sommes suivis et je ne voyais pas d’autre endroit, expliqua Harry, en essayant de reprendre son souffle à l’instar de Ron.
- Pourquoi ne pas avoir transplané ?
- Si c’est un membre du Ministère, nous avions peur qu’il ne puisse nous repérer.
- Mon pauvre garçon, le Ministère ne sais pas suivre les tranplanages, à moins d’en connaître exactement les lieux et l’heure, sinon ça ferait très longtemps que les partisans de Vous-Savez-Qui seraient en prison. Comment croyez-vous que les membres de l’Ordre ont réussi à ne pas se faire repérer tout ce temps ?
- Alors, comment expliquez-vous qu’il nous ait trouvé ? Répliqua Ron avec une juste colère.
- Le Ministère n’a qu’un moyen de retrouver le trace d’un transplanage, c’est de savoir exactement à quel moment vous transplanez et ensuite d’observer les différents lieux d’arrivée possible. Tout ce qu’ils voient ce sont les lieux. S’ils ont de la chance, ils peuvent au mieux deviner qui est arrivé et où.
Harry se sentit stupide de ne pas y avoir pensé plus tôt.
Il leur suffisait de transplaner dans un lieu fréquenté par des sorciers et ils auraient semé leurs poursuivants pour un bout de temps.
- Maintenant que vous êtes-là, vous prendrez bien une tasse de thé, déclara Mrs Figgs en leur indiquant de prendre place dans son salon, alors qu’elle s’éloignait déjà dans sa cuisine.
Ron lança un regard lourd de sens à Harry, auquel celui-ci répondit par haussement d’épaules. Après avoir violé sa porte, ils ne pouvaient partir sans boire une tasse de thé, surtout que leur ennemi devait toujours être dans les parages.
Pendant qu’ils buvaient au son de la voix de Mrs Figgs, qui leur faisait un exposé sur sa vie moldue, Harry regardait fréquemment par la fenêtre, espérant apercevoir un indice sur l’identité de leur poursuivant. Mais rien n’indiquait la présence d’un autre sorcier. Il commençait à douter d’avoir été suivi. Après tout, il n’avait vu personne dans le parc ni dans l’allée. Il était possible que les bruits aient été produit par le vent ou encore par un animal ou même par un promeneur qui n’avait rien de magique.
De toute façon, ils ne pouvaient attendre beaucoup plus longtemps avant de rentrer chez eux. Les filles devaient s’inquiéter.
Alors qu’il se détournait de la fenêtre pour prendre congé de Mrs Figgs, Harry aperçu son cousin et une partie de sa bande qui remontait la rue avec insouciance. Harry se doutait qu’ils avaient sans doute tabassé quelqu’un pour voir l’air d’aussi bonne humeur. Cela faisait déjà un certain temps que la bande à Dudley ne s’en prenait plus à lui. La peur d’être transformé en cochon ou en crapaud semblait avoir dissuadé son cousin de lui taper dessus, mais n’avait pas empêché Dudley de le tourmenter autant qu’il le pouvait.
- Ta tante m’a demandé de tes nouvelles, déclara Mrs Figgs qui l’avait rejoint devant la fenêtre. Elle semble regretter ce qui s’est passé entre vous.
- Il est un peu tard pour avoir des regrets, répondit Harry avec amertume.
- Je pense qu’il n’est jamais trop tard pour reconnaître ses erreurs, dit-elle non sans une certaine sagesse.

Peu de temps après, Harry et Ron quittèrent Mrs Figgs en transplanant de son petit jardin envahi de mauvaises herbes. Ils firent un très bref détour par le chemin de traverse, afin de brouiller les pistes et rentrèrent au Square Grimmaurd où ils furent accueillis par les filles au comble de l’excitation.
- HARRY, ON A TROUVE, s’écria Ginny en lui sautant au cou avant même qu’il ne soit dans la cuisine.

ça fait du bien de revenir en terre natale

génial comme toujours

coooool !!! super ton nouveau chapitre !!!
on sait plus comment te féliciter, alors bravo

Super comme d'hab' , et faire revenir Mme Figgs est une exelente idée , sa cache quelque chose ou pas

super comme d'habitude
continue comme ca

Merci pour vos commentaires mais malheureusement il vous faudra attendre vendedi au plus tôt vu que je suis chez ma mman en ce moment et que je n'ai pas bcp de temps pour l'écriture ni pour la retranscription.

Qui sait pour Mrs Figgs??? Elle reviendra peut-être plus tard, mais qui peut en être sûr. Par contre, j'ai enfin trouvé qui était le chien lol, il m'aura fallu pas mal de temps. J'ai eu comme une révélation. Je vous promet des surprises.

je croyer que c'était Abhelfort le frére de DQumbledore, mais je confon peut étre avec une autre fic'

oui moi aussi je croyais que c'etait le frére de dumbledore