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| [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres | |
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Auteur | Message |
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erwann Elève de Première Année
Nombre de messages : 55 Date d'inscription : 05/03/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 19 Mar - 18:45 | |
| super mais que va t'il se passer? | |
| | | fahitena Elève de Première Année
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/03/2006
| Sujet: merciiiiiiii et encore............... Dim 19 Mar - 19:36 | |
| merveilleux c'est palpitant j'ai devoré ta fan fiction et j'espere que nous arons la suite rapidement ton style et tes idees sont superbes j'aimerai te poser une question as tu dejà terminé ton histoire (en gros je veux dire) as tu toute la trame de ton hp a toi car vraiment je n'ai peur que d'une seule chose: c'est que tu nous abandonne alors continue et encore bravo c'est magnifique tu nous fait rever | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Lun 20 Mar - 14:15 | |
| Le chapitre 20 est en cours d'écriture. J'ai fais un plan des chapitres qui me restent à écrire, il devraient y en avoir encore au moins 15. Je connais en gros ce qui va se passer dans ceux-ci. Et je connais également la fin lol. Tous ce que je peux en dire c'est que certains n'y survivront pas.
Mais si vous avez envie de poser des questions n'hésitez pas, si je trouve que les réponses donnent trop d'indices pour l'intrigue je n'y répondrait pas en tout ca pas directement. Mais je me demande ce que mon intrigue sucite comme questions lol pour moi c'est dure à voir vu que je connais les principaux points.
J'arrête les conjecture et voici la fin du chapitre 16:
- Je préfère que cela reste entre nous, dit-il en sortant une lettre de sa poche. Harry ne savait que faire, le barman était-il une menace ? - Je pense que nous avons eu un ami commun, continua ce dernier. Lisez ceci à l’abri des regards. Et n’en parlez à personne, pas même aux membres de L’Ordre du Phœnix. - Comment ? - On m’a dit que vous étiez des gens de confiance, bien que je doute de vos capacités. Je sais où se place votre loyauté et j’espère que j’aurai pas à le regretter. A ces mots, il tourna les talons et disparu dans l’arrière boutique. Harry consulta du regard Hermione et Ron pour connaître leur opinion sur ce drôle de bonhomme. Ron avait l’air tout aussi interloqué que lui, tandis qu’Hermione réfléchissait intensément. - Nous ferions bien de partir, déclara Ron en jetant un coup d’œil à la montre que lui avait offert ses parents. Tout trois se levèrent et sortirent. Une fois dans la rue, Harry ouvrit la lettre.
Harry Potter,
Nous ne nous connaissons pas, mais je sais que mon frère vous tenait en grande estime. Il m’a conté vos exploits, bien que je pense qu’il vous ait surestimé. Il croyait en vous, il était persuadé que vous arriveriez à détruire Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Même si je ne partage pas son enthousiasme, je me dois de respecter ses dernières volontés. Il m’a demandé de vous prêter assistance si vous en faisiez la demande. Je suis au courant de la mission qui est la vôtre. Et je m’efforcerai de vous aider, dans la mesure de mes moyens. Je vous ai entendu dire au Ministre que mon frère ne disparaîtrait que le jour où plus personne ne croirait en lui, c’est ce qui m’a décidé à vous écrire cette lettre en espérant avoir un jour l’occasion de vous la remettre. C’est le plus beau cadeau que vous puissiez lui faire. Mais je ne veux pas que d’autres soient au courant. Je n’ai jamais aimé le Ministère et je me méfie des membres de l’Ordre même si leurs intentions sont louables.
Abelforth Dumbledore
Ron et Hermione qui avaient lu au dessus de l’épaule de Harry semblaient aussi surpris que lui. - Harry, tu crois que c’est lui le chien qui nous à sauvé la vie ? Demanda Ron avec excitation. Harry ne répondit pas tout de suite, il réfléchissait à cette lettre. Visiblement le frère de Dumbledore n’était pas très courageux et ne lui avait donné cette lettre que parce que Dumbledore le lui avait demandé. Il se souvint que Maugrey l’avait qualifié de drôle de type. Il aimait visiblement beaucoup son frère, ce qui inévitablement les rapprochait. - Oui c’est sans doute lui, finit-il par répondre. Je me demande pourquoi il ne s’est pas fait connaître plus tôt. - Et comment a-t-il fait pour aller chercher des secours, dans le cimetière, sans se faire connaître auprès du Ministère ? Interrogea Hermione. Lorsqu’ils arrivèrent en vue du portail, ils s’aperçurent que Mr Weasley les y attendait. Harry rangea rapidement la lettre dans la poche de sa robe. Dés qu’ils l’eurent rejoint, tous les quatre s’engagèrent sur le chemin menant à l’école. - Je vous ai demandé d’être tous présents car nous avons décidé que vous aviez l’âge et la maturité pour faire maintenant partie de l’Ordre. - Quoi ? S’exclamèrent Ron et Harry d’une même voix. - C’est vrai ? Renchérit Hermione. Mr Weasley sourit devant leur effarement. - Oui, vu ce que vous allez devoir accomplir, je pense qu’il est normal que vous soyez membres à part entière. Les informations que nous échangeons pourront vous être utiles. Bien évidemment, à part Molly et moi, personne ne sait pour les horcruxes. J’ai suivi à la lettre les instructions de Dumbledore. - Tous les membres sont d’accords ? Demanda Harry incrédule. - Non ça se serait trop demander. Ceux qui vous connaissent ont tout de suite été d’accord, même Molly, répondit Mr Weasley avec un sourire ironique. Beaucoup vous trouvent trop jeunes pour vous joindre à nous, d’autres pensent que Dumbledore t’a accordé trop d’importance, continua-t-il avec gravité. Mais ils sont pour la plupart impatients de te connaître. Harry se sentait nerveux et curieux à la fois. - Avant de nous rendre auprès des autres, nous irons voir les Malefoy, ainsi nous serons plus tranquilles. - Que devrons-nous faire pour être acceptés ? Demanda Hermione avec une certaine anxiété - Rien de particulier, répondit Mr Weasley. Vous devrez simplement faire le serment de ne jamais divulguer certaines choses comme le nom des membres, le lieu de nos réunions,… Mais je vous expliquerai le déroulement de la réunion tout à l’heure. Vous devrez avoir un parrain. Après de multiples palabres, nous sommes enfin tombés d’accord pour que Remus soit ton parrain, Ron. Harry, ce sera Alastor Maugrey. Et toi Hermione, ce sera Minerva McGonagall qui sera ta marraine. - Et en quoi consiste le parrainage ? Demanda Harry, avide d’en savoir plus. - Ton parrain est là pour vous aider à respecter nos règles et pour éviter que vous ne vous écartiez du droit chemin. Il est également là pour vous porter assistance en cas de problème et en cas de besoin, il prend soin de votre famille après votre mort. Seuls les anciens peuvent devenir parrain, cela évite les incidents. - Qui est ton parrain ? Demanda Ron avec enthousiasme. - C’était Dumbledore, répondit avec tristesse Mr Weasley. Et les parrains de tes parents, Harry, étaient Dumbledore pour ton père et Minerva pour ta mère. Pour Sirius c’était Alastor. Ils étaient arrivés dans le hall d’entrée et empruntèrent le grand escalier pour se rendre dans les toilettes du deuxième étage. En entrant dans la chambre, ils furent accueillis par Drago. - Nous voulons sortir, s’écria-t-il en les voyant entrer. - Il ne s’est pas encore momifié, chuchota d’un air déçu Ron à l’oreille de Harry. - Drago, calme-toi, répliqua doucement sa mère. - Quand nous avons demandé assistance, nous ignorions qu’on nous mettrait en prison et qu’on en jetterait la clé. Mr Weasley réfléchit quelques instants avant de répondre. - Oui, je pense que nous l’envisagerons la prochaine fois. Aujourd’hui, nous n’en avons pas le temps. Après avoir constaté que Drago et sa mère se portaient bien, ils prirent congé d’eux et remontèrent à la surface. Harry pensait qu’il serait dangereux de les laisser sortir, même si d’un autre côté lui aussi avait été enfermé plus d’une fois. Il comprenait le besoin de Drago. Cela faisait maintenant plus d’un mois qu’ils étaient cloîtrés dans les entrailles du château. Harry se doutait que Mr Weasley s’arrangerait pour que la semaine suivante ils puissent sortir un minimum. Le père de Ron et Ginny les emmena vers l’ancien bureau du professeur McGonagall, où il les invita à s’installer. Il fit apparaître une tasse pour chacun ainsi qu’une théière. - Nous commencerons la réunion par votre prestation de serment. Vous entrerez les yeux bandés. Ce n’est pas qu’on ne vous fasse pas confiance, mais c’est la tradition, expliqua Mr Weasley. Il y aura une courte cérémonie, vous jurerez allégeance à l’Ordre et à tout ses membres et vous vous engagerez à ne jamais divulguer le nom d’un membre. A ce moment, on vous enlèvera votre bandeau. Votre parrain ou marraine restera à vos côtés tout au long de la cérémonie. Vous promettrez ensuite de combattre les forces du mal, de protéger les plus faibles et d’agir de façon juste avec vos ennemis, de prêter assistance à tout membre qui vous en ferait la demande. A partir de cet instant, vous serez un membre à part entière de l’Ordre. Harry comprit que l’Ordre du Phœnix était plus que ce qu’il ne s’était imaginé. Il avait cru que leur seul point commun était la lutte contre Voldemort. Mais se rendait compte que les membres de l’Ordre se devaient un respect et une confiance telle que ce que lui ressentait vis-à-vis de Ron et Hermione depuis qu’ensemble ils avaient bravé un troll adulte alors qu’ils n’avaient que onze ans. - Je tiens néanmoins à vous dire que votre serment n’est pas à prendre à la légère, précisa Mr Weasley. Tout trois acquiescèrent d’un hochement de tête. - Vous êtes prêts ? Demanda enfin Mr Weasley. Aucun ne répondit, ils se contentèrent de se lever. - Nous irons dans la classe de métamorphose. Arrivés devant la classe, ils virent que Remus, Maugrey et le professeur McGonagall les attendaient. - A tout de suite, dit Mr Weasley avant d’entrer dans la classe, où déjà pas mal de monde était rassemblé. Harry avait l’impression que Maugrey le jaugeait de son œil magique. - Ne t’inquiète pas, Potter ce n’est pas beaucoup plus difficile que d’entrer au Département des Mystères, lui dit-il en faisant un grand sourire, ce qui avait la faculté de lui donner un aspect encore plus inquiétant qu’à l’accoutumée. Harry jeta un coup d’œil à Ron qui était un peu plus pâle que d’habitude. - Je pense qu’il va être temps d’entrer, déclara Minerva McGonagall en passant un bandeau rouge autour de la tête d’Hermione. Alastor Maugrey en fit de même pour Harry. Il entendit qu’on ouvrait la porte. Il crut comprendre que Hermione et Ron entraient après lui, ce qui le surprenait. Il était le cadet des trois. De plus, il aurait trouvé naturel qu’on fasse passer Hermione devant. Maugrey le guida jusqu’à ce qu’il pensa être le milieu de la pièce. - Mes amis, voilà les trois jeunes gens qui souhaitent se joindre à nous, déclara une voix que Harry reconnu comme étant celle de Mr Weasley. Ils se nomment respectivement Harry Potter, Ronald Weasley et Hermione Granger. - Qu’ont-ils fait pour mériter de nous rejoindre et qui nous prouve qu’ils seront loyaux à l’Ordre ? Demanda parmi l’assistance une voix que Harry ne connaissait pas. - Qui peut répondre de Harry Potter ? Continua la même voix que Harry n’appréciait que très moyennement. - Moi, dit Maugrey. Il a affronté le Seigneur des Ténèbres à trois reprises. - Moi, continua Mr Weasley. Il a sauvé la vie de mon fils, ma fille et la mienne. - Très bien, reprit la voix. Et qu’en est-il de Ronald Weasley ? - Moi, dit Remus. Il a combattu trois fois à nos côtés. - Moi, dit Hagrid. Il a lutté contre l’adversité qui nous assiégeait. - Très bien, continua la voix inquisitrice. Et pour ce qui est d’Hermione Granger ? - Moi, reprit la directrice. Elle a prouvé son intelligence maintes fois et ce, en bien des domaines. - Moi, poursuivit Remus Lupin. Elle a montré de la compassion envers les plus faibles et à su trouver la voix de la sagesse. - Nous sommes convaincus, déclara d’une seule voix l’assemblée. - Harry, Ronald, Hermione promettez-vous de ne jamais divulguer l’identité des membres de l’Ordre ? Demanda Mr Weasley avec gravité. - Oui, répondirent-ils d’une même voix. A ces mots, Harry sentit qu’on lui retirait le bandeau. Il découvrit qu’ils étaient debout face à Mr Weasley qui, lui, était assis derrière le bureau professoral. Il constata que les membres étaient assis tout autour d’eux. Harry reconnu Bill, Tonks, Kingsley. Il fut particulièrement étonné de découvrir assis parmi l’assemblée Fred et George Weasley. - Vous engagez-vous à apporter assistance aux membres de l’Ordre qui en feraient la demande ? A lutter contre les forces du mal, quelles que soient leur forme, a protéger les plus faibles et à agir avec justice vis-à-vis de vos ennemis ? Demanda Mr Weasley d’une voix solennelle. Harry , Ron et Hermione répondirent par l’affirmative. - Cher amis, levons-nous pour accueillir nos trois nouveaux membres, déclara Mr Weasley. Toute l’assemblée se leva d’un même mouvement. Le père de Ron leur indiqua six places libres devant lesquelles ils allèrent se placer. Mr Weasley s’assit et fut imité par tous. Dés que tout le monde fut réinstallé l’atmosphère se détendit considérablement. - A l’ordre du jour nous avons : un rapport sur les agissement de Senecio Nutans pour le compte des mangemorts. Un complément d’informations sur la retraite de Vous-savez-qui. Un rapport sur la position des êtres de l’eau. Et enfin des informations qui prouveraient que les géants se sont mis en route. Déclara un sorcier qui avait déjà été présenté à Harry chez les Dursley. Il faisait partie de sa garde rapprochée et se nommait Elphias Doge. Tonks leur expliqua pendant une vingtaine de minutes que le dénommé Senecio Nutans, qui était visiblement employé au Ministère au Département de Régulation des Créatures Magiques, avait entretenu par le passé des relations amicales avec Macnair et que, depuis peu, ceux-ci ce voyaient assez régulièrement. Il était peu probable qu’il soit sous l’imperium, mais plus vraisemblable qu’il agisse de son propre chef. Tonks n’était pas encore en mesure d’expliquer en quoi Senecio Nutans pouvait être utile à Macnair et, plus généralement, à Voldemort. Ensuite, Kingsley Shakelbolt expliqua qu’il était pour ainsi dire certain que Voldemort et ses partisans avaient élu domicile dans une ancienne forteresse irlandaise sur Rathlin Island. La forteresse datait de la même époque que Poudlard et avait été détruite puis reconstruite au 16ème siècle, ce qui rendait difficile la rédaction d’un plan. Elle était naturellement très protégée, entourée de marais infranchissables à pied pour un être humain. Elle semblait pourvue de sortilèges contre le transplanage. Kingsley demanda à Tonks si elle pouvait aller voir de plus près. Avec ses techniques de camouflage, il y aurait plus de chances qu’elle revienne avec des informations valables. Une petite sorcière à l’air sympathique leur fit un exposé des plus bref sur les êtres de l’eau, qui se voulaient neutres dans les conflits entre sorciers mais soutenaient néanmoins les membres de l’Ordre dans leur cause. Hagrid leur expliqua ensuite que, d’après ses sources, un contingent non négligeable de géants s’étaient mis en route afin de rejoindre Voldemort. Et que malgré qu’il se déplaçaient lentement, ils semaient morts et désolations sur leur chemin. A la fin de la réunion, Mr Weasley dit qu’il les préviendrait comme d’habitude du lieu et de la date du prochain rendez-vous. | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Lun 20 Mar - 14:16 | |
| Dés que la séance fut levée, tous se réunirent en petits groupes. Harry, Ron et Hermione reçurent bon nombre de félicitations, venant autant des gens qu’ils connaissaient que des gens qui leur étaient inconnus. - Comment saura-t-on le lieu et l’heure du rendez-vous ? Demanda Hermione. - C’est simple, nous utilisons les patronus, répondit Remus. C’est un moyen sûr et rapide de faire parvenir un message. - Comment ça marche ? Demanda Ron. - En plus de faire apparaître le patronus, tu te concentres pour lui indiquer le destinataire et le message. Les conversations allaient bon train jusqu’à ce que Maugrey leur rappelle que la nuit n’allait pas tarder à tomber et qu’ils devaient avoir franchit le portail du château avant. Ils se joignirent aux retardataires et descendirent jusqu’au hall d’entrée où ils saluèrent Hagrid et le professeur McGonagall. Ils virent que le soleil de fin d’été était sur le point de se coucher. Tous se hâtèrent de partir. Maugrey leur expliqua tout en marchant que les vampires se montraient de plus en plus agressifs et qu’ils avaient déjà attaqué des moldus dans des villages voisins. Ils arrivèrent à la grille peu avant que le soleil ne disparaisse derrière les montagnes. - Nous passerons vous voir prochainement, leur dit Lupin. Soyez prudent. Harry, Ron et Hermione saluèrent les derniers membres de l’Ordre encore présents et transplanèrent. Arrivés au Square Grimmaud, Harry repensa à la forteresse dont avait parlé Kingsley. Il savait qu’un jour il devrait y pénétrer pour détruire Naguini, l’horcruxe le plus difficile à atteindre et sûrement le plus dangereux. Mais avant cela, il lui faudrait retrouver et détruire les trois autres. Harry sentit l’inquiétude le gagner. Demain, il lui faudrait emmener ses deux meilleurs amis face à un danger qu’ils n’imaginaient même pas. Aller à la recherche d’un horcruxe avec Dumbledore était une chose, mais y aller seul en entraînant ses amis en était une autre. Qui lui dirait que faire et surtout comment les protéger ? En entrant, il se rappela qu’une autre tâche l’attendait : essayer de parler à Ginny. | |
| | | fahitena Elève de Première Année
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/03/2006
| Sujet: whouaouuuuuuuuuu Lun 20 Mar - 14:25 | |
| merci pour ta rapidite d'ecriture j'ai hate de lire lâ suite vite vite mais surtout continue comme ça ne raccourcit rien on attendra le temps qu'il faut meme si c'est un ^peu dur!!!! alors c 'est promis tu vas pas ous abandonner en chemin???? MEME SI LE VRAI SORT AVANT QUE TU ES FINI????? MERCI BIZES | |
| | | Albusforever Elève de Dernière Année
Nombre de messages : 2820 Age : 34 Localisation : Paumée quelque part entre la Grande Ourse et Jupiter, dans le monde des rêves... Date d'inscription : 15/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Mar 21 Mar - 0:18 | |
| c'est super,comme d'hab t'as nettement plus d'imagination que moi pour les réunions, j'ai un peu séché sur ce coup là... ça te dérange si je remprend certaines de tes idées à ma sauce (rhoooo c'est mal de copier....) j'aime bien le coup du parrain, mais j'aurais vu Lupin pour harry plutôt... ils s'entendent bien. Bonne continuation, c'est super | |
| | | Shinara Elève de Troisième Année
Nombre de messages : 487 Localisation : lyon Date d'inscription : 24/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Mer 22 Mar - 0:45 | |
| oulalalalalala t'arrêtes plus, ou je vais pas tenir le copu moi
si je meurs c'est de la faute de Salicorne, souvenez vous en !!! | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Mer 22 Mar - 20:34 | |
| Voilà nous en arrivons donc au chapitre 17 qui est un de mes préférés avec le 18. Bon amusement et surtout bonne lecture à tous.
Chapitre 17: Descente aux enfers
Ginny les attendait avec Luna dans le salon. Harry constata qu’elle avait le petit Ronflac sur les genoux. Pendant que Ron et Hermione leur racontaient leur après-midi avec plus ou moins de détails, Harry imagina ce qu’il pourrait dire pour arranger les choses. Mais ce qui l’attendait le lendemain avait tendance à le distraire. Il ne remarqua même pas que Ron, Hermione et Luna quittaient la pièce ni que Dobby allumait un feu dans la cheminée. Il constata soudain que Ginny était debout devant lui et le dévisageait. - Tu voulais me parler, tout à l’heure ? - Euh…Oui, bégaya-t-il en se redressant. Je… Je pense que nous devrions parler, tu ne crois pas ? - Parler du fait que depuis un mois, tu ne sembles plus t’intéresser à moi. Tu préfères sans doute que nous nous quittions, dit-elle avec colère. - Mais non pas du tout, s’écria-t-il en se levant d’un bond. Je croyais t’avoir blessée en utilisant la légimencie contre toi. En voyant ta réaction, j’ai préféré m’éloigner de peur d’aggraver la situation. - Cela n’est qu’un détail par rapport au reste. Depuis que nous sommes revenus de Goddric Hollow, tu es distant. Au début, j’ai cru que ça s’arrangerait avec le temps mais ça n’a fait qu’empirer. Harry réfléchit à ce qui s’était passé depuis leur retour de chez ses parents. Il se rendit compte que sa rancune contre Rogue n’avait fait que grandir. Et que rien que penser à lui l’envahissait de haine. Il dû admettre également que l’approche inéluctable du premier horcruxe qu’il devrait trouver, seul, le rendait passablement nerveux. - Je me rends compte que tu as sans doute raison et que le fait que j’invite Luna n’a rien arrangé. Mais je ne pouvais pas la laisser seule. La dernière chose que je souhaite, c’est te quitter. Ginny eut l’air particulièrement surprise. Elle ne devait pas s’attendre à ce genre de réponse. Harry se leva et lui tendit la main en espérant qu’elle la saisisse. Elle s’avança doucement, le regarda et se jeta dans ses bras. Harry eut l’impression que soudain la pression écrasante qui lui enserrait le cœur se relâchait et qu’il y avait plus d’espoir dans le monde. Ils restèrent un long moment ainsi enlacés, puis demeurèrent dans le salon toute la soirée parlant comme rarement ils en avaient eu l’occasion. Harry lui expliqua ce qu’ils comptaient faire le lendemain. Ginny ne demanda pas à se joindre à eux car elle savait que c’était peine perdue. Harry eut l’impression qu’elle comprenait ses craintes et qu’elle savait qu’ils allaient affronter des dangers comme ils n’en avaient jamais rencontré. Ils se quittèrent avec regret tard dans la nuit. Harry dormit très peu. Il avait passé la nuit à réfléchir à ce que lui avait apprit Dumbledore sur son pire ennemi. L’horcruxe devait être protégé pour que seul Voldemort puisse le récupérer mais que tout autre rencontre des difficultés. Et que, même si le piège semble grossier, tout serait fait pour qu’ils n’en sortent pas vivants. Il fut réveillé par Ron et Hermione. Il devait être très tôt car le ciel avait encore la teinte grise qu’il prend avant la renaissance du soleil. Tous deux avaient les traits légèrement tirés de ceux qui n’ont pas beaucoup dormi. Harry remarqua que l’un et l’autre affichaient un petit sourire entendu. Ils décidèrent de ne rien dire à Luna, du moins pour le moment, sur ce qu’ils comptaient faire. Harry leur dit qu’il l’avait expliqué à Ginny, puis s’habilla rapidement pendant que ses deux amis en faisant autant. Ses appréhensions pour ses amis étaient toujours aussi vivaces mais elles étaient partagées avec l’envie farouche d’en découdre. Il nourrit Shifoo, lui fit une dernière caresse et sortit. Dans le couloir, il entendit que Ginny descendait l’escalier de l’étage et décida de l’attendre. Harry était heureux de la voir avant qu’ils ne partent. Ils allèrent rejoindre Ron et Hermione en faisant le moins de bruit possible pour ne pas réveiller Luna. Tous restèrent assez silencieux pendant le petit-déjeuner, aucun d’eux n’avait d’appétit. Harry trouvait que l’atmosphère était de plus en plus lourde, il se tourna vers ses deux meilleurs amis : - Vous n’êtes pas obligés de faire ça, leur dit-il d’un ton calme. - Nous avons dit que nous viendrions avec toi et nous ne changerons pas d’avis. D’ailleurs, tu n’as pas le choix, nous t’accompagnerons, répliqua Ron avec plein de défi. Harry ressentait un profonde gratitude envers eux et à la fois de la crainte de les perdre dans cette quête qui n’était pas la leur. - Allons-y ! Harry se leva et s’approchait de Ginny pour l’embrasser quand Hermione lui suggéra : - Harry, tu devrais prendre la cape bouclier ainsi que les leurres explosifs. S’il y a encore des inferis, ça pourrait être utile. Et peut-être même prendre la médaille de métamorphose. - Et vous ? Vous n’avez pas de cape. - On peut toujours prendre la cape de ton père, intervint Ron. - Plus nous aurons d’atouts et plus nous aurons de chances de réussir, continua Hermione. Harry se laissa fléchir par cet argument et alla chercher tout ce dont ils pourraient avoir besoin. Il retrouva ses amis dans le hall d’entrée. Il remarqua que Ginny faisait son possible pour ne pas montrer son inquiétude. Ils sortirent dans la fraîcheur du début d’automne. Une fois qu’ils se furent éloignés quelque peu de la maison, ils transplanèrent vers leur destin.
Ils arrivèrent devant une bâtisse de grande taille, entourée d’un grand mur. Ils franchirent le portail qui avait dû être muni de grilles. - Tu as une idée de où peut être l’horcruxe ?Demanda Hermione. - Non, je ne suis même pas sûr qu’il y en ai un ici. Voldemort aurait très bien pu acheter l’orphelinat mais ne jamais l’utiliser ou en faire autre chose. Harry s’approcha de la porte d’entrée, elle était fermée à clé. - Alohomora, dit-il. Malgré le sort, la porte ne s’ouvrit pas. - Comment fait-on pour entrer? Interrogea Ron. - Sur les grilles de Poudlard aussi, ce sort ne fonctionne pas, fit remarquer Harry. Mais je ne sais pas comment faire pour l’ouvrir. Hermione s’approcha de la porte et marmonna quelques incantations mais la porte ne céda pas. - Harry, essaye en fourchelang, s’écria Ron. Harry fit face à la porte. - Ouvre toi, dit-il dans un sifflement. Mais, là encore, la porte resta close. - Je ne vois qu’une seule solution ,déclara Hermione. Il faut la détruire. - J’aurais préféré éviter de faire autant de bruit, répondit Harry. Dans la caverne, Dumbledore a donné du sang au passage pour que celui-ci s’ouvre. - Tu qu’il en serait de même pour cette porte, s’enquérit Ron. - Je ne sais, mais on peut toujours essayer, dit Harry en faisant apparaître un couteau. Il prit le couteau et fit une entaille sur son bras. Il appliqua celui-ci sur la porte mais il ne se passa rien. - Soit il faut lui donner un mot de passe soit la détruire. Et encore, si c’est un mot de passe, les possibilités sont infinies, expliqua Hermione. - Détruisons là, vu qu’on a pas le choix, répondit Harry en brandissant sa baguette. Il fit voler la porte en éclats. Tous trois entrèrent. A peine avaient-ils franchi le seuil que la porte reprenait sa place, intacte. - Il nous faudra la détruire à nouveau pour sortir, constata Ron que cette perspective ne semblait pas enchanter. - Par où allons-nous ? Demanda Hermione ne regardant le long couloir qui traversait le grand hall d’entrée. Un escalier en deux volées montant au étages supérieurs s’étalait devant eux. - Je propose que nous inspections étage par étage, et autant commencer par celui-ci. Hermione et Ron suivirent Harry dans le couloir de droite. Toutes les portes furent ouvertes l’une après l’autre, mais aucune ne renfermait quoi que ce soit qui ait l’air d’un horcruxe de près ou de loin. Ils découvrirent que l’orphelinat était très vaste et mirent longtemps à fouiller le rez-de-chaussée ainsi que le premier étage. - Tu crois vraiment qu’il y a quelque chose à voir ? Demanda Ron. S’il y avait eu un horcruxe ici, ne penses-tu pas que nous aurions déjà été attaqués ou qu’on essayerait de nous empêcher d’aller plus loin ? - Moi, je trouve cela assez astucieux, objecta Hermione. Le fait qu’on doive chercher nous fait perdre du temps et de l’énergie surtout vu la taille de l’établissement. Alors qu’ils s’engageaient dans l’escalier au-dessus, ils entendirent un bruit venant de l’étage en-dessous. - Qu’est-ce que c’est, selon vous ? Interrogea Ron. - A mon avis, rien de bon, répondit Harry. - On continue ou on va voir ? Harry hésitait d’un côté, il avait envie de savoir ce qu’ils devraient affronter pour en sortir mais d’un autre, leur ennemi avait tout loisir de se cacher et il leur faudrait chercher sans doute pendant des heures pour le trouver car si leur ennemi avait voulu les attaquer tout de suite, il en avait eu largement le temps. - Continuons, décida Harry. Le deuxième étage était identique au précédent sauf qu’au bout du couloir de gauche un autre escalier donnait accès à ce qui avait dû être les chambres des moniteurs. Le couloir qui y menait était sans issue. Et, revenant ,au deuxième étage, ils découvrirent avec surprise mais non sans un certain effroi que, dans la poussière qui recouvrait le plancher, des traces de pattes énormes couvraient les leurs. Elles allaient jusqu’au bas de l’escalier qu’ils venaient de redescendre et semblaient se volatiliser ensuite. - Qu’est-ce qui peu faire des traces pareilles ? Demanda Harry en regardant l’empreinte de plus près. Celle-ci ressemblaient, en beaucoup plus grand, à celle de Pattenrond. - La question qui me préoccupe le plus c’est : où est-il ? Répondit Ron avec anxiété. - Moi, je peux vous dire ce que c’est, murmura Hermione. Harry et Ron, qui continuaient à regarder les empreintes, se tournèrent vers elle. - Comment ? Demanda Ron. - Parce que c’est là, dit elle au bord de la panique. Tout deux se retournèrent d’un même mouvement. La vision qu’ils eurent de la bête qui se tenait à une dizaine de mètres d’eux leur fit comprendre que l’abattre ne serait pas facile. Elle avait une tête humaine, le corps du plus gros lion que Harry n’eut jamais vu et la queue d’un scorpion, mais recouverte de piques. La bête balançait sa queue avec excitation. - Qu’est-ce que c’est que cette horreur ? Demanda à voix basse Ron. - Une manticore. Ce sont des bêtes sanguinaires qu’il est très difficile de tuer. Les sorts rebondissent sur eux. Leurs piqûres sont mortelles. En plus, ça peut lancer des aiguillons à 15 mètres. Et, pour parfaire l’animal, c’est aussi intelligent qu’un être humain, expliqua Hermione dans un chuchotement précipité, à peine audible. - Que fait-on ? Demanda Harry, qui ne quittait pas l’animal du regard. Il avait l’impression que s’ils bougeaient cela déclencherait une attaque. - D’après ce que j’ai lu, peu de gens ayant croisé leur route ont pu raconter comment ils avaient fait. - Peut-être pourrions-nous essayer de le contourner pour nous échapper ? C’est à ce moment que la manticore se détourna d’eux et emprunta l’escalier menant à la sortie. Harry consulta Hermione du regard. Elle avait l’air particulièrement perplexe. Harry commençait à envisager de faire demi-tour quand il se souvint de sa première visite en ces lieux, qu’il avait fait dans la pensine de Dumbledore. Il se rappela que la directrice de l’époque avait dit que le lapin d’un élève avait été pendu et qu’elle était certaine que Tom Jedusor en était responsable. - Je crois que l’horcruxe doit être dans le grenier, déclara-t-il soudain. Quand je suis venu ici avec Dumbledore, la directrice a dit qu’un lapin avait été pendu à une poutre du toit et qu’elle était convaincue que c’est Tom Jedusor qui avait fait ça. En fait, je pense que c’est la première fois qu’il tuait. - Harry, tu n’as quant même pas l’intention d’y aller avec une manticore dans les parages, s’écria Ron avec angoisse. - Que nous y allions ou pas, je ne crois pas que la manticore nous laisse sortir. De plus, il nous faut absolument détruire l’horcruxe. - Vous n’êtes pas obligés de venir avec moi. Il vous suffit de m’attendre en bas de l’escalier. Comme cela vous ferez le guet et me préviendrez si jamais il revient. - Je viens avec toi, coupa Hermione. Jamais tu n’y arriveras seul car je suis certaine que cet animal n’est pas le seul a protéger l’horcruxe. - D’accord, allons-y. Enchaîna Ron. Ils allèrent rapidement jusqu’à l’escalier, regardèrent à l’étage inférieur s’ils ne voyaient pas trace de la manticore. Ne voyant rien qui puisse laisser penser que l’animal était proche d’eux, ils montèrent au dernier étage. Celui-ci était légèrement différent des précédents, seul un couloir s’étendait à leur gauche. Il comportait comme les autres une quantité non négligeable de portes. Ils ne leur restait qu’une porte à inspecter quand la manticore surgit à quelques mètres d’eux. Elle s’immobilisa comme pour les regarder plus en détail. Tous trois reculèrent contre le mur de droite. L’animal prit son temps, puis se remit en mouvement. Il avait la queue levée très haut, tout comme un scorpion sur le point d’attaquer. C’est alors que Harry constata que la créature chantonnait, cela ressemblait à un ronronnement sinistre et effrayant. Harry chercha les leurres explosifs dans sa poche. - Préparez-vous à fuir, murmura-t-il. Il sortit trois leurres de sa poche sans faire de geste brusque. La bête n’était plus qu’à trois mètres. Il jeta les explosifs aux pieds de l’animal en criant : - MAINTENANT !!! Hermione et Ron détalèrent aussi vite qu’ils purent, Harry les suivait de près. Il se retourna pour voir ce que faisait leur ennemi. L’animal se lançait à leur poursuite. La manticore avançait par bonds prodigieux. La quinzaine de mètres d’avance qu’ils avaient sur elle se réduisaient. Hermione et Ron étaient arrivés à l’escalier. Harry les suivit. Il allait s’engager dans la deuxième volée menant à l’étage inférieur quand la manticore arriva en haut de l’escalier. Hermione et Ron avaient déjà atteint le palier et continuaient à descendre. L’animal bondit vers Harry mais fit une erreur d’appréciation et percuta le mur à un mètre de lui, qui continua de dévaler l’escalier. Il profita de cette erreur pour mettre le plus de distance entre la créature et lui. Mais celle-ci se releva très vite et fut rapidement sur ses talons. Harry allait atteindre le premier étage quand le monstre fit à nouveau un saut magistral vers lui et cette fois ne le rata pas. Il poussa un cri de douleur : Les énormes griffes de la manticore venaient de lui taillader l’épaule droite. Sous le choc, il trébucha et dégringola l’escalier. Il tomba lourdement sur son épaule déjà blessée, la douleur fut telle qu’il en eut la tête qui tournait. Il la secoua pour y voir plus clair. La bête s’était déjà redressée et se préparait à bondir une fois de plus. Hermione et Ron étaient revenus sur leurs pas en entendant la chute de leur ami et se précipitaient vers lui. Cela sembla surprendre la manticore, qui marqua une hésitation. Ils profitèrent de ce court répit pour aider Harry à se relever. Alors que ce dernier allait s’élancer vers la sortie, il dérapa dans la flaque de sang qui s’était formée sous lui et retomba. | |
| | | Albusforever Elève de Dernière Année
Nombre de messages : 2820 Age : 34 Localisation : Paumée quelque part entre la Grande Ourse et Jupiter, dans le monde des rêves... Date d'inscription : 15/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Mer 22 Mar - 21:41 | |
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| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Ven 24 Mar - 17:51 | |
| L’animal changea de stratégie, leva sa queue, la fit vibrer et projeta un aiguillon empoisonné vers les trois amis. Par réflexe, tous brandirent leur baguette en lançant chacun un sort différent. Frappé en pleine course, le projectile fut détruit. Harry, Ron et Hermione comprirent que leurs chances de sortir vivant de la bâtisse étaient de plus en plus faibles. Harry se releva à nouveau alors que l’animal lançait d’autres aiguillons, cette fois plus nombreux. Ron et Hermione réussirent à en détruire un, tandis qu’un autre dard se plantait dans le mur à courte distance de Harry. Ils s’élancèrent dans l’escalier menant à la porte, au moment où la bête se ramassait sur elle-même pour bondir. Le moindre pas étaient très douloureux pour Harry. Dans sa précipitation, il perdit l’équilibre dans l’escalier, fit un vol plané et tomba brutalement sur son genoux. Un crac sinistre se répercuta dans tout son corps. Une douleur fulgurante le traversa. Il comprit qu’il n’avait plus aucune chance d’échapper à son poursuivant, il avait échoué dés le premier horcruxe. Dans une demi conscience, il se rendit compte qu’on le tirait en arrière. Il luttait pour ne pas perdre connaissance, bien qu’il savait que ça ne lui serait pas d’un très grand secours. Il eut une vision trouble de la manticore qui s’approchait de lui. Dans un dernier effort, il brandit sa baguette magique et jeta un sort au hasard. C’est alors qu’il ressentit la plus fulgurante douleur qu’il n’avait jamais ressentit. Quelque chose venait de se planter dans sa cuisse. Tout devenait flou, il avait très froid. Il avait perdu la notion du temps. Très loin, il entendit Hermione qui lui criait de tenir bon, qu’ils allaient le sortir de là. Puis se fut le silence et une longue chute, tout devenait noir. Harry ne ressentait plus la douleur, un grand calme l’envahissait.
Harry arpentait un chemin de terre. Il avait l’impression que s’il s’arrêtait, quelque chose de terrible lui arriverait. Il vit qu’un chien était assis au milieu du chemin, sa queue battait l’herbe. Il avait l’air heureux de le voir. Alors que Harry allait le rejoindre, il le reconnut: c’était Sirius. Celui-ci lui fit signe de le suivre. Le chien se leva et l’entraîna le long du chemin, mais il allait trop vite. Harry lui cria de l’attendre mais Sirius continuait à courir en lui lançant des aboiements d’encouragements. Harry courait pour ne pas perdre son parrain de vue. Soudain, il entendit un bruit de galop derrière lui. En se retournant, il vit sortir du néant un magnifique cerf d’une blancheur immaculée. Il était suivi de près par un couguar. Au début, Harry crut que le félin chassait le cerf mais il se rendit compte que tout deux jouaient à se poursuivre. Les deux animaux s’approchèrent de Harry. C’est alors qu’il compris que le cerf était Cornedrue, l’animagi de son père. Harry chercha du regard Sirius. Celui-ci les attendait un peu plus loin. Il aboyait en courant après sa queue. Harry se remis en route accompagné par le cerf et le félin. Harry se demandait où il était et comment y était-il arrivé. Comment se faisait-il que Sirius et son père y soient aussi ? Et qui était ce couguar ? Ce pouvait-il que ce soit sa mère ? Il essaya de leur poser des questions mais ils ne semblaient pas comprendre. Il dût en arriver à la conclusion qu’il devait être mort lui aussi, sinon comment pourrait-il être accompagné de sa famille ? Harry réalisa que le paysage avait changé, la campagne arborée avait fait place à une contrée inhospitalière battue par les vents. Le chemin n’était plus qu’un sentier boueux. Ils arrivèrent devant un énorme marais qui s’étendait à perte de vue. Harry distinguait une construction noire à plusieurs kilomètres. Ce qui attira le plus son attention était la quantité d’oiseaux qui tournaient autour de celle-ci qui, malgré la distance, était bien visible. Sirius s’engagea dans le marais en faisant bien attention à rester sur la terre ferme. Alors que Harry allait s’engager à sa suite, Cornedrue lui donna un léger coup de tête. Harry se tourna vers lui sans comprendre. Son père se plaça devant lui de côté. Il l’invitait à monter sur son dos. Harry avait quelques scrupules mais son père insista. Il monta avec une étrange facilité. Il serra les genoux et posa ses mains sur l’encolure du cerf. Il le sentit se ramasser et s’accrocha de son mieux. Son père s’élança dans un grand galop léger. Il rattrapa facilement son meilleur ami. Harry découvrit sa mère courant à leurs côtés, sautant avec une aisance surprenante par dessus les trous d’eau. Le bâtiment grandissait au fur et à mesure de leur approche. Harry pouvait maintenant voir une forteresse obscure. Elle n’était pas sans rappeler la forteresse dont avait parlé Tonks, dans un autre temps, dans une autre vie. Ce souvenir lui rappela Ron, Hermione, Ginny et tous les gens qu’il aimait. Même s’il les avait perdu, il avait enfin retrouvé sa famille. Il ne comprenait pas pourquoi ceux-ci l’emmenaient vers cette place forte mais peu lui importait du moment qu’ils étaient ensemble. Il pensa à tous les dangers qui attendaient ses amis mais finit par se dire que ceux-ci comprendraient qu’il ne pouvait plus revenir et que c’était à eux de changer l’avenir des sorciers. Lui avait donné tout ce qu’il pouvait à cette cause. A eux de faire le reste. La forteresse était maintenant bien visible et le cri des centaines d’oiseaux qui la survolaient faisait un bruit assourdissant. Harry se demanda qui était ces oiseaux car si ses parents étaient sous la forme d’animaux, les oiseaux avaient dû être à un moment ou à un autre des êtres humains. Arrivés à quelques centaines de mètres de la citadelle, Sirius, son père et sa mère se remirent au pas. Harry constata que le fort était entouré d’un profond fossé rempli d’eau. Il y avait un pont-levis mais celui-ci était relevé. Il se demanda comment ils entreraient. Aucun des animaux ne sembla troublé par le fait que l’entrée leur soit impossible. Ils se dirigeaient résolument vers le pont. Sirius prit le galop et se dirigea droit sur le fossé. Au dernier moment, il sauta au-dessus de fossé et passa à travers la porte, comme un fantôme l’aurait fait. Le couguar ne tarda pas à faire la même chose. Harry raffermit sa prise. L’idée de sauter au-dessus d’un tel obstacle et surtout de passer à travers un porte ne l’enthousiasmait guère. Cornedrue partit dans un petit galop saccadé, prit sa battue et détendit ses pattes dans un bond prodigieux. Harry en eut le souffle coupé, ses précédentes chevauchées lui avait inspiré un peu de crainte. En troisième, il avait monté Buck à deux reprises et, bien que depuis longtemps cette peur l’avait quitté, jamais il ne lui avait fait confiance comme il le faisait maintenant en son père. Tous franchirent la porte sans encombre et rejoignirent le chien noir et le couguar dans une petite cour intérieure. Elle était entourée de hauts murs sombres. Il y avait des gens sur la muraille mais ils avaient l’air flous et moins consistants. Harry constata que les gens présents ne les voyaient pas ou en tout cas les ignoraient. Cornedrue lui fit comprendre qu’il était temps de mettre pied à terre, ce qu’il fit. Sa mère les guida vers une entrée qui donnait sur un escalier qui semblait descendre dans les profondeurs du château. Sirius marchait sur ses talons, son père les suivait, ses bois passaient à travers la pierre comme si ils avaient été immatériels. Harry se demanda où l’entraînaient se parents ? Que venaient-ils faire ici ? Plus ils avançaient et plus il faisait sombre.. Le lieu était sinistre. Harry avait l’impression que la mort resserrait son étreinte sur lui à chaque pas. La descente était longue, elle lui sembla durer des heures. Ils arrivèrent à un embranchement, l’escalier continuait à droite de descendre tandis qu’un autre remontait. Le couguar choisit sans hésitation celui de droite. L’obscurité qui y régnait l’empêchait de voir à plus de quelques mètres. Harry chercha sa baguette dans ses poches mais elles étaient vides. Il s’arrêta net, si bien que Sirius faillit le percuter. Les leurres explosifs, sa baguette, la médaille ainsi que le faux horcruxe avaient disparu. Il se tourna vers Sirius et son père et leur expliqua : Ceux-ci le regardèrent un instant, Sirius s’ébroua vigoureusement avant de passer à côté de lui pour aller rejoindre sa mère et reprendre la descente. Harry fut bien obligé de leur emboîter le pas. Quelques instants plus tard, ils débouchèrent dans une grande salle entourée de cellules. Quelques torches moribondes éclairaient cette antichambre de la mort. En y regardant de plus près, Harry découvrit que des gens y étaient enfermés. C’est alors qu’il prit conscience des chuchotements, cris et gémissements qu’émettaient tout ces prisonniers. En s’approchant d’une des cages, il vit un vieil homme en guenilles tremblant de froid et d’horreur. Ses parents et Sirius allaient d’une cage à l’autre comme pour montrer leur sollicitude à ces malheureux. Le vieil homme tourna la tête vers Harry, qui le reconnut tout de suite c’était Mr Olivander, le fabricant de baguettes magiques du Chemin de Traverse. Harry réalisa soudain qu’il n’était pas seul dans sa prison. Un corbeau lui tenait compagnie. Mr Olivander se laissa retomber sur la paille moisie de sa cellule. Harry voulut passer à travers les barreaux de sa cellule pour aller l’aider mais ne parvint même pas à toucher les barreaux. Il s’éloigna à regrets du supplicié. En regardant les autres cages, Harry perçu l’étendue de l’horreur qui se déroulait en ces lieux. Tout à coup, le corbeau de la cellule voisine de Mr Olivander se mit a croasser avec force tout en battant des ailes comme un forcené. | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Ven 24 Mar - 17:51 | |
| Soudainement, la cage s’ouvrit et l’oiseau s’envola. Harry entra dans la prison et trouva un corps mutilé et prostré. En le retournant, il vit que c’était Florian Fortarôme. Il comprit que la cage s’était ouverte parce qu’il était mort. Il se douta que c’était pour cette raison qu’il y avait autant de corbeaux autour de la forteresse. Harry était convaincu que là, quelque part dans une de ces cages, se trouvait le père de Luna. Des bruits de pas retentirent dans l’escalier. Trois hommes entrèrent. Parmi eux, Harry en reconnut un : Queudever le traître. Ils se dirigèrent vers une cage du fond. Arrivés devant, un des hommes prononça une incantation et les grilles s’ouvrirent. Il en sortit une femme qui ne tenait même plus debout. Il l’a traînèrent hors de sa cage. Harry regarda ses parents, certain qu’ils allaient intervenir mais tous trois regardèrent passer les bourreaux. Harry regarda plus attentivement la femme et, l’espace d’un instant, crut reconnaître en elle Ginny. Il ferma les yeux pour chasser cette vision cauchemardesque. Quand il les rouvrit, elle avait le visage d’Hermione. A ce moment, la femme le regarda dans les yeux et il lui sembla qu’elle lui parlait : - Sauve nous ! Le moment d’après, la femme avait repris son visage et était traînée sans ménagement dans l’escalier. Harry s’élança à leur suite avec la ferme intention de libérer la captive. Il essaya de s’attaquer au mangemort qui marchait derrière, mais ses poings le traversèrent. Il continua de donner des coups mais aucun n’atteignait sa cible. Il se tourna vers son père, sa mère et Sirius. Ceux-ci le regardèrent avec tristesse et résignation. Ils lui firent signe de suivre les trois mangemorts. Ceux-ci avançaient lentement, ils prirent l’embranchement de droite, celui qu’avait ignoré le couguar lors de la descente. Après avoir monté pendant un long moment, ils s’arrêtèrent devant une porte. Ils poussèrent cette dernière et pénètrent dans une pièce sombre, malgré qu’elle soit éclairée par la lumière du jour. Au centre se trouvait une silhouette encapuchonnée. Harry devina immédiatement de qui il s’agissait, il le sentait au fond de lui. Voldemort se tourna lentement vers sa victime. - Tu as plus de chances que tu ne le crois ma chère Agnès. Aujourd’hui, tu vas mourir, dit-il d’un ton calme avant d’éclater de rire, un rire hystérique, démoniaque. Dans un dernier effort, la femme leva son visage vers son assassin. - J’espère qu’un jour quelqu’un te détruira, cracha-t-elle avant de laisser retomber sa tête. Le rire de Voldemort décupla. - Ce qui est sûr, c’est que ce ne sera pas toi. Avada Kedavra Une lumière verte éblouissante jaillit de la baguette de Voldemort et frappa la pauvre femme. Son corbeau qui l’avait visiblement suivi, croassa et s’envola à travers la fenêtre cassée. - Je hais ces corbeaux, siffla avec colère le seigneur des ténèbres. Débarrassez moi de ça. Aussitôt, les trois mangemorts emportèrent le cadavre. Harry était empli de désespoir. La mort de cette femme lui en rappelait tant d’autres et lui faisait entre voir combien d’autres la rejoindraient d’ici la fin de ce conflit. Il reporta son regard sur son ennemi de toujours. Celui-ci se tenait debout devant la fenêtre. C’est alors que Harry remarqua que, contrairement aux autres êtres humains de la forteresse, Voldemort apparaissait beaucoup plus net. Comme si les autres faisaient partie d’un monde parallèle. Tout à coup, Voldemort se retourna et sembla humer l’air quelques instants. - Mais oui, il me semblait bien. Tu es là, tout près. Je te sens, déclara Voldemort d’une voix hystérique. Le voilà donc le grand Harry Potter, celui qui devait triompher de moi, continua-t-il en éclatant de rire. Mon seul regret est de ne pas l’avoir fait moi-même. Harry imagina que, si son ennemi était en partie dans ce monde, il se pouvait qu’il puisse le toucher. Il s’avança vers celui-ci et essaya de lui donner un coup, mais une fois encore il passa à travers, ce qui redoubla le rire de Voldemort. - Tu ne pouvais déjà rien contre moi de ton vivant, tu ne peux rien maintenant que tu es mort. Sirius lécha la main de Harry et lui fit comprendre qu’il était temps de partir. Harry regarda une dernière fois Voldemort, qui rirait toujours, avant de suivre son parrain. Celui-ci traversa la porte par laquelle les mangemorts avaient emmené le cadavre de la femme. Harry l’accompagna ainsi que son père et sa mère. Ils empruntèrent un autre escalier, qui les mena dans la cour intérieure. Harry leva les yeux vers les oiseaux qui tournaient autour de la tour et lançant des croassements stridents. Cornedrue s’approcha et lui fit comprendre qu’il devait à nouveau le chevaucher. Il sauta sur le dos du cerf avec aisance, et les trois animaux s’élancèrent vers le pont. Ils le franchirent avec autant de facilité qu’à l’aller. Harry remarqua qu’ils suivaient un chemin différent que lors de leur venue. Il aurait eu du mal à expliquer pourquoi car aucun élément du paysage ne pouvait le lui indiquer mais il était sûr d’être venu par un autre chemin. L’ambiance était également différente. Si à l’aller les trois animaux avaient fait la course et joué à se poursuivre, maintenant tous galopaient en file et Sirius n’aboyait plus pour les inciter à aller plus vite. L’atmosphère était emplie de gravité. Harry ne parvenait pas à chasser les images de tourmentes de son esprit, malgré sa joie d’avoir retrouvé sa famille. La traversée du marais lui paru plus longue. Alors qu’il arrivaient en vue d’un bois, un croassement se fit entendre au-dessus d’eux. Harry découvrit qu’un corbeau les accompagnait. Il eut l’impression que son père accélérait encore l’allure. Ils pénétrèrent dans la forêt sans ralentir. Celle-ci était belle et claire, comme si elle brillait de l’intérieur. Le chemin était maintenant assez large pour que Patmol, Cornedrue et le couguar puissent courir de front. Harry sentit qu’ils ralentissaient progressivement leur galop et vit qu’il y avait un embranchement devant eux. Les trois animaux s’arrêtèrent à celui-ci. Harry se demandait pourquoi, il n’y avait rien de particulier. Cornedrue lui signala qu’il fallait descendre. Harry se tourna vers sa famille dans l’espoir d’obtenir une explication quelconque. Il se produisit alors un phénomène auquel il ne s’était pas attendu. - Nous sommes arrivés à la croisée des chemins. Il est temps pour toi de poursuivre ta destinée et nous la nôtre. Tu pourrais venir avec nous mais je ne pense pas que c’est ce que tu souhaites, déclara le cerf d’une voix calme et douce. - Tes amis ont encore besoin de toi, continua sa mère. Un jour, nous nous retrouverons mais ce moment n’est pas encore venu. Il te reste encore tant de choses à vivre. - Comme te l’a dit Dumbledore, il n’est pas bon de se complaire dans les rêves, enchaîna Sirius. Si nous t’avons emmené dans l’antre de Voldemort, c’était pour te montrer ce qu’il te reste à accomplir. Harry ne savait que faire ni que dire. Il ne comprenait pas comment il pourrait revenir à la vie, il savait que c’était impossible. - Mais comment pourrais-je le vaincre si je suis mort ? S’écria-t-il. - Tu n’es pas encore mort, répondit son père. Tu es entre les deux. Si tu prends le chemin de droite, c’est ce qui arrivera. Si tu prends celui de gauche, tu rejoindras tes amis. - Comme tu as pu le constater, Voldemort est à la fois dans le monde des vivants et dans celui-ci. Sa plus grande force est aussi sa plus grande faiblesse : Son âme est tellement mutilée qu’une partie est déjà morte. Le corbeau croassa, il s’était posé sur un arbre et observait la scène. Harry le regarda un instant, il savait qu’il devait aller rejoindre ses amis et lutter contre l’Ordre des ténèbres. Mais, maintenant qu’il avait retrouvé sa famille, il lui répugnait de la quitter si vite. Le corbeau croassa à nouveau. - Nous devons partir, déclara son père. Nous nous reverrons. - Nous sommes très fiers de toi, enchaîna sa mère. - Ne perd pas espoir, tu trouveras une solution, déclara Sirius. Sirius vient appuyer quelques instants ses pattes avant sur les épaules de Harry, puis s’éloigna de quelques pas sur le chemin de droite. - Je sais que c’est dur de partir, mais il le faut, mon fils. Déclara Cornedrue en pressant sa tête contre celle de Harry, avant de rejoindre Sirius. Sa mère ne lui dit rien, posa ses pattes sur son torse et lui lécha le visage de sa langue rappeuse. Elle s’éloigna ensuite au petit trop. Après un dernier regard, Cornedrue et Patmol le quittèrent à leur tour. Harry les regarda disparaître au détour du chemin. A ce moment, sa seule envie était de les suivre. Il savait que c’était égoïste, mais il avait déjà tant donné. Il allait s’engager à leur suite quand il revit cette femme ayant le visage de Ginny. Il ne pouvait pas l’abandonner. Il pensa qu’Hermione et Ron avaient plus d’une fois bravé tous les dangers pour lui venir en aide et se serait bien mal les remercier que les abandonner maintenant. Sa mère lui avait dit qu’ils se reverraient plus tard, tout espoir de les retrouver n’étaient pas perdu. A contre cœur, il se détourna du chemin de droite et s’engagea à pas lents sur la route de gauche. Le corbeau volait près de lui, parfois devant, tantôt derrière et même quelques fois à sa hauteur. Il marchait déjà depuis un moment quand retentit au plus profond de la forêt le brame d’un cerf. | |
| | | kingkungfu Elève de Cinquième Année
Nombre de messages : 808 Age : 37 Localisation : In rainbows Date d'inscription : 06/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Ven 24 Mar - 18:25 | |
| super ! au debut jai vraiment cru qu'harry était mort pour de bon, ca ma fait peur... Continue comme ca c'est genial ! | |
| | | Albusforever Elève de Dernière Année
Nombre de messages : 2820 Age : 34 Localisation : Paumée quelque part entre la Grande Ourse et Jupiter, dans le monde des rêves... Date d'inscription : 15/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Ven 24 Mar - 19:49 | |
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| | | Shinara Elève de Troisième Année
Nombre de messages : 487 Localisation : lyon Date d'inscription : 24/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Ven 24 Mar - 21:51 | |
| c'est prodigieux, j'y ai crue jusqu'au bout | |
| | | romain23585 Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 108 Age : 39 Localisation : limoges Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Lun 27 Mar - 9:28 | |
| Un seul mot époustouflant | |
| | | fulmetal Elève de Première Année
Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 28/02/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Lun 27 Mar - 14:33 | |
| NUL c'est répugnant!!!!!!! Non je rigole c'est super continue comme sa! | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Sam 1 Avr - 17:12 | |
| Voici le début du chapitre 18: Calvaire
Quand Harry sortit de la brume, la première chose qu’il entendit fut le croassement d’un corbeau. Il se sentait très fatigué et une douleur lancinante émanait de sa cuisse. Il ne savait plus où il était ni même d’où il venait. Se rendant compte qu’il avait du mal à ouvrir les yeux, il essaya de bouger mais tout son corps était lourd et engourdi. Il écouta dans l’espoir d’entendre un bruit qui lui indiquerait où il était, mais le calme qui l’entourait avait quelque chose d’étrange : il avait le sentiment qu’il n’était pas seul. Harry arriva enfin à ouvrir les yeux. La pièce dans laquelle il se trouvait lui parut sombre et floue. Il distingua avec peine une forme humaine à côté de lui. Il la reconnut : c’était Ron. Celui-ci semblait dormir, assis sur une chaise. Harry avait l’impression d’avoir fait un très long rêve dont certaines images le hantaient encore. La vision d’une bête atroce qui le poursuivait se mélangeait à d’autres d’un cerf, d’un couguar, d’un chien et aussi d’une étrange forteresse. Il avait du mal à garder les idées claires, la douleur lui empêchait tout mouvement. Il essaya de se souvenir comment il était arrivé là, mais plus il insistait et plus ses souvenirs se tenaient hors de sa portée. Il finit par se laisser gagner par le sommeil.
Il s’éveilla bien plus tard. La pièce était alors baignée de lumière. En ouvrant les yeux, il reconnu Ginny et Mr Weasley qui semblaient attendre son réveil depuis longtemps. - Harry, tu émerges enfin. Tu nous as fait une de ces peurs, déclara Mr Weasley l’air ravi. Harry essaya de lui répondre mais sa bouche était sèche, tout comme sa gorge. Il se rendit compte qu’il avait très soif. Ginny comprit son problème et lui tendit un grand verre d’eau qu’il but d’une traite. Il remarqua que son visage était comme tordu, elle faisait une sorte d’étrange grimace. Il lui saisit la main. - Qu’y a-t-il ? Demanda-t-il doucement. Elle eut la réaction à laquelle Harry s’attendait le moins : elle se jeta dans ses bras en éclatant en sanglots. Ce brusque mouvement lui arracha un grognement de douleur. Il ne comprenait pas ce qui arrivait. Il repensa à la silhouette floue de Ron, mais où était Hermione ? Il observa alors la pièce dans laquelle il se trouvait. Contrairement à ce qu’il croyait, ce n’était pas le Square Grimmaud. La pièce avait des murs blancs parcourus de lambris de bois. La fenêtre était assez petite et la principale source de lumière était des globes de cristal accrochés au plafond. Ce décor avait quelque chose de familier pour Harry. Il prit le visage de Ginny entre ses mains et lui fit relever la tête. - Que c’est-il passé ? Où sont Ron et Hermione ? - Ron et Hermione vont bien, ils sont rentrés mais ils ne devraient plus tarder, expliqua Mr Weasley. Tu as été blessé par une manticore. Un de ses dards s’est planté dans ta cuisse. Tu as eu beaucoup de chance. Normalement, la piqûre provoque une mort instantanée. Nous supposons que la cape bouclier que tu portais à amoindri le poison. Mr Weasley fut interrompu pas l’arrivée de son épouse, Ron et Hermione. Harry eut la crainte de voir Hermione fondre en larmes mais heureusement celle-ci se contint. Au contraire de Mrs Weasley qui pleurait dans les bras de son mari qui faisait de son mieux pour la réconforter. - Tu peux dire que tu as eu de la chance, s’exclama Ron après avoir serré brièvement la main de Harry. - Oui, on me l’a déjà dit, répondit Harry avec une certaine ironie. Ginny s’assit au bord du lit en séchant ses larmes avec plus ou moins de discrétion. Hermione fit apparaître quelques chaises pour que tout le monde puisse prendre place. - J’étais en train de raconter à Harry ce qui lui était arrivé, commenta Mr Weasley à l’adresse de Ron et d’Hermione. Je crois qu’il serait mieux que l’un de vous le lui explique. Hermione se tourna vers Ron, le regarda un court instant avant d’acquiescer. - Tu te souviens sans doute que nous étions poursuis par une manticore, commença Hermione. Elle t’a blessé à l’épaule alors que tu allais atteindre le premier étage, tu es tombé. Nous avons fait demi-tour, la manticore a commencé à nous lancer des aiguillons mais nous a raté. On était presque arrivés en bas quand tu es tombé et que tu t’es cassé la jambe. Ron t’a tiré en bas des marches pendant que j’appelais à l’aide avec mon patronus. Tu as réussi à lancer un sort sur le dard qui s’est planté dans ta jambe. - Franchement, j’ai cru que tu étais mort, intervint Ron. En quelques secondes, tu es devenu tout pâle et tout froid. - Ron a lancé tous les leurres explosifs qu’il avait mais cette horreur n’a même pas bougé, il a eut l’air simplement un peu plus énervé. Il allait se jeter une nouvelle fois sur nous, quand Ron a eut une idée de génie. Il lui a lancé un sort de conjonctivite qui a fait mouche. J’en ai profité pour détruire la porte et nous t’avons traîné dehors. La manticore s’est jetée dessus au moment où elle reprenait sa place. C’est alors que Mr Weasley est arrivé avec Maugrey et Lupin. Nous avons immédiatement transplané à Poudlard en espérant que Madame Pomfresh pourrait te soigner. - On a cru que tu n’y arriverais pas en vie, confia Ron la voix altéré par l’émotion. C’est une des chose les plus effrayantes que j’ai vu. Harry comprit qu’il devait la vie à l’acharnement de ses deux meilleurs amis. Ils l’avaient sauvé au péril de leur vie. Alors qu’ils ne savaient même pas s’il s’en sortirait. Il éprouvait, à ce moment, plus de gratitude pour eux qu’il n’en avait jamais ressenti. - Madame Pomfresh t’a veillé deux jours durant mais il a fallu se résoudre à t’emmener à Sainte-Mangouste car ton état était loin de s’améliorer, compléta Mr Weasley. C’est à ce moment-là que Harry comprit en quoi l’endroit lui était connu. Mais une crainte l’assaillit. S’il était à Sainte-Mangouste, tout le monde devait le savoir y compris Voldemort. Si jamais il apprenait qu’il avait été blessé par une manticore, il ne lui faudrait pas longtemps pour comprendre que c’était en voulant détruire l’horcruxe qu’il avait été attaqué. Rien ne l’empêcherait alors de tous les changer de place ou, pire, en faire d’autres. Harry craignait de poser la question, il savait que tous avait tout fait pour le sauver et ne voulait pas qu’ils croient qu’il manquait de gratitude. Mr Weasley sembla comprendre son malaise. - Rassure-toi , nous avons été très discrets. Pour ainsi dire, personne ne sait que tu es ici. Seuls le magicomage, Rufus Scrimgeour et nous, sommes au courant. - Scrimgeour ? S’exclama Harry. - Oui, nous avons pensé qu’il était le seul a avoir assez de pouvoir pour museler tout le monde. - Tu n’imagines même pas toutes les sécurités qui existe pour que personne ne te remarque, déclara Ron avec admiration. - Tu es venu ici sous la cape d’invisibilité. A chaque fois que nous venons, on la met, commenta Hermione. - Le Ministère a envoyé une brigade d’élite pour effacer tout souvenir de cette pièce au membres du personnel et aux malades. La porte leur est devenue infranchissable et invisible, poursuivit Ron. - Même les membres du Ministère ne savaient pas pourquoi, ils devaient faire subir ce sortilège à tout le monde. Les seules personnes à connaître la situation sont tenues par le secret et Mr Taylor est membre de l’Ordre du Phœnix. - Ca fait combien de temps que je suis là ? Interrogea Harry qui commençait à entrevoir ce qu’on avait entreprit pour lui. - Tu es resté inconscient pendant quinze jours. - Quoi !!! S’écria Harry incrédule. - Oui, la première semaine tu as eu de la fièvre et ton état n’a cessé d’empirer puis il y a quelques jours tu as passé un temps fou à délirer. Tu as appelé Hermione et Ginny, lui expliqua Ron avec une pointe de curiosité. Ensuite, tu as commencé à aller mieux. - C’est ce jour-là que Shifoo a chanté une partie de la journée et de la nuit, commenta Hermione avec une certaine pâleur comme si le chant du phœnix l’avait autant effrayée que l ‘état dans lequel se trouvait son meilleur ami. - Son chant ressemblait à celui de Fumseck à la mort de Dumbledore, déclara Ginny en regardant dans le vague. Elle était parcourue de frissons rien qu’au souvenir de ce chant. Le magicomage entra, à cet instant. Harry le reconnu mais eut été incapable de se souvenir de son nom. - Je vois avec plaisir que vous avez repris connaissance. C’est excellent, déclara-t-il. Nous nous sommes déjà rencontrés mais nous n’avons jamais été présentés. Mon nom est Jonas Taylor, mais appelez-moi Jonas, continua-t-il en s’avançant pour serrer la main de Harry. Après une courte pause, il reprit : - Je suis venu changer votre pansement et voir si tout allait bien. - Nous allons vous laisser, intervint Mrs Weasley. Je vais aller prévenir le Ministre que tu es réveillé mais je reviendrais demain. - Nous allons attendre dans le couloir, déclara Hermione. Mrs Weasley embrassa Harry avec émotion. Il eut l’impression qu’elle partait avec regrets. - Prends bien soin de toi, mon chéri, dit-elle avant de sortir. Une fois que tout le monde fut sortit, Mr Taylor s’assit sur une chaise proche du lit. - Avant de changer le pansement, je tiens à vous dire que la plaie n’est pas belle a voir. Nous avons essayé différents traitements mais aucun n’a eu les effets que j’espérais. Et même si votre état s’est nettement amélioré, il se peut que votre jambe ne retrouve jamais toute sa… force,… Harry eut l’impression qu’une douche d’eau glacée venait de lui être administrée. Il ne s’était pas encore beaucoup inquiété de sa jambe même si celle-ci le faisait souffrir, il n’avait jamais envisagé de ne plus pouvoir s’en servir comme auparavant. - J’ai fait tout mon possible mais c’est la première fois que je suis confronté à ce genre de blessure, poursuit le médecin l’air embêté. Il souleva le drap et Harry comprit tout de suite pourquoi sa jambe le faisait souffrir. Malgré le bandage, il voyait qu’elle avait une teinte verdâtre et était très gonflée jusqu’au pied. Il ne savait pas très bien s’il voulait voir sa cuisse dont le bandage couvrait les trois-quart. - J’ai vraiment essayé tous les traitements que je connaissais : de l’essence de murlap jusqu'à la potion à base de sang de dragon qui est la seule à avoir donné un résultat même provisoire, expliqua Jonas devant l’air horrifié de son patient. Il commença à dérouler doucement le bandage. Une odeur nauséabonde en émanait, les contours de la plaie étaient particulièrement boursouflés et un jus poisseux en sortait. La puanteur était telle que Harry en avait la nausée. - Vous devrez encore rester au lit un bout de temps. Mais il y a des chances que vous puissiez remarcher un de ces jours. Harry se contenta d’un hochement de tête. Il avait envie d’être seul. Il ne voulait plus entendre Mr Taylor. Le magicomage lui refit le pansement en silence semblant comprendre le besoin de tranquillité de Harry. Une fois qu’il eut terminé, il attendit que Harry le regarde. - Avec votre accord, j’aimerais essayer quelque chose, déclara-t-il. Un collègue m’avait parlé d’une potion qu’il avait utilisé sur l’un de ses patients qui avait été mordu par un serpent inconnu. Je ne vous dis pas que ça va marcher. De plus, ce traitement est particulièrement douloureux. Harry répondit sans la moindre hésitation : - D’accord !!! - Vous êtes sûr que c’est ce que vous voulez ? Car le remède peut être pire que le mal. - Je veux essayer, déclara Harry d’une voix sans réplique. - Dans ce cas, nous commencerons d’ici quelques jours, le temps que je réunisse tous les ingrédients et que vous repreniez des forces. Le médecin s’apprêtait à sortir quand Harry le rappela. - Les autres savent ? - Non, je voulais que vous soyez le premier au courant. Mais je crois qu’ils se doutent que votre jambe est très abîmée. Il se tut un court instant avant de continuer : - Si vous voulez un conseil, je leur parlerais. Il vous reste encore beaucoup d’épreuves à vivre avant de remarcher et aurez besoin d’eux. Je ne les connais pas bien, à part Arthur, mais je peux vous garantir qu’ils ont tout fait pour vous sauver. Et pas une fois ils n’ont douté de vous. Je connaissais aussi Dumbledore et lui non plus n’a jamais douté de vous. A votre tour d’avoir confiance en vous-même. A ces mots, il le salua et sortit. Le magicomage avait visiblement fait passer le message comme quoi il fallait le laisser se reposer car ils ne vinrent pas après son départ, ce dont Harry fut heureux. Il ne se sentait pas capable de jouer la comédie et n’avait aucune envie de raconter à qui que ce soit la gravité de sa situation. Car lui même refusait de le reconnaître, en tout cas pour le moment. Il ne pouvait envisager de garder un handicap. Le fait d’entendre évoquer la loyauté de ses amis et de celle de Dumbledore ne lui avait pas du tout remonté le moral. L’ancien directeur lui avait confié une mission qu’il ne pourrait pas mener à bien si sa jambe ne guérissait pas très vite. Ron et Hermione ne revinrent qu’à la nuit tombée. Harry fit tout son possible pour avoir l’air heureux de les voir, bien qu’il aurait préféré rester seul. Hermione lui expliqua que Mr Weasley avait dû utiliser la pensine pour ouvrir la Chambre des Secrets et aller voir les Malefoy. Il avait été même envisagé de les installer ailleurs pour plus de facilité mais en attendant ils restaient dans la Chambre. Ron lui apprit que Bill avait eu quelques problèmes lors de la dernière pleine lune. Il s’était entièrement transformé en loup mais avait néanmoins gardé le contrôle de lui-même. Tous espéraient que sa métamorphose n’irait pas plus loin. - Tout le monde demande de tes nouvelles, expliqua Hermione. Même Kreattur et le portrait de Miss Black. - Dobby et Luna aimeraient venir te dire bonjour mais mon père trouve qu’il vaut mieux attendre encore, ce serait trop bête que quelqu’un s’aperçoive de ta présence ici. - De plus, tu pourras sans doute sortir d’ici dans peu de temps, conclu Hermione. - Sans doute, répondit Harry tout en sachant très bien qu’il n’en était rien. Mais il ne voulait pas laisser Ron et Hermione croire qu’il y avait un problème. - Voldemort est de plus en plus actif, déclara Hermione. Ses partisans ont attaqué un couple de sorciers vivant dans le centre de Londres. Le Ministère fait tout son possible pour les arrêter, mais sans grand résultat. Un sentiment étrange envahit Harry ; l’impression d’avoir fait un très long voyage pendant lequel il avait appris des choses très importantes dont il n’arrivait pas à se souvenir. Quand Jonas Taylor vint le voir le soir, il lui dit qu’il avait tous les ingrédients. Il insista une fois de plus sur les possibles dangers que posait le nouveau traitement qu’ils allaient essayer. - C’est à base de corne de licorne, d’ashwinder, de mooncalf et de diverses herbes. Bien que la composition du traitement ne l’intéresse pas beaucoup, Harry écouta avec attention. - Nous pourrons commencer dés demain matin, déclara Jonas. Je vous recommande, une fois de plus, d’en parler à vos amis. Leur présence pourrait vous aider. Harry refusa catégoriquement, il ne servait à rien de l’inquiéter encore plus. Harry dormit peu, il était impatient et nerveux à fois. De plus, ses rêves étaient peuplés de corbeaux et il voyait souvent une espèce de prison sombre. Il essayait de libérer quelqu’un dont le visage lui était caché. Jamais il ne parvenait à ouvrir la cellule et la personne se transformait en corbeau. | |
| | | Albusforever Elève de Dernière Année
Nombre de messages : 2820 Age : 34 Localisation : Paumée quelque part entre la Grande Ourse et Jupiter, dans le monde des rêves... Date d'inscription : 15/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Sam 1 Avr - 20:45 | |
| époustouflant super génial j'adore ton style, tu nous fais tous réver !!! | |
| | | fulmetal Elève de Première Année
Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 28/02/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 10:34 | |
| Super géniallissimusssss lol cest super continue comme sa!! S'il te plait vite la suite ou je vais mourir. | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 15:32 | |
| Contente de voir que le chapitre 18 vous plait perso c'est un de mes préférés.
Voici donc la suite.
Le magicomage vint le voir très tôt le lendemain, il semblait particulièrement inquiet. - Je ne suis pas sûr que ce soit la bonne solution, mais si vous me dites que c’est ce que vous voulez… - C’est ce que je veux, au pire ce sera juste un peu plus douloureux. - Très bien. Dans ce cas, allons-y. Mr Taylor défit le pansement et prépara la pommade qu’il allait appliquer sur la plaie de Harry. Elle avait une teinte bleuâtre. - Vous ressentirez tout d’abord une vive sensation de froid, ensuite elle va chauffer. Je ne sais pas s’il serait judicieux de mettre un bandage donc on commencera sans, mais il ne faudra pas poser le drap sur la plaie. Harry acquiesça d’un mouvement de tête. Jonas se mit alors à lui appliquer avec soin la médication sur sa jambe. Harry eut tout de suite l’impression qu’on l’avait plongé tout entier dans de la glace. Il commença à frissonner et à claquer des dents. Il lança un regard anxieux au magicomage pour voir s’il trouvait cela normal. Ce dernier fit apparaître une couverture dont il recouvrit Harry. - Ca devrait passer assez rapidement, déclara-t-il avec sollicitude. Harry continua à grelotter intérieurement pendant un bon moment. Il avait la sensation très désagréable que sa blessure gelait tout en s’agrandissant un peu plus à chaque seconde. Petit à petit, l’impression de froid disparu. Harry sentait que la douleur était comme anesthésiée. - Il faudra en remettre toutes les deux heures, expliqua Mr Taylor. Harry commençait seulement à se détendre quand une chaleur étrange commença à se diffuser en lui. Au début, il ne s’inquiéta pas mais il eut bientôt la sensation d’avoir été plongé dans un chaudron en-dessous duquel on attisait les flammes. La plaie béante de sa cuisse était devenue brûlante. Il commençait seulement à entrevoir quel serait son calvaire tout au long de ce traitement. La douleur s’intensifiait encore lorsque Jonas dut quitter Harry pour aller s’occuper de ses autres patients. Il promit de revenir deux heures plus tard pour ré appliquer de la pommade et conseilla à Harry de boire le plus possible pour ne pas se déshydrater. Dés que le médecin fut parti, Harry regretta sa présence car il se retrouvait seul face à sa douleur. Celle-ci devenait de plus en plus insupportable au fur et à mesure que le temps passait. Harry chercha quelque chose pour s’occuper l’esprit afin de ne pas penser à la douleur qui s’intensifiait encore. Il avait en plus l’impression de ne plus seulement souffrir de la jambe mais de toutes les parties de son corps qui avaient déjà été blessées. Sa cicatrice était en feu, tous les os qu’il avait eu cassés lui faisait atrocement mal. La sueur lui inondait tout le corps. Il regarda l’heure avec l’espoir de voir bientôt revenir le magicomage, mais fut très déçu de découvrir qu’une demi heure seulement s’était écoulée. Harry commençait à comprendre pourquoi Jonas lui avait dit que le remède pouvait être pire que le mal, mais sa détermination restait intacte. Il était hors de question pour lui d’accepter la fatalité. Quand il regarda à nouveau sa plaie, toute trace de pommade en avait disparu, elle était toujours sanguinolente et boursouflée, une odeur putride en émanait comme si sa jambe pourrissait de l’intérieur. Harry essaya de bouger pour soulager la tension de tout ses muscles mais le moindre mouvement déclenchait une vague de douleur telle que Harry se fit violence pour ne pas hurler. Sa lutte contre la douleur l’épuisait, il avait de moins en moins conscience de ce qui l’entourait. Lorsque Jonas vint le voir, il ne parut guère satisfait des résultats du remède et ne voulait visiblement pas continuer à infliger une telle torture à Harry. Malgré la douleur, celui-ci l’attrapa brusquement par le bras et lui ordonna de continuer. Puis il ne se laissa retomber sur ses oreillers qu’en entendant le magicomage lui promettre de continuer tant qu’il y aurait un espoir d’amélioration. Le médecin lui appliqua une nouvelle fois la pommade et là tout recommença. La sensation glacée puis un calme de très courte durée et enfin la douleur revint encore plus vite et plus fort que la première fois. Harry ne remarqua même pas Mr Taylor partait. De toutes les douleurs que Harry avait déjà endurées, celle-ci était la pire. Mrs Weasley, Mr Weasley et Ginny vinrent le voir au cours de la matinée. Quand ils entrèrent, Harry eut le réflexe de couvrir sa jambe mutilée. Tout trois semblaient inquiets en voyant Harry souffrir autant. Il pouvait cacher la plaie béante mais pas la sueur qui coulait le long de son visage, ni le tremblement de sa voix et encore moins la crispation de son visage. Harry était heureux de leur visite mais à peine furent-ils arrivés qu’il souhaitait déjà les voir partir. Garder l’esprit clair lui était de plus en plus difficile. Mr Weasley eut l’air de comprendre son désarroi. - Nous allons te laisser te reposer. Nous reviendrons plus tard. Il entraîna à sa suite Ginny et son épouse. Dés qu’ils furent partis, Harry sombra dans une sorte d’inconscience. Sa journée fut une longue suite de douleurs, toutes plus terribles les unes que les autres. Il s’aperçu vaguement de la présence de Ron et Hermione, mais n’était plus en état de les entendre ni de leur dire quoi que ce soit de cohérent.
En s’éveillant au beau milieu de la nuit, Harry s’aperçu que la souffrance se dissipait. Ses muscles étaient endoloris. En regardant sa jambe, il eut le plaisir de découvrir une plaie propre et nettement moins gonflée. Il avait l’impression qu’elle avait perdu un peu de cette couleur verdâtre. Tout mouvement restait douloureux mais rien de comparable à ce qu’il avait enduré au cours de la journée. Soulagé par ces progrès, il se rendormit serein.
Quand Jonas Taylor vint lui rendre visite le lendemain, il semblait satisfait par les améliorations qu’avait produit le traitement. Néanmoins Harry était tout à fait conscient que ce n’était pas suffisant. Il devait continuer s’il voulait avoir une chance de remarcher un jour normalement. - Vous savez, d’autres sorciers avant vous ont eu des accidents et ça ne les a jamais empêché de vivre une vie normale. Regardez Maugrey « Fol Œil », nombreux étaient ceux qui pensaient qu’il ne se remettrait pas de ses blessures. Il a guéri et est resté un très grand auror, commenta le magicomage. Je veux dire par là qu’il est peut-être impossible de vous soigner complètement. Vous avez déjà eu une chance extraordinaire de vous en sortir vivant. Harry se rendait compte qu’il avait eu plus que de la simple chance mais cela ne changeait en rien son problème. Il s’était fait le serment de détruire Voldemort mais comment y arriverait-il avec un handicap ? Dés que la pommade fut à nouveau en contact avec la plaie, Harry sût que la journée serait aussi longue et pénible que la veille, si pas pire. Il avait l’impression que la douleur se répandait encore plus vite que la veille. La joie qu’il avait ressenti en constatant les améliorations fit bientôt place au désespoir que tout ceci ne s’arrête jamais. Il s’aperçu que des gens venaient le voir au cours de la journée, mais ne fût pas capable de les reconnaître. La douleur qu’il endura toute la journée était encore pire que celle du jour avant. Harry gardait néanmoins espoir que, pendant la nuit, il aurait un court répit. Mais ce ne fut pas le cas. Malgré que le magicomage n’ait pas renouvelé le pansement, la douleur persistait. Quand Harry reprit conscience, il lui fut pénible d’identifier celui qui lui épongeait le front avec douceur. - Tu veux quelque chose ? A manger ou à boire ? Demanda Ron. - A boire, répondit difficilement Harry d’une voix rauque. - Tu peux dire que tu nous a fait peur, déclara son meilleur ami en lui tendant un verre d’eau. Mr Taylor nous a dit que c’était à cause de la potion qu’il te met sur la cuisse. Harry acquiesça d’un faible hochement de tête. - Je crois que tu devrais arrêter. Tu as été parcouru de frissons toute la journée. Je n’ai jamais vu quelqu’un souffrir autant. - Je n’ai pas trop le choix, murmura Harry. Ma jambe ne guérit pas. - Il doit y avoir une autre solution. La manticore ne t’a pas tué mais ce truc risque fort d’y arriver. - Non, il n’y a pas d’autres solutions, répondit Harry d’une voix à peine audible. - Ses résolutions et son courage partaient en poussière. Maintenant qu’il en parlait à Ron, il n’avait plus envie de s’arrêter. Même s’il souffrait à chaque mot. - Si cette pommade ne me soigne pas, rien ne le pourra. Il y a de grandes chances pour que ma jambe reste…que je sois…Que je ne marche jamais plus comme avant, déclara Harry en se tournant avec défi vers Ron. En aucun cas, il ne voulait de sa pitié. Mais il n’en vit pas la moindre trace. Ron affichait une profonde compassion et une détermination que Harry ne lui avait jamais vu. Il ne répondit pas tout de suite mais saisit le poignet de Harry et le pressa doucement. - Je suis sûr qu’on trouvera une solution mais si tu prends du temps pour t’en remettre sache qu’on abandonnera pas. Je chercherai les horcruxes et les détruirais. Il se tut un court instant avant de reprendre : - Ce ne serait pas pareil sans toi mais je suis sûr que Hermione n’abandonnera pas non plus. Néanmoins, je suis certain que tu t’en sortiras comme toujours. - J’ai peur que pas cette fois, répondit Harry en essayant vainement de sourire. - Tu as déjà été blessé plus sérieusement que ça. - Tu crois, répliqua Harry en souriant avec un peu plus de conviction. Il voyait que son ami faisait tout son possible pour lui remonter le moral. - Je te rappelle que tu as été mordu par un basilic. - Fumseck m’a sauvé et j’ai eu beaucoup de chance cette fois-là. Ron le regarda un instant, son visage s’illumina soudain. - Qu’est-ce qui t’empêche d’en avoir cette fois aussi ? Demanda Ron avec un grand sourire. Harry l’observait sans comprendre. - Tu crois que Shifoo pourrait te soigner ?Interrogea Ron avec excitation. Harry essaya de se redresser mais fût rapidement contraint d’abandonner cette idée. Une douleur fulgurante le cloua sur place. - Peut-être, articula-t-il faiblement. Mais je ne sais pas s’il voudra le faire. - Ca ne coûte rien d’essayer, s’exclama Ron en se levant d’un bond. Ne bouge pas, je reviens. - Je ne risque pas, répondit Harry dans un murmure rauque. Mais son ami de toujours était déjà parti. Harry avait repris espoir. Il souhaitait que Shifoo l’aide mais, même s’il ne le faisait pas, il avait une autre raison d’espérer. Ron lui avait assuré que lui et Hermione n’abandonneraient pas quoi qu’il lui arrive. Il s’installa le plus confortablement possible. Il se sentait plus calme, plus serein qu’il ne l’avait été depuis longtemps et malgré la souffrance qui continuait à le tarauder. Ron revint une heure plus tard avec Shifoo au poing. Dés qu’il entra dans la chambre, Shifoo s’envola vers Harry et se posa en douceur près de lui. - Bonjour Shifoo, chuchota Harry. L’oiseau le regarda et se mit à chanter. De ce son si extraordinaire que seuls les phœnix peuvent produire. Harry sut alors que maintenant tout irait bien. Il écarta péniblement le drap de sa jambe et observa Shifoo. Celui-ci arrêta de chanter, le regarda en retour comme pour s’assurer qu’il faisait le bon choix. Le phœnix se tourna vers la cuisse mutilée et des gouttes grosses comme des perles s’écoulèrent le long de ses plumes pour venir se poser sur la plaie. Immédiatement, la douleur disparut, enfin remplacée par une douce sensation de chaleur. La plaie se referma rapidement, ne laissant comme cicatrice qu’un mauvais souvenir. S’il n’avait pas été convaincu que le phœnix n’apprécie pas ce genre de gratitude, Harry aurait volontiers serré l’oiseau contre lui. Shifoo émit un doux trémolo avant d’aller se poser sur le dossier de la chaise qu’avait occupé Ron, une heure plus tôt. Ce dernier s’approcha de Harry avec un grand sourire. - Tu vois, il y a toujours une solution, déclara Ron en riant. Maintenant qu’il avait retrouvé sa liberté de mouvement Harry était impatient de sortir de son lit. Au moment même où il se levait, il sentit que ses muscles étaient ankylosés par tant d’immobilité. - Où sont mes lunettes ? Demanda-t-il à son ami. - Elles sont restées avec la manticore dans l’orphelinat, répondit calmement Ron. Mais je suis sûr qu’on pourra arranger ça demain, au pire on demandera à Hermione. Au fait, je leur ai laissé un mot pour leur dire que Shifoo était avec nous. Harry acquiesça mais resta néanmoins concentré sur ce qu’il faisait. Ces quelques pas étaient plus durs à faire qu’il ne le pensait. - Les filles étaient tellement fatiguées que j’ai préféré ne pas les réveiller. Elles n’ont pour ainsi dire pas dormi depuis que nous sommes revenus de l’orphelinat, expliqua Ron qui, Harry le savait, surveillait chacun de ses pas. Hier, Ginny…était très choquée en revenant d’ici…Elle semblait croire que tu ne t’en sortirais pas. Je l’ai rarement vu paniquer mais quand on lui a dit que tu avais été grièvement blessé, elle voulait aller te voir sur le champ. Il a fallu que papa et maman la calment… | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 15:33 | |
| Harry finit par se laisser tomber assis sur le lit. Il était à bout de souffle et avait les jambes tremblantes. Il se sentait fatigué mais soulagé. Il s’installa confortablement et continua d’écouter Ron qui lui faisait un exposé détaillé de ce qui s’était passé au cours des trois dernières semaines. Harry s’endormit au son de sa voix. Ron ne se rendait visiblement pas compte que son ami ne l’écoutait plus.
Harry s’éveilla tard le lendemain. Il remarqua que Ron était parti sans Shifoo, qui semblait le veiller. Harry avait particulièrement bien dormi, avait très envie de se lever et de sortir de cette chambre qu’il n’avait que trop vu. Mais il lui fallait encore attendre que Ron revienne avec des vêtements et, il l’espérait, avec de quoi manger. Mr Taylor vint le voir fin de matinée, il lui expliqua qu’il était venu plus tôt mais l’avait laissé dormir. - Votre ami Ron m’a dit que votre phœnix vous avait soigné. C’est vraiment extraordinaire. Si je l’avais su, je vous aurais tout de suite suggéré cette solution. Je suis désolé de vous avoir imposé tant de souffrances inutiles. - Le principal, c’est que je m’en sois sorti, répondit Harry avec le sourire. Il n’avait aucune rancœur contre le magicomage. Il savait que celui-ci avait fait tout son possible pour l’aider. - Votre ami est parti chercher de quoi vous habiller. Mais il ne devrait plus tarder. J’ai prévenu Arthur qui m’a dit qu’il viendrait dés qu’il aurait vu Scrimgeour et s’arrangerait pour vous faire sortir discrètement. Harry était heureux de savoir qu’il pourrait bientôt quitter Saint-Mangouste. Alors que Jonas était sur le point de partir, Ron revint avec Ginny et Hermione. En découvrant Harry assis au bord du lit, parfaitement réveillé, Ginny se figea : visiblement Ron ne lui avait rien dit. Harry se leva et avança doucement vers elle. Ses muscles avaient perdu l’habitude mais il se sentait déjà plus sûr que la veille. Ginny combla rapidement les quelques pas qui les séparaient encore et vint se blottir dans ses bras. Harry la sentait trembler conter lui. Il lui murmura au creux de l’oreille : - J’ai fait un long cauchemar mais c’est terminé, maintenant. Ils relâchèrent presque à regret leur étreinte . Hermione le serra un court instant. Harry retourna s’asseoir pendant que Ron racontait aux filles comment lui était venue l’idée d’amener Shifoo à Harry. - J’y avais pensé, déclara Hermione à la fin du récit de son petit-ami. Mais je pensais que s’il avait pu faire quelque chose pour Harry, il serait venu tout de suite. - Je crois qu’il en était empêché, répondit Ron songeur. Il avait un fil attaché à la patte et qui le retenait à son perchoir. On aurait dit un crin de licorne. - Où aurait-il pu trouver ça ? Interrogea Ginny avec étonnement. - Pas la moindre idée, répondit Ron. Peut-être qu’il va faire un tour de temps en temps. - En tout cas, cela explique son agitation. Mr Weasley arriva après que Harry se fut habillé et ait copieusement dîner. Il était accompagné de Mrs Weasley qui serra longuement Harry dans ses bras, Ron du intervenir pour qu’elle ne l’étouffe pas. Mr Weasley semblait enchanté par cette fin heureuse. - Nous partirons d’ici une heure. Remus et Alastor nous rejoindrons au Square Grimmaud. Ron, Hermione et Ginny, vous partirez en avance avec Molly. Nous vous rejoindrons plus tard. Harry et moi devons aller au Ministère voir Scrimgeour. Harry aurait préféré rentré directement chez lui mais il se doutait que Mr Weasley avait déjà dû batailler ferme pour que le Ministre ne vienne pas plus tôt. Il était déterminé à ne pas parler des horcruxes à Scrimgeour. Il y avait déjà assez de monde au courant. Mr Weasley avait du expliquer à Remus et Maugrey pourquoi ils étaient dans cet orphelinat. De plus, il n’avait qu’une confiance limitée en Scrimgeour et surtout en son entourage. Mais il n’avait pas oublié l’idée d’Hermione concernant Mondingus et se dit que s’il avait l’occasion d’en profiter, il n’hésiterait pas.
Voilà n'hésitez pas à me donner vos impressions ça m'aide pas mal quand j'écris ainsi je vois les passages que vous préférez. Bonne lecture. | |
| | | Albusforever Elève de Dernière Année
Nombre de messages : 2820 Age : 34 Localisation : Paumée quelque part entre la Grande Ourse et Jupiter, dans le monde des rêves... Date d'inscription : 15/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 16:33 | |
| j'ai beaucoup aimé le chapitre d'avant si tu veux savoir, je trouve que ton idée est super !!! mais j'aime bien les autres aussi !!! vive toi, et vive HP !! | |
| | | kingkungfu Elève de Cinquième Année
Nombre de messages : 808 Age : 37 Localisation : In rainbows Date d'inscription : 06/10/2005
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 16:35 | |
| Pour ma part, c'est parfait, j'adore ta fic depuis que tu l'a commencée! Et en plus t'écris vite! | |
| | | salicorne Elève de Seconde Année
Nombre de messages : 120 Age : 42 Localisation : Belgique Date d'inscription : 22/01/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 18:36 | |
| Je n'écris pas particulièrement vite, mais j'avais pas mal de chapitres d'avance. Je vais d'ailleurs attendre demain pour vous mettre le début du 19 car vous lisez plus vite que je n'écris lol.
Merci pour vos commentaires. | |
| | | fulmetal Elève de Première Année
Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 28/02/2006
| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres Dim 2 Avr - 20:07 | |
| Ce nest pas grave si cest logs car la qualité de ton récit est super continue comme sa!!!
Ps jai un nous veaux forum sur harry potter merci d'aller y jetez un tours: http://harry-potter-rpg.forum2jeux.com/ | |
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| Sujet: Re: [Fanfiction] Harry Potter et l'Ordre des ténèbres | |
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