Harry Potter et l'Aube d'une ère nouvelle... [TERMINE]

le suite elle est trops bien ta fic la suite

Citation :

***

– Harry, te voilà mon chéri, dit Mrs Weasley en le voyant arriver, vas vite te préparer, Arthur va t'emmener au Ministère en même temps que pour son travail.
– D'accord Mrs Weasley.
Il monta dans sa chambre et en redescendit bien vite avec une robe de sorcier et les cheveux un tout petit peu moins mal coiffés qu'à l'ordinaire.
– Tu viens Harry ? On va transplaner dans le jardin.
– Au revoir tout le monde ! dit Harry joyeusement, et il ferma la porte derrière lui.
– Bon, tu as déjà transplané avec le Professeur Dumbledore et Remus, je pense que tu peux le refaire, prends mon bras.
Harry prit le bras de Mr Weasley, ferma les yeux et s'attendit à la désagréable sensation du transplanage. Il eut l'impression d'avoir le souffle coupé, et dans la noirceur du bref passage entre le Terrier et le Ministère, il eut l'impression fugace d'avoir oublié quelque chose, comme un rapeltout qui aurait rougit. Mais impossible de savoir quoi. Un battement de cœur plus tard, il ouvrit les yeux sur l'Atrium du Ministère de la Magie, la fontaine réparée gargouillait les gens passaient, mais tous avaient l'air tendus et crispés.
– Viens, Harry, il faut t'enregistrer au comptoir.
Harry déposa sa baguette sur le guichet.
– 30 cm, bois de houx, plume de phénix, en usage depuis 5 ans, c'est bien ça ?
– Oui, oui.
– Tenez, je vous rend ça, il lui tendit sa baguettes, et je garde ça, il rangea la papier dans une caisse de son comptoir. Mettez votre badge bien en évidence.
Harry prit le badge et l'épingla sur sa robe, il lut dessus : Harry Potter, rendez-vous avec le Ministre.
– Viens, je vais te conduire jusque là-bas, tu n'auras qu'à me rejoindre dans mon bureau quand tu aura fini avec Scrimgeour.
Ils prirent l'ascenseur, qui était vide à cette heure là, mais remplie de notes de service, et Harry dut se battre avec l'une d'elle pour pouvoir entrer dans la cabine. Arrivés à l'étage où il y avait le bureau du Ministre, toutes les notes s'engouffrèrent par la porte et passèrent en un coup de vent pour se glisser dans l'interstice des portes, la plupart sous la même : il y avait une porte impressionnante, en chêne massif, avec un grand écriteau sur lequel il y avait inscrit : Rufus Scrimgeour, Ministre de la Magie.
Mr Weasley frappa à la porte, qui s'ouvrit aussitôt.
– Entrez ! aboya la secrétaire, vous êtes ???
– Arthur Weasley, j'accompagne Harry Potter qui a rendez-vous avec le Ministre à onze heures précises.
Elle farfouilla un moment dans ses papiers et ses carnets avant de dire :
– Le Ministre va vous recevoir, suivez-moi Mr Potter. Elle se dirigea vers le fond du bureau, qui s'ouvrait sur un couloir. Sur les portes, Harry put lire les noms des différentes personnes travaillant directement pour le Ministre, et – son cœur accéléra à sa vue– celui de Dolores Ombrage, la mémorable Grande Inquisitrice de Poudlard, brièvement devenue Directrice après avoir provoqué la fuite de Dumbledore. La secrétaire le conduisit tout au fond du couloir, et frappa sans hésiter à la dernière porte.
– Harry Potter, Monsieur le Ministre.
Il se leva, contourna son bureau, la main tendue, que Harry serra en entendant la porte se refermer derrière lui. Scrimgeour lui fit signe de s'asseoir.
– Bienvenue, Harry, je suis content que vous ayez enfin accepté de venir.
– Disons plutôt que vous m'avez convoqué d'office, répondit Harry au tac au tac.
– Oui, euhhhhh, bon… il avait l'air un peu gêné, et se tordait les mains, j'aimerais vous parler un peu des évènements actuels, comme vous le savez, il y a eu des attaques de…
– Détraqueurs et de Loups-garous hier, je sais, j'ai lu la Gazette du Sorcier.
– La Gazette du Sorcier n'a pas relaté tous les évènements, à peine les deux tiers ont été signalés, nous ne voulons pas démoraliser tout le monde.
– Je suppose que vous voulez me faire la même demande ?dit Harry pour couper court à toute tentative de détournement de la conversation. Il avait envie de sortir rapidement de ce bureau dans lequel il avait l'impression d'étouffer. La décoration était sobre, les murs encombrés d'armoires desquelles débordaient des dossiers remplis de papiers.
– Je, oui, si vous pouviez venir au Ministère une fois où deux…
– Je suis déjà venu une fois, et je dois revenir pour passer mon examen de Transplanage, mais je ne pense pas revenir d'autres fois, je vous l'ai déjà dit, je ne veux pas devenir une mascotte.
– Très bien, je pense que vous savez que Stan Rocade a été libéré d'Azkaban.
– Oui, je l'ai vu brièvement au Magicobus. Sans cela je ne me serais même pas déplacé au Ministère…
– Je… oui, mais revenons aux Détraqueurs, je crois savoir que vous avez repoussé toute une horde qui se dirigeait vers le Terrier.
– Oui, c'est ça, mais je ne vois pas où vous voulez en venir.
– Où je veux en venir ? C'est que, vous comprenez, nous ne sommes pas dans un climat de confiance, et ces attaques ne font que renforcer cette peur qui saisit la communauté magique, si vous pouviez, ne serait-ce qu'une fois, nous aider à repousser des Détraqueurs…
– Et ainsi donner l'impression que je travaille pour le Ministère ?
– Ça redonnerait confiance à tout le monde, de savoir que l'Élu travaille main dans la main avec le Ministère !
– Je ne suis pas l'Élu, et quand bien même je le serais, je ne vois pas ce que ça changerait.
– Ce que ça changerait ? Ça changerait tout, Harry, les gens ont besoin d'espoir, ils ont besoin de savoir que quelqu'un veille sur eux, de savoir que tout peut s'arranger ! Vous représentez cet espoir, Harry, que vous le vouliez ou non ! Vous avez déjà par cinq fois échappé à Celui- Dont- Le- Nom- Ne- Doit- Pas- Être- Prononcé ! Tout le monde à besoin de savoir que vous luttez contre lui !
– Le Ministère était beaucoup moins enthousiaste sur mon compte il y a deux ans…il croisa ses mains sous son menton pour que Scrimgeour puisse voir la cicatrice blafarde qui lui restait des terrible retenues avec Ombrage, quand il devait écrire "je ne dois pas dire de mensonges" avec son propre sang, et qui restait nettement visible, même après tout ce temps. Vous aviez alors refusé de voir la vérité, vous avez mis des bâtons dans les roues à moi et à Dumbledore, le Ministère a permis à Voldemort de retrouver les forces qui étaient siennes avant sa chute. Par son inaction, il lui a donné une seconde chance !
Scrimgeour s'était crispé pendant la tirade de Harry, il avait tressaillit en entendant le nom du Seigneur des Ténèbres, et ce fut presque avec un ton suppliant qu'il lui répondit :
– Les circonstances peuvent changer, Harry, vous savez à quel point le Ministère regrette son attitude envers vous il y a deux ans.
– Dolores Ombrage est toujours au même poste il me semble, j'ai vu son bureau en arrivant ici…
– Dolores Ombrage est partie de Poudlard, et en plus, vous êtes, je suppose, au courant de la tragédie…
– Je sais, Voldemort a assassiné Cornélius Fudge de ses propres mains…
– Ce n'est pas tout ! Tous les jours nous recevons les échos de nouvelles attaques, de nouvelles tragédies, même chez les moldus qui commencent à sentir quelque chose. Nous avons besoin de votre aide !
Harry réfléchit un instant. Après tout, malgré toute la rancune qu'il conservait vis-à-vis du Ministère, il était en son pouvoir de faire bouger un peu les choses. Quoi qu'ils aient pu lui faire, et comme l'avait bien dit Dumbledore, tant qu'ils étaient opposés à Voldemort, ils restaient dans le même camp. Et il savait que refuser plus longtemps son aide ne pouvait que diviser son camp, déjà bien affaiblit.
– Très bien, soupira Harry, que voulez-vous que je fasse ?
– Je, euh, comme vous avez l'air redoutablement efficace contre les détraqueurs, vous pourriez peut-être donner un coup de main à ceux chargés de les combattre, je vais vous mettre en contact avec le bureau des Aurors. Il avait l'air, de toute évidence, très soulagé que Harry ait enfin accepté de l'aider. Et d'ailleurs, est-ce que je peux vous demander comment vous avez réussi à mettre en fuite près de deux cent Détraqueurs à vous tout seul ? Bien peu de sorciers d'âge mûr en seraient capables…
– C'est que, vous voyez, je n'étais pas seul en réalité. Vous connaissez sûrement le sortilège qui consiste à transférer momentanément des pouvoirs magiques à une personnes…
– Je vois, c'est très ingénieux…
– Mais que ça soit bien clair entre nous, mon seul et unique but reste la défaite de Voldemort, cela dit, si certaines des mesures du Ministère, comme l'arrestation de Stan Rocade, ne me plaisent pas, je ne manquerais pas de vous le faire savoir.
– Bien entendu, bien entendu. Je vois que vous êtes…
– L'homme de Dumbledore jusqu'au bout des ongles, je sais.

***

Loin du Ministère, très loin du Ministère, Draco Malefoy était beaucoup moins soulagé que le Ministre de la Magie. Bellatrix lui avait déjà passé un douloureux savon, et ça n'était rien en comparaison de ce que Rogue lui réservait. Et il n'osait même pas penser à son maître, le Seigneur des Ténèbres, qui n'avait pas pour réputation de pardonner facilement.

Pour sa seconde mission, il avait échoué. Comme pour la première, l'objectif avait été atteint, mais pas par lui, et pas comme il aurait dû être atteint. Il avait pourtant tout planifié avec soin, fait poster les Détraqueur aux endroits stratégiques, et leur avaient donné l'ordre d'attaquer au bon moment, l'armée que commandait Greyback ayant attaqué la nuit même. Mais ça n'avait pas eu l'effet escompté. Un minuscule grain de sable s'était mis au milieu des rouages bien huilés que Draco avait mit tant de mal à mettre en place.

Et ce grain de sable s'appelait Harry Potter. Draco avait pourtant prévu que sa garde rapprochée ne pouvait repousser qu'au mieux une centaine de Détraqueurs, et par conséquent, il en avait envoyé le double, pour être sûr du résultat. Mais par un stratagème qu'il ignorait, il avait non seulement réussi à repousser les Détraqueurs qui auraient dû l'anéantir, mais en plus, le gros des troupes avaient entièrement disparu. Des espions qui avaient été postés près du Terrier où résidait Harry Potter, lui avaient raconté qu'il l'avaient vu, seul sur son balai magique, faire le plus grand Patronus qu'ils aient jamais vu, et qui avait enfermé tous les Détraqueurs présents dans une sphère étincelante, puis qui les avaient totalement englobés, puis faits disparaître.

Malgré la réussite de tous les autres groupes, cette perte si grande avait masqué aux yeux de tous la réussite de Draco. Sa conscience se réveillait encore plus douloureusement, et certains Mangemorts commençaient à penser qu'il ne mettait pas tout en œuvre pour la réussite de sa mission, et pour servir le Seigneur des Ténèbres. Ils le disaient faible après l'échec de sa première mission, ils le disent lâche et trouillard désormais. Et Draco lui-même avait du mal à démentir cette version.

Draco Malefoy n'était pas un meurtrier.

super ta suite je vais respecter la demande je te laisse tranquile pour que tu puis faire tes devoirs et j'invite tout le monde à étre un peu passient

ta piqué l'exemplair secret du tome 7 à jkr ce n'est pas possible autrement franchement ca déchire tout ta fanfic est vraiment terrible merci pour ce texte j'arrive à me passer le temps ou j'attendai la suite de harry potter
FRANCHEMENT CHAPEAU BAS

é bé merci à tous, en fait j'alterne hp et devoirs, donc j'ai pu finir le chapitre 8 (zavez qu'à aller voir le précédent post que j'ai édité)

pour la suite faudra attendre un peu quand même...
et encore merci à tous

oualalalalalalalal suite et plus vite que ca ou je m'énerve mdr

et toujours pas de titre ??

Shinara veut absolument un titre laisse la travailler

mais vi ze veux mon titre, ça me stress moi quand il y a pas de titre désolée

A bon je ne trouve pas ca stressant pourtant je ne sais pas imagine toi un titre genre "harry potter et la lutte pour les horcruxe" je sais pas moi lol

Albusforever a écrit:

PS @raiden : j'ai 15 ans pouquoi ???[/color]

Pour savoir, pour 15 ans tu a de trés bonne idée bravo et moi aussi je voudrais savoir si tu va mettre un titre
J'attend la suite avec impacient

T'a pas encor fini tes devoirs que t'ai long nan je rigole a quand la suite et plus vite que ca

Oui à quand la suite

nan, juste parce que ça l'énerve, je vais pas en mettre
en fait je réfléchis mais j'ai toujours pas trouvé un truc qui me plaisait vraiment, et puis j'en suis qu'au début de l'histoire^^

non, nous fait pas souffrir, s'il faut je te donne des idées mais nous fait pas souffrir

a quand la suite ?? quand je l'aurais écrite, c'te question....
chais pas en fait, j'ai 2 semaines de cours à ratrapper, et donc je pourrais plus écrire en cours comme avant.. et j'avais plein de devoirs (ouf, presque fini)
je m'y remet au plus vite, vala!!
pour le titre, je SAIS PAS!!!

OOOOOOOoo que t'ai long lol nan je rigole j'adore ton travaille de rédaction et meme si la suite est parfois longue On est jamais décu par la suite de ton histoire

salut albusforever

j ai commencer a lire ton histoire et elle est vraiment pas mal
j aime beaucoup continue comme ca

au fait moi aussi je penssai que t etai un garcon mais apparement pas
lol

bonne continuation

ludo

Albusforever a écrit:

a quand la suite ?? quand je l'aurais écrite, c'te question....
chais pas en fait, j'ai 2 semaines de cours à ratrapper, et donc je pourrais plus écrire en cours comme avant.. et j'avais plein de devoirs (ouf, presque fini)
je m'y remet au plus vite, vala!!
pour le titre, je SAIS PAS!!!

rohhhh t'arrêtes de te moquée albus

et non notre albus nationale est une chique fille

Chapitre 9 :
Retour aux sources

Citation :

– Alors, qu'est-ce qu'il voulait ? demanda Mr Weasley quand Harry entra dans son bureau. Celui-ci avait bien changé depuis la dernière fois que Harry était venu, juste avant son Audition parce qu'il avait repoussé deux Détraqueurs. Le bureau avait, on se sait comment, décuplé de surface. Il était maintenant large et confortable, et avait désormais trois fenêtres magiques qui étaient au beau fixe. Les associés de Mr Weasley avaient chacun leur bureau, sur lesquels étaient entassés des piles de dossiers bien nets. Sur les murs, Harry vit les inévitables plans techniques de voitures, et notices d'installation de câbles électriques, qui témoignaient de la grande passion de Mr Weasley, les moldus.
– La même chose que la dernière fois, répondit Harry d'une voix lasse, que je l'aide à remonter le moral de tout le monde en faisant croire que je suis l'Élu, et en travaillant pour le Ministère.
– Je dois avouer que tout le monde à bien besoin de se faire remonter le moral…
– C'est pour ça que j'ai accepté de leur donner un petit coup de main, après tout, la seule personne à laquelle je suis opposé, c'est Voldemort, pas le Ministre.
– Sage décision, il vaut mieux que tu mette tout ton poids dans la balance, plutôt que de rester à l'écart par excès de fierté. Je vais te ramener au Terrier, puisque tu n'as plus rien à faire ici…

Quand ils remontèrent, Harry vit que tous les regards étaient fixés sur lui et faisaient l'habituel trajet jusqu'à sa cicatrice. Il fut soulagé quand ils purent enfin transplaner, et une seconde plus tard, Harry de trouvait juste devant le Terrier, dont sortaient une alléchante odeur de cuisine. En poussant la porte d'entrée, en voyant Ginny souriante sous le ciel bleu retrouvé, il lui aurait été difficile à cet instant précis de se soucier de quoi que ce soit, y compris de Lord Voldemort. Mrs Weasley leur fit signe de se mettre à table, et Harry put, enfin, profiter pleinement de ses vacances.

Mais Harry ne le savait malheureusement que trop bien, les bons moments n'étaient pas faits pour durer. Et cette fois-ci, la fin arriva par la voix d'Hermione.
– Harry, tu te rappelles qu'on doit absolument s'entraîner ?
– Mouais, faudrait peut-être. Et on avait aussi dit qu'on irait à Godric Hollow…
– Pas avant que vous ayez passé votre examen de Transplanage, je peux escorter Ginny, mais pas vous trois…
– Ron et moi nous devons aller la semaine prochaine au Ministère pour le Transplanage, et je dois aller au rendez-vous de Percy le 20 Août, mais entre temps, je suis libre. On n'a qu'à y aller juste après qu'on ait eu notre examen, ça ne devrait pas trop poser de problèmes…
– Tiens, dit Hermione en lui tendant un morceau de parchemin, j'ai fait une petite liste des sorts qu'on doit absolument apprendre avant la rentrée… elle lui tendit une pile de parchemin, et ça c'est ce qu'on doit apprendre dans l'année…
– QUOI !?!? Mais t'as la moindre idée du temps que ça va prendre ? Même en travaillant jour et nuit on n'aura pas fini avant mes 90 ans !
– Raison de plus pour commencer maintenant ! dit Hermione en se levant, je vais chercher Ginny et Ron, on va se mettre dans le jardin, ça évitera d'envoyer des sorts de partout…
– D'accord, dit Harry, résigné, je vais préparer un coin pour s'entraîner dans le Verger, il prit la liasse de parchemin qu'avait préparé Hermione et sortit dans le jardin.
Deux minutes plus tard, il les vit arriver en courant…
– Bon, dit Harry en parcourant la liste qu'avait fait Hermione, on n'a qu'à commencer par les sorts de défense, ça évitera les accidents…
Il ne put s'empêcher d'admirer intérieurement l'organisation et l'efficacité d'Hermione. Celle-ci avait classé les sorts par catégorie et par ordre de difficulté, avec les renvois à des livres précis, et à d'autres sorts qui s'y apparentent, plus une brève description des effets, et la formule nécessaire pour l'envoyer. Avec une liste pareille, il n'avait plus de recherches à faire, ni à se creuser la tête…
– On dirait Lockhart… dit Ron en souriant.
– Bon, je pense qu'on peut commencer par celui-là, Sortilège de Froideur, qui permet de ralentir les réflexes de l'adversaire, et qui ralentit l'arrivée des sortilèges qu'il vous envoie à la figure…
– Mouais, ça a l'air pas mal, mais pour Ron, on n'en a pas besoin, dit Ginny avec un sourire malicieux, il a déjà les réflexes d'une marmotte !
– Oh, toi ! dit-il en se levant et en lui courant après.

L'entraînement dura jusqu'au soir. Fourbus mais ravis, ils avaient appris cinq sorts et contre sorts, et malgré les prédictions défaitistes de Harry, ils étaient en bonne voie pour avoir fini la première liste avant la rentrée ; ce qui fit remarquer à Hermione que Harry avait bien fait d'arrêter la divination.

La semaine se passa ainsi, entre sorts et contre sorts, quelques dégnomage de jardins et dans une ambiance joyeuse, ni Harry, ni Ron, ni Ginny n'avaient jamais autant pris de plaisir à apprendre de nouvelles choses, et Hermione, épuisée mais ravie, rayonnait.

***

– On est convoqués à quelle heure ? demanda Ron à Harry, pour la, il lui semblait bien, onze millième fois de la matinée.
– Moi à 11h30, et toi à midi, répondit Harry avec lassitude. Mais arrêtes de stresser, tout va bien se passer !
– Parles pour toi, j'ai déjà loupé ce fichu examen une fois, et j'ai pas envie de passer ma vie à essayer de l'avoir. Fred et George l'ont eu du premier coup !
– Bah, t'as eu plus de BUSE qu'eux deux réunis, t'as pas à te plaindre pour les examens, dit Harry, lassé.

Heureusement pour lui un sorcier du Ministère arriva dans la salle où ils attendaient, et appela Harry. Il le conduit dans une salle où l'attendait une sorcière qui l'accueillit en souriant.

– Bienvenue Mr Potter, il n'y a aucune raison de vous inquiéter pour cet examen si vous savez transplaner, il n'y aura aucun problème ! ajouta-t-elle en voyant son air soucieux.
– Très bien, que dois-je faire ?
– Tenez, dit elle en lui tendant un morceau de parchemin, vous avez ici une liste de lieux, vous devez vous y rendre en transplanant, y récupérer à chaque endroit une plaquette portant votre nom, et revenir ici. Prenez votre temps, nous ne sommes pas pressés !
– D'accord, dit Harry.

Il se concentra sur les trois D qu'il avait appris, et une seconde plus tard, il ouvrait les yeux sur le quai 9 ¾ en souriant, il prit la plaquette qui était posée sur une table bien en évidence, sur laquelle il y avait posé une multitude de plaques. Il eut la satisfaction de voir que celle de Malefoy était toujours là, preuve qu'il ne s'était pas présenté.

Sur sa plaquette, il y avait écrit : "Examen de transplanage, Mr Harry James Potter, Quai 9 ¾ " il la glissa dans sa poche, et transplana vers le lieu suivant indiqué sur sa liste. Transplaner était devenu si facile pour lui qu'il ne se rendait presque même plus compte de l'horrible sensation qu'elle entraînait. Il retourna au Ministère en un rien de temps.

– Très bien, dit la sorcière qui l'avait accueillit, montrez moi vos plaquettes. Elle vérifia rapidement qu'il les avait toutes en cochant sur sa liste.
– Alors ?
– C'est bon, dit-elle, je pense que vous pouvez avoir votre permis sans problème, prenez cette porte et on va vous donner votre certificat.
– Merci.
Harry prit la porte qu'elle lui avait indiqué, et entra dans une petite pièce, où il y avait un autre sorcier du ministère de la magie, dont la tête rappela quelque chose à Harry, qui lui tendit un morceau de parchemin et lui dit qu'il pouvait rejoindre les autres, que son examen était terminé.

– Et bien, dit Harry à Ron quand tout fut fini pour eux deux, Ron l'ayant eu cette fois-ci, je sais pas comment t'as fait pour le louper la dernière fois, il suffit d'arriver au bon endroit, et avec ses deux sourcils !
– Justement, j'étais pas arrivé au bon endroit, j'avais pas réussi à aller au Chaudron Baveur, j'ai atterrit au beau milieu de Londres avant de pouvoir revenir à l'endroit prévu, et en laissant un morceau de sourcil derrière moi …
– Bon, en tout cas, on l'a eu, c'est l'essentiel, on rentre au Terrier ?
– Après toi, dit Ron avec un grand sourire.

super ce chapitre
continue comme ca

ludo

Début de chapitre trés bien mademoiselle continuez lol
TROP TROP TROP BIEN

Toujour aussi bon

c'est lassant je trouve plus comment te féliciter, bon ben simplement BRAVO

Citation :

Quand ils transplanèrent devant le Terrier, ils eurent à peine le temps de voir une silhouette fugitive avant qu'Hermione ne leur tombe dessus.
– Alors, vous l'avez eu ? fit-elle d'un ton surexité.
– Ben, vu que Ron a toujours ses deux sourcils intacts, dit Harry avec un grand sourire.
– Tu vois bien comment on est arrivés, non ? renchérit Ron, qui souriait lui aussi.
– C'est merveilleux ! Maintenant on pourra aller où on veut tous les trois.
– Tous les quatre, je ne pense pas que Ginny ne nous laisse partir comme ça, rectifia Harry.
– On retourne s'entraîner ? proposa Hermione d'un ton enthousiaste.
– J'avais pensé à quelque chose pour demain, dit Harry soudainement.
– Quoi ?
– Je voulais depuis longtemps aller à Godric Hollow, tu sais le village de mes parents. Alors, maintenant qu'on peut transplaner, ça serait bien d'y aller avant la rentrée.
– On peut y aller cet après-midi, dit Ron, a moins que tu veuille y faire quelque chose de particulier…
– Je sais pas trop, je voulais aller voir là où était ma maison, et… aller aussi au cimetière, ajouta-il, la voix brisée.
– On va venir avec toi, dit Hermione, on ne peut pas te laisser seul.
– Merci, répondit-il, content qu'elle ait fait cette suggestion, pour éviter qu'il ne la fasse lui-même. Il aurait préféré avaler du pus de Bulobulb plutôt que de l'admettre devant elle, mais leur compagnie était beaucoup plus que rassurante, il avait besoin d'un fort soutient moral, maintenant qu'il n'y avait plus rien ni personne entre Voldemort et lui. Il n'avait pas l'intention de laisser ses amis le faire, mais rien que leur compagnie était plus réconfortante qu'il ne saurait le dire.

– Vous venez ?demanda Mrs Weasley, qui se demandait ce qu'ils faisaient dehors. Alors, vous l'avez eu ?
– Sans problème ! fit Harry avec un grand sourire, et Ron aussi !
– Formidable ! Venez tous les quatre, le repas est prêt ! J'ai fait de la tarte à la mélasse pour le dessert, je sais que c'est ton plat préféré, Harry.
– Eh, moi aussi j'aime ça ! protesta Ron, ce qui provoqua des sourires amusés des quatre autres.

– Bon, dit Harry, je crois qu'on peut y aller maintenant, j'ai prévenu ta mère qu'on s'en allait pour l'après midi.
– Je peux venir ? demanda Ginny innocemment.
– Tu ne sais pas encore transplaner… commença Harry
– C'est pas grave, intervint Hermione, voyant où il voulait en venir, je vais l'aider, c'est pas compliqué.
– Bon, très bien, allons-y, fit Harry, résigné.

Il se concentra sur sa destination et ferma les yeux. Il sentit cette horrible sensation de passer à travers un tuyau en caoutchouc à laquelle il était un peu habitué désormais, mais il prit pour opinion définitive qu'il préférait largement les balais.

Quand il ouvrit les yeux, il était juste devant le panneau d'entrée d'un magnifique petit village à flanc de montagne. Il y avait des maisons aux murs de pierre et aux toits d'ardoises qui bordaient des rues pavées, il voyait pas très loin de lui des champs cultivés, et quelques vaches qui broutaient paisiblement dans un autre champ. Il y avait peu de passants dans les rues, et Harry vit une fontaine de laquelle jaillissait de l'eau en gargouillant paisiblement, les montagnes au loin étaient tout ce qu'il y a de plus calmes et paisibles. Rien de ce qu'il avait imaginé ne correspondait à la vision de rêve dans laquelle il était tombé.

– Ben ça alors, dit Ron qui avait atterrit juste à côté de lui, tu ne nous avais pas dit que c'était paumé au beau milieu des montagnes.
– Je l'ignorais, ou du moins je ne m'en rappelle pas, j'avais un an et des brouettes quand je suis parti d'ici,…
– Waooh, c'était là que t'habitais Harry ? demanda Hermione qui avait elle aussi transplané, et qui se tourna vers Ginny, ça va, pas trop secouée ?
– Je, … je crois que je préfère voler, c'est nettement plus agréable.
– C'est clair, renchérit Harry et il ajouta avec beaucoup de sollicitude : on y va quand tu es prête.
– Ok, allons-y. Tu sais à peu près où se trouvait ta maison ?
– Et bien, je crois que c'était en haut du village, mais je sais pas exactement, on verra bien… allons par là, ajouta-t-il en désignant de la main une ruelle étroite qui montait.

Elle avait l'air d'être taillée dans la masse, et Harry se dit qu'il aimait beaucoup ce village, et pas seulement parce qu'il y avait vécu tous ses meilleurs moments, avec ses parents. En haut,le souffle court, Harry s'engagea vers une ruelle encore plus étroite à droite, il était sûr que c'était par là-bas. Ils sortirent du village sous un soleil rayonnant, il y avait une unique route qui montait à flanc, et qui menait à un col, à l'horizon.


– Euh, Harry, dit Hermione timidement, tu es sûr que c'est par là ? Je ne vois plus aucune maison…
– Oui, oui, dit-il l'air absent, c'est un peu plus haut.

En effet, quelques mètres plus haut, derrière un virage, un chemin de terre montait sur leur droite, et se perdait dans l'épaisseur de la forêt. Harry s'y engagea sans hésiter, comme mû par une volonté qui n'était pas sienne, et les autres durent accélérer le pas pour pouvoir rester à son niveau. Le chemin était agréable pour marcher, les racines polies faisaient office de marches, la terre était douce sous leurs pieds, et il n'y avait pas une seule pierre. Les arbres leurs prodiguaient une ombre bienfaisante, et déployaient majestueusement leurs branches au dessus de leurs têtes. Malgré le fait que le soleil était voilé par les trop nombreuses feuilles, ils ne se sentaient nullement menacés dans cette forêt si paisible, les oiseaux chantaient.

Soudain, au détours d'un chemin, ils sortirent du bois pour arriver dans une petite clairière ; adossée à la montagne à pic, il y avait une maison. Celle-ci était à moitié en ruine, les murs tristement écroulés laissaient voir qu'à l'intérieur, la forêt avait commencé à reprendre ses droits. Une partie semblait cependant encore en assez bon état, et la charpente tenait encore.

– Harry, tu es sûr que c'est là ? répéta Hermione.
– La magie laisse toujours des traces, dit il avec un sourire énigmatique. En tout cas c'était là, dans cette maison.
– Et bien, fit remarquer Ron, c'est assez isolé comme endroit, ils craignaient les visiteurs ?
– Ouais, des visiteurs dans le genre de Voldemort, personne n'en veut, fit remarquer Ginny judicieusement, valait mieux être bien caché.
– Je vais voir à l'intérieur comment c'est, dit Harry en se dirigeant vers la partie la plus intacte de son ancienne maison.
Il poussa la porte encore intacte, et entra. L'intérieur offrait un contraste saisissant avec l'extérieur, car la maison était tout ce qu'il y avait de plus moderne et confortable pour l'époque à laquelle elle était encore utilisée. Harry était entré dans le salon, ses amis sur ses talons.

– Harry, qu'est-ce c'est ?souffla Ginny en désignant le sol.

Sur le parquet, il y avait un endroit où la poussière, présente partout ailleurs, ne s'était pas déposée. Un endroit qui avait une forme vaguement humaine, de quelqu'un qui se serait écroulé par terre. Harry tomba à genoux.

– Papa ? souffla-t-il, la voix étrangement rauque. Il sentit sa vue se brouiller, et ses larmes monter à ses yeux. Il posa sa main, et la fit glisser le long du parquet, comme pour toucher ce quelque chose d'immatériel qui avait empêché la poussière de tomber. Il y eut un long silence. Ce fut finalement Hermione qui le brisa. Elle posa doucement sa main sur son épaule.

– Harry ?
– Retournez dehors, dit-il en se relevant, je vais vous rejoindre… dans un moment.
– Comme tu veux, dit Hermione, devinant qu'il avait envie de rester seul.

Il y avait des traces de pas dans la poussière qui se dirigeaient vers un escalier et à côté, une grosse trace qui ondulait.

– Voldemort, dit Harry à lui-même, et Nagini à côté.

Il se précipita vers l'escalier, qui, heureusement, n'était pas assez vermoulu pour s'écrouler, et il supporta son poids quand il monta à l'étage. Il suivit les traces de pas jusqu'à une porte. Harry la poussa doucement, sachant très bien ce qu'il allait découvrir derrière.

Il y avait une chambre d'enfant, les murs peints en bleu, les rideaux tirés, un petit lit à barreaux blancs dans un coin, dont les draps étaient encore dans la position qu'ils étaient il y a seize ans, tirés violemment, et il y avait encore l'empreinte d'une petite tête sur l'oreiller, où il y avait brodé un petit H, juste à côté un ours en peluche tendait les bras, et regardait Harry de ses petits yeux noisette.

Harry vit une penderie entrouverte, dont les vêtements de bébé étaient encore posés en piles bien nettes sur les étagères. Au mur, il y avait un cadre, dans lequel on pouvait voir Harry dans les bras de sa mère qui le couvait du regard, James était derrière eux, et avait posé sa main sur l'épaule de sa femme, tandis qu'il regardait son fils avec amour. Et à côté un tableau brodé, où il y avait inscrit Harry J Potter, né le 31 juillet 1980.

A terre, il y avait aussi une forme dessinée dans la poussière, qui marquait le lieu où Lily était tombée, dans son ultime tentative de protéger son fils, et Harry voyait aussi l'endroit où les pas de Voldemort s'étaient arrêtés, où il avait levé sa baguette vers lui, Harry, et où il avait reçu de plein fouet le sort qu'il avait lui-même envoyé. Mais il n'y avait rien à terre qui marquait l'endroit où Voldemort s'était écroulé, comme si personne n'avait gardé dans sa mémoire tout son amour pour lui, comme c'était le cas, Harry l'avait compris, pour ses parents.

Il avait l'impression d'être entré dans un sanctuaire, où rien n'avait changé depuis prés de seize ans. Harry ne s'était pas rendu compte que les larmes roulaient sur ses joues et tombaient à terre. Il ne savait pas combien de temps il était resté là, mais il sentit une étrange chaleur à son cou. C'était le médaillon de Pétunia. Il l'ouvrit, et vit que la partie correspondant à Lily était redevenue brillante, comme celle de sa sœur, mais il ne vit rien à l'intérieur. Se demandant ce que ça pouvait bien signifier, Harry referma le pendentif et le remis sous sa chemise. Il ne savait pas vraiment pourquoi, il n'avait parlé de ce bijou à personne.

Au moment où il allait partir, il s'aperçut qu'il y avait quelque chose d'autre à terre, à l'endroit où aurait dû se trouver la main de sa mère. Harry cligna des yeux, et il ne vit plus rien. Intrigué, il s'approcha, et soudain il revit quelque chose. Comme un spectre, comme la trace fantomatique de quelque chose, quelque chose de magique. Une trace.

Le déclic se fit dans son esprit : "La magie laisse toujours des traces, lui disait Dumbledore dans la grotte. Et parfois même des traces très significatives." Il posa sa main sur cette chose et sentit sous ses doigts qu'il y avait bien quelque chose, mais il ne voyais toujours pas quoi. On aurait dit au toucher qu'il s'agissait d'un morceau de parchemin roulé sur lui-même. Il se rappela que Dumbledore avait fait apparaître le bateau de Voldemort en donnant un coup de baguette, et sortit la sienne, donna un léger coup à son poing serré, mais rien ne se passa. Il murmura révélatio en répétant son geste, et cette fois-ci, il put voir ce qu'il avait dans la main. C'était effectivement un rouleau de parchemin, qui était écrasé au milieu, comme si Lily l'avait serré de toutes ses forces, que ce simple morceau de parchemin annonçait sa fin si proche.

Le cœur battant la chamade, Harry déroula lentement le message, et avec ses yeux si verts, lut ce qu'il y avait écrit. L'écriture était précipitée, comme si son auteur n'avait que quelques secondes pour écrire, il y avait des trous dans le parchemin là où la plume s'était arrêtée trop vite, et des grandes giclures d'encre, dues sûrement au fait qu'il avait trempé sa plume dans l'encrier avec trop de précipitation. Il y avait des étranges traces rondes, où l'encre était diluée, comme si quelqu'un avait pleuré en lisant, ou en écrivant la lettre.

Lily,
Il sait tout, un traître lui a dit où vous habitiez, il arrive en courant. Vous n'avez aucune chance de le vaincre au combat, fuyez le plus vite possible, retournez auprès de Dumbledore, lui seul peut vous protéger. Il veut la peau de votre fils, de lui seul dépend l'issue de votre combat.

Pardonnez-moi tout le mal que je vous ait fait.

S. R.

Harry retint à grand peine le cri qu'il aurait voulu pousser, et, sans trop savoir pourquoi, attrapa à la volée son ourson en peluche, et, sans plus réfléchir, dévala dans le sens inverse les escaliers, et sortit en courant de la chambre. Derrière lui, tout s'effondrait, comme si les murs avaient attendu la visite de Harry pour enfin céder aux épreuves du temps. Harry déboula dans la clairière quand la partie de la maison qui devait correspondre à son ancienne chambre tombait. Les autres s'étaient tournés en voyant le premier nuage de poussière, et coururent vers lui.

– Harry, criait Hermione, tu vas bien ?
– Oui, je crois, dit-il en s'arrêtant de courir quand il fut à leur niveau, ça a commencé à tomber derrière moi.
– Harry ? Mais qu'est-ce que tu fais avec ça ?demanda Ginny en désignant l'ours en peluche qu'il serrait sous un bras.
– Ben quoi, répondit-il sur la défensive, c'est mon ours, non ?
– Tu ne crois pas que les moldus risquent d'entendre tout ce vacarme ?demanda Ron en entendant des cris derrière eux.
– Partons, vite ! On retourne au Terrier, dans le jardin décida Harry. Et il transplana.

vu que JKR n'a rien dit sur la maison à part qu'elle était en ruine, je fais ce que j'imagine !! Ben, on va faire comme si yavait que la moitié en ruine, sinon ça ne colle plus avec mon histoire !!

Premier

Tu a raison il n'y a pas de description de Godric Hollow, toujour aussi bien alors continue