Harry Potter et l'Aube d'une ère nouvelle... [TERMINE]

Ben il regarde les feux de l'amour !!!!!!!!!!!!!


je te fais la mention spéciale:

Génialissime

non, je ne regarde pas les feus de l'amour... bon, si c'est la femme qui parle en premier, je vais inventer des paroles rituelles pour les sorciers, on fera avec.
En fait, j'ai déjà écrit la fin (ça va faire rire Shinara, faut toujours que je fasse tout à l'envers ) c'est une bonne idée, je vais mettre les deux ,comme ça chacun choisira celle qu'il préfère... mais pour ça va falloir être patient, je suis partie pour écrire 600 pages

decidement c'est genial ici
un bouquin de 600 pages quel bonheur!!!!!
merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
et courage

Albusforever est la nouvelle JKR je croi que tu ne gagnera pas autant qu'elle pour cette fanfiction pourtant elle en vaut le coup franchement je te tire mon chapeau

je plaisantais, j'ai pas l'intention d'écrire 600 pages quoique, tant que j'ai des idées... pour le moment, j'en suis à 70 pages word tout compris, alors...

edit : finalement, j'ai pompé les paroles rituelles sur Friends, eh oui, la référence avec un peu de magie, sinon c'est pas drôle...
re edit : j'ai édité le premier post de cette page pour mettre la fin du chapitre 7. Je déteste les cérémonies officielles, alors si jamais vous avez des suggestions pour l'améliorer...

[quote="Albusforever"] (ça va faire rire Shinara, faut toujours que je fasse tout à l'envers ) quote]

amis euhhhhhhhhhhhhh plus de mention spéciale si tu continue
je te préviens albus !!!!

allez suite maystro (je sais pas comment ça s'écrit mais c'est pas grave==>je vais faire comme albus je vais l'écrire à l'envers^^)

la suite la suite la suite!!!!
on en peut plus d'attendre!!!!

ben, va falloir patienter, parce que là, je m'occupe plus d'écrire de tracts anti CPE et de bloquer mon lycée qu'autre chose, alors en plus faut que je ratrappe tous les cours que j'ai dû sécher, alors un peu de patience...

alala ben fallait pas secher!!! rooooooo!! lol!!!

Alor a quand la suite je brule d'impatience mais je vais pas te dire d'arréter la gréve alors que moi meme je la fait donc nous attendons la suite avec impatience

désolée pour la fanfic, je n'arrête pas, mais faudra attendre un moment... j'ai même pas le temps de finir mes devoirs, alors pour la fanfic, encore moins !!! mais dés que le CPE est retiré, je m'y remet de suite, promis !!

Ca veut dire jamais ou en 2007 car le CPE ne sera jamais enlevé comme ca mais bon ca fait rien il y a un otre topic pour parler de ca sur ceci a plus

ben alors ....??la suite!!!! où alors c'est mon ordi qui beugue.. mais ca fait bien 15 jours qu'on a plus rien !!

Salut


Vivement la suite, ton histoire est trés original, continue

non, ton ordi ne buge pas, ça fait 15j que j'ai pas écrit une ligne...
je m'y remet aux vacances, promis juré craché !!!

Noooooooooon pourrais pas attendre aussi lontemps je t'en suplie remais toi s'y

mes vacances c'est dans une semaine (zone B)...

Mais moi je suis au lycée j'aurais pas le temps, il faut absolument que samedi tu en poste un peu
Non je rigol prend ton temps plus c'est long mieux tu peu l'avoir écrit

Chapitre 8 :
Attaques et retrouvailles

Citation :

Le lendemain matin, tous se levèrent entre onze heures pour les plus matinaux, et deux heures et demi pour Ron, ce qui lui valut d'être surnommé "Marmotte" par ses frères pour toute la semaine. Tous étant encore bouffis de sommeil à quatre heures, ils décidèrent de faire une petite partie de Quidditch en espérant que le vent frais sur leurs visages les réveilleraient un peu.

Harry en premier attrapa son Éclair de Feu et l'enfourcha aussitôt. Il retrouva bien vite toutes les sensations qu'il avait toujours eu sur son balai et il fut bien vite beaucoup plus réveillé. Les équipes furent rapidement faites, mais ils ne purent utiliser de vraies balles de Quidditch, notamment les Cognards et le Vif d'Or, de peur de les perdre, et surtout de se faire voir par les moldus du voisinage. Ceux-ci construisaient leurs maisons de plus en plus loin des villes, et se rapprochaient de plus en plus du Terrier.

Autrefois totalement coupée du monde, les Weasley devaient faire de plus en plus attention aux promeneurs isolés, et aux voisins trop curieux. Malgré toutes les mesures de protections magiques anti-moldus, pareilles à celles qui avaient été instaurées pour la Coupe du Monde de Quidditch, il était toujours à craindre de se faire remarquer. Le genre d'expéditions qui avaient conduit Fred, George et Ron à aller arracher Harry aux Dursleys en voiture volante, quand celui-ci était en seconde année à Poudlard, étaient à déconseiller encore plus formellement qu'auparavant. Même les jumeaux l'avaient compris, et faisaient attention à tous les objets volants dans les alentours de la maison.

La partie n'était pas très dynamique, au vu de l'endormissement chronique dont souffraient la totalité des joueurs. Ginny, qui était de loin la plus réveillée de tous, marquait la plupart des buts, et Ron, qui était gardien, ne prenait pas toujours la peine de se déplacer pour tenter de bloquer le Souaffle, entre deux bâillements. Harry cherchait sans trop y croire la balle de Golf que Charlie avait ensorcelé pour faire office de Vif d'Or, qui était nettement moins rapide, mais qui ne décollait pas des pâquerettes. Cependant, quand il leva les yeux pour chercher si, à tous hasard, elle n'avait pas décollé, il ne put éviter de voir une grosse masse sombre qui s'approchait d'eux et qui couvrait le ciel. Et qui n'avaient rien à voir avec des quelconques nuages d'orage. Une sensation de froid intense l'envahit aussitôt, et une peur panique s'empara de lui.

– Regardez !!! s'exclama Ginny, le doigt pointé en l'air. Son cri déchira le silence de mort qui c'était installé dans le verger, et son avertissement était inutile, car tous avaient vu cette masse noire qui se rapprochait d'eux à une vitesse prodigieuse.
– Tout le monde rentre immédiatement à la maison ! s'écria Charlie en dégainant sa baguette. Allez chercher les autres !!

Son injonction était elle aussi inutile, car tous les adultes présents au Terrier arrivaient en courant, baguette en main, brandie vers le ciel. Harry se posa en douceur, et se dirigea vers les adultes qui accouraient, ne suivant pas l'exemple des autres qui étaient immédiatement rentrés.

– Harry, rentre au Terrier, tout de suite, s'écria Mr Weasley.
– Ce sont des Détraqueurs, dit-il d'une voix étonnement calme. Une horde de Détraqueurs.
Lupin hocha la tête, gravement.
– Ils sont beaucoup trop nombreux pour qu'on puisse les repousser, même à nous tous.
– Mais Remus, tu sais aussi bien que moi ce qui arrive quand des Détraqueurs arrivent en aussi grand nombre, tu sais très bien ce qu'ils veulent, on ne peut pas les laisser faire !!! dit Mrs Weasley, qui était aux bords de la crise de larme.
– Je ne vois pas d'autre solution, nous serions tous terrassés en moins d'une minute, il commençait à trembler d'horreur en pensant à ce qui allait se passer, tout en tapotant amicalement le dos de Mrs Weasley. L'impuissance devant une chose horrible est le pire des sentiments, Molly, malheureusement, nous ne pouvons rien y faire.
– Bien sûr que si que nous pouvons y faire quelque chose !! s'exclama Harry en empoignant son balai, j'y vais !!! et il décolla aussitôt.

Il entendit à peine les cris de ceux qui étaient en bas qui lui enjoignaient de revenir immédiatement. Concentré sur son objectif, baguette en main, il ne voyait que la masse sombre des Détraqueurs qui étaient au dessus de lui. Puis il entendit d'autres cris, venus droit de sa mémoire, les cris déchirants poussés par sa mère juste avant qu'elle ne meure, juste avant que Voldemort ne la tue. Par un incroyable effort de volonté, il chasse cette image de sa tête, et continua à avancer, il n'était pas assez près pour jeter son sort.

Cette fois-ci, il revit le terrible cimetière, où Voldemort avait retrouvé son corps. Puis aussitôt après, il se revit au sommet de la Tour d'Astronomie, paralysé pas le sortilège du saucisson, il revit Rogue arriver et lever sa baguette. Mais là, juste avant qu'il ne lance son sort, il vit un détail auquel il n'avait pas fait attention ce soir là. Un détail horrible. Mais qui avait toute son importance.

Harry était maintenant assez près des Détraqueurs qui fondaient sur lui à une vitesse ahurissant, avec leur manière terrifiante de glisser sur les airs, leurs capes noires voltigeant derrière eux, terribles, menaçants. Harry savait quel souvenir il allait utiliser, un souvenir puissant, qui lui tenait à cœur. "Nigaud ! Grasdouble ! Bizarre ! Pinçon !" et avec l'image du vieil homme dans sa tête, il déchaîna sur les Détraqueurs toute la puissance qui était sienne.

– SPERO PATRONUM !!!


Alors, jaillit de sa baguette, non pas le cerf qu'il avait l'habitude de voir, mais un cerf immense, gigantesque, qui devait être aussi haut qu'un immeuble de cinq étages. Un patronus à la mesure de son besoin de protéger le village, un patronus en mesure de chasser tous les Détraqueurs qui étaient là. Il inclina vers Harry sa ramure majestueuse, et caracola vers la masse sombre qui avait maintenant envahit le ciel, et qui voilait la lumière du jour.
Cornedrue étincelait, comme jamais Harry n'avait vu de patronus briller, et il pouvait aisément renvoyer la lune au rang de luciole. De sa ramure, jaillit une sphère lumineuse qui engloba tous les Détraqueurs qui grouillaient dans le ciel. La sphère les cacha entièrement, puis commença à diminuer de grosseur, à se dégonfler comme un ballon de baudruche, jusqu'à devenir de la taille d'une bille entre les cornes de Cornedrue, puis disparaître tout à fait.

Le patronus revint vers lui en trottinant comme s'il avait été sur le sol, et amena sa tête au niveau de celle de Harry, puis il s'évanouit dans la lumière du soleil revenu. Harry dut à toute son expérience du Quidditch de ne pas tomber de son balai. Il descendit en piqué et, comme la première fois où il avait volé sur un balai, redressa à la dernière seconde et se posa en douceur à côté du groupe qui se précipita vers lui.

Hagard, complètement vidé de son énergie, Harry tomba comme une pierre dans les bras de Mrs Weasley qui accourait. Juste avant de s'évanouir tout à fait, il vit le ciel redevenu bleu, et vit qu'il avait réussi. Et alors seulement, il perdit complètement connaissance, et tomba dans des vapeurs blanches qui ressemblaient à s'y méprendre avec les nuages qu'il venait de quitter.

***

– Harry ? Tu te réveilles enfin ???
– Mmmm…. Il entrouvrit un œil, et sortit avec regrets de la blancheur ouatée de son rêve, avec la très désagréable impression d'avoir oublié quelque chose de capital.
– Harry, tu nous a fait une de ces peurs, dit Hermione, qui avait visiblement l'air soulagée d'un grand poids.
– Laisses-le se réveiller, fit une voix masculine, qui lui tendit ses lunettes.

Harry releva lentement la tête, dévisageant tous ceux qui étaient autours de lui. Mrs Weasley avait un sourire qui sonnait faux, un mouchoir serré dans sa main, les yeux rouges, dans les bras de son mari qui avait l'air désemparé.

– J'ai loupé un épisode ? demanda-t-il pour détendre un peu l'atmosphère qui était tendue comme la corde d'un arc sur le point de tirer.
– On peut dire ça comme ça, dit Hermione, qui paraissait la moins bouleversée de tous, ça fait bien cinq heures que tu es tombée dans les pommes, mais je dois reconnaître que ton patronus était impressionnant.
– Remarquable, ajouta Lupin, je n'en ai jamais vu de tel… ni d'aussi efficace, fit-il avec un clin d'œil complice, car c'était Lupin qui avait appris le sortilège à Harry lors de son retour à Poudlard en tant que professeur de Défense Contre les Forces du Mal.
– Pourquoi vous faites une tête pareille, j'ai repoussé les Détraqueurs, non ?
Ils se consultèrent du regard, gênés.
– Mauvaises nouvelles, se résolut à dire Bill, on a retrouvé Fudge dans sa maison, la Marque des Ténèbres flottant encore au dessus. D'après ce qu'on a pu comprendre, c'est Voldemort lui-même qui l'a tué de ses propres mains, et… il a vraisemblablement été torturé plusieurs heures.
– Il y a plus, enchaîna Mr Weasley, on a pu entendre toute leur conversation grâce à un nouveau sortilège qu'on vient d'inventer, l'Échodelanymphe. Cela consiste à réentendre ce qui vient de se passer dans un lieu précis, pendant trois heures.
– Et alors ?
– Fudge a non seulement révélé des informations top secret, mais il a aussi parlé de toi à Voldemort.
– Il sait maintenant des choses non négligeables, notamment sur nos défenses, ce qui a conduit à l'attaque d'aujourd'hui, continua Bill. Si, apparemment, la plus grosse partie était dirigée vers ici, il y a eu d'autres groupes qui ont attaqué des villages moldus et des sorciers dans tout le pays, et il y en a même qui sont allés jusqu'en France et un petit village breton sur la côte.
– Et ce n'est pas tout, cette nuit est soir de pleine lune, et il est à craindre que les loups-garous alliés à Voldemort n'attaquent encore, dit Lupin en se levant. D'ailleurs, je ferais mieux de sortir, j'ai pris la potion, mais juste au cas où, il vaut mieux que je sois loin d'ici. Au revoir tout le monde, il mit sa cape de sorcier et sortit d'un pas vif. Il semblait évident à Harry que celui-ci avait attendu qu'il soit réveillé pour partir, et il lui en fut infiniment reconnaissant.
– La Gazette du Sorcier a-t-elle donné des chiffres ? demanda Harry, en sachant très bien que, de toute manière, la réponse risquait de ne pas être agréable à entendre. Ron lui tendit le journal, un article s'étalait sur trois pages, il parlait de Poudlard, où, grâce aux protections mises en place, il n'y avait eu aucun dégâts, mais il y avait un petit vieux de Pré-Au-Lard qui était dehors au mauvais moment avait reçu le baiser d'un Détraqueur. Mais nulle part, il n'y avait mention de ce qui c'était passé au dessus de sa tête.
– Ils ne parlent pas d'ici ?
– Non, dit Mr Weasley, Scrimgeour a débarqué ici dix minutes après que tu sois tombé dans les pommes, et a fait en sorte qu'on ne te cite pas dans le journal. Il veut absolument te voir, ajouta-t-il après un instant de silence.
– Ce qui est mieux ainsi, il ne vaut mieux pas que tu ait encore plus de publicité.
– Il veut me voir quand ? demanda Harry.
– Demain, à onze heures, je pense que tu devrais y aller.
– Mouais, de toute manière j'ai pas le choix, fit-il, résigné, mais si c'est encore pour me demander la même chose, ça risque de ne pas servir à grand-chose.
– Tu ferais mieux de dormir maintenant, dit Mrs Weasley, comme nous tous. Allez, au lit tout le monde, dit-elle, sans grande conviction, mais ils obéirent et après lui avoir souhaité une bonne nuit, Mrs Weasley ferma la porte sur le silence, Harry c'était déjà rendormi, d'un sommeil sans rêves.

Citation :

***

Le lendemain matin fut, comme prévu, lourd de mauvaises nouvelles. La Gazette du Sorcier annonça une centaine d'attaques de Loups-garous dans tout le pays, dont bien peu avaient pu être repoussées. Une brume étrange flottait sur tout le pays, qui ne fit qu'encore plus inquiéter tout le monde ; malgré le bon petit déjeuner qu'avait préparé Mrs Weasley, autours duquel tout le monde était réuni ; tant la brume ressemblait à celle que les Détraqueurs avaient fait la veille.
– Et Bill ? Qu'est qu'il lui est arrivé ? demanda Harry à Ron.
– Rien pour le moment, il n'a pas l'air d'être vraiment un loup-garou, mais il s'est isolé juste au cas où. Il se pencha vers lui et il ajouta à voix basse : Faut qu'on te parle, avec Hermione, Ginny et McGo', ils nous attendent dehors, dès que tu as fini de déjeuner.
Harry finit son toast et son chocolat chaud, puis sortit dans le jardin suivi de Ron, dans la fraîcheur matinale d'un ciel bleu retrouvé.
– Ah, vous voilà tous les deux, dit McGonagall en les voyant arriver, venez, il ne vaut mieux pas qu'on nous surprenne. Elle les entraîna vers le verger.
– Harry, je suppose qu'il est inutile de vous demander comment vous avez réussi à chasser près de deux cent Détraqueurs en lançant un seul sort…
– Je pense que j'ai mal contrôlé le sortilège du Patronus, en théorie, il ne fait qu'un mètre de haut, enfin bon, un cerf normal quoi.
– Heureusement que ça n'était pas contrôlé, intervint Ginny, vous avez tous vu combien ils étaient, sinon Harry n'aurait eu aucune chance !
– Peu importe, la coupe McGonagall, le problème est ce que Harry va devoir dire au Ministre pour expliquer le phénomène, étant entendu bien sûr qu'il ne lui dira rien de la lettre qu'il a reçu du Professeur Dumbledore.
– Il pourrait dire, comme la dernière fois, dit Hermione en hésitant un peu, comme pour l'évasion de Sirius.
– Qu'est-ce que vous voulez dire Hermione ?
– Et bien, peut-être que vous ne savez pas, mais c'est Harry qui avait fait fuir les Détraqueurs cette nuit là, pas le Professeur Rogue.
– Qu'est-ce que vous dites ?
– C'est un peu complexe, en fait, Hermione et moi, sur les conseils du Professeur Dumbledore, nous avons utilisé le Retourneur de Temps pour revenir 3 heures en arrière.
– Et d'abord nous avons sauvé Buck l'hippogriffe, je veux dire, Vendebout, et ensuite, quand Sirius et moi nous étions encerclés par les Détraqueurs, j'ai fait un patronus pour les faire tous partir…
– Ils étaient sacrément nombreux, professeur, et avec un seul sort, ils sont tous partis, je n'en revenais pas quand j'ai vu ça.
– Stop, intervint McGonagall, je connaissais déjà l'histoire en partie, mais on ne peut pas lui raconter ça, il y a trop d'enjeu et trop de secrets derrière toute cette histoire.
– Que vais-je lui dire alors ?
– Dites lui… que tous les adultes en bas vous ont aidé, c'est la seule solution vraisemblable.
– Comment ça ?
– Il existe un sort qui permet de transmettre momentanément de la puissance magique à quelqu'un. Pendant que vous étiez en vol, ils ont tous fait ça, ce qui explique la démesure du Patronus.
– Et que dois-je lui dire si il me demande encore de l'aider ?
– Je ne crois pas que tu puisse lui échapper longtemps, dit Ron, il a fait libérer Stan Rocade, et la communauté magique est vraiment en train de déprimer.
– Très bien, voilà qui est réglé, dit McGonagall. Cela dit, je suis très fière de vous Harry, vous avez empêché une immense catastrophe d'arriver ici, je regrette de n'avoir pas pu en faire de même à Poudlard, la Forêt Interdite a diminué de moitié en une seule nuit, le troupeau de Centaures a été décimé, et Hagrid m'a dit qu'il avait trouvé trois cadavres de Licornes.
– C'est horrible, qui pourrait tuer une Licorne ? dit Ginny, effrayée. Comme toutes les filles, elle aimait beaucoup ces animaux, si beaux.
– Je ne sais pas, Ginny, Quirell l'avait fait pour Voldemort, mais il n'en n'a plus besoin maintenant qu'il a un corps à part entière.
– A bientôt tout les quatre, dit McGonagall, et elle transplana juste à la porte du Terrier.
– Incroyable, dit Ron, elle t'as félicité !!! je ne pensais pas que ça lui arrivais plus d'une fois tous les dix ans !!
– Ron, dit Hermione sur un ton de reproche.

Est bien ta suite et aussi bonne que le reste maintenant la suite

éééééééééééééhhhhhh, un peu de patience, je viens à peine d'écrire une ligne que vous en voulez 20 !!

C'est normal non mais mais faut nous comprendre c'est tellement bien alors voila allait prend ton temps

PS: euh t'a quelle age

ce bout est vraiment superbe comme le début je n'attend plus qu'une chose la suite allez allez plus vite lol

C'est vraiment tres bien continue!