Harry Potter et l'Aube d'une ère nouvelle... [TERMINE]

Citation :

***

– Relève-toi, dit une voix glacée et suraiguë. Allons, relèves-toi !

L'homme leva sa baguette et la silhouette qui était étendue à ses pieds se releva bien malgré elle. Chancellante, elle faillit retomber par terre. Un homme se détacha du cercle qui les entourait, un homme aux longs cheveux noirs encadrant comme un rideau un visage cireux aux yeux également noirs, les lèvres serrées. Il attrapa la silhouette noire par les épaules pour l'empêcher de tomber.

– Maître, ce n'est qu'un enfant, commença-t-il, mais il fut interrompu par le regard de braise que lui jeta l'homme qui était assis sur un trône, devant eux.
– Toi aussi, Rogue, tu devais l'aider tu devais veiller à ce que tout ce passe bien !
– Mais maître…
– Tais-toi ! Je n'ai pas besoin d'un serviteur qui ne sait pas accomplir la tâche que je lui ait donnée ! Endoloris !

Les deux personnes retombèrent à terre, sous les rires et les insultes du groupe de mangemorts qui se tenaient en cercle autour d'eux. Lord Voldemort leva sa baguette et fit signe à une femme aux paupières lourdes de les emmener. Rogue s'était relevé vivement, mais Malefoy était encore à terre et gémissait en se tenant le visage dans les mains. Bellatrix Lestrange le saisit par le col et le releva sans ménagement, et le conduisit vers la sortie.

– Pitoyable, commenta-elle, vraiment.
– J'aurais bien voulu t'y voir, répondit Rogue, les lèvres plus minces que jamais, tandis qu'il soutenait Draco et l'aidait à marcher. Tu t'y serais prise autrement ?
– J'aurais jamais confié de tâche pareille à un adolescent, répondit-elle après un moment.
– Et tu aurais mieux réussi que lui ? Par je ne sais quel artifice, Potter à réussi à faire disparaître tous les détraqueurs que nous lui avions envoyé !
– Fallais y aller, et le tuer toi-même !
– Tiens donc, et qui était face à lui au Ministère et qui préférais se moquer de lui plutôt que de nous en débarrasser une bonne fois pour toutes ?
– Et toi ? Toi qui l'as eu à ta merci pendant près de six ans ?
– Évidemment, tu voulais que j'assassine en plein cours l'élève préféré de Dumbledore, tout en continuant à l'espionner, et au mépris de tous les ordres que m'avait donné le Seigneur des Ténèbres ? Je ne suis pas complètement idiot, Bellatrix !
– Tiens donc, j'aurais pourtant cru… Ne t'attends pas à avoir une nouvelle mission avant des lustres, je l'ai rarement vu aussi en colère. Et toi Draco, tu ferais mieux de t'entraîner un peu au lieu de pleurnicher ! et elle s'en alla à grands pas, les laissant plantés au milieu du couloir du Manoir, au fond du bois de W.

tro bien

Super génialisime.

Pour la lettre je suppose que c'est Rogue, bonne idée pour l'ours

vivement la suite c toujour aussi bien

Suspence de fou ca coincide exactement avec les épisodes et livres précédent franchement trop bien Bien vu le coup de la lettre de Rogue (je présume) du suspence de la tendresse (le nounours pas mal !!!) Franchement trop bien sérieux merci pour cette fanfic un vrai trésor d'idée CHAPEAU BAS

hihi, bien deviné, c'était rogue ( pas trop dur en fait^^) et pis le nounours il lui avait manqué quand même !!
j'essaye de faire coller au maximum mon histoire avec hp6 et précédents, sinon ça risque de plus être du hp mais du délire....

déjà que c'est beaucoup du délire à la Albus mdr

allez je te tacquine, je te tacquine mais j'oublie le plus important:

mais nan de te féliciter, alors un oura pour notre albus national

Alors a quand la suite je suis impatient de savoir ce qui vat se passer voila continu continu continu lol

Oui quand pense tu posais la suite, mais prenjd ton temps plus c'est long mieux sa sera

bah, au plus tôt, mais ça ne veut pas dire grand chose, j'ai pas énormément de temps libre, et j'aurais pas d'ordinateur disponible pendant les grandes vacances, du moins une partie.
Alors faudra être un petit peu patient !! mais je pense toujours à vous, zinquiéyez pas !!

Quoi, pas de suite pendant les grande vacance aaaaaaaaaa .....meurt sur place....

ben , pas que je sache, non. Là où<je vais, il n'y a ni ordi ni internet ^^
mais je vais vous l'écrire sur papier, et j'aurais plus qu'à tout taper^^

Alors sa va !!!! .....mort-vivant seulement.......

bon ben alb fais ton max, ne nous décois pas et puis toujours bravo

ah et pendant les vac penses à un titre!!

Shinara toujours buté sur son titre nan pense plutot a l'histoire je veux la suite sniff sniff lol

Moi je veux les deux le titre et l'histoire

Chapitre 10 :
Le retour de Fumsek

Citation :

– Et bien, s'exclama Ron en arrivant dans le verger du Terrier, on l'a échappé belle ! Trois secondes de plus et les moldus débarquaient !
– Ça va, les moldus ne nous ont pas vu c'est l'essentiel, répliqua Hermione. Tu te sens bien Ginny ? dit-elle avec beaucoup de sollicitude en regardant la jeune fille qui était toujours agrippée à son bras.
– Pas très agréable, mais bien pratique, fit elle avec un sourire un peu crispé, mais…, où est Harry ? demanda-t-elle en remarquant la première l'absence du dernier membre de leur expédition.
– Je ne sais pas, il a transplané juste derrière moi, dit Ron, intrigué.
– Ce n'est pas possible, il sait très bien le faire, il n'a pas pu se perdre en chemin !
– Il est peut-être allé ailleurs… remarqua Hermione
– Où ? Il nous aurait prévenus sinon.
– Peut-être à un endroit où il préférerait être seul, suggéra Ginny.
– Le cimetière !
– Si c'est le cas, dit Hermione, nous devons respecter son choix, si il préfère être seul, je ne vois pas au nom de quoi on irait le déranger.
– Bon, on n'a qu'à aller s'entraîner, dit Ron, un peu dépité de l'absence de son ami.

Mais le soir, quand le crépuscule étincelait de ses milles feux, Harry n'était pas encore rentré. Morte d'inquiétude, Hermione tournait dans le salon, faisait les cent pas, se mordait les doigts, et ne paraissait pas être en l'état de faire autre chose. Elle avait, bien entendu, fait part de ses interrogations à Mrs Weasley, mais celle-ci lui avait dit de ne pas s'inquiéter, et que Harry avait besoin d'être seul, et qu'il ne fallait pas le déranger. Hermione se demanda bien si Mrs Weasley était dans son état normal, car celle-ci était toujours inquiète pour l'un ou l'autre des membres de sa famille.

– Ce n'est pas possible, il ne peut pas s'être perdu ! Il faut que j'aille le chercher !
– Le chercher où ? répliqua Ron avec un air exaspéré. Et puis de toute manière, tu as dit toi-même que si il voulait être seul, on devait respecter son choix.
– Ça va c'était juste une idée comme ça.

Hermione, ne tenant plus en place, après avoir souhaité une bonne nuit à tout le monde, décida d'aller se coucher pour éviter de taper sur les nerfs de tous les autres, qui, par politesse, ne lui avaient pas dit, mais qui n'en pensaient pas moins. Seule dans la petite chambre de la nouvelle aile du Terrier dans laquelle Mrs Weasley l'avait installée, Hermione ne parvint pas à trouver le sommeil. Tout au fond d'elle-même, Hermione savait, et ne pouvait dire comment elle le savait, que Harry n'était ni mort, ni gravement blessé, mais elle ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter, et se demandait bien comment les autres faisaient pour ne pas en faire autant. La lune se levait maintenant, et Harry n'était toujours pas rentré.

Hermione se tournait et retournait dans son lit, sans que Morphée ne vienne à elle, et finit pas comprendre qu'elle ne pourrait pas trouver le sommeil avant que son ami ne soit rentré. Elle se leva donc, alluma une bougie à l'aide de sa baguette, et attrapa le premier livre qui lui tomba sous la main. Hermione avait toujours trouvé refuge dans un quelconque livre quand elle était inquiète. Quand elle était petite, et ses parents souriaient toujours à ce souvenir, elle devait faire une prise de sang dans un hôpital, et avait refusé catégoriquement de lâcher son livre pendant l'opération, le serrant sur son cœur. Hermione avait toujours trouvé dans les livres un refuge, un monde parallèle dans lequel elle pouvait s'immerger le temps de la lecture. Hermione avait toujours eu une prédilection particulière pour les livres de contes, avec des sorciers et de la magie, aussi, quand un jour son imagination avait rejoint la réalité et elle était entrée à l'École Poudlard, elle ne fut qu'à moitié surprise.

C'était le livre que lui avait donné le vieux libraire en Bulgarie, le livre tout en Runes anciennes dont elle ne comprenait que la moitié. Elle attrapa son énorme dictionnaire et commença à traduire la deuxième page, le front plissé, sa plume s'interrompant parfois pour feuilleter son énorme volume, la lumière tremblotante de sa chandelle éclairant à moitié son visage soucieux. Minuit sonna bientôt quelque part au dehors. Elle n'avait pas encore terminé la traduction des dix pages qui étaient consacrées à rien d'autre qu'aux branches de Sempremais, une de celle-là même que Dumbledore avait chargé Hagrid de donner aux Gurg, le chef des géants.

Soudain, elle sentit que Harry s'approchait du Terrier. Elle posa vivement sa plume, reboucha sa bouteille d'encre et roula précipitamment ses parchemins avant d'empoigner sa bougie et de descendre l'escalier à petits pas feutrés. Surpris, Harry vit qu'une petite lumière venait à sa rencontre, et se dirigea vers Hermione qui arrivait en courant et lui sauta au cou.

– Mon dieu Harry, tu m'as fait une de ces peurs !
– Ça va Hermione, je n'ai rien, fallait pas t'inquiéter comme ça !
– Je sais bien, mais on se demandait tous où tu étais passé, et depuis que…
– Oui, je sais, désolé Hermione, je sais que c'était pas très prudent, mais j'avais envie… il serra son ours qu'il n'avait, de toute évidence, pas lâché.
– D'être un peu seul un moment, je comprend très bien.

Ils se turent un moment, arrivés sur le palier.

– Hum, alors, tu y es allé, euh, je veux dire, au cimetière ?
– Oui, mais pas longtemps. Figures-toi que j'ai fait deux rencontres extraordinaires !
– Qui ça ?
– D'abord, une vieille amie de mes parents, et ensuite… Fumsek !
– Non ?!?!
Ils avaient monté l'escalier, et étaient devant la porte de la chambre de Harry.
– Si, Fumsek en personne ! J'avoue que je n'avais jamais parlé à un oiseau, c'est assez bizarre au début, et très surprenant…
– Allez, racontes !

Hermione s'était accoudée à la fenêtre de la chambre et observait les étoiles qui scintillaient, Harry s'assit sur son lit et commença son récit. Quand il eut fini, Hermione eut du mal à réaliser ce que son ami venait de dire, et après lui avoir souhaité une bonne nuit, elle rentra dans sa chambre, et, tout en remâchant les paroles de Harry, elle s'endormit aussitôt.

***

Le lendemain matin, Harry fut le premier levé, et constata que Hermione avait été la seule a être aussi inquiète pour lui, et que tous avaient respecté son souhait de rester seul un moment pour se recueillir sur la tombe de ses parents, aussi, personne ne lui posa de questions sur ce qu'il avait été faire pendant tout ce temps. Harry se demanda si ils n'étaient pas subitement tombés malades, surtout Mrs Weasley qui était toujours inquiète, même s'ils allaient jouer un moment au Quidditch.

Harry surprit tout de même un regard interrogateur de la part de son ami, et il lui fit signe très discrètement de le rejoindre dans le jardin, où ils pourraient parler sans crainte d'être entendus. Hermione et Ginny les rejoignirent rapidement, et Harry s'abstint de dire à Ron sa rencontre nocturne avec Hermione.

– Alors ? demanda Ron sans le moindre tact, t'étais où ? Hermione nous a fait une de ces scènes hier !
– Ah, désolé, j'aurais dû vous prévenir… Harry commença son récit aux autres.

Après avoir fuit le lieu de la maison de ses parents, il avait transplané, un peu au hasard, juste devant l'entrée du village. Là, entendant la cloche du village sonner, il s'était dirigé à l'oreille vers le son de la cloche, pour voir un peu la place du village. Là, il avait vu qu'à côté de la petite église, il y avait un cimetière, entouré par des clôtures de plantes vertes, surchargées de fleurs odoriférantes.

Un mur d'enceinte était à moitié écroulé, mais personne n'avait l'air de s'en préoccuper plus que ça, le cimetière était adossée à une petite église en pierre de style roman. Harry avait déambulé en cherchant vaguement le nom de Potter parmi les tombes. Soudain, il avait trouvé ce qu'il cherchait dans le cimetière du village. C'est une petite tombe de marbre blanc, perdue entre les herbes folles et la haie de Glycines. Sentant son cœur chavirer, Harry lut les nom de Lily et James Potter, inscrits à côté d'un oiseau prenant son envol, tout deux nés en 1951, et morts en 1981. En y regardant de plus près, Harry remarqua que l'oiseau ressemblait étonnamment à un Phénix qui prenait son essor, et ce n'était sûrement pas un hasard.

Harry resta un moment devant le lieu où reposaient ses parents. Il ne se rappelait que très peu, de ces moments heureux, où Lily et James Potter lui souriaient, tous deux penchés au dessus de son berceau. Il n'avait gardé en mémoire de ces temps si lointains, que quelques images, quelques impressions, quelques odeurs si particulières, comme celle de l'ourson qu'il tenait encore serré dans ses bras. Il ne se disait pas le moins du monde qu'un garçon de 17 ans en train de serrer un ours en peluche dans ses bras au beau milieu d'un cimetière était tout à fait ridicule.

Harry se souvenait très bien de la première fois où il avait "vu" les visages de ses parents, c'était quand il était encore en première année à Poudlard, lorsqu'il avait fait sa première promenade nocturne sous la cape de son père, et que, fuyant Rogue et Rusard, il avait découvert le miroir du Riséd. Il se rappelait qu'il avait fallu que Dumbledore en personne avait dû intervenir pour qu'il arrête de venir, tous les soirs, voir les visages de ses parents disparus.

Harry n'était pas vraiment triste, car il n'avait jamais vraiment connu ses parents autrement que par des photos, ou le récit des meilleurs amis de son père Sirius et Lupin, et de Dumbledore, de Hagrid, de Slughorn qui avait bien connu sa mère, et bien sûr de Rogue, qui n'avait cessé de lui dire que lui comme son père n'étaient que des petits voyous qui se croyaient au dessus des règlements. Mais il se sentait étrangement mélancolique, comme quand il avait onze ans et qu'il s'asseyait devant le grand miroir.

Harry sentit soudain un courant de vent frais lui frôler la nuque, et sortit de l'étrange torpeur dans laquelle il était tombé. Il constata avec stupéfaction que la journée était bien avancée, et que le soleil n'allait pas tarder à se coucher. Mais ce qui l'étonna le plus était que l'œil du phénix gravé sur le marbre rayonnait d'une étrange lueur dorée, comme s'il était vivant. Un pelage chatoyant ne tarda pas à apparaître, puis à se détacher tout à fait du marbre blanc.

– Fumsek ?
L'oiseau inclina doucement la tête, ça devait être sa façon de dire oui.
– Tu m'a fait une de ses frousses le soir de mon anniversaire ! je me demandait vraiment ce qui s'était passé…
Harry entendit une étrange voix qui résonnait à l'intérieur de son crâne, il comprit que Fumsek voulait communiquer avec lui par l'intermédiaire de la pensée.
– Désolé Harry, je sais que c'est pas un moyen de communication très habituel, même pour un sorcier.
– Tu peux parler ?
– Pas au sens où tu l'entend, mais je peux effectivement communiquer par la pensée, à condition que la personne soit suffisamment réceptive. Et que la personne ne pratique pas d'Occlumentie.
"J'ai bien fait de ne pas apprendre cette stupide matière" pensa Harry
– Détrompes-toi, l'Occlumentie peut être très utile, surtout si on veut garder quelque chose de secret. Dumbledore par exemple, fermait en permanence son esprit, sinon, ça ferait depuis longtemps que Voldemort aurait gagné la partie…
– Mais, dit Harry en se souvenant d'un épisode de sa cinquième année à Poudlard, ça n'est pas possible, une fois tu as communiqué avec Dumbledore quand il y avait Ombrage…Les yeux du phénix lancèrent des éclairs au nom d'Ombrage, ça devait être sa manière d'exprimer sa désapprobation.
– C'est un cas particulier…L'oiseau s'interrompit un moment. Je suis venu pour t'assister. Je sais quelle est ta mission, et je sais combien dure est ta tâche, je suis là pour t'aider à l'accomplir.
– Je,… merci…
– Je viendrais toujours en cas de besoin, et si tu as besoin de mon aide, tu sais comment m'appeler
– Je, non, je ne sais pas !
Il fait son air des plus énigmatiques.
– Bien sûr que si, réfléchis bien… Je suis aussi là pour te guider. A très bientôt, Harry.

Et, sans lui laisser le temps d'ajouter une seule parole, Fumsek disparut dans un éclat doré, la gravure sur la tombe étant redevenue normale.

Preums.
Comme d'hab, rien à dire, à si un peu cour

LA SUITE LA SUITE com dab franchement c'est trop bien je veux la suite c'est vrai raiden a raison c'est trop court lol

mééé, c'est que le début du chapitre, il n'est pas encore fini, quels voraces !!

oué s'est claire trops bien et puis tu c'est sa c'est comme la drogue plus tant donne plus on en veut

alors sa ve dire que je suis accro

Trop trop trop super
BRAVO

Nan accro zerne parce que aggro c'est pas la meme chose lol

Albusforever a écrit:

mééé, c'est que le début du chapitre, il n'est pas encore fini, quels voraces !!

Est bah oui, quand on aime, on à du mal à s'en passer

grrrrrrrrrr ze veux un titre

je ne lirais plus ta fic tant qu'il n'y aura pas de titre !!!

enfin c'était une blague ihih