Harry Potter et l'Aube d'une ère nouvelle... [TERMINE]

hihi, tant pis pour toi !! je dec', mais toujours pas de titre à l'horizon !!

j'ai rajouté un tit bout dans mon post précédent, et le chat pitre n'est pas terminé

Ce petit bout est vraiment bien a quand la fin du chapitre lol

Ce bout en plus est très bien, bien que je trouve fumscek, un peu dur

je suis en train de lire le début le premier chapitre l'idée de transfert des pouvoirs et magnfique ta fan fic est super ! honétement tu as du talent !

@Albus

J'ai lu tes dix chapitres. C'est vraiment super. T'es un vrai écrivan et t'as de l'imagination aussi. J'aime bien ton idée, la lettre de Dumbledore écrite par la plume de Fumsek, et le transfert de pouvoir..

Vite, la suite !.

merci @kitty et à tous ! j'invente la suite au fur et à mesure, je pense introduire une ou deux de tes théories vraiment convainquantes (à ma sauce, et si tu le permet bien sûr !)

j'envoie la suite au plus vite... ce qui ne veut pas dire grand chose !

Bien sûr. Je suis contente que quelques unes de mes théories te paraissent convaincantes, et serais ravie de les voir dans ta fiction.

Il y a une chose. Qui sont Ombrage et la résistance dans ton chapitre Voyage, tout juste après le départ de Harry de chez les Dursleys:

"- C'est notre cher et tendre ministre qu'il faut remercier, c'est lui qui m'a donné le prix, je n'ai fait que transmettre ! Il devait vouloir encourager la résistance contre Ombrage !"

C'est Dolores, l'ancien professeur de DCFM ? Et pourquoi résistance. Elle travaille au Ministère, non !

Bonne continuation pour ta fiction et bonne inspiration.

je vient de finir de lire toute ta fan fic elle est vraiment extra c'est la melleur que j'ai lu ! tu a de trés bonne idés

geniale j'attends la suite avec impateince sinon en atendans
...

potter701 un lien vers ta fanfic n'a pas sa place ici.
Tu peux la mettre ou dans un nouveau topic dans la rubrique fanfictions, ou dans "un peu de pub ne peut pas faire de mal" dans Discussions Générales.

et salut, au fait

@kitty : en fait Harry disait aux jumeaux que, comme c'était Fudge qui avait donné les 1000 gallions à Harry, lesquels avaient plus tard servi contre Ombrage, il avait indirectement encouragé le résistance contre celle-ci.
C'est mieux ?

Oui, c'est beaucoup mieux.
Mais j'ai peur que ce serait difficile pour les lecteurs de comprendre.
Si non, ta fiction est vraiment bien. Quelques fautes de frappe seulement ! Crier sur les toits, par ex.
Vite la suite !

ta quand méme de ces idées fo le dire ! jaime vraiment que harry et le pouvoirs de dumbledore ! (du pouvoir toujours plus de pouvoir )maintenant qu'il a sà force je paris qu'il poura tenté les sorts qui sont trés complique a réaliser !

oh, ce n'est pas pour avoir du pouvoir, c'est pour avoir une chance de gagner le duel contre Voldy, car dans l'état des choses (fin du hp6) il est plus que mal barré.

Pour le problème de Résistance et Ombrage. Je pense que, comme la conversation est longue, et qu'il y a plusieurs interlocuteurs. Si tu mets de temps en temps quelque chose comme ".... , dit Harry" ou
"...., demanda Georges", pour qu'on sache qui parle.

C'est une proposition.
A toi de voir.
Mais je tiens à te dire que ta "Fiction" est géniale. Tu as beaucoup d'imagination et d'idées.

Vite la suite STP

Ok, je vais reprendre ça, d'habitude on râle parce que j'en met trop ^^
pour la suite, bah, faudra être un peu patient !!

je veux bien être patiente à condition que tu mettes le titre ^^

ben vi je perds pas le nord moi^^

Shinara et son titre une grande histoire lol vite la suite je peux plus me retenir

stoooop, n'explose pas ton pc, il n'a rien fait !!
tu est en train d'apprendre à l'impitoyable école de la patience ...

je te reconnais bien là alb^^

La question habituelle, chiante, à quand la suite?????

Citation :

Et, sans lui laisser le temps d'ajouter une seule parole, Fumsek disparut dans un éclat doré, la gravure sur la tombe étant redevenue normale. Troublé par sa brève conversation avec l'oiseau de feu, Harry quitta rapidement le cimetière d'un pas félin, et il ferma non sans une certaine violence la lourde grille de fer forgé qui clôturait l'enceinte, ce qui fit un grand bruit. Cela eut l'unique avantage de réveiller un peu Harry, mais aussi que tout le monde sur la place du village toute proche tourne la tête vers lui, en se demandant qui pouvait faire un boucan pareil.

Gêné, Harry plaqua la paume de sa main sur le métal qui arrêta de résonner comme une cloche. Il traversa la place du village d'un pas furtif, celle-ci était relativement remplie de monde, malgré l'heure avancée. Harry se dit que ce village lui plaisait décidément beaucoup, tant il était convivial et accueillant, et il s'étonnait de moins en moins du choix de ses parents ; il aurait sans doute fait le même dans la même situation. Sauf que Voldemort avait encore une fois, réussi à tout gâcher, à briser des vies de plus, à déchirer une nouvelle famille, et à marquer de manière indélébile son unique survivant…

Tout à ses réflexions, Harry ne remarqua pas qu'une seule villageoise n'était pas retournée à sa conversation une fois qu'il se fut éloigné, ni qu'elle le fixait intensément du regard pendant tout le temps où il traversait la place, ni qu'elle commença à le suivre lorsqu'il s'engagea dans la rue principale. Elle était le portrait type des vieilles femmes de village de campagne ; elle était petite et légèrement courbée par l'âge, et ne se déplaçait qu'avec une canne qu'elle serrait fermement dans ses mains qui témoignaient d'une longue vie de labeur. Elle était vêtue d'une robe longue sur laquelle elle avait noué un tablier qui n'était sûrement pas de première jeunesse, et, malgré la chaleur d'une fin de journée estivale, elle avait jeté un châle léger sur ses épaules. Elle avait ses longs cheveux blanchis par les années coiffés en chignon sur la nuque, dont des mèches folles s'échappaient, et encadraient son visage ridé, qui n'exprimait qu'une infinie bonté et une grande générosité, ses yeux bleus pétillaient de malice

Elle le suivait discrètement, marchant relativement vite pour une personne qui avait révolu bon nombre d'hivers. Elle se décida finalement à l'appeler, se doutant que Harry n'allait pas s'éterniser à Godric Hollow.

– Monsieur ! Monsieur Potter ?
Harry se retourna vivement, étant seul dans la rue, cet appel s'adressait forcément à lui, mais comment quelqu'un connaissait-il son nom ?

– ?
– Excusez ma question, vous êtes bien quelqu'un de la famille Potter ?
– Euh, oui, je m'appelle Harry Potter, pourquoi ?

Sans aucun signe avant-coureur, la vieille femme le serra brusquement dans ses bras.

– Mon Dieu, mon Dieu, le petit Harry ! La dernière fois que je t'ai vu tu n'étais pas plus grand que ça ! – Elle fit un signe de ses mains, désignant la taille approximative d'un nourrisson. – Je suis Cheryl Wilson, c'est moi qui te gardais quand tes parents étaient absents ! Mon Dieu ce que tu as pu grandir !
Harry se balançait nerveusement d'un pied sur l'autre. Il s'était plus ou moins attendu à ce genre de rencontre, et ne savait pas vraiment quoi dire. Pas plus qu'il ne se souvenait vraiment de ses parents, il ne se rappelait bien évidemment pas de toutes les personnes qu'il avait pu connaître durant la toute première année de sa vie.

– Je, euh, je suis désolé madame, je ne me rappelle pas vraiment de…
– Bien sûr bien sûr, répondit le vieille femme avec un grand sourire, elle semblait déborder d'énergie en permanence, mais il est grand temps de rattraper le temps perdu, à moins que tu n'aie des choses plus importantes à faire ?
– Euh, non, avec plaisir !
– Viens, j'habite juste à côté, tu resteras bien pour dîner ?
– Je, euh, – Harry réfléchit un instant, les autres au Terrier allaient sûrement s'inquiéter, mais il aurait été plutôt impoli de refuser, sans compter qu'il avait vraiment envie de connaître un peu mieux son passé, et qu'il commençait à avoir un peu faim – oui, je veux bien.
– J'ai préparé une casserole de soupe à l'oignon, il y en aura bien assez pour deux, et il doit me rester de la tarte à la mélasse.
– J'adore ça, c'est même mon dessert préféré !
– Tu vois comme le hasard fait bien les choses ? Trois secondes de plus et je n'aurais peut-être jamais pu te parler à nouveau !

Cheryl se dirigea vers la porte d'une petite maison en bordure de la rue principale. Celle-ci était en pierre, le portique était gravé d'un blason maintenant indéchiffrable, mais la date 1610 était bien visible ; le village et la maison, étaient, de toute évidence, assez anciens. Elle poussa la porte en bois poli par l'usage et par le temps, et emprunta un escalier de la même matière.

Aussitôt, une odeur très particulière envahit les poumons de Harry, une odeur très particulière de bois vernis, de fleurs et d'ancien, une odeur si particulière qui entraînait Harry dans les recoins les plus cachés de sa mémoire, tellement anciens qu'il croyait les avoir complètement oubliés. Une odeur qu'il était absolument certain d'avoir déjà sentit quelque part d'autre, mais il n'arrivait pas à trouver quoi. Harry s'arrêta sur le seuil de la porte, tout entier à essayer de se rappeler de quelques images, de quelques souvenirs qu'il aurait pu garder en mémoire, de tout ce que cette odeur pouvait lui évoquer. Sa mémoire était mise à rude épreuve ces temps-ci, et Harry se rendit compte que, au contraire de ce qu'il avait très longtemps cru, il gardait beaucoup de souvenirs de la première année de sa vie, seulement, il avait juste besoin d'un élément déclencheur pour se souvenir, une odeur, une impression, une image, ou le sourire tellement chaleureux de Cheryl.

Sur un fauteuil qui avait l'air très confortable, un chat était roulé en boule, et dormait la tête entre les pattes. Il avait le pelage d'un blanc éclatant et ronronnait dans son sommeil.

– Allez, ne sois pas timide, tu as peur d'enter ?
– Non, c'est juste que… cette odeur… je croyais l'avoir oubliée. Jusqu'à maintenant. Ça me rappelle tellement de choses.
– Le cerveau humain est pleins de mystères, dit elle avec sagesse. Assied-toi donc, je t'en prie.

Elle posa devant lui une assiette creuse remplie de soupe qui sentait délicieusement bon. Elle s'assit en face de lui et l'invita à manger. La soupe, elle aussi, avait un goût de déjà vu, Harry n'aurait pas pu dire qu'elle était meilleure que celle de Mrs Weasley, qui était à ses yeux la meilleure cuisinière du monde, mais elle était… différente, et tout simplement délicieuse.

– Alors, Harry, parles-moi un peu de toi, que deviens-tu depuis de si longues années ?
– Je, après… après la mort de mes parents, ce sont mon oncle et ma tante qui m'ont recueillit, la sœur de ma mère, son époux et mon cousin qui a à peu près le même âge que moi.
– Tu es bien chez eux ?
– Non, pas vraiment… Ils n'étaient pas vraiment ravis de me voir arriver chez eux, mais ils m'ont quand même élevé…

Il ne savait pas vraiment pourquoi, mais Harry avait une envie irrésistible de lui confier ses soucis, ses peines, toutes les frustrations qu'il gardait de son enfance pas vraiment agréable qu'il avait passée chez les Dursley. Cheryl ponctuait son récit de remarques très pertinentes, qui éclairèrent Harry sur certains aspects de son enfance qu'il n'avait jamais vraiment compris, et admira la sagesse de cette vieille femme. Il arriva au moment critique de son récit, où, le jour de son onzième anniversaire, il avait apprit de la bouche de Hagrid qu'il était un sorcier. Harry hésitait, il se demandait s'il devait mentir ou non, ou tout simplement ne pas finir son récit, mais Cheryl, qui, apparemment, en savait beaucoup plus que ce qu'elle ne voulait bien en montrer, résolut d'une phrase ses interrogations.

– Tu es… tu es comme eux, n'est-ce pas ?
– Comment ça, comme eux ?
– Comme tes parents. Tu n'es pas comme tout les autres, tu as des pouvoirs spéciaux, je le sens.
– Oui, tu as bien deviné. Comme eux, je suis un sorcier.
– C'était tellement évident…
– Que sais-tu, au juste, du monde des sorciers ? demanda Harry.
– Suffisamment pour savoir que de gros soucis agitent la communauté des sorciers… j'ai entendu des bruits étranges, comme quoi le meurtrier de te parents serait, en quelque sorte,… de retour.
– Oui, j'en ai été l'un des rares témoins. Nous vivons des temps très sombres.
– … d'autant plus que, à ce que j'ai compris, un très grand sorcier a été assassiné il y a peu.
– Vous êtes au courant de la mort de Dumbledore ? ! s'exclama Harry, interloqué.
– Oui, j'ai appris ça... sa voix se brisa ; tu le connaissais bien ?
– On peut dire ça comme ça. Mais, comment sais-tu tout ça ? Sur notre monde ?
– Ah, disons que j'entretiens depuis de nombreuses années une correspondance avec quelqu'un que tu connais peut-être, Arabella Figg, et…
– Oui, je la connais, répondit Harry, elle habite pas très loin de chez moi.
– C'est normal, elle a déménagé en même temps que toi. Elle a toujours jeté sur toi une surveillance discrète.
– Tellement que je ne m'en suis jamais aperçut…

La conversation continua encore longtemps. Bien que n'étant pas particulièrement timide, Harry n'avait jamais ressentit une telle facilité pour parler de lui, de ses petits problèmes, des choses qui le tracassaient et qu'il ne pouvait plus confier à personne maintenant que Sirius n'était plus du monde des vivants. Cheryl avait un don pour soulager les peines, pour aider les gens à sortir de leur propre détresse, pour que ceux qu'elle aimait aillent mieux, en les faisant parler d'eux-mêmes. Il apparut bientôt à Harry que celle-ci connaissait en fait très bien son histoire, mais qu'elle avait préféré la lui laisser raconter, pour qu'il se rende compte lui-même de certaines choses qu'il n'avait jamais vraiment comprises.

Quand il prit congé de la vieille femme au beau milieu de la nuit, après qu'elle lui ait fait promettre de revenir bientôt, Harry se sentait étonnement bien dans sa peau, et jamais de sa vie il ne s'était sentit aussi calme, aussi mûr, aussi serein. Alors qu'au dessus de sa tête, le ciel étoilé imprégnait le nuit de sa lumière douce, il transplana enfin vers le Terrier, son cœur soulagé de bon nombre de fardeaux qu'il portait auparavant. Et retourna gaiement vers ses amis, et vers son destin.

Je tiens particulièrement à remercier kitty pour son aide précieuse et ses idées formidables, alors je propose une standing ovation pour kitty !!!

Moi je suis prêt poste poste youpi

La suite, s'il te plaît !!!

J'adore ta Fanfict.

Je n'ai pas très bien compris dans la ligne avant dernière: "... ma tante, son père, et mon cousin" ?

Mais, saches bien que j'adore ta fanfict.

La suite STP parce que tu l'a déjà prête !!!

Merci d'avoir poster si vite, tu peux aussi poster la suite tu sais.