Sirius Black : Derrière le voile. [terminé]

c'est quand meme pas fini si ca l'est dis le mais sinonstep met la suite on n'attend que ca steeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeep

HOURRRRRAAAAAAAAAAA ILS SONT SORTIS DU VOILE OUAIHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH TRO COOOOOOOL J'ADORE TA FANFIC SUPER

si c'est fini dis-le on t'en voudras pas sinon mais nous la suite steeeeeeeeeeeeeeeeep :jump: :jump: :jump: :jump: :jump:

la suite la suite

oula beaucoup de demande moi je veux qu'une seule chose simple et rapide LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE

mdr tous vos messages (mais ça fait super plaisir que ça vous interraisse !)

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Le bonheur de respirer enfin l'air libre fut de courte durée pour Sirius. D'avoir passé ces quelques heures sans Clara lui avait fait prendre conscience qu'il devenait indispensable pour lui qu'elle soit toute proche. Mais avant de se plaindre sur son sort, il devait prendre en main les Moldus qui lui faisaient confiance. Traverser la salle du voile lui rappelait de mauvais souvenirs. La dernière fois qu'il était venu dans cette pièce, tout avait faillit se terminer tragiquement. Les membres de l'Ordre du Phénix avaient été en mauvaise posture face aux Mangemorts. Sirius ne savait pas l'issue de cette bataille. Il l'avait quitté bien avant, lorsque Bellatrix Lestrange, sa propre cousine, lui avait lancé un sortilège mortel, qui ne l'avait pas atteint : il était tombé à travers le voile une fraction de seconde avant. Cette pièce contribua à lui faire reprendre face à la réalité. Il devait aider Harry à faire ce qu'il devait : tuer Voldemort.
En tête du groupe, il mena les villageois dans la salle circulaire. De là, après avoir essayé plusieurs portes, il trouva celle qui menait dans le couloirs. Il leur fit traverser rapidement. Arrivé à son extrémité, il appela l'ascenseur,
Pour la dernière fois, ils s'adressa à tous les villageois en même temps.
_ Je vous quitte ici. Chez les sorciers, je suis recherché pour un crime que je n'ai pas commis. Celui qu'on m'accuse d'avoir tué n'est même pas mort. Pour cela, je ne peux pas vous accompagner jusqu'au bout, non pas que je redoute la justice puisque je n'ai rien à me reprocher, mais le temps que je m'explique il sera peut être déjà trop tard. Je dois avant tout aider un ami.
Avec un bruit de sonnette, l'ascenseur ouvrit des portes.
_ Je vous souhaite bonne chance à tous.
Sans chercher à se cacher, il se métamorphosa en Patmol, le grand chien noir. Puis il s'engouffra avec Hildegarde, Maugin et quelques autres dans la cabines. Avec ses pattes, il appuya sur le niveau zéro. Aussitôt, l'ascenseur commença son ascension. Quand les portes se furent ouvertes, Sirius se précipita à l'extérieur, traversa le hall en courant et quitta le ministère de la magie.
Seul, dans Londres, ils se sentit quelques instants perdu. Où aller ? Quelle serait sa priorité ? Aider Harry ou chercher Clara ? Comment pouvait-il savoir pour qui le besoin d'aide était le plus urgent ?
Il déambula dans les rues Moldus, à la recherche d'une quelconque indice qui puisse l'aider.
Le soir venait, et il avait faim. Alors, il fit ce qu'il répugnait, et qui pourtant à une époque était sa vie quotidienne : il chercha un enfant, et fit le chien malheureux. Grâce à cela, il obtint rapidement ce qu'il désirait : un toit pour la nuit, et de la nourriture accompagnée d'eau fraîche.

Sirius se leva tout courbaturé : cela faisait très longtemps qu'il n'avait pas dormi roulé en boule. Il s'étira et partit à la recherche des habitants de la maison, la truffe au ras de sol. Il ne tarda pas à les localiser : une odeur de petit déjeuné flotté dans l'air. La pièce jusqu'où l'odeur le mena était une petite salle à manger. Une enfant mangeait, en regardant des dessins animés. Lorsqu'elle vit Sirius, elle eu un large sourire :
_ Tu es un bon chien ! J'espère que papa va bien vouloir que l'on te garde ! Avant, on avait un chat mais il s'est enfui. J'aimerai tant que tu ne fasses pas pareil !
Ses propos terminés, elle fit tomber maladroitement une croissant à terre, et elle chuchota :
_ Papa et maman ne veulent pas qu'on nourrisse les animaux à table. Mais si ça tombe, c'est pour toi.
Cela faisait peut de temps qu'il était arrivé dans cette famille que Sirius en avait déjà assez. Il devait retrouver Harry et Clara. Se faire traité comme un chien (qu'il était en apparence) l'exaspérait au plus haut point. Néanmoins, il mangea le croissant et ne fut pas mécontent de retrouver des goûts si délicieux ! Avec cela, il aurait voulu un bon café, mais c'était hors de question à cause de sa condition de chien.
La petite fille qui regardait les dessins animés poussa un hurlement :
_ Comment osent-ils ne pas mettre la fin ?
La programme habituel laissé place au présentateur de la chaîne :
_ Nous interrompons ce programme pour vous faire part des événements de la nuit. Tout le pays est en état d'alerte. Des attaques simultanées ont eu lieu, dans l'Angleterre, dans le Nord de l'Ecosse. Même en France et en Irlande. Ces attaques, probablement terroristes, se sont produites sur des points stratégiques : lignes de chemins de fer, ports, gendarmeries, hôpitaux, mairies. Nous comptons plusieurs dizaines de morts dans tous les pays. Et la police nous a confié en exclusivité qu'il y avait depuis plusieurs mois des cas suspects. Ces attaques ne sont pas sans rappeler celles survenues il y a maintenant un ans et demi, concernant l'effondrement d'un pont de Londres. Nous ne connaissons pas les revendications des terroristes, ce qui sème une grande panique dans la police.
Une reportage suivait, montrant un policier devant un hôpital qui semblait avoir été soufflé par une explosion. On pouvait voir dans ses yeux la peur et l'incompréhension qu'il avait sur cet acte parfaitement ignoble.
Le présentateur télévisé termina ses informations par un simple : "Ce soir, suivez notre journal pour plus d'information". Et le programme habituel reprit, laissant voir à l'enfant la fin de son dessin animé préféré.
Sirius à cet instant ne pensait qu'à une chose : partir de cette maison, et aller retrouver Harry et les anciens de l'Ordre du Phénix. Il parcouru toutes les pièces, sans trouver de porte ouverte. Il ne voyait pas de clé, et il ne pouvait pas s'imaginer reprendre sa forme humaine pour ouvrir une fenêtre de peur d'être vu.
Soudain, son regard se porta à l'extérieur. Assis sur le rebord d'une fenêtre se trouvait un énorme chat. Il ne lui fallut qu'un regard pour le reconnaître sans laisser de doute possible. C'était Patenrond, le chat d'Hermione. Comment était-il arrivé jusqu'ici ? Venait-il par hasard, ou venait-il chercher Sirius ? Mais la seconde solution était parfaitement possible. Ce chat avait une intelligence très développée. Il faudrait donc que Sirius puisse sortir, et sans doute le chat le conduirait jusqu'à sa maîtresse et Harry.
La jeune fille avait enfin fini de regarder son programme télévisé. Elle prit une laisse et un collier, et vint attacher Sirius.
_ Nous allons faire un petit tour ! Je vais te montrer à mes amies, elle vont être jalouses !
Elle semblait si heureuse d'avoir un animal à s'occuper que Sirius en éprouva presque de la peine à la quitter quelques minutes après.
Depuis l'instant où Sirius avait perdu de vue Patenrond sur la fenêtre, il ne savait plus où le trouver. Alors, quand le chat se montra enfin, Sirius tira fort sur sa laisse, et l'arracha des mains de l'enfant.
Tandis qu'il courrait après le félin, il entendait la fillette le rappeler. Mais il ne se retourna pas une seule fois, et suivit la chat qui l'entraînait. Vifs comme l'éclair, ils traversèrent une partie de Londres, traversant les artères principales sans prêter attention à la circulation. Patenrond ralentit enfin devant une petite maison dans un quartier sombre. L'endroit rêvé pour des sorciers à la recherche d'un repère.
La chat gratta à la porte. Et Sirius entendit des voix à l'intérieur :
_ Tu peux aller ouvrir, s'il te plaît ?
_ Vas-y, toi, c'est ton chat !
_ Quand c'est moi qui vais ouvrir à Coc, ça te dérange beaucoup moins !
Des pas précipités se firent entendre. Quelqu'un descendait des escaliers. La porte mis quelques dizaines de secondes à s'ouvrir.
Lorsque enfin le battant fut poussé, Sirius éprouva une sensation étrange, un pincement au cœur. Hermione était juste derrière la porte, mais il ne la voyait pas encore.
Elle non plus ne l'avait pas vu. Patenrond, quand à lui, s'écarta de la porte de la manière d'un chat qui désire montrer quelque chose.
_ Qu'as tu Patenrond ? s'impatienta-t-elle. Tu disparaît plusieurs jours et quand je te revois, tu es aussi étrange ? Que veux tu me faire voir ?
Elle se décida à franchir les quelques mètres qui la séparait de Sirius. Lui, il ne pouvait plus faire un mouvement. Après tous ce qu'il avait vécu, il revenait enfin vers ceux auxquels il tenait.
Lorsque Hermione le vit, elle devint extrêmement blanche, et s'évanouit.

La suiiiiiiiiiite c'est trop bien!! bravooooooo!!

trop fort pour patenrond sirius avait dis qu'il serai trés important et que c'était un chat vraiment intelligent mais tu as pas le droit d'arréter la moi je veux la suite snif snif

Hihihi J'arrete où je veux

(je viens de fermer mon document word... et flemme de le rouvrir... LOL Je reviens vous le mettre dans pas longtemps...)

t'as interet!!

Oui c'est vrai t'a intérêt sinon on te fait la peau mdr c'est quand bientot parce que la je m'impatiente lol mdr

t'as pas le droit de t'arrêter comme ça met nous vite la suite s'il te plait j'en peux plus d'attendre c'est vraiment trop bien

MDR

Bon, comme je suis gentille aujourd'hui je mets le suite


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Le bruit de la chute d'Hermione lorsqu'elle s'évanouit alerta Ron. Pendant ce temps, Sirius ne put faire un mouvement, tant il était effrayé par la réaction d'Hermione. En temps normale il l'aurait secouru, mais l'inquiétude le tétanisait.
Ron ouvrit à son tour la porte. A voir Hermione au sol, il crut à une attaque des Mangemorts, et sortit sa baguette. Mais lorsqu'il vit l'énorme chien noir, lui aussi le reconnut. Il devint aussi pâle que Nick Quasi-Sans-Tête. Mais il ne perdit pas connaissance.
_ Viens, rentre vite !
Il poussa la porte pour laisser le chien noir. Puis il s'approcha d'Hermione, la prit dans ses bras et la porta jusqu'au canapé du rez-de-chaussée. Il l'installa confortablement puis la réanima grâce à un sort.
La maison dans laquelle ils se trouvaient était assez petite, mais l'intérieur était décoré avec beaucoup de goût, tout en restant extrêmement pratique.
Les yeux perdu, Hermione parcourut du regard la salle. Elle constata que précédemment elle n'avait pas souffert d'une hallucination. Sirius était toujours en vie, et se trouvait devant elle. Il avait repris sa forme humaine mais semblait aussi perdu qu'elle. Seul Ron paraissait "normal".
Pendant quelques minutes, le temps que tout le monde réalise ce qui se passait, aucun mot n'était prononcé. Le vide, que Sirius avait fui, semblait aussi envahir ce lieu. Mais le silence fut rompu pas Hermione :
_ Tu es encore vivant, n'est ce pas ?
La question le surprit. Il avait bien pensé que tout le monde avait cru qu'il était mort, mais se l'entendre dire avait quelque chose de choquant. Une nouvelle crainte l'envahit : où était Harry ? Il n'était pas dans cette maison, sinon Hermione et Ron l'aurait appelé. Etaient-ils seuls ? N'arrivait-il pas trop tard ?
_ Oui je suis bien vivant. Je n'ai jamais était mort. J'ai réussit à m'en sortir. Où est Harry ? Il va bien ?
Sa question était inquiète, et sous-entendait sa crainte de la victoire de Voldemort.
_ Oui, le rassura Hermione. Il est parti pour une mission. Il reviendra bientôt normalement. Il sera surpris de te voir.
_ Je m'en doute ! Moi aussi. J'ai eu très peur d'arriver trop tard, vous savez. Ce n'est pas le cas, rassurez moi !
_ Je ne pense pas.
Le silence retomba. Ron n'avait toujours pas desserré les dents, et Sirius s'en inquiéta.
_ Ron, ça ne va pas ? Qu'est ce que tu as ?
_ Tu étais mort, voilà ce que j'ai ! C'est IMPOSSIBLE que tu sois là ! Après tout ce qui s'est passé, tu reviens comme si de rien n'était ? Non, je n'y crois pas ! En plus, Dumbledore avait vérifié qu'Harry était bien ton légataire, donc à ce moment tu devait être mort !
_ Comment a-t-il fait pour savoir qu'Harry serait mon héritier ?
_ Kreature lui obéissait, donc…
_ Kreature lui obéit parce que je l'ai obligé. Avant de partir au Ministère, j'ai ordonné à Kreature d'être avec Harry comme il était avec moi. Ca répond à ta question, Ron ?
_ Une partie. Que t'est il arrivé ?
_ L'histoire est longue. Mais j'ai l'impression que tant que je ne vous raconterais pas, vous ne me ferrez pas confiance.
Il leur raconta tout. Cela pris plus d'une heure, car il n'hésita pas à parler de Clara, qui lui manquait horriblement mais qui avait disparue. Quand il eu finit, Ron était abasourdi :
_Excuse moi d'avoir mis ta parole en doute, Sirius, mais par le temps qui court mieux vaut être vigilant.
_ Quelle est la situation ici ?
Mais il fut interrompu par un "CRAC" qui venait du vestibule.

Mais non met la suite c'est nul arréte pas la je veux avoir la suite sinon je decend ou t'habite et je te pique ton texte pour savoir la suite

nan n'arrête pas là t'as pas le droit, ça devrait être interdit met nous la suite s'il te plaît je t'en suplie je vais pas tenir

vite vite la suite c'est super...

Merci !!

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Lupin venait d'arriver en transplanant. Il se précipita dans la pièce principale, là où se trouvait Ron, Hermione et Sirius. Il semblait effrayé mais heureux.
_ C'est bien toi ! Tu est revenu ! Je savais bien qu'elle ne pouvait pas t'avoir comme ça.
Sans laisser faire voir ses intentions, il prit Sirius dans ses bras, et lui murmura :
_ J'avais peur que toi aussi tu m'aies abandonné. Tu me manquais terriblement ! J'ai plein de choses à te raconter !
Puis, à tous, il poursuivit :
_ Mais avant cela, nous avons un petit problème à régler. Ce n'est pas grand chose, mais c'est urgent. Si je ne suis pas très surpris de te trouver ici, Sirius, c'est parce que je l'ai appris en plein centre de Londres. Il y a des dizaines d'avis de recherche sur toi. Mais pas en tant que sorcier, ou évadé d'Azcaban. Il y a plein d'affiches comme celle là :
Il lui tendit l'une d'elle. Il y avait une photo d'un grand chien noir roulé en boule en train de dormir, Sirius, et il était précisé que ce chien était perdu et qu'une modeste récompense serait donné à celui qui le ramènerait à l'adresse indiqué.
_ Je pense que tu sais ce que cela veut dire, Sirius. Maintenant, les Mangemorts sauront que tu es de retour, et que tu as été hébergé à cette adresse. Je crains pour la sécurité des habitants. Il devint donc urgent de régler cette histoire, et de retirer toutes les affiches.
Un plan d'action fut vite élaboré. Mais avant qu'ils ne partent pour la maison, Lupin fit un détour par le chemin de traverse, d'où il revint avec un magnifique chiot labrador, couleur chocolat. Puis il s'habilla d'une façon moldu élégante. Son choix vestimentaire avait été guidé par Hermione, pour ne pas faire de faute de goût. Il était vêtu d'un imper gris, d'un pantalon assorti et des chaussures de villes.
De la petite maison qui était devenue le quartier général de l'Ordre du Phénix, ils transplanèrent dans une impasse près de la maison où Sirius s'était réfugié pour la nuit. Puis Sirius reprit sa forme canine, ce qui permit au jeune chiot de le prendre pour un autre chien, et de vouloir jouer avec lui. Sirius s'exécuta.
Lupin frappa à la porte. Ce fut la mère de la famille qui ouvrir. Lorsqu'elle vit Sirius, elle les laissa entrer.
_ Entrez donc, monsieur.
Ils s'installèrent à la table du salon, proche de la télévision.
La femme leur dit :
_ Vous êtes venus rapporter le chien ?
La petite, qui avait reconnu l'animal, s'amusait déjà à lui tirer les oreilles. Docile, Sirius résistait, en se demandant comment les chiens avaient fait pour choisir de vivre avec les hommes, en devant subir tout cela.
_ Non, madame.
L'enfant fit un sursaut.
_ Vous êtes venus nous l'enlever ?
_ Je vais vous expliquer tout notre problème. Ce chien n'est pas un chien ordinaire. Il travail dans les services secrets britanniques.
Les deux femmes le regardèrent les yeux ronds.
_ C'est donc un chien extrêmement dressé, qui a une valeur inestimable par rapport aux services qu'il rend. Vous comprenez alors pourquoi nous ne pouvons le laisser.
_ Si c'est un chien si précieux que cela, comment est-il arrivé jusqu'ici ?
Ils n'avaient pas prévus cette question, mais Lupin fit d'avis de raconter la vérité, en la modifiant partiellement.
_ Il était en mission spécial depuis quelque temps. Il a dû se perdre en revenant. Ca ne serait pas la première fois. Mais il nous a permis d'arrêter des criminels. A ce propos, il faut que je vous mettes en garde. Les affiches que vous avez répandues un peu partout dans la ville risquent de rappeler de mauvais souvenir à certaines personnes. Et oui, cette brave bête a des ennemis. Il faudrait au plus vite les enlever toutes. Votre sécurité ne pourra être assuré tant que votre adresse sera associée à cet animal.
La femme buvait littéralement les paroles de Remus.
_ Bien entendu.
Elle ne semblait pas très effrayée à l'idée qu'elle pouvait être victime d'une représailles alors que c'étais Sirius qui était visé. Il ne tarda pas à deviner qui si elle l'acceptait si bien cette idée, c'était parce que Remus l'aidait quelque peu : il avait la main plongée dans la poche où se trouvait sa baguette.
_ Je vous fait confiance pour enlever toutes les affiches au plus vite.
_ Il n'y a aucun problème.
Elle téléphona :
_ Allo, chéri ? C'est moi… Moi, à propos du chien… Il faudrait que tu enlèves toutes les affiches que tu as posées… La situation est réglée… Non… je t'expliquerai à ton retour… Bisous.
_ Voilà qui est fait.
_ C'est parfait ! Nous allons pouvoir partir. Sirius, viens là.
Quel abus de pouvoir il venait de faire ! Sirius s'en vengerait. Il s'approcha de lui, et lui mordilla la main.
_ Ha ! Mais qu'est ce que tu fais ? Tu es toujours aussi susceptible ?
Sirius pencha la tête, à la manière d'un chien qui écoute attentivement son maître, qui le comprend et qui approuve.
_ Nous avons un cadeau pour vous, puisque vous avez accepté de collaborer.
Le chiot, que Remus avait caché dans son manteau, sortit le bout de son museau.
_ Il est magnifique ! s'écrièrent les deux femmes.
_ Il est pour vous.
Aussitôt, l'animal fut accepté par la famille.
_ On l'appellera Sirius !
Lupin ne pu cacher son amusement :
_ D'accord. Mais promettez moi, avant tout, de ne jamais raconter cette discussion.
_ C'est d'accord.
_ Bien, nous pouvons partir. Tu viens, Sirius.
Ils s'en allèrent dans l'impasse d'où ils étaient arrivés.
_ Tu as été génial, Remus ! Félicitations !
Et ils retournèrent dans l'autre maison.

trop bien t'arrête pas... met nous vite la suite

c'est vrai arréte pas met la suite vitevite

o la la j'adore de plus en plus ton histoire tu as vraiment une imagination débordante met nous vite la suite je t'en supplie

trop bien la suite steeeeeeeep

super t'arrete pas c'est trop bien

Super génialissime je trouve ta fanfic aussi bien que la mienne lol a quand la suite

eheheh! ta fic à depacé les 1000 vus !! faut fêter ca !!